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Skitty 5 : La Légende de Skitty de Domino



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Informations

» Auteur : Domino - Voir le profil
» Créé le 15/03/2007 à 23:36
» Dernière mise à jour le 18/11/2008 à 17:37

» Mots-clés :   Présence d'armes   Romance

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Tuerie / Kumada vs Stanley / Troubles / Nouveaux
Le lendemain, Kyô présenta 3 nouveaux membres pour Maverick. Une grosse femme toute drapée de noir, un gamin banal et un type colossal habillé comme un G.I.
-Bien. Je vous présente Anastasia, Dan et Kumada, nos nouveaux membres. Je vais aussi désigner les nouveaux groupements.
Eulalie grogna.
-Comment ça ? Eh oh, t'avais qu'à pas aller faire tuer Jack !!
Kyô soupira.
-C'est nécessaire. Bien, Kumada, vous ferez équipe avec Thorn. Anastasia, je vous place aux cotés de Meredith. Et Dan, avec Methos.
Jurei releva soudain la tête. Methos s'exprima.
-Pardon ?? Je fais équipe avec Jurei !! Je... Il a besoin de moi !
-Désormais Jurei se chargera de ma protection personnelle.
-Mais.... Je n'ai pas envie de m'occuper d'un gamin !!
Le gosse en short bleu et en t-shirt blanc éclata de rire.
-Quel grande asperge ! C'est plutôt à moi de m'occuper de toi ! C'est quoi cette coupe de mer...
Jurei et Eulalie se levèrent, excédés. Le gamin recula, effrayé. Barbie s'approcha doucement du gosse, placé entre Anastasia et Kumada.
-Bonjour, petit...
Eulalie sourit.
-Vas-y, Barbie !
La jeune femme s'empara du cou du gosse et commença à l'étrangler.
-Ecoute-moi bien... Tu es censé remplacer des coéquipiers... Alors ne t'avise pas de faire ton malin. Sinon je te tue personnellement.
Barbie se releva.
-Boss. Prenez quelqu'un d'autre avec vous, comme ce Kumada. Mais ne séparez personne.
Jurei soupira. Methos de même. Eulalie les regardait, les yeux plissés. Barbie revint s'asseoir. Kyô soupira.
-Ok, ok.... Kumada, vous serez chargé de ma protection personnelle. Anastasia, je vous assigne à Dan.
La femme s'exprima avec un accent russe prononcé.
-Je suis d'accord mais je vous ai prévenu que j'avais la main lâche sur les enfants. Je les tue assez facilement à mains nues, c'est embêtant !
Dan déglutit. « Les flics m'avaient pas dit ça ! »
-Oui... Ca ne lui fera pas de mal, peut-être. Et puis vos rôles respectifs se complètent. Voilà. Vous êtes contents, vous quatre ?
-Très ! Acquiescèrent Barbie et Eulalie.
Meredith sourit.

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Peu de temps après, Eulalie et Methos déjeunaient à une terrasse. Le jeune homme semblait préoccupé.
-Eh, pète un coup, t'es pas à la patinoire…
Methos souffla un peu, puis :
-Il... Il n'a rien fait.
Eulalie hocha la tête.
-C'était donc ça. Je m'en doutais un peu…
-Je veux dire... Kyô allait nous séparer et... Il n'a rien fait. C'est grâce à votre intervention à toi et à Barbie que...
-Tu connais Jurei, il est excessivement timide. Et puis il s'est levé quand Dan t'a insulté.
-Mouais...
-Vous les mecs vous vous compliquez la vie inutilement mais à un point...
Methos semblait toutefois assez déprimé. Eulalie soupira.
-Vous n'aurez qu'à vous expliquer lors de la prochaine sortie. C'est pas plus compliqué.
-Toi, t'as pas ce genre de problème avec Barbie ! Vous êtes comme les deux doigts de la main.
-Disons plutôt qu'on se protège mutuellement. Donc ça se passe très bien. Et surtout elle et moi ne sommes que partenaires. Ce qui te lie à Jurei c'est tout autre.
-Hmm.... acquiesça Methos en rougissant.
-Tu fais trop de sentiments, Methos. C'est dangereux.
Methos regarde Eulalie.
-T'es pas la première... A me dire ça.

