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Le Solride de trainki



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» Auteur : trainki - Voir le profil
» Créé le 26/12/2011 à 20:01
» Dernière mise à jour le 16/02/2012 à 11:09

» Mots-clés :   Action   Fantastique   Humour   Présence d'armes   Romance

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CHAPITRE 25 Bis : Joyeux noël ! [2/2]
Il lui tandis une boulle de poil noir qui toussoté, elle regarda un moment l'objet insolite avant que la boulle de poil ne miaule faiblement. Immédiatement elle attrapa le petit chat noir en s'écriant :

-Kuro !!!
-Oh putain ! A peine elle me retrouve qu'elle m'explose les oreilles ! N'a-t-elle pas de pitié pour un pauvre chat noir qui à faillit griller ?!, pensa le chat en levant les yeux aux ciel.
-Il était totalement effrayé et il ma amener jusqu'ici, tu as de la chance d'ailleurs, je ne comprends pas pourquoi ces villageois ont fait ça, mais en tout cas je trouve ça répugnant de tuer des gamins.
-C'est faux ! C'est juste qu'il comprenait rien ce grand idiot de rouquin !!

Elle toussa violement, comme si cette simple mention l'étouffé, ce qui l'alarma, il l'aida encore une fois à passer la quinte de toux puis lui demanda :

-Au fait... Pourquoi ont-ils fait ça ?
-Ils... Ils ont accusé l'orphelinat d'héberger des enfants de démons... Ils ont détruit la porte et ont commencé à tout brulé et à tué tout le monde... (Elle se mit à pleurer), ils les ont tous tué !! Jusqu'au dernier ! Même Kidi, Liam et Jack son mort !

KaHoru ne savait pas du tout qui était ces personnes, mais elle devait compter énormément pour elle. Il remarqua alors qu'elle avait toujours la main refermait sur un objet dont la chaine en or dépasser et pendait de sa main. Il lui demanda alors :

-Qu'est ce que tu tiens dans ta main ?

La jeune fille baissa les yeux, regardant sa main ensanglanté d'un air étonné, croyant avoir lâché l'objet, elle ouvrit difficilement ses doigt de la montre. KaHoru écarquilla les yeux, tant parce que l'objet lui était familier qu'à cause d'un violent mal de crane.
Il était sur de l'avoir déjà vu, mais sa mémoire était verrouillé, ne lui apportant aucune information.

-Dit moi... Où l'as-tu eu ?
-C'est quelqu'un qui la oublier chez moi... Un ami.
-Ah bon ?
-Oui, fit-elle en esquissant un sourire maladroit.

Etonnement, elle se sentait en confiance auprès de ce jeune homme à l'allure étrange et guerrière mais très altruiste, lui rappelant successivement Ueki et Vanitas, elle souffla en tenant la montre dans ses mains :

-Il s'appelle Vanitas...

Le mal de tête empira encore plus pour KaHoru dont le nom sonner fort dans sa tête, mais à chaque fois qu'il arrivait à mettre un visage, un événement ou une émotion sur ce nom, sa mémoire se dissiper pour ne lui laissait que du noir. Il dut le montrer car la jeune fille lui demanda :

-Vous vous sentez bien ?
-Oui..., souffla t-il, juste un mal de tête.

Il sentit alors la jeune fille ranger la montre dans sa poche et lui poser ses mains contre les trempes, fermant les yeux, à son grand étonnement il lui sembla petit à petit sentir la douleur partir. Mais le pire, ce fut qu'en plus pendant que la douleur se dissiper, il sentit de plus en plus un étrange sentiment se développer en lui : Le besoins de protéger la jeune fille.

Finalement elle rouvrit les yeux et baissa les mains en souriant :

-C'est partit ?

KaHoru resta un moment silencieux, se demandant comment la jeune fille avait fait pour calmer ses mots de tête, mais il se contenta de dire :

-Oui, merci.

Il se leva, regardant autour de lui en disant :

-Tu habitais à l'orphelinat ?
-Oui...
-Et les villageois ont visiblement envie de te tuer... Donc restez ici est hors de question, fit-il en réfléchissant à haute voix.

Il resta un moment à réfléchir avant de dire :

-Et où se trouve ce « Vanitas » ?
-Il m'a dit qu'il habitait sur terre... Au Bourg Palette.
-Le Bourg Palette ?! Et bien, si c'est pas une coïncidence ! Moi aussi j'y aie habité quand j'étais...

Il s'arrêta, il avait faillit dire « Quand j'étais encore vivant », mais il se rattrapa en disant :

-... Encore étudiant.
-Ah bon ?
-Oui, c'est super donc, je vais pouvoir t'emmener là-bas.
-Mais... Je ne sais pas où il habite...
-Ne t'inquiète pas, je connais quelqu'un qui acceptera surement de t'héberger et de te renseignait, il est un peu vieux et excentrique, mais très gentil... Enfin d'après mes souvenirs...

