Et c’est ainsi que s’achève ce premier tome ! La réécriture n’aura pas été une mince affaire, et même si les différences avec la version originale relèvent principalement de la forme plutôt que de l’histoire en elle-même, j’ai bien fait de repasser dessus. J’ai relevé des incohérences un peu partout, notamment sur le background des personnages, et j’ai pu corriger tout ça dans la plus grande des discrétions… le premier arc aura d’ailleurs été un calvaire pour moi. Le nombre de passages à la première personne qu’il m’a fallu changer pour la troisième personne… j’en fais des cauchemars.

Dire qu’Effacé est née en février 2016 et a été postée en octobre de la même année… et nous voilà déjà en 2019. J’ai pris mon temps, dis donc. Je ne compte pas refaire d’immenses pauses et je vais évidement continuer à poster régulièrement, à raison d’un chapitre par semaine minimum. Égaré, le court tome 2 (sur 3) de cette histoire, devrait donc apparaître sur l’accueil des fanfics lundi prochain, si ne je dis pas de bêtise ! Certains le savent peut-être déjà car je donne parfois quelques nouvelles de mes écrits sur mon blog, mais ce petit tome s’attardera surtout sur le passé des personnages, et sur la transition avec le tome 3 (qui, lui, sera bourré d’action en comparaison… et de morts ?).

Bref. Il est temps de vous partager quelques statistiques. J’aime bien m’amuser à faire ça. Je pense que je risque de perdre la moitié d’entre vous, mais tant pis, je prends le risque ! De toute façon c’est pas bien long…

Quelques chiffres

— Environ 143 000 mots, ou 840 000 caractères
— 328 pages Word en Calibri 11
— 40 chapitres (le 39e et le 40e faisant à eux deux la taille de 4 chapitres standards)
— 18 personnages nommés, dont 1 qui est clairement anecdotique : Poeba. Un homme du groupe des pillards, nommé 3 fois au gré de certains dialogues… surtout après sa mort quand Karyl a pété un câble dans leur repaire, en fait. Le pauvre. RIP Poeba, alias le syndrome du personnage secondaire voué à décéder.
— 8966 minutes d’édition sur la version originale, soit 149 heures + 1939 minutes ou 32 heures pour la réécriture. Ce qui fait un beau score finale : 10 905 minutes / 182 heures de travail. Enfin, c’est terminé, quel soulagement…
— Une réécriture qui s’est achevée le 23 janvier 2019 (aujourd’hui pour moi, mais vous verrez ça le 28 février, si mon planning a tenu le coup.)
— Le mot Mutant a été écrit 158 fois dans la fic.



Dans l’ancienne note de l’auteur qui achevait la première version d’Effacé, j’évoquais l’origine des personnages, et d’où m’étaient venues les idées par rapport à eux ; mais je préfère garder ça sous le coude, pour plus tard. Les plus curieux se contenteront donc de l’origine du nom de Molch. C’est un mélange foireux entre « Mou » et « Moche ». Voilà. tro drol jpp

Pour ce qui est de l’univers, je peux me permettre d’être plus précis. L’inspiration m’est venue en jouant à la série des Monster Hunter, tout simplement : il y existe dans ces jeux une arène où on peut affronter des monstres. Voilà comment est née l’idée d’Arène où des humains doivent survivre face à des hordes de Pokémon. Le reste a été délivré par mon imagination, au gré de mes improvisations de l’époque. Je n’avais pas l’habitude de prévoir l’histoire à l’avance, ce qui explique notamment pourquoi le premier arc de l’Arène peut donner l’impression de trancher avec le reste.

En tout cas, je suis bien content d’avoir enfin terminé ce tome 1. Je n’y retoucherai plus, et vivement que vous puissiez voir la suite ! Les liens avec mon univers seront plus flagrants dans les prochains tomes, et j’espère que ça vous donnera envie de vous y intéresser.

Sur ce, je vous laisse, et à lundi pour le début d’Égaré.