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A n other World : the eternal legacy partie 1 de wataru



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Informations

» Auteur : wataru - Voir le profil
» Créé le 16/03/2010 à 21:21
» Dernière mise à jour le 02/01/2013 à 15:06

» Mots-clés :   Action   Aventure   Humour   Suspense

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Chapitre 5: Vide
Mitsuru était assis dans un coin de la classe et regardait le tableau sans comprendre ce qu'il y avait d'écrit, mais il n'insista pas puisque c'était le cadet de ses soucis. Il attendait avec impatience la venue de Kiéra dans la classe.
Puis le moment tant attendu arriva.
Quelqu'un frappa à la porte. La professeure de physique dû interrompre son cours. Et la porte s'ouvrit sans même que Mme Minot (le professeur) ne donne l'autorisation d'entrer. On vit alors la silhouette du directeur passer la porte. Les élèves habitués aux coutumes de politesse élémentaire se levèrent et attendirent.

— Vous pouvez vous asseoir.

Toute la classe s'assit alors dans un immense vacarme.

— Donc je viens vous présenter une nouvelle camarade de classe. Elle... mais où est elle donc ???

La nouvelle élève était restée derrière la porte.

— Viens ! Il ne faut pas avoir peur, ils ne vont pas te manger...

Ce qui déclencha un fou rire général. Tout le monde répétait « on ne va pas te manger » en rigolant. La professeure voulut alors reprendre les rênes et hurla comme à son habitude.

— MAIS Ce N'EST PAS VRAI !!! VOUS VOYEZ BIEN QU'IL VEUT VOUS PARLER !!! Mais ce n'est pas possible cette manie de toujours discuter et de parler sans autorisation...

— ...Euh... Madame je crois que ça ira, merci. Donc je vous présente Kiéra.

Kiéra s'approcha timidement du tableau.

— Présentez-vous mademoiselle.

— Euh... bonjour...

— Bonjour Kiéra. Répondit la classe par des formules de politesse standard, mais assez effrayante pour quelqu'un qui ne les connaissait pas.

— Donc voilà je m'appel Kiéra Conferd...euh... enfin Fiérriani et je suis Française.

— Dis-nous où tu habites au Japon.

— J'habite... aux courge-mappette... je crois... Enfin, je vie avec Mitsuru.

Toute la classe se retourna vers le garçon qui rectifia l'adolescente Rêveuse.

— On dit le « Bourg-palette » pour ton information. Mitsuru avait alors pris une belle assurance devant la classe étonnée qu'il dorme avec la plus belle fille du lycée.

La professeure se tourna vers l'horloge et vit qu'elle avait déjà perdu 7 minutes et 67 secondes de cours (où 8 minutes et 7 secondes). Elle décida qu'il lui fallait reprendre les choses en main si elle voulait finir un jour le programme.

— Bon, c'est très bien Kiéra, maintenant va t'asseoir.

Kiéra partit près de son voisin de lit, et Mme Minot reprit son cours.

— Bon, je reprends. Donc, les Pokémon feu ont la capacité de créer de forte quantité de méthane CH4 pour pouvoir l'embrasser après. Ce que vous avez surement déjà vu avec votre professeur de S.V.P (science et vie des Pokémon). On remarque que l'on peut synthétiser ce gaz facilement. Par exemple, prenons le Caninos de Mitsuru.
Mitsuru, tu as ton Caninos avec toi ?

— Oui, je crois.

— Tu peux nous le prêter quelques secondes ?

— Bien sur avec plaisir. (De toute façon il n'avait pas vraiment le choix...)

— Le voici.

— Merci. Je vous le montre.

La physicienne fit sortir le chien enflammé de sa Pokeball. Celui-ci bâilla et se secoua en regardant la personne qui venait de l'invoquer. Elle expliqua toutes les facettes du méthane et ça mises en évidence par divers procédés techniques, et rendit le Pokémon à son propriétaire dès que la sonnerie se manifesta aux grandes joies des élèves qui purent-ce jeter sur la petite nouvelle sans défense. Les questions fusaient de partout.