La jeune fille le regarda étonné, lui demandant incrédule :

-C'est vrai ?!
-Je ne mens jamais... Sauf cas d'extrême urgence. Genre quand Nocturne me demande si sa robe noir est assez « Guai » pour allez voir son frère...

La jeune fille ne sut plus quoi dire, regardant incrédule le vortex que forma KaHoru d'un mouvement de main en demandant :

-Au fait, comment tu t'appelle ?
-Chat...
-Pardon ?
-Je m'appelle Chat, comme l'animal.
-Ah bon ?
-Oui... Je sais, c'est ridicule...
-Je ne vois pas en quoi c'est ridicule ! Au contraire je trouve que ça te va bien.

Chat sursauta, à part quelque petit détail qui avait changé, elle se souvenait que Vanitas avait répondus la même chose lorsqu'elle lui avait donné son nom. Elle eu un petit rire avant de dire :

-C'est étrange... Vous ressemblez étrangement à Ueki et Vanitas...
-Et bien... Merci. Moi je m'appelle Karahoru, mais appelle moi KaHoru.
-Merci encore KaHoru, fit-elle en s'inclinant un peu.

Il lui ébouriffa les cheveux avant de lui dire :

-Allez, passe devant, je referme le passage.

Elle s'exécuta, cependant ce qu'il ne lui avait pas dit, c'est qu'une fois le passage refermer, celui-ci se désagrégea en explosant. Heureusement, KaHoru doué d'une vitesse phénoménale l'attrapa et se mit à courir à une telle vitesse que les énergies passaient trop vite pour être vue. Le passage s'écroulant sur leurs passage comme des murs d'eau scintillant essayant de les avalaient.
Finalement après une course effrénée, KaHoru vit le bout de son passage et en sortit en ne ralentissant pas, le passage claquant après lui dans un bruit semblable à une détonation. Il dérapa sobrement et faillis heurtait un arbre, mais se repris à temps et se stoppa à quelque centimètre, s'écriant avec joie :

-Hey ! Une minute et deux seconde ! Il a tenue de seconde de plus que la dernière fois !
-ESPECE DE KAMIKAZ !!!! ASSASSIN !!! CHAUFFARE !!! MEURTRIER !!! ROUQUIN !!! Pensa très fort Kuro en fusillant du regard le rouquin qui se passait la main dans les cheveux.

Chat le regarda atterrait, se demandant qui pouvait être assez fou pour créée des passages aussi instable et violant un nombre incalculable de loi. Il la déposa à terre en disant :

-Je ne comprends pas pourquoi ils tiennent aussi peu de temps, pourtant je fais comme HoTsuki-Sama me l'a apprit. Peu êtres que je devrais lui en toucher deux mots tiens.
-Qui est HoTsuki ?

KaHoru crispa son sourire en pensant qu'il avait encore fait une boulette, il répondit :

-Un... « Camarade » je dirais... Bon, le village du Bourg Palette ne dois plus se trouvait bien loin.
-Pourquoi je doute de ce fait ?, pensa le chat en fusillant encore KaHoru du regard qui éternua.

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Heureusement pour eux, KaHoru n'était certes pas un pro pour créée des passages qui tienne, mais il s'avait quant même atterrir là où il voulait. Ainsi après une marche qui ne dura qu'une dizaine de minute, ils arrivèrent dans un petit village pittoresque.
Il faisait nuit noir, mais il n'en demeurait pas moins accueillant malgré le froid de l'hiver qui faisait grelotter Chat et KaHoru, fort heureusement, ils arrivèrent devant un laboratoire surplombant tout le village sur une petite colline, KaHoru se tourna alors vers Chat en disant :

-Voilà ! C'est ici, toque et demande à parler au professeur Chen, explique lui que tu t'es perdus et demande lui l'hospitalité, il ne pourra pas refuser, et surtout évite de lui dire que tu viens d'un autre monde. Les habitants de la terre ignorent l'existence d'autre monde et il risquerait de te prendre pour une folle.
-Heu...
-Je suis désolé, fit-il en se retirant un peu, hélas je ne peux pas restait plus longtemps, j'ai abandonné mon camarade seul et en plus je n'ai pas mon masque sur moi et je suis censé garder mon visage caché lorsque je suis en présence de non-Naitaka.

Il forma un vortex derrière lui puis fit à Chat un signe de la main pour lui dire au revoir, disant avant que le passage ne claque derrière lui :

-Au revoir et bon courage !

