Le Solride de trainki

CHAPITRE 19 : Allez je m'casse.







Vanitas se trouvait dans la clairière où se trouvait le tipi de Muda, seul Chat et l'ancêtre était présente, Vanitas était un peu en retrait, finissant de se préparer mentalement à créée un portail, se serais sa première fois et il fallait avouer qu'il stresser un peu, il prit une inspiration puis revint vers les deux femmes. L'air serein il demanda :

-Comment je procède ?
-Je ne peux pas beaucoup t'aidait, chacun à sa façon particulière de créée un portail, je sais simplement que ton épée te sera nécessaire.
-Ce qui veut dire que vous penser que je peux la rappeler ?
-Bien sur, fit joyeusement Muda.

Vanitas tandis la main calmement, essayant de faire revenir à lui son épée, il sentit l'afflux d'énergie remontait depuis son cœur jusque dans son bras et sa mains, une décharge lumineuse sortant de sa mains et faisant apparaitre dans une gerbe d'étincelle une épée qui émit un petit tintement.
Vanitas s'étonna un peu, son apparence avait changé, totalement pour ainsi dire, elle ressemblait maintenant à un sabre à la lame irisé noir avec des gravures rouge, il y avait toujours la protection, mais maintenant elle était basique et couverte elle aussi de rune, il resserra sa poigne sur son arme et la leva, un mince rayon frappant l'ai comme si une porte invisible se trouvait là et ouvrant un passage.

Il s'approcha du passage en souriant et se tourna vers Chat en disant :

-Au revoir, et à bientôt…

Puis il entra dans le passage qui se referma, elles restèrent un moment à regardait l'endroit où se trouvait Vanitas l'instant d'avant jusqu'à ce que Muda dise :

-Ne t'inquiète pas, il est bien accompagner.

Elle lui frotta le dos tendrement tandis qu'elle levait vers l'ancêtre un regard interrogateur.



. Vanitas avancé d'un peu tranquille dans le passage entre les mondes, il avancer sur un chemin blanc brillant entouré comme par des énergies multicolore, ce spectacle émerveillant Vanitas qui marchait tranquillement, cependant après une quinzaine de minute de marche il constata quelque chose :

-J'ai ouvert le passage… Mais je ne lui ai pas donné de sortie en fait… Je vais faire comment ?

Il resta un moment à réfléchir, il décida finalement qu'il devrait continuer en réfléchissant à ce problème, il ferma les yeux finalement en essayant de percevoir une énergie familière qui aurais put êtres celle d'un endroit sur terre.

Instinctivement, il fit apparaitre son épée et continua, jusqu'à ce qu'il sente la lame vibrer, il la regarda un moment et la vit luire d'une douce lumière, prenant ceci comme un signe il prit la lame et l'enfonça dans les énergie à droite, la tournant d'un quart de tour comme une clef et ouvrant un passage.

Mais à peine celui-ci ouvert, les énergies se déchainèrent et il fut expulser par ce troue violement, atterrissant dans une matière qui lui fit penser à du sable, il resta pendant un moment allonger sur le sable avant de se relever et de cracher les petit grains qui était entrait dans sa bouche, il regarda à droite et à gauche pour finalement voir son épée planter un peu à droite.

Il la sortit du sable puis regarda autour de lui… Il se trouvait dans une immense étendus de sable, semblable au désert et aucun point d'eau ou signe de civilisation… Il était mal barrer, d'autant plus qu'il sentait déjà la chaleur lui mordre la peau, contrastant avec le froid hivernal de l'ile féline.

-Putain ! C'est bien ma veine !! Pourquoi tu ma menait là ?! Fit-il énerver à son épée, et en plus je parle à mon épée !! J'ai déjà perdus la boulle après seulement trois minutes dans le désert…

Il commença à marcher, économisant le maximum de force, il escalada une des d'une pour avoir une plus grande vue d'ensemble, visiblement il devait être le matin, le soleil se levant tranquillement sur le désert… Bien sa veine, il regarda pendant longtemps essayant de voir une quelconque présence d'eau ou de civilisation dans ce désert.