— Tu as quel âge ? Tu aimes le chocolat ? Tu couches avec moi ? Pourquoi tu as hésité avant de dire ton nom de famille. C'est vraiment beau la France ? Tu es arrivé quand ? De quand date ta relation avec Mitsuru ? Tu manges à McDo à midi avec moi ? Tu m'accompagnes aux toilettes ? C'est quoi ton plat préféré ? Tu penses quoi du fait que les Japonnais aient encore la peine de mort ? C'est quoi tes Pokémon ? Tu veux que je t'apprenne à manger avec des baguettes ? Tu aimes le King of pop ?

— Euh je peux ne pas vraiment vous aider... Mais où est Mitsuru ?

— Je suis là. Dis simplement le jeune homme en levant la main.

— C'est quand la fin des cours ici ?

— Bientôt.

Les deux personnalités ne savaient pas quoi dire et se fixaient sans mots.
La journée ce passa sans incident et tout le monde fut ravie de la présence d'une nouvelle dans la classe.

De retour à la maison, Mitsuru vit une voiture garée devant le jardin.
Intrigués, ils rentrèrent dans la maison et virent un homme avec un carnet en train de noter. Il se retourna avec un grand sourire.

— Bonjour ! Quel plaisir que me fait votre visite !

— C'est chez moi, je crois... enfin je crois...

— Vous devez faire erreur, Monsieur. Je me présente Brodigue Jeanfuré, collecteur à la caisse du Japon. Cet établissement appartient maintenant à la caisse du Japon.

— Comment est-ce possible, nous sommes dans cette maison depuis des années, vous ne pouvez pas faire éruption comme ça et vous l'approprier. C'est impossible.

— Eh bien, selon l'article 946 de la CDJ s'il n'y a pas d'adultes ici pour gérer la maison, vous ne pouvez pas y vivre. Donc ces biens nous appartiennent inévitablement.

— Premierement, je n'ai jamais entendu parler de la CDJ et deuxièmement il y a une adulte ici : ma mère. Donc, sortez d'ici tout de suite !!!

— Je suis désolé, mais votre mère n'est pas là. Donc pas d'adultes, donc la caisse récupère la maison.

— Mais bien sûr qu'elle est là !!

— J'ai ici un reçu de l'hôpital Sainte-Claire me confirmant qu'elle y soit internée.

— Sainte Claire ?

— C'est un établissement psychiatrie qui se trouve près de Boston.

— Mais, Boston est aux États-Unis ! Pourquoi y est-elle ?

— Je ne sais pas, je suis juste là pour la perquisition.

— Et mon père c'est un adulte, non ?

— Votre père ? Attendez un peu...

Le collecteur fouilla un peu dans ses papiers.

— Oui votre père !! Mais il n'est pas votre tuteur légal. Donc pas de protection. Pas de protection,pas d'adultes, pas d'adultes pas de maison, pas de maison, pas de maison.

— Pourquoi n'est-il plus mon tuteur légal ? C'est n'importe quoi !

— Eh bien, d'après mes sources il aurait divorcé avec votre mère et aurait abandonné ses droits sur ses enfants.

— Divorcés !? Mais c'est impossible ! Il est juste parti en voyage d'affaires !! Il nous l'aurait dit...
— Plus que ses droits, il nous a abandonnés...
Mitsuru commençait à pleurer, pour lui c'était trop de mauvaises nouvelles en si peu de temps. Il avait déjà eu la mort de sa sœur, puis le divorce de son père camouflé en voyage d'affaires et la mise en hôpital psychiatrie de sa mère.

— Nous pourrions prendre quelques affaires avant de partir et vous me saisissez tout.

— Oui, fait comme vous voulez, je ne suis là que pour faire l'état des lieux pour le futur propriétaire. Enfin, je trouve que ma présence est comme même bien inutile puisque de toute façon le propriétaire est passé avant moi. C'est bien bête. Ils veulent que je m'occupe de l'aspect technique.

— Le futur propriétaire !? Mais vous avez vendu la maison !?

— Oui évidemment, que voulez-vous que l'on en fasse ? Un stand de crêpes !?

— Bon, je monte dans ma chambre prendre des affaires.

— Vous pouvez louer un box pour garder vos affaires et je peux vous faire venir gratuitement des déménageurs. Ce n'est pas un problème pour moi. C'est garanti dans vos droits.

— Merci Monsieur Brodigue de nous aider comme ça.

