Le Solride de trainki

CHAPITRE 23 : Immolation.




Chat baissa les yeux sur la montre à gousset de Vanitas qu'elle tenait à la main, Elle se trouvait en se moment dans une des chambres de l'orphelinat du village que lui avait prêté la gérante en attendant que sa maison sois reconstruite. En effet il y avait de cela une semaine, une violente tempête d'une force totalement phénoménal avait éclaté et la maison de Chat c'était retrouvé dévaster, par chance Chat ne s'en était tirer qu'avec des égratignures, mais elle était triste à l'idée d'avoir perdus son foyer.
Elle tourna un peu la tête vers deux photo dans des cadres, L'un des rare objet ayant était sauver, l'une représentait Ueki, Liam, Kidi, Jack et elle tandis que la seconde représentait Kuro, Vanitas et Chat devant la maison, Vanitas avait absolument tenue à en faire une.
Elle prit justement celle-ci et la regarda d'un air mélancolique tandis que Kuro se décidait à la réchauffer un peu en se blottissant contre elle et en réclamant des câlins, Chat regardant un moment le félin noir et commençant à le caressait tandis que celui-ci ronronner, faisant rire la jeune fille qui retrouva un peu le morale.

Après cela, la gérante de l'orphelinat se trouvant un peu en retrait du village dans la forêt lui avait offert l'hospitalité, Chat avait essayé de refuser, mais Jack lui avait bien fait comprendre qu'il était hors de question qu'il lui offre une chambre à l'auberge, malgré les protestations de Kidi et Liam, ce qui avait donner une jolie bagarre.

L'orphelinat était réellement accueillant et les enfants était réellement bien traiter, recevant tout l'amour qu'il réclamait et vivant des jours paisible, Chat aimer bien cette endroit et aider un peu quand elle le pouvait lorsqu'elle avait du temps libre, malgré que la gérante lui ai dit qu'elle n'avait pas à s'inquiéter.

Chat reposa la photo et appuya sur le bouton de la montre, faisant raisonner une douce musique en soupirant d'aise, elle s'allongea sur son lit et ferma les yeux, se laissant bercer par la mélodie et les ronronnements du félin.



. Kidi était assez soucieux, il n'était pas rare que les habitants du village sois particulièrement fébriles et lance divers rumeurs sur les enfants de l'orphelinat, l'auberge ou Chat, mais là il sentait qu'ils étaient particulièrement excité et ça l'inquiétait un peu. Muda était partit depuis deux jours déjà, quittant ce monde pour retourner sur le siens, elle avait dit avoir terminé ce qu'elle devait faire ici.
Kidi était un peu attrister, la vieille femme et son tipi était un peu son refuge quand il se sentait mal, mais il se forçait toujours à garder bonne figure, il marchait jusqu'à l'orphelinat pour apporter quelque pâtisserie qu'il avait fait en trop pour Chat, il s'avait qu'elle adorer les petite tarte aux fraises qu'il faisait alors il lui en avait fait une demi-douzaine de tartelette… Et comme ça il pouvait s'assurer qu'elle allait bien…
Son paquet dans les mains, il était en train de s'engager sur le chemin de terre large menant à l'orphelinat, il vit rapidement quelque enfants se précipitait jusqu'à lui, tous avec des attribues étrange, en effet la plupart avait les yeux et les cheveux avec des couleurs étrange, ce qui faisait que les villageois n'acceptais que peu les pauvre enfants.
Quelques uns vinrent vers lui en sautillant de joie, tournant autour du jeune homme en lui parlant en même temps, créant un brouhaha incompréhensible.

-Ohla ! Du calme ! Je comprends rien !, fit Kidi de sa voix sévère.
-Salut Kidi, fit un jeune garçon aux yeux bleu/vert et aux pupilles verticaux avec des cheveux bleu électrique, coiffé en pic, souriant à Kidi. C'est quoi ce que tu porte ?!
-Je parie que c'est des tartes aux fraises ! fit une jeune fille aux yeux et cheveux rose après avoir reniflé un peu l'air.
-Oui, et elles sont pour Chat, donc interdiction d'y toucher ET de lui en demander, sinon elle vous les donnera et en aura aucune pour elle !
-Mais voyons Kidi, tu nous prends pour qui ?, fit un gamin d'un air nonchalant aux cheveux jaune et aux yeux rouge.

