ADN1: Les mystères d'Atlantéa de Darkey

Note de l'auteur: Attention, vous connaissez mon style... Sang, larmes, torture morale! J'avertis dés maintenant qu'ADN est interdite aux moins de douze ans!!! Vous êtes prévenus, je ne me répéterai plus. %)


Flore -quartier général de l'OLDS, 8h00.

Sacré lieutenant Shark! Qu'est-ce que je t'adore! Il avait réussi à nous décrocher deux jours entiers de repos, chez le général, wouh! Résultat, nous pouvions sortir de la base et flâner dans les environs, nous avions aussi le droit de rester en tenue civile, bref, le paradis... Mais le plus souvent, j'en profitais pour entraîner mes pokémon.
Quand je n'étais donc pas en tee-shirt-noir-treillis-rangers-et-veste-kaki, j'aimais porter des débardeurs légers de couleur claire, (le turquoise était la couleur que je préférais), des jeans sombres et des basckets. Cependant, ce jour-là, je préférais enfiler la jupe en jean qu'Hélia m'avait gentiment refilée (elle était plus grande que moi en taille, depuis trois ans, j'avais récupéré pas mal de ses fringues du coup) ainsi qu'un tee-shirt turquoise. Hélia, quant à elle m'avait annoncé la grande nouvelle: Angeïl et elle avaient "rencard"... Bon, ok, je savais à quoi m'attendre avec elle et j'avais déjà ouvert les paris avec Maxime sur la durée... Quoique, ca avait l'air sérieux ce coup-ci...
Concernant Angeïl, j'étais revenue sur ma première impression, après tout sans lui, j'aurais perdu ma meilleure amie. Puis, il avait l'air de l'aimer sincérement. Et surtout, il avait du courage à revendre, bref un bon collègue. Il faudrait que j'essaies de mieux le connaître...
Je suis donc sortie dans les environs où un petit bois nous permettait souvent de nous entraîner. Je sortis mes pokémon pour leur faire prendre l'air. Ma Feunard s'engouffra sous les arbres, mais mon Phyllali se blottit dans mes bras. Mon dieu, qu'est-ce que j'aimais mes pokémon... Surtout ma Feunard, curieusement, même si ma race a peur des Feu. Peut-être parce que justement, affronter cette phobie mystique de mon peuple avait quelque chose d'enrichissant. En retournant vers la base, je croisais le lieutenant... et bien entendu, mon coeur fit un bond, mes genoux tremblèrent et je baissais vivement les yeux. Cependant, il s'exclama:
- Flore! Je vous cherchais!
- Que puis-je pour vous? demandais-je en essayant de lui faire mon plus gracieux sourire.
Il rougit légérement et détourna le regard:
- Un petit match pokémon amical? Ca vous dirait?
Tiens, il avait envie de me défier? Eh bien, il allait être surpris...
- Avec plaisir, répondis-je. Trois pokémon chacun, ca vous convient?
- Parfait! Allons-y!
Il n'hésita pas une seconde:
- Hippodocus, à toi!
Tiens, il sortait tout de suite son colosse à grosses mâchoires? Hum, j'avais le choix des armes... Je pouvais envoyer ou Hyporoi, ou Phyllali. Mon choix se porta sur ce dernier:
- A toi, Phyllali!
Shark eut un petit sourire avant de dire:
- Allez, Hippodocus, Croc Feu!
- Phyllali, esquive-le puis Zénith!
Le soleil se mit à briller très fort sur le terrain, et je savais que si Phyllali devait subir des dégâts, il guérirait facilement. Mais Shark s'était visiblement attendu à ce coup-là de ma part:
- Bon... Tempête-sable pleine puissance!!!
Du coup, il y'eut une telle brume de sable que les rayons furent masqués. Pas bête... Mais le permier sang, ce fut Hippodocus qui le versa!
En effet, j'ordonnais à Phyllali d'exécuter une attaque Feuillemagik. Et bien entendu, malgré la brume, les feuilles atteignirent leur cible qui poussa un petit cri de douleur.