Le passage claqua, laissant seul Chat qui craignait de toquer à la porte du laboratoire, se demandant comment elle allait bien pouvoir s'expliquait. Elle s'approcha timidement de la porte et toqua timidement.
Il passa un moment de silence tandis que Chat frissonnait dans l'air glacer de l'hiver, se frottant ses bras dénudé en regardant la porte. Mais personne ne vint ouvrir. Elle pensa un moment à repartir lorsqu'elle vit la sonnette, elle appuya dessus, entendent vaguement une petite sonnette caractériser ( Qui n'est autre que le thème de ce chers professeur Chen).

Presque immédiatement, la porte s'ouvrit, laissant apparaitre dans son encadrement un homme d'âge vénérable, ses cheveux étaient bruns et tirer sur le gris, coiffer en carré dont un coté partait en épis et dont une petite mèche tomber sur son front.
Il était habillé d'une chemise lavande rentré dans son pantalon marron avec par-dessus une blouse de scientifique avec un stylo dans sa poche. Et il était chaussé avec des chaussures marron assez vieilles.

-Oh bonjour, fit-il avec une voix très gentille et douce.

Cependant Chat nota aussi qu'il avait une voix assez étrange, mélangeant la sagesse et la noblesse de l'âge, mais aussi un coté jeune et gai (oui, j'aime bien épiloguer sur sa voix, elle m'a toujours étonné et j'en suis fan, mais moi je m'en fous, je fais ce que je veux NA !).

-Heu... Bon... Bonjour, fit Chat en rougissant.
-Que t'arrive t-il jeune fille ? Tu semble effrayé...

Elle se souvint de ce que lui avait dit KaHoru et balbutia alors :

-Et bien en fait... Je me suis perdu.
-Perdu ?

L'homme haussa un sourcil en passant sa main sur son menton d'un air concentré. Elle crut pendant un moment qu'il allait découvrir que c'était un mensonge, mais il répondit avec gaité :

-Et bien reste donc ici pour la nuit, j'ai des chambres pour les jeunes dresseurs qui doivent faire halte ici, alors je peux bien t'offrir l'hospitalité.
-M... Merci monsieur... Désolé.

Il la regarda un peu étonné avant de se mettre à rire, s'écartant tout en lui disant :

-Tu n'as pas à t'excusé, ça ne me dérange pas d'aider les personnes dans le besoin, surtout qu'en ce moment il y a peu de dresseur qui parte à l'aventure. Je suis le professeur Sammy Chen et toi ?
-Je m'appelle Chat.
-Chat ? C'est un nom pour le moins original.

Chat entra, se souvenant de ce que lui avait dit Vanitas à propos des dresseurs. Des personnes qui possédait des pokémons et vivaient en faisant des combat dans divers tournois.
Soudain elle entendit l'homme s'exclamait :

-Mais !!... Tu es couverte de sang ?!

Elle estima sa robe ainsi que sa peau, en effet elle était couverte de sang, et aussi de brulure et de blessures. Elles les avaient oubliés. Il s'approcha d'elle et mit un genou à terre tout en regardant un des bras de la jeune fille. Il était couvert de brulure et d'hématome, rendant la peau méconnaissable.
Il se releva ensuite, la regardant inquiet et lui demandant :

-Que t'es t-il arrivé pour te retrouvé dans cette état ? J'ai peine à croire qu'un Usaring ait put te faire ce genre de blessure, mais toujours est-il que tu as eu de la chance.

Chat hocha la tête tandis que le professeur la conduisait à une chambre, lui disant :

-Lave-toi, il y a une chambre à coté, après je vais m'occupé de soigné tes blessures... Une chance qu'un de mes apprentis ait des connaissances en médecine.

Elle hocha la tête tandis que le professeur partait, elle l'entendit criait dans le couloir :

-Orme ! Je vais avoir besoin de ton aide !
-Tout de suite Professeur, fit une voix muant un peu.

Chat entra dans la chambre, laissant Kuro se jeter sur le lit pour dormir puis elle alla à salle de bain et prit rapidement une douche chaude. Une fois propre et sec, elle hésita à remettre ses vêtement souillaient et osa emprunter des habits se trouvant dans le placard. Une fois vêtu d'une robe noire qu'elle avait trouvée dans l'armoire, elle sortit. Juste devant la porte se trouvait justement le professeur qui lui demanda :

-Où sont tes autres vêtements ?
-Je les aie laissés dans la chambre.
-Passe-moi les, je les mettrais à la machine à laver, fit-il avec un sourire engageant.

Une fois les vêtements souillés dans les bras du professeur, ils partirent vers un endroit du laboratoire qui surprit un peu Chat, puisqu'il s'agissait justement du laboratoire en lui-même. Chat ne put s'empêché de regarder partout autour d'elle tandis que le professeur Chen disait :

-Voici Orme, un de mes apprentis.