Ne voyant rien il essaya d'ouvrir un nouveau passage, mais à chaque fois le portail le repoussait et s'effondrais, il préféra ménager ses force et commença à marcher dans la direction qu'avait pris un couple d'oiseau, les oiseaux étant un moyen de trouver un point d'eau, il essaya donc de les suivre, mais les perdit rapidement de vu.

Il continua pendant un moment son escapade, marchant de plus en plus difficilement à cause du sable et la gorge sèche, il avait vraiment mal à la gorge à force d'avaler de l'air brulant et en plus ses yeux devenait de plus en plus sec, il toussota un peu pendant un moment avant de dire :

-Putain ! Je déteste déjà les déserts.

Il se remit ensuite en route, s'aidant de son épée de temps à autre comme appuie pour grimper sur les dunes, essayant de suivre la piste des oiseaux, mais difficile pour lui maintenant de voir avec le soleil de plombs qui l'obligeait à plissait les yeux pour ne pas se bruler la rétine.



. Liz était seul dans sa maison, elle essayait de se détendre devant une émission de télé stupide, soupirant lassé lorsqu'elle vit une rediffusion pour la énième fois d'un programme à la qualité douteuse, elle zappa sur une autres chaine et tomba soudain sur le journal TV.

-Bonjour, bienvenue sur TV news Hoen, aujourd'hui nous recevons le professeur Seko qui a accepté de venir parler avec nous sur le célèbre écrivain et voyageur Trainki, en effet des archéologues ont retrouvé de nouveau ouvrage de cet homme mystérieux. Mais pour ceux qui ne le connaitrait pas, Monsieur Seko, voudriez vous bien nous parler de lui ?
-Bien sur, fit le professeur.

Sorbier était un homme devant avoir la quarantaine, il était brun, avec des cheveux assez bien coiffer, il avait aussi une barbe qui lui donnait un air ouvert et le rendait encore plus sympathique, il était doter d'un embonpoint… visible et portait un tee-shirt bleu marine au dessous de sa blouse de scientifique ainsi qu'un short de treillis.

-Tout d'abord, il faut savoir que Trainki fut un éminent voyageur et chercheur toute sa vie, malgré qu'il soit décédé jeune, ses recherche on grandement fait avancer la science, bien que certains de ses ouvrages contiennent des propos incohérent, comme par exemple son journal de voyage N°4 qui parle à certain moment de créature totalement inconnue et n'étant pas des pokémons. D'ailleurs ce livre est très fragile et rare puisqu'il est unique et à était exposer dans le musée de Nenucrique, c'est une pièce inestimable.
-Et pouvait vous nous dire ce qu'on retrouvait ces archéologues ?
-Ils ont retrouvait un ouvrage qui lui aussi était demeurait disparus, j'ai moi-même put y jeter un œil et j'avoue ne pas comprendre ce qu'il y a marqué dedans, manifestement c'est un recueille de poème tournant autour de divers divinité, j'ai d'ailleurs pris note d'un de ses verset.
-Ah bon ?
-Oui, le voici, fit-il en sortant la feuille.

Il se racla un peu la gorge puis déclama d'une voix avec des intonations de prière :

-« Lorsque la perte de son roi mènera l'univers à sa perte, il reviendra des cieux tourmenté. Des ailes de lumière et d'ombre ce déploieront au loin. Il nous guidera vers la félicité de son don éternel . », Cette ode est écrite en toute première page, je ne sais pas réellement qui il décrit dans ce verset, mais visiblement ça à un rapport avec la légende de « la chute du Hearwor ».
-C'est assez étrange, qu'elle est le titre de ce recueille ?
-Hélas la couverture était pourrie et le cuir s'est briser lorsqu'on là découvert, l'encre avait déjà disparus depuis.

Liz continua de regardait le débat d'un air morne, elle se sentait un peu fatigué… Après tout qui ne se sentiraient pas vide après la perte d'un autre de ses enfants ? Cela faisait deux semaine que Lagune était mort, mais c'était toujours dur de l'accepter.