Kidi soupira en continuant d'avancer, accompagner par une véritable armée de garnement essayant de le convaincre de leurs donner les précieuses douceurs, mais c'était sans compter sur la volonté de fer de Kidi et sur sa fermeté.
Finalement après que Kidi ai perdus son sang-froid légendaire et ai menacé les innocentes têtes blonde (… Quoi ?! Comment ça il n'y en a aucun qui est blond ?! J'en ai rien à battre moi !) de les transforme en surgelé façon Picard ou Findus (aux choix) et donc avoir retrouvé son calme et son chemins, il frappa doucement à la porte de la chambre de Chat en disant :

-Chat !... Tu es là ?
-Oui, oui, fit la voix de la jeune fille derrière la porte qui vint lui ouvrir.

C'est une Chat légèrement ensommeillait et décoiffait, portant une robe de chambre rouge qui lui ouvrit, ce qui fit hausser un sourcil à Kidi qui lui demanda :

-Heu… Je dérange ? Tu dormais ?
-Non, non, (fit-elle en riant un peu et en ajoutant), Je me suis réveillait il n'y a pas longtemps et je me suis rendormis sans faire exprès, fit-elle en rougissant un peu et en s'effaçant, Entre je t'en pris.
-Merci, fit Kidi en entrant.

Il remarqua immédiatement que Kuro venait de s'approprier l'oreiller laisser sans surveillance et lançant un regard de défit à quiconque voudrais lui volait sa place, ce qui aurait put faire rire Kidi… Si seulement il n'était pas aussi froid qu'un congélateur de chez Picard.

Il posa la boite blanche sur le bureau tandis que Chat refermait la porte, elle regarda la boite, sentant légèrement l'odeur sucrée et demanda intriguer :

-C'est quoi ?
-Des mini-tarte aux fraises, il se trouve que j'en ai fait un peu trop du coup je t'en fais cadeau, fit Kidi sur un ton désintéresser.

Chat se mit à violement rougir, resserrant encore plus sa prise sur l'objet qu'elle tenait à la main et que Kidi remarqua seulement maintenant, une montre à gousset en or avec une longue chaine dans le même métal et graver de symbole noble et délicats… Il était sur de l'avoir déjà vu quelque part… Mais où ?

Kidi s'assit sur le lit (ou plutôt il se jeta sur le lit en faisant sauter Kuro qui eu pour réaction de lui sauter dessus et lui mordre l'épaule, mais il l'ignora totalement) et répliqua :

-Sinon comment vas-tu Chat ?

Chat détourna légèrement le regard un moment en disant timidement :

-Bien, j'ai juste un peu de mal à dormir, mais sinon je vais bien.

Kidi lui jeta un regard suspicieux et inquiet en disant :

-Pourquoi ?
-Depuis peu, je fais des rêves étranges, avoua Chat.

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Moi : *tout content*

Soso : Putain… Il va nous la sortir combien de fois celle-là ?

Arma : Autant de fois qu'il pourra nous la sortir *haussement d'épaule*

Moi : Toi tu retourne dans la fic ! è_é !

Arma : Bah pour le moment t'as pas besoins de moi, alors j'en profite ^^

Moi : Me contredit pas !!!

Prusse : VOS GUEULE !!!! Bon je relance la fic - -'.

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-Ah bon ?, fit Kidi.
-Oui, je ne sais pas pourquoi, mais je fais toujours le même rêve.
-Et qu'est ce qui te trouble dedans ?
-Et bien je rêve que les villageois s'attaque à l'orphelinat et le brule en disant que les résident son des démons et exécute tout le monde et qu'à ce moment là Ueki arrive et découvre les ruine de l'orphelinat couvert de cadavre et qu'il perd tout contrôle de lui… Et qu'à cause de ça… Il extermine tout les villageois sans exception mais que malgré tout sa rage n'est pas éteinte et qu'il continue à s'en prendre à toutes les personnes qu'il croise…

Elle se mit subitement à pleurer, Kidi réagis alors instinctivement et la pris dans ses bras pour la réconforter, malgré qu'il savait que sa peau était glacer en permanence, mais Chat ne sembla pas gêner par ce contact froid et se lova contre lui en disant :