Elle regarda ledit Orme. Il s'agissait d'un jeune homme sortant à peine de l'adolescence aux cheveux châtains bien coiffer sauf un épi sur sa tête, il portait des lunettes qui étrécissaient ses petits yeux verts et il était mal raser au niveau du menton.
Il portait une chemise bleu-vert avec par-dessus une blouse assez courte et avec un pantalon vert assez flashy, le tout lui donnait un air assez peu sérieux. Renforcé aussi par ses tendances maladroites qui commença lorsqu'il serra la main de Chat en tremblant et trébucha sur un objet imaginaire.

-Désolé, fit-il contrit.

Heureusement la boitte de soins était intacte, il se reprit en disant :

-Le professeur m'a dit que tu avais était blessait, montre moi ça.

Chat présenta ses bras couvert de brulures et de petites coupures, rapidement Orme désinfecta les plaies et les banda puis appliqua une pommade qui apaisa les brulures, lui recommandant :

-Ne touche pas trop à la pommade le temps qu'elle fasse effet.
-Merci, fit Chat rouge de honte mais reconnaissante envers ces deux personnes très gentille.
-De rien, fit Orme en se levant, professeur je retourne à mes analyses si vous me le permettait.
-Bien évidement Orme, je t'en pris.

Une fois que l'apprenti fut partit, le professeur Chen invita Chat à venir se poser dans un coin tranquille du bâtiment et lui offrit une tasse de thé pour qu'elle puisse se détendre. Une fois bien installé, il piqua directement dans le sujet.

-Dit moi Chat... Que t'est-il arrivait pour te retrouvé dans cette état ?
-Et bien je... Je ne sais pas, fit-elle en se découvrant un don pour mentir.
-Comment ça ?

Chat prit une profonde inspiration, puisant dans son courage pour inventé une histoire et mentir à cette homme qui était pourtant si gentil. Mais elle s'avait que c'était le seul moyen et qu'il ne la croirait pas sinon.

-Je ne me souviens plus de ce qui s'est passé, je me souviens que je me trouvé chez moi puis c'est le noir et je me souviens d'être revenue à moi dans la forêt dans cette état.
-Hum... Je vois. Et tu as d'autre crise d'amnésie ?
-Non, juste pour ce petit passage.

Le professeur Chen se passa encore une fois la main sur le menton, réfléchissant en étant profondément concentré. Après un petit moment il soupira en disant :

-Où habitais-tu ?

Chat avala difficilement sa salive, ne connaissant aucun endroit de ce monde, et les seuls que lui avait décrits Vanitas l'était trop abstrait pour qu'elle se risque à les cités. Elle se rappela alors d'un endroit désert qu'avait cité une fois Vanitas, lui disant qu'il ressemblait à l'endroit où elle vivait.

-Prés de la mer, vers Oliville, j'y habitais seul...
-Ah bon ? C'est étrange que tu vives seul à ton âge, fit le professeur Chen un peu étonné.

Chat hocha la tête en lâchant sans le vouloir :

-Vanitas aussi trouvé que c'était étrange que je vive éloigné des autres.

Cette remarque fit sursauter le professeur Chen qui la regarda étonné avant de dire :

-Qui dis-tu ?
-Vanitas, c'est un jeune homme que j'ai sauvé de la noyade, il était grièvement blesser et d'ailleurs il est partit une petite semaine avant que je ne me retrouve ici et blesser.

Le professeur lâcha sa tasse en disant :

-C'est impossible...

Chat s'étonna de sa réaction en demandant :

-Pourquoi ?
-Mais tout simplement parce que ça fait prés de six mois qu'il à était porté disparus !
-Six mois ?!
-Oui, et il ne faut pas une semaine pour revenir au Bourg Palette... Tu es sur que c'était bien Vanitas ?
-Oui, il avait même oublié sa montre à gousset, je voulais justement lui rendre.

Elle sortit ladite montre, ce qui fit pâlir le professeur qui la reconnut immédiatement, Zexion et Luxord la lui avait montrée avant de l'emballer pour l'offrir à Vanitas. Il souffla :

-C'est incroyable ! Il y a peu être un espoir alors !

Chat le regarda, se demandant jusqu'où allait aller se mensonge. Le professeur Chen lui disant avec un sourire tout en disant :

-En tout cas, tu apporte surement une très bonne nouvelle ! Il faudra que demain je te présente à quelqu'un, tu va surement lui faire très plaisirs.
-Ah bon ?
-Oui, je dirais même que tu feras surement plaisirs à deux personnes, Nuko et Liz.
-La sœur et la mère de Vanitas ?
-Il t'a parlé d'elle ?

Ce n'était pas exactement cela, elle l'avait apprit en plongeant dans le cœur de Vanitas. Mais elle hocha tout de même la tête.

-En plus je suis sur qu'elles seront ravis de t'accueillir le temps que cette histoire se démêle un peu.