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Stanley était sur un banc dans le hall de l'hôpital.
"Mon frère est ici, dans cette ville... C'est pas possible !! Dites-moi que ce n'est pas vrai ! Comment ça se peut !! Je croyais que l'armée s'était débarrassée d'eux !"
Un grand homme habillé en militaire arrive dans l'hôpital, armé. Il est colossal. Stanley ne peut s'empêcher de le remarquer. Ses manches sont hautes et il remarque la gourmette d'or.
"Putain, non...."
Kumada prend son flingue et se met à tirer partout. Stanley plonge à terre tout comme les personnes qui se trouvent ici.
-Yiiiiii !!!!
-Aaaaaah !!!
-Au secours !!! Aaaah !!!
Kumada sort un Bouldeneu qui déploie ses lianes partout pour immobiliser le personnel.
-Je veux savoir ou se trouve Brice Seko.
Stanley fronce les sourcils.
-Donnez-moi le numéro de sa chambre. J'ai un assassinat à commettre.
-Oh mon dieu !!!
Kumada tue l'infirmière à bout touchant.
-Exécution !
Une aide soignante se met à son bureau et consulte fébrilement ses dossiers.
-Euuuh.... Euhhh, il.... Il est.... Euh....
Ca prend trop de temps. Kumada s'empare d'une grenade et fait exploser le kiosque. Cris, morts à la pelle... Stanley se couvre la tête avec son béret.
"C'est bien le style de la maison !!"
-Aaaaah !!!!
Affolée, l'aide soignante s'évanouit.
-Groumph.... Toi !
Kumada pointe son arme sur.... Stanley.
-Euh... Dheu....
-Ou se trouve Brice Seko ?
Stanley ne savait pas quoi répondre. Que faire !?!
"Quelle situation pourrie !!!!"
-Ou se trouve Brice Seko ???
-Euh... Je vais vous... Je vais vous mener à lui.
Stanley se lève.
-Je suis stagiaire ici. Je vais vous mener à sa chambre.
Stanley soupira, puis il s'avança. Kumada était derrière lui, ne rappelant pas Bouldeneu pour qu'il immobilise tout le hall. Des vieilles dames étaient effrayées.
Stanley monta les escaliers, menacé par un colosse capable de le tuer d'un simple coup de doigt.
-Ca risque d'être long.
-Long ? C'est un hôpital, pas un labyrinthe.
-Il y a des travaux dans certains escaliers.
-Hmph.... N'importe quoi. On s'en tape. Mène-moi à Brice Seko.
Si vous êtes déjà allés dans un hôpital, vous savez que c'est déjà labyrinthique, des escaliers partout, des services en pagaille, aucune logique, le tout étant construit selon la logique contradictoire que l'endroit ou vous devez être soigné doit aussi être le plus complexe possible. On ignore pourquoi. Toujours est-il que cela répond à une trigonométrie inexacte reposant sur des principes caducs.
Deuxième escalier. Stanley réfléchit à mille à l'heure.
"Il va me tuer ! Même si il trouve Brice je vais mourir..."
Le pas de Stanley est paradoxal : Il va lentement mais il est pressé de s'enfuir. Le pas des futurs morts dans une liste de personnages de fic.
Après tout, ça ne fait qu'une saison qu'il est là. Pourquoi le laisserais-je en vie ?
L'avantage d'être auteur c'est cette propension hécatombiesque à tuer. Apprenez-le : Chaque lecteur est mentalement dérangé, secoué du bananier bref complètement à la ramasse. En réalité nous sommes des tueurs refoulés, et nous étalons sur diverses pages d'écritures nos tristes méfais inconcevables.
Stanley, le personnage qui allait donc mourir parce que je le veux grimpait marche après marche en tenant la barre. On en arriva au service neurologique. Ils traversèrent le long couloir.
Détour terrifiant : Brice étant aux urgences. Passage éclair devant la morgue : « A tout à l'heure ! » songea Stanley, pessimiste.
Kumada tenait sans sourciller son fusil. D'un simple crochet du doigt il tuait Stanley.
Ils croisèrent des gens, patients ou infirmières, certains effrayés, d'autres sans réaction. Un vieil homme arrêta Stanley.
-Dites moi, vous...
Son cerveau vola jusqu'aux plateaux repas ou il prit la place de la carpe farcie. Bon appétit !
Stanley regarda Kumada alors que la panique régnait.
-Avance.
Une infirmière eut le malheur de se heurter à Kumada. Il s'en saisit et la menaça.
-Non !!! Non pitié !!!
Stanley était éberlué.
-Mène-moi à Brice Seko.
-Ah !! Aaaaah !!!
-D'accord, D'accord ! Mais je vous en prie, ne lui faites pas de mal !
-Tu m'es inutile. Je peux demander à n'importe qui !
Il s'apprête à tuer l'infirmière.
-Tout le monde panique ! Personne ne vous dira rien, vous êtes un tueur ! Personne d'autre ne vous informera et vous allez perdre des heures à fouiller ces chambres !!
Kumada prit Stanley en grippe. L'infirmière pleurait.
-Et je connais personnellement Brice Seko. Je suis le seul ici qui peut vous mener à lui. Alors surveillez-vos ardeurs.
Il se retourna, prit une grande inspiration et avança dans le grand couloir clairsemé. Il poussa un plateau repas ou reposait un cerveau en salade de carpe farcie.