-J'ai peur que ça arrive… Il avait l'air si réel ce rêve…

Kidi continuait de la garder contre lui, sont regard teintait d'une tristesse profonde car malgré lui il se souvenait de quelque chose que Chat avait oublié… La raison pour laquelle Ueki avait amené Chat sur un monde si peu accueillant alors qu'il en existait beaucoup d'autres tout aussi petit et paisible, mais plus accueillant.
La même raison qui avait poussé Ueki à vivre quelques années ici.
Dans son esprit il n'arrivait pas à réfrénait une sombre pensée qui sonnait comme une sentence et un requiem : « C'est tout simplement parce que tu à vue le future… », Il l'étreignit un peu et se força à prendre un ton doux en disant :

-Mais ce n'est qu'un rêve, rassure toi.

Mais dans son esprit il se promit d'en parler à Jack et Liam dés qu'il rentrerait, il ne savait pas quand ça se réaliserais et il priait de tout son êtres (Un dieu qui prie ? C'est bizarre…) pour avoir le temps d'empêcher cette sombre vision de se réaliser.
Finalement Kidi décida qu'il ferais mieux de remonter le morale de Chat et contre toute attente le petit félin de celle-ci anticipa cette déscision en prenant le paquet et en l'amenant à Kidi qui en sortit une des tarte, dégageant un peu Chat en lui disant :

-Maintenant que l'abcès est crever, mange moi une de ces tarte, que je sois sur que tu en mange au moins une, parce que tu as une armée de morfale qui va te sauter dessus dehors pour te les prendre.

Chat eu un petit rire clair en essuyant une de ses larmes et en prenant la pâtisserie, répliquant sur un ton faussement réprobateur :

-Tu n'aime décidément pas ces pauvres enfants.
-Je te les aurais déjà congelé si ça ne tenait qu'à moi, marmonna Kidi.
-Tu ressemble à Jack en disant ça, (fit Chat en prenant une bouché de la pâtisserie et en disant : ) Elle est très bonne.
-Merci, et je pense aussi que Jack déteint sur moi… Ainsi que Liam.

Il se leva un peu, lissant sa chemise (et remarquant la splendide tache de larmes couvrant celle-ci… Non de lui, êtres réduit à l'état de mouchoir pour une jeune fille faisant des cauchemars…), il se tourna un peu en disant :

-Toujours est-il que le vieux va surement crier si je ne suis pas là à l'heure, je vais devoir partir.
-D'accord Kidi, à plus tard, fit Chat en continuant de manger sa tarte et en secouant la main.

Kidi se tourna alors complètement et sortit de la chambre, mais à peine avait-il quitter l'enceinte de l'orphelinat qu'il se mit soudain à courir comme un malade, traversant en coup de vent le village et regagnant l'auberge dont-il ferma la porte violement en disant :

-Jack !!! Liam !!! Faut qu'on parle !!! C'est urgent !!
-ENFANT D'PUTAIN !!! JE T'AI DIT CENT FOIS DE PAS CLAQUER CETTE SALOPERIE DE PORTE !!!!, fit la douce voix de Jack qui descendait les escaliers.

Liam quand à elle sortit de la cuisine en disant :

-C'est rare de te voir aussi alarmé.

Inconsciemment elle sentait dans le regard de glace de son ami qu'il était réellement alarmé.

-Qu'est ce qui t'arrive Kidi ?! T'as vu un fantôme ?
-Très spirituel ! Soupira le jeune homme, non, c'est à propos de Chat.
-Bah quoi ?, fit Jack.
-Elle a eu une nouvelle vision… Elle a vu que les villageois allait s'en prendre à l'orphelinat et exterminer tout ses habitant, et bien entendus le destin voudra qu'Ueki arrivera trop tard et verra les ruine et les cadavres, ce qui le rendra totalement fou de rage et hors de contrôle…

Kidi repris sa respiration, le souffle lui manquant en disant :

-Et donc accessoirement j'ai pensé que ça pourrait surement êtres UN cas d'extrême urgence… Donc tu m'excuseras pour la porte, fit-il en fusillant Jack du regard, et ma mère est ce qu'il y a de plus respectable…

Il lui sembla entendre Liam étouffé un rire, mais il n'en tint pas compte, se dirigeant vers les escaliers avec Liam pour monter dans le bureau de Jack et discutait de tout cela au calme (Dans la mesure où il y aura Kidi le congélateur sur patte, Jack et son répertoire d'insulte et Liam et ses tendance à se foutre de la gueule de tout le monde…).