Chat ne sut pas quoi répondre, elle se contenta de discuter ensuite avec le professeur Chen de sujet banal, appréciant la conversation du vieil homme qui était très passionné par les pokémon. Ce qui contrastait avec la répulsion de Vanitas envers cette petite créature dont il ne supportait qu'une maigre sélection.


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Un nouveau craquement sinistre retentit tandis qu'une partie de la peau se déchira. Le bruit écœurant manquant de faire vomir la jeune fille qui regardait impuissante le poison de l'Okami se distillait dans les veines de son père. La peau se déchirant pour se tuméfié ensuite, pervertit par l'essence démoniaque de l'Okami ayant planté ses crocs dans le bras.
Une simple morsure avait suffit à le condamné, et même en retirant les chaires tuméfiait ça n'avait pas suffit. La chaire partait en lambeaux, rejetant du sang noir comme l'encre en dehors des plaies corrompus. Partant de la blessure et remontant sur son bras, pourrissant petit à petit les chaires pour atteindre son dernier but : Le cœur.

Elle ne pouvait qu'assistait impuissante à ce destin auquel était voué son père. Regrettant amèrement de ne pas avoir les connaissances de son père.
Soudain, elle remarqua alors quelque chose apparaitre sur le visage de son père, pendant un moment elle crut que c'était la peau qui commençait à se fendre, mais finalement ce ne fut qu'une marque... Courant sur la joue de l'homme tel une griffure.
Une seconde fit rapidement son apparition, et elle commença à se demandé ce que pouvait bien signifier de telle marque... Etait-ce le prélude à la condamnation de son père ? Elle regarda la marque d'un air intrigué.

Elle était tellement absorbée dans ses observations qu'elle ne remarqua même pas qu'il avait ouvert les yeux. Il la regardait avec des yeux couleur or et dont la sclère (le blanc des yeux) était devenue noir. Finalement elle capta son regard et fit un bon en arrière, se demandant ce qui pouvait passer dans son esprit.
Il lui offrit un sourire douloureux, articulant difficilement :

-Désolé... J'ai vraiment pas eu de chance sur ce coup là...

Elle n'arriva pas à répondre, il était en train de mourir et pourtant il souriait.

-Ne t'inquiète pas, ça va aller... Par contre ce qui risque de se passer dans peu de temps sera peu ragoutant... Je suis conscient que je te cause du souci... Mais pourrais-tu simplement sortir le temps que ça passe Tsuki ?

Elle le dévisagea, se demandant ce que cacher cette demande. Puis elle comprit, surement voulait-il lui épargné la vue de son corps qui ne tarderais pas à définitivement pourrir et se transformer en carcasse difforme, ses plaie rejetant déjà des flots de sangs.
Elle se leva à contrecœur, des larmes montant à ses yeux tandis qu'elle s'apprêtait à le quitter, le voyant respirer pour la dernière fois. Elle enregistra ce qui restait de son visage, surtout son sourire, jusque dans la mort il préférait afficher une image bienveillante et joviale.
Toute sa vie il avait fait ça, montrait un sourire radieux en toute situation, devant les pires monstres, devant les pires cas, rassurant toujours tout le monde. En cela même le poison censé pourrir même l'esprit de sa victime n'arrivait pas à le corrompre.

Elle essaya de quitter la pièce, se tenant à la poignée de la porte, tremblant comme une feuille. Soudain elle entendit la voix haché, mais calme de son père lui dire :

-Ne t'inquiète pas... Tout va bien se passer.

Tout va bien se passer... Oui mais pour qui ?... Surement pas pour lui en train d'agoniser. Surement voulait-il lui dire qu'elle n'aurait pas de soucis à se faire lorsqu'il mourrait... Après tout il se vantait souvent d'avoir des amis de partout.
Elle tourna la porte dont le cliquetis lui rappela le son de la guillotine. La mise à mort de son père.

Finalement elle passa la porte, la refermant sans jeter un dernier regard à son père de peur de voir son visage encore plus manger par l'essence de l'Okami.
Elle n'avait pas fait un pas qu'elle entendait déjà son père gémir... Pendant tout ce temps il avait refoulé sa douleur pour ne pas inquiéter sa fille... Mais maintenant il n'essayait plus que de faire le moins de bruit possible pour ne pas qu'elle l'entende.

Elle s'éloigna encore plus de la chambre, fuyant honteusement la pièce où se mourrait son père. Elle pria pour que son agonie soit rapide. Pourquoi devait-il tant souffrir ? Alors qu'il n'avait jamais rien fait de mal... Il ne souhaitait que vivre tranquillement, même s'il se portait au-delà du danger... Juste pour subvenir aux besoins de sa famille.

Ses pas la menèrent vers le salon, elle s'y écroula épuiser, ses jambes couper de leurs énergie. Elle se replia sur elle-même, cette pièce était la préférer de son père comme en témoignait les nombreuses affiches de diverse chose qu'il aimait ainsi qu'une photo se trouvant sur la table à manger, offert aux yeux de tous en mémoire de la majeur partie des personne présente dessus et faisant la fierté de son père.