- Bravo Phyllali, fais les Feuillemagik en continu!
Le pauvre hipopotame en prit plein la tête... mais Shark eut un mauvais sourire:
- Bon, finissons-en... Abîme!
Oh, non! Voilà ce qui s'appellait se faire avoir... Phyllali ne put esquiver et se retrouva quarante mètres plus bas.
- Bon, reviens mon beau Phyllali, tu t'es bien battu... Hyporoi, go!!!
Mon hippocampe sortit et aussitôt, je lui ordonnais d'éxécuter l'attaque Surf... qui transforma le terrain en marécage... Inutile de vous dire que le Hippodocus n'apprécia guère le truc. Et en plus, je n'attendis pas que mon redoutable adversaire ne réagît:
- Allez, et maintenant, Ultralaser.
Enlisé dans la boue, le pauvre mastodonte fut littéralement mis hors course...
- Pas mal joué, Flore, mais Hyporoi est à bout maintenant, en avant Drattack, attaque Croc Eclair!!!
Le dragon fonça sur mon Hyporoi et le mordit violement à la gorge, en lui envoyant une décharge. Mon pokémon en souffrit énormément. J'en fus furieuse:
- C'est bon, Hyporoi, Blizzard!!!
Une gigantesque bourrasque de neige se leva et Drattak n'apprécia pas du tout.
- Finissons-en, Laser-Glace!
Drattak se retrouva dans un bloc de glace, incapable de combattre. Shark le rappella:
- Vous devenez vraiment dûre... A toi, Leviator! Fatal-Foudre!
Ah, zut, j'avais oublié...
Cette fois, mon pokémon fut hors-jeu. Il me restait un pokémon, j'avais intérêt à faire un choix valide... Séviper et Feunard... Finalement, j'optais pour... Feunard! Shark ne put s'empêcher de se moquer:
- Séviper aurait été un choix plus judicieux contre mon serpent de mer, non?
- C'est ce qu'on verra!
- Bon, Leviator, attaque Surf!
- Allez, Feunard, saute, maintenant! Sur son dos!
- Nom de...
En effet, ma Feunard obéit et se retrouva sur le dos du Leviator.
- Allez, Queue de Fer!!!
Leviator se retrouva sonné.
- Queue de fer encore une fois!
- Leviator, désarçonne-la!
- Très bien, maintenant, saute de son dos!
La Feunard se retrouva hors de portée.
- Maintenant, Coup de Boule!
- Qu... esquive, Leviator, vite!
Mais la Queue de Fer l'avait à moitié assomé et pour le coup, il se prit tout mon renard en plein sur la figure.
- Parfait, maintenant... Ultralaser!
Ma Feunard cracha un long rayon qui atteignit le Leviator en pleine face. Il était K.O. Je venais de battre pour la première fois le lieutenant à ce petit jeu. Il rappella son pokémon et me fit un sourire:
- Bravo! C'était un joli combat.
Je me sentis flattée qu'il dise ca...
- Je m'entraînes beaucoup.
Je caressais longuement le pelage de ma Feunard, la félicitant et la caressant.
- Tout à votre image, fit-il en regardant le pokémon feu. Aussi jolie que redoutable!
Ouille, j'aurais rougi si j'avais pu! Bon, qu'il me trouve jolie, ca ne m'étonnait pas, je commencais à m'y habituer... mais qu'il aie l'audace de me le dire...
Et bien sûr, j'étais aux anges; je commencais à croire que je lui plaisais... Oups, Flore, tu ne dois même pas espérer!
- Merci du compliment, fis-je en baissant les yeux.
- Je ne dois pas être le seul à vous dire ca de toute façon...
- C'est toujours agréable de l'entendre...
Nous avancions à présent vers la base et une fois rentrés, nous allâmes en salle de repos. Elle était déserte. Shark alla nous chercher deux énormes sodas (tiens, il se souvenait de mon goût pour les boissons bien sucrées et bourrées de caféine...) et nous nous mîmes à parler de tout et de rien. L'un des goûts que j'avais en commun avec Shark était la passion de la lecture.
