La création de kamui shiro

Je reçu la colonne de l'énergie jaune en plein sur le ventre. Tous les habits de mon haut furent déchiquetés, et mon corps commença à me brûler. Je fus projetée contre le rocher. A demi-consciente, j'ordonnais à Rapasdepic d'exécuter son attaque.
- Ra... pic... Utilise... Mimique !!!!
Je tombais sur le sol, le corps brûlant, mais mes yeux était ouverts ; je voulais voir ce qu'allait réaliser mon oiseau. Le bec du pokemon se mit à briller comme une étoile, il ouvra grand ses ailes et envoya le rayon orange d'une puissance énorme sur le Grahyenna qui se reposait de son attaque précédente. Dans l'incapacité de bouger, il reçu l'attaque de plein fouet, hurla et roula vers moi. je pouvais le voir, il était bel et bien k.o. Mais je n'étais pas au bout de mes peines, la horde de Malosse se mit à aboyer brutalement, et à avancer vers rapasdepic qui était à plat. Je voyais mon sac, il y avait dedans les pokeballs. Même dans mon état, j'eu encore la force de me lever. Ne voulant pas que mon pokemon se fasse massacrer, je pris sa pokeball et le
récupéra.
- Rapasdepic, reviens !
Dans un éclair rose, il fut transféré dans sa ball, et la colère des malosses se fit de plus belle. Mais j'avais prévu le coup. Au moment où ils se préparaient à attaquer, je pointai une pokeball sur le corps du grand grahyenna. Il stoppèrent tous leur élan. Malgré la souffrance qui me tiraillait le ventre, je réussis à parler.
- eh, vous tous ! vous ne voulez pas que je l'attrape, non ?
la meute recula de peur, et certains des chiens se mirent à gémir.
- Cette idée n'a pas l'air de vous plaire, non ? ! si vous promettez que me laisser sortir de cette forêt sans me tuer, je vous le laisse.
La tribu des malosse et medhyenna se tut enfin. Les chiens reculèrent tous en guise d'acquiescement et je reculai ma main du grand loup. Ils ne bougèrent pas, leur colère s'était enfin estompée.
Je m'avançais difficilement vers mon sac, et y rangea la pokeball. Je regardais mon torse. Tout mon ventre était rouge brûlant, et me faisait énormément souffrir. Mon t- shirt rouge avait été totalement désintégré, mais heureusement, j'avais pensé a mettre mon magnifique veston de coté avant de recevoir l'attaque. je fouillai dans mon sac à dos et en sorti une boite de nourriture pokemon et une baie.
Je les posai à coté du pokemon blessé et m'en allai en enfilant le veston froid. La horde me laissa faire, et s'approcha du pokemon évanoui.
J'entrais dans la deuxième partie de la foret, et du m'arrêter à cause de la douleur. J'allais m'évanouir si cela continuai. Des envies de vomir me parcouraient la bouche alors que je me retenais tant que possible. Je sortis une patte humide du sac, et la plaqua contre mon ventre. Après cinq minutes de repos, et voyant mon état s'améliorer, je repris la route.

Une lumière s'échappait du feuillage au loin. J'arrivais enfin à bourgeon, il était le matin. Le soleil illuminait la foret entière, et la chaleur qu'il dégageait me fit presque oublier les souffrances que j'endurais. Je dépassais la masse verte de feuilles, et arriva dans un petit village. Mon premier réflexe fut de chercher un centre pokemon. Mais, à mon grand étonnement, il y en avait pas. je frappais alors dans une maison au hasard, et quelqu'un me répondit.
- Qui est -ce ?
- Euh... bonjour. je suis une dresseuse qui viens d'arriver de la foret.
- c'est ouvert, entrez !
- merci !
j'entrais, assis sur une table se trouvais un jeune homme. Il tourna la tête, je n'en croyais pas mes yeux.
- Docteur Camélia !!!
- Ulicia !
Pendant quelque temps, nous nous regardâmes, sans dire un mot.
- mais ! que faites vous ici ?!
- ce serai plutôt à moi de te poser cette question !
- je viens de traverser la forêt.
- tu... tu n'as pas fais ça, toute seule !
- oui... mais j'ai...
- tu as quoi ?
- j'ai très mal aux ventre... je me suis pris une attaque de plein fouet...
- Montre voir, c'était quoi comme attaque ?
- Ultralazer.
Le docteur ne pu rien dire. J'enlevais ma veste pour lui montrer. Il me fit signe de m'asseoir.
- Quelle horreur... ça dois faire super mal !
- Oui.j'ai envie de rendre.
- Vite il fait désinfecter tout cela. Ça c'est passé quand ?
- Il y a deux trois heures environ.
- Eh bien.
Il pris un linge, le trempa dans un produit bleu et l'enroula autour de la
blessure.je serrai les dents, cela me brûlais encore plus.
- je suis désolé, je n'ai pas trouvé de liquide qui ne pique pas.mais au moins tu seras vite soignée.
Je résistai pendant une minute et ensuite, Camélia enleva le linge. Il pris une bande en tissu et me pensa les plaies. Après avoir transformé mon ventre en momie, il s'essuya le front et parla.
- Je crois que ça peux aller, dans quelques jours, tu ne sentiras plus rien.
Mais il restera des cicatrices, malheureusement.
- Tant mieux !
- Mais dis moi, pourquoi voulais - tu venir à bourgeon ?
- La plupart des villes sont accessibles depuis ici. Il faut que je recueille un maximum d'indices sur...
- Sur ?
Je baissai les yeux. Devais - je parler de tout ça au médecin ? peut - être que lui en savait sur KERA, mais s' il faisait partie de se groupe ? il paraissait étrange, des fois. Mais le voyant me regarder d'un air soucieux, je lui révélais finalement tout.
- sur quelque chose où ma mère travaillait, KERA.
- KERA ? attend voir, je crois en avoir entendu parler. Mais ce n'était pas quelque chose de très joyeux, je pense.
- Qu'est - ce que vous savez dessus ? dites moi tout !
- Je sais qu'il y a une grotte souterraine nommée KERA. Ce lieu se trouve près d'Ecorcia, mais je ne sais rien d'autre de sa position. J'ai entendu dire qu'il y avait eu une fois un blessé avec sur la main marqué « kera ». quand il avait retrouvé ses esprits, il avait totalement perdu la mémoire.
C'était les médias qui avaient diffusé cette information.
- Vous m'avancez beaucoup ! merci ! il faut absolument que je retrouve ma mère, et avec ça, les recherches seront moins difficiles.
- Ta mère ?
- Oui.elle a disparu en ne me laissant qu'un mot. Vous voulez le voir ?
- Montre le moi.
Je le lui donnai, et il le lu. Quand il me le repassa, ses mains tremblaient. Je lui demandai se qui n'allait pas, mais il me dit qu'il
n'avait rien.
Je le remerciai alors de m'avoir soignée, et lui expliquai qu'il fallais que je soigne mes pokemon. D'après lui, il y avait une machine de soins dans l'immeuble du professeur Orme. Il me salua, et je fermai la porte. Alors que je me trouvais à l'extérieur, il se murmura des paroles étranges.
- Vélicia...

Je regardais le ciel, il faisait jour. A coté, il y avait la maison du professeur et je vis un dresseur qui y entra en trombe, suivi de trois autre gamins. A mon tour j'ouvris la porte, et observai avec amusement ce qui se passait. Il y avait quatre enfants qui se disputaient devant Orme.
- moi je veux hericendre !
- non c'est moi !
- germignon est a moi !
- et moi je prendrai kaiminus !