Dessus on pouvait voir son père ainsi que d'autre personne, tous des amis celons lui, certain étant mort depuis longtemps. Il ne lui avait jamais dit réellement ce qu'ils faisaient à cette époque, remontant avant sa naissance et le mariage de son père, tout ce qu'il disait c'était : « Ouhla ! Ça date de longtemps ! Vois-tu Hanatsuki (c'était l'un des rares moments où il l'appelait par son prénom en entier), chacune des personnes sur cette photo étaient mes amis, mais la majeur partie ne sont hélas plus de ce monde... Dommage, tu les aurais bien aimés. ».
Elle se souvenait aussi que de temps à autre, il recevait une lettre du seul autre survivant de ce groupe, souvent accompagné de cadeau pour elle et son frère.

Son frère... Elle pensa amèrement à lui, il dormait à l'étage, loin de ce douté que pendant qu'il dort, son père meurt. Finalement ce n'était pas plus mal. Au moins il garderait l'image de son sourire et de son intégrité lorsqu'il lui avait dit au revoir en partant faire son travail.
Il n'aurait pas l'image de ses chaires putréfier et corrompus mise à l'air libre dans sa tête.
Il n'aurait pas l'image dénaturé de son père pour l'éternité gravé comme une malédiction, revenant à chaque fois qu'elle fermait les yeux.

Soudain elle sentit une pression énorme se explosait, la pliant en deux et manquant de réellement la faire rendre le contenue de son estomac, ne retenant le contenue acide que par un effort de volonté tandis qu'un cri qui ressemblait plus à de la rage qu'à de la douleur se faisait entendre de la chambre de son père. Surement le dernier stade de la malédiction avait commencé.

Elle se releva rapidement. Trop vite, elle fut prit de vertige mais elle s'avança quant même jusqu'à la porte de la chambre de son père, se retenant de vomir à chaque pas à cause de l'aura dérangeante s'en dégageant. Une fois devant la porte elle n'osa pas entré, un bruit dégoutant et des craquements sinistres lui donnaient l'impression qu'il était en train de littéralement se faire broyer dans sa chambre.

Elle n'osa pas ouvrir la porte, ayant peur de voir le massacre, elle se tourna alors à temps pour voir le visage tordus de peur de son frère.

-Qu... Qu'est ce qui se passe ?! C'est... C'est quoi ce bruit ?!! C'était quoi ce cris ?! Tsuki !

Tsuki s'avança, lui disant les larmes toujours aux yeux :

-Je t'expliquerais plus tard Allan, viens.

Allan était un petit garçon d'une dizaine d'année, son visage était encore lisse et remplis d'une innocence que rien ne semblait pouvoir entravé. Il portait l'attribut héréditaire familial aussi, ayant des yeux vairons, celui de droite étant de couleur bleu-vert opalin tandis que le second était de couleur or.
Il avait des cheveux noir aux reflets bleu marine un peu décoiffer et dont quelque mèche tombait devant son visage et encadrer ses mâchoires.
Sa peau était pale, faisant ressortir le moindre détail sur son corps dont une profonde griffure sur son visage verticale passant sur l'œil gauche ainsi qu'une seconde sur son épaule droite.
Il portait un tee-shirt noir avec un personnage à l'allure un peu hautaine et méprisante dont les yeux jaune rappelait celui de son frère, et portant comme nom « Tarot ». Tsuki savait pour avoir lue le manga d'où provenait ce personnage que c'était assez ironique pour Allan étant un enfant tout à fait innocent de portait un tee-shirt avec ce personnage. Et pour compléter son pyjama, il portait un caleçon noir large lui allant comme un short.

Il recula un peu, demandant en regardant la porte, le regard agrandit par la peur :

-Il a était mordus par un Okami ?

Elle le regarda, passant rapidement de l'étonnement à la résignation, comprenant par là qu'il l'avait sentit. Elle baissa les yeux en disant :

-Oui... Hélas. J'ai fait du mieux que j'ai put... Mais ça n'a pas suffit visiblement.

Une nouvelle vague d'aura funèbre se fit sentir, encore plus puissante et accompagner des bruit de meuble briser. Elle n'osa même plus regardait la porte et fuit avec son frère loin de la chambre.

Mais même dans le salon, on pouvait entendre les cris de son père et sentir l'aura corrompus de l'Okami qui le tuer à petit feu. Allan se blottit contre sa sœur, attendant comme elle, comme si c'était juste une tempête que ça passe.