- J'ai lu un truc plutôt drôle dans une revue scientifique, récement, me raconta-il. A ce qu'il paraît, l'adrénaline garderait jeune...
J'éclatais franchement de rire:
- Franchement, lieutenant... Avec le boulot qu'on fait alors, les vieux colonels devraient être des Adonis!
- C'est ce que je me disais...
- Remarquez, ca marche peut-être sur les mutants.
- Vous n'avez pas besoin de ca, fit-il avec son plus beau sourire.
Il ajouta:
- Je suis sûr que même dans trente ans, Flore, vous aurez toujours autant de facilité à ensorceler les pauvres mortels autour de vous...
J'eus un petit rire:
- Mortels? Je ne suis pas une déesse!
- Ah, tiens, j'ai oublié, plaisanta-il.
Lieutenant Shark, étais-tu entrain de me draguer, par hasard? Ce n'était pas que j'étais contre, mais les règles...
Il ajouta:
- Une légende de l'antiquité parle d'une femme qui était si belle que lorsqu'un homme l'enleva à son mari, on déclencha une guerre pour la récupérer!*
- Je n'aurais jamais permis qu'on déclenche une guerre à cause de moi, dit-je en baissant les yeux.
- Je sais, je vous taquinais...
Je passais un après-midi enchanteur... Nous discutâmes des heures entières. C'était si rare d'être ainsi en tête à tête... Vers le soir, nous allâmes nous promener sur les balcons des quartiers nords de la base. En contemplant la nuit, nous nous arrêtames tout à fait de parler. Les mots étaient devenus presque inutiles dans la connivence qui s'était installée. Doucement, nous nous regardâmes... Et doucement nos visages se rapprochèrent...
Nous fuyâmes la tentation au même moment.
Alors que nos lèvres s'effleuraient presque, je m'écartais vivement et il fit exactement la même chose au même moment. Mutante. Humain.
Interdit. Strictement interdit. Quoi que puissent crier mon coeur et le sien.

Angeïl -plage sud de Lito, 8h00

Je partis avec Hélia, ce matin-là. J'avais décidé de lui apprendre à nager convenablement et nous avions tous deux préparé nos sacs. Vive le congé donné par le lieutenant. Comme quoi, il lui arrivait d'avoir de bonnes idées...
Hélia était toujours affectée par la perte de son Aquali et elle riait peu à mes boutades; La pauvre... Toujours étauit-il qu'elle avait confiance en moi et c'était pas plus mal. Nous nous changâmes rapidement, l'un après l'autre, nous cachant derrière des rochers.J'espèrais que mon déguisement allait tenir, mais ca devrait aller, après tout, lors de ma dernière mission, c'était bien passé. Le soleil était déjà haut dans le ciel, et l'eau était bonne. Cependant, je sentais qu'Hélia était tout de même assez angoissée. Elle était hyper joli, avec un bikini noir qui me laissait voir son ventre plat et son joli nombril... Elle mit un pied dans l'eau:
- Elle est froide...
J'éclatais de rire:
- Et bien, facile de régler ca!
Je lui attrappais le pied et la fis tomber, sachant que l'eau ne lui arrivait même pas encore aux chevilles.
- Maintenant, t'es toute mouillée, l'eau doit te paraître bonne!
- Angeïl, t'es mort! fit-elle en se relevant.
- Oh, oh...
Elle me bouscula à son tour et nous nous retrouvâmes tous les deux dans la flotte tout au bord, entrain de nous éclabousser comme deux enfants en riant aux éclats. Au moins, elle serait plus détendue... Enfin, je dis:
- Alors, t'es prête à passer aux choses sérieuses?
Elle fit la grimace:
- Pas du tout, mais allons-y!
- Allez, viens, n'aie pas peur...