Le temps passa, s'étiolant lentement, jusqu'à ce que quelqu'un toque à la porte, elle se leva à contrecœur et alla jusqu'à la porte, elle ouvrit et vit sur le pas de celle-ci Karter les joue légèrement rosie qui la regardait d'un regard peinait, elle le salua dans la chaleur de l'après-midi :

-Bonjour Karter…
-Bonjour, je dérange ?
-Non, ne t'inquiète pas.

Elle s'écarta le laissant entré, elle nota que pour une fois, il ne portait pas son arme sur lui, chose assez étonnante, lorsqu'elle referma la porte il se tourna vers elle d'un air désolé et pris la parole sur un ton désolé :

-Je suis désolé de venir t'importuné à cette heure, je voulais simplement venir en personne prendre des nouvelles de Nuko…
-Elle dort encore, elle a encore du mal à accepter la mort de Lagune… C'était déjà dure pour elle d'apprendre la disparition de Scott… Fit-elle en continuant d'appeler son fils adoptif par le nom qu'elle lui avait donné.
-Je comprends… Je pense que je vais partir, je ne veux pas déranger.

Il fit mine de s'approcher de la porte, mais Liz se plaça sur son chemins en disant :

-Peux-tu me dire ce qui t'arrive ? Tu semble vraiment déprimer…

Karter fuyais son regard, elle insista jusqu'à ce que finalement Karter craque en disant :

-C'est simplement que je m'en veux !! Je n'arrive pas à oublier quand ils étaient petit, et je me sens mal en pensant que moi j'ai un jour décidé de les retiré de la protection qu'ils avaient ici !! Je m'en veux d'avoir proposer qu'ils deviennent des membres du SOLRIDE !!

Ses pupilles étaient dilatés, il haleta un peu après avoir tout avoué, puis il souffla :

-Désolé…

Liz s'approcha et lui administra une violente claque, il resta un moment hébété et avant qu'il ne puisse dire quoi que se sois, Liz lui cria :

-Tu n'es qu'un abruti Karter ! Tu croies vraiment que je ne regrette pas le jour où je te les ai confiés !! Le pire étant surtout que tu m'avais promis de les protéger, tu m'avais promis que tu veillerais toujours à ce qu'il aille bien !! Mais tu n'as même pas tenue ta promesse !! Parce que sinon, tu aurais sur que Scott ou Vanitas comme vous vous amusiez à l'appelé était en dépression !! Lagune me l'avais dit lors des derniers congés qu'ils avaient passé ensemble !! Ce n'était plus le gamin que j'avais élevé la dernière fois que je l'ai vu !! Il n'avait plus la moindre once d'innocence !! Ce n'était plus mon fils que j'avais face à moi !! Ce n'était plus Scott !!! C'était devenu quelqu'un d'autres !! Il n'avait même plus de complicité avec Lagune !! Comment veux-tu que je pleure mon fils avec comme seul souvenir ceux d'une personne que je ne peux même pas identifier à mon fils !!! Moi j'ai perdus deux fils, mais aussi l'identité d'un des miens !!!

Elle repris enfin sa respiration, des larmes de colère continuant à couler sur ses joue tandis qu'elle le regardait avec des yeux remplis de haine, elle se mordit la lèvre pour ne pas crier, le gouts du sang lui venant peu après dans la bouche, Karter la regardait horrifié et il recula un peu, elle s'exclama enfin :

-Et maintenant, part…

Karter hésita, elle cria :

-DISPARAIT !!! JE NE VEUX PLUS JAMAIS TE REVOIR !!!!

Il ouvrit rapidement la porte et partit en courant, fuyant Liz qui encore sous le coup de la colère le regarda partir, elle resta un moment jusqu'à ce qu'elle sente Nuko l'étreignait délicatement en lui disant :

-Ça ne va pas ?
-Ce n'est rien Nuko, j'ai juste enfin put lui dire ce que j'avais sur le cœur… Vient, rentrons…

Et elle referma la porte, guidait par Nuko qui la posa dans un fauteuil et passa le reste de la soirée avec elle, essayant de lui faire oublier Karter.