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Sa respiration était faible, entrecouper par des soubresauts douloureux. Ses poumons le bruler et il peinait à maintenir en vie cette enveloppe déchiré par le poison coulant dans ses veine. Le privant de son énergie vitale et lui arrachant petit à petit chacune des parcelles de son humanité. Il sera les dents, ne voulant pas faire souffrir sa fille qui devait être blanche de peur.
Le simple fait de penser à sa fille le mena à penser aussi à son fils... Lui qui avait aussi subit cette douloureuse douleur mais avait eu la chance d'êtres sauver par sa compatibilité avec l'essence de l'Okami l'ayant mordus. Hélas c'était différent avec lui, l'essence était totalement incompatible et il était en train de se faire ronger par sa morsure.

Il s'étouffa lorsque du sang noir remonta dans sa gorge, toussant violement pour expulser le liquide noir. Sa gorge le bruler affreusement, son corps se déchirait et il ne sentait déjà plus aucun contact avec les monde réel, flottant dans un espace froid et noir. Le poison l'isoler pour le faire sombré dans le noir. Petit à petit il sentait la mort l'entourait de ses bras décharné malgré ses maigres tentatives pour lui résistait.

Dans cette espace froid il sentait son esprit sombrer, déjà sa mémoire se fragmenté, ses souvenir s'effaçait petit à petit. Le sourire de sa fille, les petites maladresses de son fils... Le visage de la femme qu'il aimait de tout son cœur... Tout ça était en train de lui filer entre les doigts sans qu'il puisse les retenir. Il voulait luttait, ne pas lâchait car il tenait à ses souvenir, mais il sentait quelque chose essayé de les lui prendre.

Il avait l'impression que son corps se déchirait, le poison venait surement d'encore faire de nouvelle blessure, nécrosant les plaies. Il verrouilla encore une fois sa mâchoire pour étouffé son cris, bien qu'il lui sembla dans cette espace clos que ça ne servit à rien.

Soudain, il sentit un contact chaud contre la peau de sa joue, ce qui le surprit, il essaya d'ouvrir ses yeux, mais tout ce qu'il voyait c'était le noir. Ses yeux aveugle ne voyant plus que les ténèbres. Il sentait tout de même ce contact qui à lui seul suffisait à lui rendre ses souvenirs, rendant cependant plus douloureux son agonie.
Soudain il entendit une voix douce et lumineuse soufflait :

-Comme ça dois faire mal... Désolé pour le retard...

Cette voix... Elle lui était familière, mais il n'arrivait pas à mettre le doigt dessus.

-Ne t'inquiète pas, je vais arrangé ça...

C'est à ce moment là qu'il sentit soudain tout son corps se contracter sous une violente douleur lui faisant totalement perdre pied avec la réalité.

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Elle sentit le poison contenue dans le sang noir qui s'écoulait des berges d'une des plaies lui brulait les mains. Celle-ci était appuyée sur les berges de la plaie originale, là où les crocs avaient mordus violement. Elle fronça les sourcils tandis que le poison s'attaquer à elle.

-Ça suffit, retourne là où es ta place, Kyuro ! C'est terminé, tu ne l'emmèneras pas avec toi !

Elle sentit le sceau formait par le poison circulant dans le corps de l'homme se déchainait, déchirant sa peau blanche et pur. Mais elle garda quand même ses mains sur la peau, soufflant : « C'est inutile » et en continuant de gardait ses mains sur la plaie en disant : « Que tu te repaisses de vie et de chaire fraiche libre à toi, mais tu ne l'emporteras pas. Lève les ténèbres dans lequel tu l'as plongé, j'éclairerais sa route. Alors lâche prise. ».

Soudain le sceau se brisa comme du verre, une puissante mais douce lumière s'échappant de ses doigts pour emplir la plaie qui se résorba petit à petit sous l'effet de la lumière. Gagnant chacune des plaies par les entailles formait partant de la morsure. La peau redevenant saine et intacte sous ses doigts.

Elle retira enfin ses mains dont le sang noir les salissant s'évapora en une fraction de seconde, signant la total disparition du poison qui s'était infiltré dans les vaines du jeune homme. Elle posa son regard sur celui-ci dont l'expression était déjà plus calme et qui dormait maintenant d'un sommeille de plomb sur le ventre.
Elle s'approcha un peu de son visage, le caressant doucement en disant :

-Tu sais que tu es ingérable ? Tu arrive à vivre une journée sans frôlait la mort ?

Elle dégagea une de ses mèches de cheveux brun légèrement grise qui tombait sur son visage. Puis elle déposa un petit baiser sur son front avant de reculer et de se relever en disant :

-Surtout que je ne vais plus pouvoir être là pour te protégé... Alors promet moi de ne plus te mettre dans les ennuies.

Bien entendus il ne pouvait lui répondre, affaiblis comme il l'était et totalement inconscient. Mais alors qu'elle se dématérialiser en petite étincelle de lumière, elle l'entendit soufflait faiblement :

-Merci...