. Il toussa violement, un peu de sang noir s'égouttant sur son menton tandis qu'il reprenait son souffle avec l'air vicier de sa geôle. Il ouvrit les yeux, des yeux rouge comme le sang et brillant légèrement dans le noir, fixant la porte de sa cellule, il se trouvait enchainer de toute part par de multiple chaine, et au centre d'un pentacle réaliser à la craie blanche, le tout dans une immense pièce de brique grise très haute et avec de fine meurtrière n'amenant aucune lumière et que peu d'air frais.

Un endroit qu'on lui avait assigné pour restait enfermer jusqu'à ce qu'on ait besoins de lui : « Le démon de Kelka », une créature à l'apparence humaine, mais cachant en elle un terrible fléau dont la passe était couverte du sang de ses ennemie, tous le craignait maintenant, dés qu'il entrer dans l'arène, les gens retenait leurs souffle, craignant presque qu'il s'en prenne à eux malgré les multiple protection qui les isolé de ses crocs, et pourtant l'envie de leurs arracher leurs chaire était plus que prenante.
Toutes ces personnes qui criaient de joie après qu'il ait encore une fois dépecer son adversaire, toutes ces personnes dont l'odeur de leurs chaires lui retourner le ventre, affamer d'une faim insatiable que le peu de chaire insipide qu'il arrivait à avaler de ses adversaires ne comblé pas.

Son apparence en elle-même était déjà évocatrice, il avait une peau très pale, des cheveux noir d'encre et des yeux rouge, ses dent était pointue et on voyait ses canine ressortir dés qu'il ouvrait la bouche ou souriait… Bien que dans son esprit, il n'avait jamais souris, il ne se souvenait même pas comment exécutait ce rictus qu'arborait son « Maitre » la plupart du temps dés qu'il revenait après avoir abattu sa cible.
Il semblait jeune aussi, ressemblant à un adolescent anémique, mais ce n'était qu'une façade et ça tout le monde le savait depuis le temps.

Il bougea un peu, malgré toutes les chaines, ses cotes lui faisaient mal, et pour cause, son dernier adversaire avait réussis à lui administrer un violent coup de griffe dans les cotes, il n'avait pas bronché sur le coup, l'essence de l'aberration dormant en lui ayant déjà commençait à régénérait les tissus dés que son adversaire avait retiré ses griffe en tombant, faucher par ses crocs.
Mais il n'avait pas eu le temps de totalement se soigner et son « Maitre » lui avait rapidement mis tout ses scellés et ses chaines, entravant totalement la chose dormant en lui et qui jusque là le garder de la douleur, ce qui lui fit un choc lorsqu'il la ressentit après tant de temps.

Il entendit le cliquetis de la lourde porte couverte de scellé, on venait enfin le libéré, il allait enfin pouvoir récupérer de cette satané blessure en rentrant dans l'arène, cependant il reconnue la voix du gardien de sa cellule s'exclamais :

-J'aurais jamais crus voir ça un jour ! Quelqu'un assez fou pour se portez volontaire !

Il vit pénétrait alors dans sa prison, non pas son « Maitre » ni l'un de ses gardien, mais un parfait inconnue, un homme aux cheveux gris bruns ébouriffer et aux yeux vairon, un bleu et un bleu/vert, portant une chemise noir et un pantalon gris ainsi qu'une blouse vaguement rapiécer et à manche courte, il ne semblait pas dépasser la trentaine d'année.
Il avait aussi une sacoche kaki avec une petite crois rouge dessus, il se tourna alors vers la porte en disant :

-Je fais mon boulot je te signale, j'allais pas passez après la fortune que m'offrais Don Scaviko pour m'occuper de sa bestiole !

Il sursauta en entendant cela, il avait bien entendus ? Il allait « s'occuper » de lui ?! Il savait pour avoir entendus son « Maitre » dire souvent : « Allez, vas t'occuper de ta cible, et rabat le claquet à ton adversaire » que chez lui le terme s'occuper voulait souvent dire « éliminé »… Ce qui voulait dire que cet homme était là pour le tuer, profitant de la faiblesse de son état et des nombreux scellés… C'est vrai que l'occasion était belle de se débarrasser de lui pendant qu'il était faible. Après tout il était tellement dangereux que même son « Maitre » devait avoir peur de lui.