. Vanitas toussa violement, crachant du mieux qu'il pouvait avec le peu de salive qui humidifier sa gorge, il avait mal à la gorge et il avalait tellement de poussière dans ce désert qu'il commençait à se demander si ses poumons n'étaient pas rempli par le sable. Il voyait trouble et il avait dut faire disparaitre son épée pour économiser ses forces.

Il marchait depuis trois bonne heure depuis qu'il était ici, le soleil atteignait son zénith et Vanitas avait déjà des coups de soleil, il regarda encore une fois le ciel dans l'espoir de voir des oiseaux, mais il ne vit rien, pas le moindre nuage, qu'un ciel bleu pur avec un soleil de plomb, il ne soupira pas, gardant l'air vicié qu'il arrivait à avaler et continuant sa route.

Soudain il vit au loin des formes s'avançaient, visiblement elle déplaçait beaucoup de poussière et bientôt il put voir des hommes chevauchant sur des drôles de pokémons, ressemblant vaguement à des Galopa, mais sans corne et sans crinière de feu, d'ailleurs leurs pelage était de couleurs brune ou noir, il vit les inconnue continué de s'approcher, petit à petit Vanitas capta des détails.

Les hommes était habiller de lourd habit lui rappelant ceux des bédouins (et pourquoi pas ?), à savoir une longue tunique de couleurs clair avec des turbans et des pantalons ample ainsi que des botte de cavalier, il ne voyait pas leurs visage, mais il sentit qu'il l'avait repérer.

Vanitas resta un moment à les observer, si il continuer de progresser en file, il pourrait considérer qu'il ne lui voulait pas du mal, mais s'ils se déployaient, il devrait se préparer à combattre, il attendit un moment, mais ils ne semblèrent pas lui chercher des ennuies, finalement le premier des cavalier arrêta sa monture juste à coter de Vanitas qui leva ses yeux sur lui.

L'homme baissa un peu son turbans, dévoilant un visage basané aux yeux marron, il était assez âgée quand même, ce devait êtres le chef… Il salua Vanitas en lui disant :

-Salut gamin, que fais-tu seul dans le désert ?

Vanitas écarquilla les yeux, le regardant un moment, il venait de parler dans une langue qui lui était totalement inconnue aux accents exotique, mais pourtant et contre toute attente, il l'avait compris, il répondit dans sa propre langue, ne sachant pas du tout comment traduire ses paroles dans la langue de l'inconnue :

-Je me suis perdus.

L'homme leva un sourcil en disant :

-Tu ne parle pas la langue universelle ?
-« La langue universelle » ? Répéta Vanitas intrigué.

L'un des cavaliers, visiblement plus jeune pris la parole :

-Il parle une autres langue mais semble nous comprendre, c'est déjà bien, je crois reconnaitre d'ailleurs cette langue, c'est du japonais.

Vanitas en entendant la mention de sa langue hocha vivement la tête, le chef le regarda un moment puis déclara :

-Tu comprends donc ce qu'il dit ?
-Oui, il disait s'êtres perdus, fit le cavalier.
-Bien, on va l'aider alors.
-Vraiment ? Fit Vanitas heureux.

Le cavalier transmis sa question au chef qui répondit :

-Bien entendus, tiens bois un peu, ça te fera du bien, fit-il en lui tendant une gourde avec un sourire.

Vanitas s'empara rapidement de la gourde et la vida à grand trait, elle contenait une boisson fraiche et désaltérante, très sucrée mais qui lui redonna rapidement de l'humidité et de la clarté dans son esprit… Tout du moins jusqu'à ce qu'il perde connaissance au milieu des rires des cavalier.








A suivre…

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Ahah !!! Vous y avez crus ?! Et bien non, il est pas prés d'arriver sur Terre le petit Vanitas XD !! Je suis diabolique, donc comme vous vous en doutez, il va être fait prisonnier, et se faire réduire en esclavage.

Un chapitre assez cours de 6 page words et demi, mais bon, vu que vous semblez aimer les petit chapitres, alors je fais comme ça, et puis comme ça je les sors plus rapidement ^^ (dit-il alors qu'il fait exprès de les sortir toute les semaines…)