Kiéra, elle ne disait rien, elle avait regardé la scène impuissante. De toute façon, elle n'avait rien perdu à part un logis potentiel. Ils montèrent alors à l'étage.
Mitsuru regardait avec mélancolie toutes affaires. Il savait bien évidemment qu'il ne pourrait jamais prendre. Il prit alors un gros sac et commença à rassembler ses affaires les plus importantes. Puis il repensa à la GS Ball. S'il pouvait retrouver la ball, il pourrait faire ce qu'il veut, sauver sa sœur, retrouver sa mère, son père et recoller les morceaux entre ses parents.
Mais il ne la retrouva pas là où il l'avait posé. « Elle a dû glisser sous mon lit », se dit-il. Mais elle n'y était pas. Il fut soudain prit de panique, ''où pouvait-elle se trouvait, et si quelqu'un l'a ait volé ? ''
Soudain il eut un déclic :

— Je sais ! Le nouveau propriétaire, c'est sûrement lui qui a fait le coup !!!

— De quoi tu parles, je ne te suis pas ? Dis alors Kiéra qui était toujours là.

— La GS Ball c'est sûrement la propriétaire qui l'a volé ! Donc il doit savoir ce qu'elle vaut, je pense...

— C'est quoi la GS Ball ? Tu ne m'aides pas vraiment.

— Tu veux retourner chez toi ?

— Oui, tu crois vraiment que je vais rester moisir ici ?!

— Alors il faut la retrouver pour que tu retournes chez toi.

— OK. Moi je fais ce que tu veux si je peux revenir sur Rêve !!

On entendit alors des bruits de pas qui montaient rapidement les marches. Brodigue fit irruption dans la chambre.

— Il est là ! Il ne faut pas que vous restiez ici ! Le collecteur avait perdu sa belle assurance et parlait vite.

— Qui est là ?

— Le nouveau propriétaire ! Et il ne veut pas que vous le voyiez. Donc, partez et vite !!

— On pourrait avoir son nom au moins ?

— Je ne peux pas puisque je ne le connais pas. Il a acheté la maison sous le nom d'une société.

— Et quelle société ?

Une grande société de Merrouville à Hoenn. Bon, il ne faut que vous partiez et vite !!

— Bon très bien, vous pourrez appeler les déménageurs pour nous ?

— Oui, il n'y a pas de problème, nous allons même vous payer un box pour déposer vos affaires ! Mais partez et vite ! Prenez la porte qui donne sur le jardin et ne revenez plus !!! Au revoir.

Mitsuru prit son sac et donna quelques affaires à Kiéra qui elle ne portait rien. Ils dévalèrent les escaliers pour aller dans le salon et récupérer de l'argent qui était caché dans le tiroir de la grande commode qui datait de son arrière-grand-mère. Il empocha tout l'argent soit 20 000 poké soit environ 200 euros.
Puis ils entrèrent dans le garage pour sortir par une petite porte dérobée pour sortir directement dans le jardin. Et ils coururent jusqu'au centre Pokémon le plus proche. En entrant dedans ils virent plusieurs dresseurs qui attendaient devant le comptoir et d'autres qui discutaient tranquillement dans de grands fauteuils. Sur la droite, il y avait un self qui servait aux personnes qui dormaient dans le centre qui faisait aussi office d'hôtel pour des voyageurs ou des dresseurs. L'avantage était que la nuit était gratuite pour les dresseurs de la ligue indigo. Mais Mitsuru n'avait pas de carte de dresseur, car sa mère avait refusé qu'il parte loin de la maison.

— Bonjour infirmière Joelle.

— Bonjour mes petits chocolat de prune à la guimauve fondue !

Mitsuru et Kiéra se regardèrent sidérer.

— Euh... donc c'est vrai que vous êtes toutes des sœurs ?

— Pour certaines villes, c'est vrai, mais dans les petites villes pourries comme Bonaugure non c'est faux.

— Alors si ce ne sont pas de vos sœurs, qui sont elles si elles vous ressemblent tellement ?

— Eh bien, les autres sont toutes clonées puis lobotomisées. Mais on leur donne toutes des caractères bien particuliers. Par exemple, celle de Rosière boit beaucoup ou celle des îles arcs en ciel sont toutes prostituées ! Vous voyez c'est super !

— Euh... si vous le dites... répondit Mitsuru perplexe.

— Vous avez quand même la gueule à avoir été lobotomisée. Je me trompe ? Dit Kiéra amusé

L'infirmière Joelle eut un petit rictus.