Il aurait put se sentir trahit ou bien réjouie de voir la mort arriver enfin, mais pour lui, un instinct lui dicter de ne pas se laisser éliminé, cependant à son grand étonnement, là où une personne normal aurait prit des précautions pour s'approcher de lui, et y allait doucement, son « Bourreau » marcha d'un pas rapide vers lui, ne semblant pas intimider le moins du monde par l'odeur de mort et l'essence de l'aberration contenue dans cette geôle obscure.

-Ahlala… Ce Don Scaviko… Il aurait put se contenté d'attendre quelque seconde le temps que l'Okami contenue en toi répare cette blessure, mais non ! Il t'a remis tes fers et à préféré risquer la pomme d'un de ses médecin/vétérinaire spécialiste en Okami et autres bestiole… J'ai vraiment un karma gratiner, se plaignit l'homme en se baissant face au garçon sans même avoir peur.

Il porta la main à sa sacoche, plongeant pendant se temps le regard dans celui d'assassin de la chose se trouvant face à lui. Pour le garçon, voir quelqu'un de si peu inquiet à l'idée d'êtres à coté de lui et surtout soutenant son regard était déroutant… Voir déroutant.

Il le vit sortir une lampe torche et l'allumer en grommelant :

-Il aurait put faire installer des lumières ici cette abrutit, je dois tout faire à la lampe torche, c'est malin !

Il passa la lampe sur la créature face à lui voyant un peu mieux ses détail ainsi que ses habit, c'est fou comme il était maigre, ce que nota l'homme en disant :

-Tsss ! Et c'est ça que craigne les parieurs ? Moi je ne vois pas ce qu'il y a d'effrayant chez un gamin qui dois pas dépasser les dix-sept ans, maigre et anémique… J'en viendrais presque à croire qu'en fait les combats d'arène c'est du chiquer et qu'on utilise des gamin humain et innocent à qui on a fait des expériences pour les transformer en monstre… Et encore, les monstres c'est ceux qui font de ces gamins ça…

Il ne semblait même pas remarquer qu'il y avait quelqu'un d'autres ici en fait, considérant plus le garçon comme une chose banal que comme une créature qui ferait peur, il donnait même l'impression de croire que le garçon ne l'entendait pas.
Sans autres forme de procès, il souleva le haut du garçon, ce contact faisant tressaillir et réagir enfin de garçon qui grogna et recula rapidement, lançant un regard meurtrier à l'individu qui le sermonna en se rapprochant et en disant :

-Hey ! Me mord pas ! J'ai encore besoins de mes deux mains pour travailler, laisse moi au moins terminer tes soins avant de m'arracher un morceau, comme ça avec la paye je peux me faire soigner !
-Eloigne-toi !! Cria le garçon menaçant, sa voix étant chargé d'une consonance sombre et ténébreuse, la rendant menaçante et obscure.
-Hors de question ! Moi je dois te soigner, donc tu la fermes, tu me laisse soigner cette saloperie de griffure, tu te tais et je me casse après avoir fait mon boulot ! Non mais ! C'est pas un gamin qui va faire sa loi !!!

Un gamin ? Cet homme venait de le qualifier de gamin ? Alors que pourtant il montrait clairement qu'il savait que la chose en face de lui était censé êtres une abomination des arènes, une créature combattant jusqu'à la mort et dont la victoire n'était totale qu'après qu'il ait tué impitoyablement son adversaire. Cet homme venait de le qualifier d'un terme que personne n'avait osez lui offrir, un terme trop doux pour lui et pourtant…

L'homme nota le regard emplis de confusion de son « patient », profitant de l'ouverture qu'elle lui offrait pour sortir un rouleaux de bandage et s'approchait, ce coup-ci réussissant à pouvoir soulevait le haut du garçon sans qu'il bouge à force de menace en l'air et de grommellement, le garçon cédant en sachant qu'il n'aurait la paix que quand cet homme aurait terminer sa besogne… Ou s'il le tuer…
Pourquoi n'avait-il pas encore envisagé cette alternative ? C'était pourtant banal, alors pourquoi ne pas l'avoir envisagé pour cet homme qui piétinait délibérément sa tranquillité fragile ?

