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L'académie des Dresseurs de Rubis-san



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Informations

» Auteur : Rubis-san - Voir le profil
» Créé le 08/06/2010 à 11:43
» Dernière mise à jour le 29/05/2018 à 20:26

» Mots-clés :   Amitié   Aventure   Hoenn   Romance

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Vers Parmanie !
Nous fûmes arrivés à Kanto au port de Carmin-sur-mer.

- Tu veux faire les arènes où juste le tour pour capturer des Pokémon ? Lui demandais-je en descendant du bateau.
- Je ne sais pas ! Tu me conseil quoi ?
- Bah moi… J'ai juste fais le tour du monde pour capturer des Pokémon !
- Je vois. Puisque mes Pokémon ne viennent que de Hoenn, je vais capturer des Pokémon de Kanto !
- C'est bizarre quand même ! M'interrogeais-je.
- De quoi ?
- Que tu n'ais jamais visité les autres régions !
- Je suis rentré à l'académie à l'âge de 11 ans. Je suis resté à Hoenn, capturer et entraîner mes Pokémon pendant un an.
- Je vois ! Alors ! Bienvenue à Kanto au port de Carmin-sur mer ! Tu verras, cette région est géniale ! Lui présentai-je en souriant gaiement.

La nuit alla bientôt tomber. Nous nous dirigeâmes vers le Centre Pokémon le plus proche pour y passer la nuit.

Le lendemain, je descendis les escaliers pour aller déjeuner.

- Enfin réveillé !
- J'ai eu un peu de mal à m'endormir. Répondis-je en baillant.

Étant donné que Koukaï avait déjà prit son petit déjeuner, je mangeais le mien tout seul.

- Tu veux commencer par ou ? Lui demandai-je en posant mon plateau déjeuner sur la table.
- D'après la carte, au Nord il y a Safrania, à l'Est Céladopole, au Sud Parmanie et à l'Ouest Bourg-Palette.
- À Bourg-Palette il y a le Professeur Chen, Safrania et une ville plutôt industriel tandis que Céladopole une ville plutôt commerciale et à Parmanie il y a le parc safari. Expliquai-je en mangeant mes céréales.
- On peut capturer des Pokémon là-bas ?
- Bien sûr ! On trouve tous les Pokémon commun à la région de Kanto !
- Alors, on va à Parmanie !
- Ok !

À peine fini de manger, Koukaï et moi partîmes pour le parc safari à Parmanie.
Nous marchâmes sur un chemin bordé de grand bois. Des Pokémon sauvage nous regardâmes passer tapis dans l'ombre. Nous arrivâmes devant une vielle ferme ou nous vîmes des gens bizarres qui entrèrent par une fenêtre de la maison.
Alerter par ce comportement étrange, Koukaï et moi courûmes jusqu'à la ferme. Nous entrâmes par la porte d'entrée dans un tel fracas que les voleurs en sursautèrent.

- Qui êtes vous ? ! Lançais-je en retrouvant mon équilibre.
- Qu'est-ce que vous faite à ces gens ?! Cria Koukaï.

Il y eut deux personnes masqué, un qui attacha le fermier et sa femme et l'autre qui les menaça avec un couteau.

- Ne bougeait plus ! Sinon, je vous plante !
- Essaye pour voir ! Défia Koukaï.

Koukaï était prés à sauté sur le drôle de type. Soudain, je sentis quelque chose sur mon épaule droite. Je me retournai doucement et vis un troisième homme armé d'un couteau. Il passa son bras autour de ma gorge.
Au même moment, Koukaï se retourna et vit l'homme pointer son couteau sous ma gorge.

- Tu bouge, j'égorge ton ami ! Menaça-t-il.

Mon cœur battait à toute allure. Je devins blanche comme un linge, ma respiration était rapide, j'eus très peur.

- Vous ne pensez tout de même pas que je vais vous laissez faire ! Négapi, à toi ! Appela Koukaï.

Négapi apparut et sauta sur l'épaule gauche de Koukaï.

- Attaque Étincelle !

Les trois voleurs ne purent échapper à l'attaque de Négapi et tombèrent comme des mouches au sol. Koukaï alla libérer le fermier et sa femme tandis que moi, j'étais comme paralyser. J'avais eu si peur, que je ne pouvais plus bouger le moindre membre. Sans doute un coup de mon coté fille.