— Oui, mais vous savez le bourg-palette n'est pas grand ! Mais quand j'y pense...

Elle reprit un air débile :

— Bonjour mes petits chocolat de prune à la guimauve fondue ! Que voulez vous mes chéris !

— Bon très bien, on voudrait avoir une chambre pour la nuit.

— Vous avez votre carte de dresseur ?

Mitsuru eut un peu honte et parla très bas pour ne pas être entendu :

— Non, désolé je n'en ai pas...

— Donc très bien pas de carte de dresseur !! On aurait dit qu'elle faisait exprès.

— Par la même occasion, vous pourriez prendre mes Pokémon s'il vous plait ?

— Bien sur donnez les moi je m'en occupe. Donc ça fait 955 poké !

Mitsuru donna l'argent et l'infirmière leur donna la clé de la chambre.

Ils montèrent dans la chambre 12 et purent souffler un peu. Kiéra partit prendre une douche pour réussir à se remémorer cette journée forte en émotion.
Quant à Mitsuru, il pensait à tous les moyens qu'il pourrait employer pour pouvoir aller aux États-Unis le moins cher possible.
Ils décidèrent enfin d'aller dormir pour récupérer un peu et oublier les événements de la journée. Kiéra faisait semblant d'oublier que son père avait eu « un petit problème » en avion et dormait en pleurant silencieusement.

Mitsuru et Kiéra passèrent une nuit assez calme, mais l'ironie du sort voulut que cette stupide infirmière leur avait donné une chambre pour deux, mais malheureusement avec un seul grand lit. Ils purent enfin mieux se connaître même si Kiéra ne le voyait pas vraiment de cet œil.
Mitsuru réussit à négocier le petit déjeuner gratuit à cause de leur mésaventure de la nuit. Kiéra put alors découvrir le petit déjeuner japonais.
C'est à ce moment-là quelle compris pourquoi les touristes qui venaient à Paris vouaient un véritable culte aux croissants et pain au chocolat Français qui pour nous, semble si simple et sans aucune prétention certaine. En fait la raison pour laquelle on dit que la
nourriture française est excellente n'est pas qu'elle soit extraordinaire, mais que les autres mangent des trucs particulièrement immondes, d'où un certain émerveillement devant une cuisine normale (après plusieurs années, je refonde mon un peu ma pensée, mais ce n'est pas très important...).
Prenons l'exemple des Écossais une de leurs spécialités est le Mars (recette : prenez un Mars, enduisez-le de beurre fondu, faites-le frire dans de l'huile bouillante puis mangez-le avec du Ketchup. Appétissant, non ?
Et ce n'est pas une blague, si quelqu'un fait une tentative dites-le-moi, car moi je n'ai jamais osé.
Mais bon heureusement les Japonais cuisinent mieux que les Irlandais, même si le petit déjeuner n'est toujours pas extraordinaire, après ça dépend des goûts...

Pendant leurs repas Mitsuru commença à ouvrir la discussion sur leurs projets :

— Il faut absolument que l'on puisse trouver un moyen d'aller aux États-Unis, pour retrouver ma mère et que je puisse comprendre ce qui s'est passé, ma mère n'a jamais été sujette aux moindres problèmes mentaux. Je suis sûr que la GS Ball joue un rôle fondamental dans cet enlèvement !

— Tu n'es pas un peu trop ambitieux ? Tu exagères, on ne peut pas aller comme ça aux States. Et s'ils ont interné ta mère, c'est qu'il y a une raison. Il ne faut pas tout stigmatiser. On peut toujours demander des aides sociales, trouver un appartement et voilà le tour est joué ! Puis on va chez la sécu et on peut faire on super voyage gratuit, car on est pauvre !!! On va en France tu me déposes et la vie reprend son cours
normal ! Tu vois je suis trop intelligente !

— Euh bien sûr, mais tu as quand même loupé un ou deux détails...

— Et lesquels ?

— Déjà, je ne crois pas que le fait que tu ailles en France change quoi que se soit, puis là tu ne penses qu'à toi, le système social japonais ne pousse pas autant à l'assistanat qu'en France, et surtout si on ne fait rien même si tu rentres chez toi tu risques d'avoir de gros problèmes.

— Bon, j'avoue il y a quelque imperfections dans mon plan... mais je ne comprends pas quel genre de problèmes ?