A son grand étonnement, après avoir désinfecté la plaie suintant de pue et de sang sécher, et pendant qu'il réaliser un bandage somme toute assez professionnelle, le docteur commença à parler d'un sujet totalement hors de la situation en disant :

-Franchement, tu sais que tu es vraiment têtu toi ? Quand même, on dirait presque ma fille ! Elle doit êtres aussi âgée que toi, elle vient d'avoir seize ans, et elle à un sale caractère j'te dis pas, elle m'en fait baver !

Le garçon fit les yeux rond étonné, il était vraiment en présence d'une personne pas du tout normal pour osez comparer sa fille à une abomination, il la dénigrait, ce n'était pas possible, qui pourrait bien osez dire ça de son enfant ? Osez dire qu'elle était comme un monstre tel que le garçon ? Cependant il continua :

-D'ailleurs elle aussi à tendance à me dire de m'éloigner… Même si c'est plutôt quand je rentre du travaille couvert de sang et que je veux lui faire la bise, fit-il en riant tout seul.

Un rire clair, chaleureux et joyeux, pas du tout celui diabolique et froid de son « Maitre », l'homme continua sur sa lancée en disant :

-Enfin, je suis sur que tu t'entendrais bien avec elle, entre sale caractère vous feriez la pair.

Là s'en fut trop pour le garçon qui ne put s'empêchait de laisser s'échapper un :

-Pardon ?!
-Allez, te vexe pas !, fit-il en ébouriffant les cheveux du jeune garçon s'en aucune peur, elle est pas si terrible que ça ma fille, c'est pas si dégradant quand même d'êtres comparer à elle… Si ?

Le garçon le regarda bouche bée (offrant sa collection de dents meurtrière à la vue de son interlocuteur qui terminait les bandages), il ne rêvait pas, il était réellement en train de le traiter à égale avec lui, et surtout, il lui demander de ne pas se vexer pour ça ?! Mais ce n'était pas possible qu'il soit réellement au courant de l'identité de la personne face à lui. Jamais personne n'aurait était si peu inquiéter par la présence de la bête la plus puissante et sanguinaire des arènes de Kelka.
Personne n'aurais touché aussi facilement et sans crainte un monstre comme lui, allant même jusqu'à se montrer familier avec lui.

-Au fait, tu t'appelle comment ?, fit l'homme après avoir fait un nœud à son bandage et avoir terminé les soins.
-Quoi ?
-Ton nom, N.O.M ! Tu sais le truc par lequel on t'appelle…
-« Le monstre » ?
-Nan ça c'est un surnom idiot, je parle de ce qui est marque sur ta fiche d'identité… Pour peu que tu en ai eu une…

Il y eu un petit silence avant que finalement la créature réponde :

-KyuRo, c'est le diminutif de mon vrai nom : Kyuhiro.
-Et bien voilà, fit satisfait le jeune docteur en notant quelque chose sur un papier. Maintenant je vais enfin pouvoir te laisser tranquille…

Il se releva en s'étirant un peu avant de dire d'un air triste :

-Essaye de ne plus te blesser la prochaine fois, ça m'évitera de revenir te les briser, compris ?

KyuRo lui servit un regard courroucé en grognant, ce qui ne fit pas plus d'effet que les autres fois et même exaspéras le docteur qui lui lança un regard ennuyait en disant :

-Oui j'ai compris je me la ferme.

Il fit demi-tour et fit trois pas avant de dire :

-Sinon t'es sur que tu veux pas que je te présente ma fille ?

La suite fut rapide et se partageant entre le comique et le tragique puisque KyuRo excédait sauta littéralement sur le jeune homme et le mordit au bras, celui-ci secouant justement celui-ci pour l'en décrocher en criant « AH PUTAIN !!! Il m'a mordus le bras !! C'est pas possible on les nourrit pas ou quoi ?!! », Finalement réussissant à le décrocher au prix d'un effort surhumain et quittant la geôle le bras en sang et en maugréant sur l'ingratitude des jeunes de nos jour…




. Une fois dehors, et après avoir bandé son bras et désinfecter la plaie, le jeune docteur remonta la rue en titubant, ressentant déjà les effets dut à la morsure et se dépêchant de retourner chez lui, en effet les morsures des Okami avait pour sale manie de faire s'infiltrer l'essence de l'Okami dans la victime comme un poison et pouvait rapidement tuer.
Il sentait déjà ses os et ses muscles s'atrophier, et sa vue se troubler, fort heureusement pour lui, il réussit à parcourir les rue quasi-déserte de la ville pour remonter jusque dans son quartier se trouvant très loin tout de même.