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Après un dur moment qui sembla durait des siècles, l'aura et les cris disparurent soudainement, ne laissant que du silence briser par les claquements des dents des deux pauvres enfants. Ils restèrent encore pendant un moment hébété, jusqu'à ce que finalement Hanatsuki se lève en disant :

-Je dois au moins allait voir ce qu'il s'est passé...

A son grand étonnement, Allan lui emboita le pas, lui disant :

-Je viens avec toi ! Je ne peux pas te laisser toute seule !
-Mais ce que tu va voir risque d'être affreux...
-Et alors ?! Toi aussi tu vas le voir !

Elle n'osa pas insisté plus, sa volonté se retrouvant totalement broyait après ce qu'elle avait subit.

Une fois devant la porte de la chambre, elle appréhenda le sang noir qui avait coulé sous la porte, la faisant frémir. Mais elle poussa quand même la porte...

Elle s'était attendue à un spectacle macabre... Elle s'attendait au fond d'elle à voir la pièce dévasté, réduite en ruine avec au milieu le corps tordus de son père. Cependant ce qu'elle vit ne fut finalement qu'à moitié ce qu'elle pensait.

La pièce était totalement détruite, les murs creusaient de profonde cicatrice, les meubles réduits en miette et le sol couvert de sang noir. Et au milieu de ce spectacle macabre, allongé sur le ventre dans le lit, seul mobilier de la pièce intact, se trouvait son père.
Il n'avait plus la moindre blessure, toutes avaient disparus, même les marque sombre sur le visage de son père.

Il dormait paisiblement, sa respiration étaient lente et calme, comme s'il ne faisait que dormir depuis tout ce temps.
Soudain l'attention d'Allan fut interpelée par un objet, une plume blanche pure. Elle se trouvait juste à coté de son père, sur la table de nuit bancale dont un pied n'était plus. Sous cette plume se trouvait un morceau de papier où avait était griffonné d'une écriture noble et magnifique :

Allan, Hanatsuki, cette lettre s'adresse à vous.
J'ai soigné les blessures de Hakase et purifié son sang de chaque parcelle du poison de l'Okami qui coulait dans ses veines. Désolé de ne pas être venue vous rassurer, mais je n'avais vraiment pas le temps.
Donner lui à boire des tasse de thé aux feuille de Paopu, ça calmera la douleur et permettra de terminer la purification (et en plus je sais qu'il en raffole de ce fichu thé...).
Prenez soins de votre père, même si c'est un vrai boulet se trouvant un jour sur deux à l'article de la mort. Bon courage et n'oubliait pas de penser un peu à vous de temps à autre, parce que sinon vous êtes mal barrer pour vivre si vous lui consacrer tout votre temps.


Signé : Shiro'.

Ps : Ah oui au fait, ne vous inquiétait pas s'il débloque un peu pendant un certain temps, c'est le contrecoup.



-Shiro ?, fit Hanatsuki intrigué.
-Qui est-ce ?
-Je ne sais pas...




A suivre...

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Joyeux noel !!!
Encore merci à tous de me lire QwQ, vous me faite trop plaisirs, j'espère que vous le savez QwQ (même si peu d'entre vous commente ^^, les rares qui le font me vont droit aux cœurs) surtout qu'on a atteint la barre des 2000 vue !!!

En tout cas, j'espère que jusque là vous prenait plaisirs à lire ma fic ^^', même si je fais d'horrible fautes au point de mériter la mort Q_Q !! Je vous jure que je me relis en plus pour les traqués... Mais elles se cachent bien les malignes !!

Oui, je sais ce que certains vont me dire : KaHoru est quand même un beau salopard XD, il laisse le pauvre KaMiro tout seul en haut de la montagne à se les peler pour allait compter fleurette... Et en plus il abandonne la pauvre Chat toute seul au milieu du Bourg-Palette genre : « Demmerde toi ma grande ^^ ».
Y a pas à dire, qu'elle crétin - -'

Et Zalie aussi est un cas, putain mais qu'est ce qui lui prend à ce grand con de vouloir butter tout le monde !!??? Il a ses règles ou quoi ?!!!


Oui, j'aime pas Zalie et je pense que vous non plus vous ne l'aimez pas... Nan ?



Bref, j'espère que ce chapitre vous aura plus ^^

Ps : ET J'AI TOUJOURS PAS FOUTU CE QUE JE VOULAIS FAIRE AVEC UEKI !!!... Bon bah se sera pour le chapitre 26 XD !!! (Mais non Ueki je ne t'ai pas oublié... Mais bien sur que je t'aime bien... Par contre tu peux lâcher ce couteau de cuisine et cette lanterne ? On dirait un Tombery... Mais qu'est ce que tu fous ?!!! Non fait pas ça !!! Pitié !!! Non !!!! Je te jure que le prochain chapitre est pour toi ! ^^')