— Tu vois, j'ai perdu la GS Ball, cette ball a des pouvoirs surdimensionnés qui peuvent réussir à détruire Rêve ou Vision s'ils sont réveillés dans de mauvaises conditions et par la mauvaise personne, il faut que l'on fasse très attention.


— Comment ça peut être possible ? Mais je ne comprends, pas pourquoi il ne
l'a pas encore fait ?

— Il lui faut faire un rituel que seul un livre contient.

Mitsuru sortit un gros livre de son sac. Il était vieux et avait une immense couverture en cuir sur lequel il y avait de nombreuses runes en mendzoriens que seuls de rares érudits pouvaient lire et de toute façon il n'y avait marqué que des trucs inutiles [comme l'auteur, l'éditeur, la vache qui a fait le cuir de la couverture, la couleur du cheval
blanc de Henry IV, le code de l'ADN du Kiwi...].

— Je n'y crois pas... dit Kiéra en regardant fixement le livre, mais ça
veut dire qu'ils vont sûrement tenter de te le voler !

Mitsuru se mit à rougir de honte.

— Il ne faut pas que l'on reste ici ! cria Kiéra

On entendit soudain des coups de feu dans le grand hall et des gens crier :

— HAAAAAA!!!!!!!!!!! [c'est fous ce que les gens font pour un livre,un livre !!!!! ce n'est pas un MacBook pro non plus...]

****************************


A des centaines de kilomètres, dans l'hôpital Sainte-Claire un homme
tapait sur son MacBook pro [il en a de la chance !] un mail :

WE DID IT.

Plus loin dans une chambre en souterrain, des gardes venaient juste de faire leurs rondes devant la chambre 713. Cette chambre était la plus sécurisée de toutes les chambres, pour même arriver à moins d'un kilomètre il faut être un haut responsable du centre et avoir une très bonne raison de vouloir y aller.
Je ne vais pas faire plus d'explications sur le dispositif de sécurité, mais vous imaginez que l'endroit est truffé de capteurs, de caméras, tout pour éviter que ce qui est gardé puisse en sortir dans des conditions qui échappe à la personne qui veut la contrôler. L'objet en question était une GS Ball [ce qui sous-entend qu'il y a plusieurs] qui venait juste d'être trouvée dans une grotte côtière de Rhodes.
En vérité, il n'y avait qu'une seule GS Ball, mais, un être jaloux, quelques années après la fabrication de la vraie GS Ball décida de faire sa propre GS Ball. Elle avait les couleurs du haut et du bas inversé et il y avait un aussi un D marqué sur le dessus et non pas un G et un S. personne ne savait vraiment ce qu'elle était mise à part le fait qu'on la considère un peu comme l'antithèse de la GS Ball.

Elle aurait été faite par les ténèbres elle même pour tromper les pouvoirs de celle qu'elle contre. Dans notre cas, son but est uniquement une solution de secours tellement probable sachant que contrôler la GS Ball est très dangereux.

Sainte Claire était aussi un lieu de torture psychologique que même le FBI ne pourrait oser. Les patients venus à l'origine pour soigner des problèmes mentaux en contractaient souvent des biens pires, ce qui assurait une rente confortable au directeur de l'hôpital sachant que ces types de patients gravement atteints rapportent énormément d'argent, car ils seraient plus durs à gérer.
En tous cas, Walter Bishop s'en fichait éperdument de la santé des patients, ce qui lui valait une jolie réputation auprès des autorités locales et des personnes qui ont réussi à sortir de l'établissement situé à Boston.
Cela faisait un peu plus de 40 ans qu'il y siégeait, mais depuis environ 16 ans que les techniques précédemment citées prenaient courent, car il avait besoin d'argent, lui et son partenaire étrangers faisaient tout pour trouver un moyen de soumettre le monde sans que personne puisse s'en rendre compte [le but étant d'éviter la moindre résistance].

À force de recherche, de crédit faramineux et d'heures passées dans des bibliothèques des vieux villages pour récupérer la moindre information sur toutes les légendes existantes, ils découvrent que les êtres d'or n'étaient pas seulement une légende.
Puis, ils dépensèrent des milliards pour trouver la GS Ball et la D Ball. Non sans succès puisque une partie l'énigme fut résolue même si la GS Ball reste la clé de voute.