Après une demi-heure qui lui parurent éternel, il pénétra enfin dans son appartement minuscule, sa fille levant les yeux vers lui dans le but de le sermonnait lorsqu'elle vit le teint livide de son père et le bandage à son bras, comprenant sans même avoir à le deviner qu'il avait était mordus par un Okami, elle savait qu'il était un des rares docteurs clandestin à accepter de s'occuper des créatures d'arène.

Elle vit ses yeux se révulser tandis qu'il tombait par terre, elle le rattrapa in extremis, l'amenant rapidement sur le lit et le posant dessus, retirant le bandage pour voir la plaie déjà infecter.

Elle n'hésita pas une seconde et prit un scalpel, ouvrant deux large blessure en suivant les pointillés laisser par les dents (la nature est bien faite non ?) ayant profondément pénétrait la chaire.

Une fois fait, elle plongea la main dans la blessure pour en ressortir un morceau noircis et tuméfier, versant ensuite une substance semblable à de l'eau, mais qui fumât sur la blessure la faisant un peu bruler, mais stoppant le poison de l'Okami, elle refermât alors rapidement la plaie avec du fil, regardant son père totalement livide.

Elle en vint à se demander ce qui avait bien put lui arriver pour qu'il soit mordus par un Okami, elle le savait imprudent et savait qu'il finirait un jour par tomber sur un Okami qui craquerais, mais c'était assez effrayant tout de même.

Son cœur se soulagea tout de même un peu lorsque la respiration de son père devint un peu plus calme et que son teint cireux s'effaça un peu, rendant un peu de couleur à sa peau, la jeune fille resta alors durant toute la nuit en tenant la mains de son père et en disant :

-Mais qu'elle crétin ! Pourquoi a-t-il fait cela ?!





. Pendant ce temps, dans sa geôle, le jeune garçon regrettait son geste, il savait que sa morsure serait surement fatal pour le docteur et pour la première fois, il se sentait coupable, après tout lui il l'avait soigné et malgré son ton rude, il avait était plus sympathique que tout les autres réunis, et voilà comment il l'avait remercié…

Des larmes commencèrent à couler sur ses joue, l'étonnent un peu lui qui pensais que plus jamais il ne pourrait pleurer, et pourtant c'était le cas, il passa sa main couverte de sang et de poussière sur son visage, voulant les essuyés, mais ne faisant que se salir encore plus.

Quelque part au fond de son esprit, il sentait pour la première fois réellement la solitude de son cachot, la présence de cette homme n'était finalement pas désagréable, et maintenant seulement il s'en rendait compte, en échange de ce moment simple, mais qui était une des meilleures choses qui sois arrivé au jeune garçon, celui-ci l'avait mordus, le condamnant sois à une mort lente et douloureuse, sois à une agonie douloureuse éternel dans le meilleurs des cas.

Petit à petit, il se replia sur lui-même dans un coin de sa prison, pleurant des larmes intarissable plié totalement, les genoux devant ses yeux, pleurant en sachant qu'il avait condamné cet homme à un fléau…







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Pfiou ! Je sais que ça peux paraitre inutile, mais je voulais absolument placer ces quelques base pour la suite ^^, surtout que ça amèneras ensuite son lot d'action et de baston bien sentit


Bref, je suis désolé, mais normalement, j'aurais du mettre aussi un peu d'avancement sur ce que fout Vanitas pendant ce temps, cependant, ça à prit beaucoup plus de temps que prévus pour faire ce chapitre, et il fait déjà dix pages XD.
Du coup le prochain chapitre sera ENTIEREMENT consacré à Vanitas ^^.
Voilà ^^.

Encore une fois je suis terriblement désolé en pensant à toute les fautes que je fais, et je vous promets que je les cherche activement, j'ai même engagé des tueurs à gage pour les traquer et les exterminer ^^

Daleks : EXTERMINATE !!!!



Ps : Vous avez aimé ? Vous n'avez pas aimé ? Laissez moi une review avec vos impression :3