- Un vrai trouillard, toi alors. Se moqua-t-il.
- Rigole pas ! Je voudrais bien t'y voir toi !

Malgré mes explications, il continua de se moquer de moi. Quelque instant après, nous aidâmes le fermier à ligoter les voleurs pendant que sa femme appela la police. Puis, pour nous remercier de notre aide, le fermier nous invita à dîner et à passer la nuit chez lui. Nous le remerciâmes de sa gentillesse.

Le lendemain, après que la police partit avec les voleurs, le fermier nous indiqua le chemin le plus court pour aller à Parmanie et, en n'oubliant pas de le remercier, nous partîmes.

- Le fermier n'a pas dit que ces voleurs étaient à la recherche d'objet rare ? Demandais-je.
- Si. Pourquoi ?
- Qu'est-ce que le fermier pouvait avoir comme objet rare ? Parce que, si ces voleurs son venu chez lui, c'était bien pour le voler ! J'ai raison ? Continuais-je de m'interroger.
- Où alors ils sont venus pour prendre leur argent. Répondit Koukaï agacer par mes questions.
- Les ligoter et nous menacer avec un couteau juste pour de l'argent ? Un peu bizarre comme attitude.
- Tu pause trop de question Topaze ! S’agaça-t-il.
- Dit tout de suite que je te gêne ! Lançais-je un peu vexé.
- Tu me gêne.
- Il m'énerve ! Grognai-je.

Nous continuâmes notre route et enfin à un peu plus d'une heure et demie de route, nous arrivâmes à Parmanie.

- Bienvenue à Parmanie ! Présentais-je à Koukaï en me moquant gentiment de lui.
- Tu te moque de moi, là ?!
- Je te fais visiter Kanto, plains-toi !
- Tu te moque de moi ! Insista-t-il.
- Non ! Je n'oserais pas. Me moquais-je gentiment.
- Alors s'est quoi ce sourire stupide sur ton visage ?!
- Peut être un peu alors. Rigolais-je.
- Alors toi !

Je continuais de me moquer gentiment de Koukaï tandis qu'il serra son poing tellement je l'avais énervé. Mais il était surtout gêner.

- Bon ! On va au parc ?
- La nuit va tomber dans quelques heures. Trouvons-nous plutôt un endroit où dormir ! Proposa Koukaï.
- Sans me vanter, j'ai déjà passé quelques nuits à Parmanie et j'avais trouvé un superbe endroit ou dormir, tranquille et à la belle étoile en plus.

Je l'emmenai à l'endroit dont je lui avait plus tôt et on prépara nos sacs de couchage. Pendant que j'allai chercher de plus grosse branche, Koukaï essaya d'allumer le feu. À mon retour, il n'avait toujours pas réussi à l'allumé.

- Tu veux un coup de main ?
- Je peux y arriver seul ! Dit-il en insistant sur sa branche.

Je vis Koukaï s'énerver sur sa branche. J'en rigolais mais discrètement pour ne pas le mettre plus en colère.

- Tu es sûr ?! Demandais-je un sourire moqueur en coin.

Toutes ses tentatives restèrent vaines. Pour la première fois, je le voyais déprimer devant quelque chose qu'il n'arrivait pas à faire.

- Attend, je vais le faire ! Pyroli, on a besoin de toi !

Mon Pyroli apparu assis à mes pieds.

- Peux-tu allumé le feu s'il te plait ?

Il fit "oui" de la tête et avec un petit Flammèche, les brindilles et les branches s'embrassèrent.

- Tu vois ! C'était plus rapide. Au lieu de t'énerver sur ton but de bois !
- Tu as de la chance que je t'aime bien, sinon ça ferai longtemps que tu t'en serait en manger une !
- J'en ai de la chance ! Souriais-je moqueur.

Alors qu'il me regarda avec suspicions, je rigolais jaune.

La nuit tomba doucement sur la ville et ses environs.

- Pourquoi on n'a pas été dans le Centre Pokémon au fait ? M'interrogea-t-il.
- Parce que j'avais envie de dormir à la belle étoile.
- Et pourquoi je t'ai suivis ?! Je me le demande encore. Se dit Koukaï en se dandinant dans son couchage.
- Tu es totalement différent qu'a l'école !
- Pourquoi dis-tu ça ? Répondit-il étonné.
- Comme ça, pour rien ! Bonne nuit Koukaï !
- Ouais ! Bonne nuit.