Je l'entraînais vers l'eau plus profonde, en lui prenant la main. Je m'arrêtais quand nous eûmes de l'eau jusqu'au cou. Elle ne lâcha pas ma main. Je la regardais dans les yeux:
- Maintenant, il y'a une chose que tu dois savoir. Ca t'aidera peut-être à avoir confiance. L'eau naturellement te repousse. C'est une loi de la nature. Tu ne dois donc pas avoir peur de couler. Tu comprends?
- Oui... murmura-elle d'une voix blanche.
- Alors pour commencer, fais la planche. Habitue-toi à sentir l'eau te porter. Ok?
Elle hôcha la tête. Mais en essayant, elle se tendit brusquement:
- Je n'y arrive pas... J'ai toujours peur qu'elle m'engloutisse...
- Hélia...
Doucement, je m'approchais d'elle et lui prit la taille, une main sur le dos, une main sur son ventre.
- Tu vois? Je te soutiens, si tu veux. Essaies, d'accord?
Doucement, elle se laissa glisser en arrière. Je la soutins avec la plus grande douceur, ne voulant pas l'effrayer. Je sentais qu'elle avait encore peur, mais que le contact de ma main sur son dos la rassurait. Doucement, je lui souris:
- Habitue-toi... Tu vois, tout va bien...
Elle me souris en retour et je résistais à l'envie de l'embrasser. Durant plusieurs minutes, elle resta donc immobile, essayant de s'imprégner... Enfin, je dis:
- Je vais te lâcher maintenant. D'accord?
- Non... je ne veux pas...
- Tu as pied, ici, tu sais?
- N'empêche... ca fait peur...
- Je suis là, tu couleras pas...
Elle finit par hôcher la tête. Doucement, pour ne pas la faire paniquer, je lâchais prise. Elle se laissa flotter, le souffle court.
- Tu vois? L'eau te porte!
- C'est... génial!
Elle se redressa toute seule, souriante.
- Bravo! Allez, maintenant, je vais essayer de t'apprendre les mouvements... Tu dois connaître un peu déjà tout de même?
- Oui, mais vu que je coulais dés que je m'éloignais...
- Allez! Mets-toi sur le ventre!
Doucement je la guidais:
- Allez, bats des jambes comme un Tarpaud!
Elle obéit... puis petit à petit son mouvement devint plus fluide. Je tenais ses poignets, la guidant dans son mouvement.
- Allez, je vais te lâcher, maintenant.
Elle hôcha la tête et je la lâchais. Elle fit quelques mouvements, puis revint vers moi:
- Tu y'es!
- Ca alors!!! C'est Maxime qui va en avaler sa casquette!
- Et Shark aussi, lui qui te dit hydrophobe...
Nous éclatâmes de rire. Puis je la regardais:
- Et puis... si tu as encore peur, je peux t'aider à vaincre ca... Ca ne t'interesserait pas de voir à quel point un océan est joli? Ce monde si bleu en dessous de nous...
Elle baissa la tête:
- Si tu es là...
- Allez, viens.
Je l'entraînais avec moi. Puis une fois plus loin, je lui dis:
- Tu veux tenter une plongée?
Elle accepta. Elle avait à présent confiance en elle et elle avait compris que je serais là, quoiqu'il se passe.
- Prends une bonne inspiration, plusieurs même, pour oxygéner ton sang.
Enfin je dis:
- Prête?
Elle hôcha la tête, et nous plongeâmes ensemble, découvrant le monde du silence. Des myriades de bébés Poissirènes se déplacaient un
peu plus loin. Des rochers de toutes formes et du corail étaient visibles. Un peu plus loin, un Corayon s'enfut en nous apercevant. Tout cela était peint de nuances de bleu féérique. Comment ne pas aimer l'eau? Ca m'échappait, quand je voyais ca. Me souvenant qu'Hélia ne tenait pas très bien, je remontais avec elle, ne voulant pas la traumatiser une nouvelle fois si elle buvait la tasse par accident.
- C'était magnifique! s'exclama-elle, une fois revenue à la surface. Je comprends pourquoi tu aimes tant l'eau...
- C'est l'une des plus belles choses au monde, murmurais-je doucement.
- Je n'y serais jamais arrivée sans toi... C'était...
Elle s'interrompit. Nous étions si proches à cette minute, que j'avais oublié tout ce qui pouvait nous séparer.
Ses lèvres rencontrèrent les miennes avec avidité. Je l'attirais contre moi, sentant mon coeur battre à grands coups. Je savourais le petit goût sucré de sa langue, promenait mes mains sur sa peau rafraîchie par l'eau. Je la sentis caresser ma nuque et mes mèches noires. Ses mains finirent par glisser dans mon dos...
Totalement enflammé par un désir profond, je la soulevais et l'entraînais vers la plage... derrière les rochers. Le sable doux était d'un coup si accueillant... Le souffle me manqua quand elle m'embrassa à nouveau. Nos mains s'égarérent partout sur nos corps, et je la sentis frémir. Je remontais mes mains sur son dos et dégraffais doucement son haut de maillot. Mes mains parcoururent sa poitrine et elle se mit à frissonner. Je sentais les siennes glisser sur mon torse, me faisant brûler de désir. Mes lèvres quittèrent les siennes pour se perdre dans son cou, entre ses seins... Puis, je remontais pour goûter à nouveau les siennes, si fraîche... tantids que je glissais doucement une main dans son entrejambe. Elle gémit contre ma bouche, et à son tour, je la sentis me faire subir la même torture, faisant s'enflammer mon bas-ventre...
Bon, ok, elle avait de l'expérience. Sans hésiter, je fis glisser le dernier tissu qui la recouvrait et elle fit de même avec moi. Quand nos bas-ventres entrèrent en contact, les sensations furent si brûlantes que j'en eus le souffle coupé. Je l'embrassais avec violence, jouant avec sa langue, glissant une main entre nos intimités pour la sentir frémir sous l'excitation. Jusqu'au moment, ou n'y tenant plus, je me glissais en elle. Nos corps se pressérent l'un contre l'autre dans un rythme lent au début puis plus rapide... C'était si bon, je me sentais si bien... mon coeur battant contre le sien, rempli de cette force douloureuse que j'avais répéré chez Shark et Flore... Je savais à présent ce que c'était. C'était l'amour...
Un amour fou, puissant...
Pour Hélia...
Quel bonheur de la sentir dans mes bras, partager un moment pareil avec elle... Je resserais encore plus notre étreinte, la dévorant de baisers brûlants. Son regard bleu étincellait... Enfin, j'accélairai davantage le rythme de nos corps, jusqu'à ce qu'enfin, l'extase explosât en nous... Je la sentis enfouir son visage dans mon cou et étouffer un bref cri sous la violence du plaisir.
Je roulais sur le côté et me relevais sur un coude pour la regarder, alanguie, ses longs cheveux noir-bleu dénoués ondoyant autour d'elle, brillants sous la lueur du couchant. Je passais une main sur son visage, la descendis sur son corps... Elle se blottit contre mon épaule et je l'entourai d'un bras.
- Je t'aime...
C'était sorti tout naturellement... Jamais je n'aurais pensé que ce mot puisse être aussi brûlant.
- Moi aussi, Angeïl... Je t'aime de tout mon coeur...
C'était le paradis... Atlantéa paraissait si loin... Pourtant...
Mon Dieu, qu'étais-je entrain de faire? Hélia était mon ennemie... Non, rien à faire, je ne pouvais pas la considérer comme telle.
En tout cas, j'étais sûr maintenant qu'elle n'avait contrairement à Flore vraiment aucune idée de ce que je pouvais être, sinon, jamais elle ne serait ainsi donnée à moi.
Mais mon peuple avait besoin d'anéantir l'OLDS pour sa survie...
Nous ne pouvions pas vivre éternellement dans l'eau, et c'était la faute des humains si on en était là.
Et puis... Ils avaient tué ma mère!!!
Ca, même tout l'amour que j'éprouvais pour Hélia ne pourrait jamais me le faire oublier...


*C'est la légende d'Héléne et de la guerre de Troie, bien sûr. ^^