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-Et ce matin, ils ont dit à la radio que la police s'était mise en alerte.
Brice respira bruyamment.
-Ces types sont trop forts. Trop forts pour la police.
Mary se mordilla les lèvres.
-Je sais mais tu as réussi à en battre une...
-Ces types ne s'arrêteront pas.
-Je sais... Enfin je me doute.
-Mary... Je suis sur qu'ils en ont après toi.
Mary s'étonna.
-Je suis la gentillesse même ! Comment oseraient-ils....
-Mary.... J'ignore pourquoi. Mais j'ai un mauvais pressentiment.
-Mais non, voyons ! Je peux me défendre !
Mary avait entendu des bruits mais elle n'osait pas sortir. Elle monta le son de la télé.

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"Réfléchissons..."
Cette fois c'était la radiologie. Stanley transpirait à grosses gouttes et il priait pour ne pas arriver à un cul de sac.
"Monter le moins d'escaliers possibles."
La logique même. Sérieux, vous monteriez des escaliers vous ?
"Toujours tourner à droite"
Car les hôpitaux sont fait de telle manière que les passages à gauche sont des cul de sac.
"Ne pas désigner une chambre au hasard..."
Bah voyons, pour te faire tuer avec des malades innocents ?
"Respirer calmement..."
C'est beau la jeunesse !
Kumada continuait à tenir fermement la jeune fille. Stanley arriva devant la chambre de Brice. Il se mit face à Kumada.
-Voilà sa chambre, mais relâchez là. Je vous en prie.
Kumada regarda le gamin.
-Tu n'as aucun cran. T'es une lavette.
Stanley soupira.
-Vous n'êtes pas le premier à me le dire.
Kumada lâcha l'infirmière. Au moment ou il allait défoncer la porte, Coatox sauta dans le couloir et se saisit de l'arme.
-Que....
Le crapaud ricana et tordit le fusil.
Stanley sortit une PokéBall.
-D'homme à homme ! Vous voulez qu'on voie qui a du cran ?
Kumada ne se laissa pas démonter.
-Petite merde. Yanmega, éclate moi ce petit merdeux !
Une énorme libellule apparut.
-Chartor !! Lance Flammes !!!
La tortue de Stanley envoie un feu dense et puissant mais Yanmega esquive et se pose sur Chartor. Les vibrations de ses ailes font peter les vitres.

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-Qu'est-ce qui se passe !!
Brice plissa les yeux.
-Mary ! Ne sors pas !
-Quoi ?
Brice sembla stressé.
"C'est eux..."

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Stanley rouvrit les yeux. Kumada s'approchait de lui. Le jeune dresseur était choqué, la vibration avait mis KO son Chartor et l'avait propulsé avec l'infirmière contre le mur d'en face.
Kumada s'empara de Stanley, et il le porta 1 mètre au dessus du sol.
-Meurs.
Stanley lança une PokéBall contre Kumada qui allait frapper Stanley. Charkos frappa Kumada en plein ventre, lui faisant lâcher Stanley est projeté à travers la fenêtre.
Charkos fonce et utilise double coup de boule pour renvoyer Kumada de l'autre coté de l'hôpital.
Le Pokémon défonce le mur et envoie Kumada traverser le toit de l'entrepôt en face. Stanley chute aussi de son coté, mais il envoie une PokéBall. Il s'accroche à une des branches de Torterra.
-Ouf... J'ai eu chaud !
Stanley retombe sur la carapace du Pokémon et fond en larmes.

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Dans l'entrepôt, Kumada se relève.
-Hng....
-Echec et mat, Kumada.
Le colosse se retourne.
-La prochaine fois je l'aurais.
Kyô soupire.
-Nous avons affaire à des ennemis très intelligents.
-J'y retourne.
-Surtout pas. On va attendre. On frappera plus tard.
Kyô sourit et tira une taffe.

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Créfadet volait paisiblement à travers la city de Pokétopia.
Il arriva à une sorte de plaine grillagée.
Lorsqu'il la franchit, il se stoppa et s'évanouit en poussière d'étoiles.
-Bien joué, arme gouvernementale.
L'arme soupira puis s'en retourna à ses appartements. Le militaire la regarda.
-Ou allez-vous ?
-Me reposer. J'en ai besoin.
Mewtwo rentra dans son bunker.

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Un peu plus tard, Stanley expliqua ce qui s'était passé à la police. Krant, Mary et Brice, sur ses béquilles, étaient fixés.
-On a des ennemis.
Stanley revint vers les trois autres.
-Bon, bah j'm'en suis sorti vivant !
Mary serra Stanley contre elle.
-J'ai eu si peur !
-Ne t'en fais pas, Mary. Je savais à qui j'avais affaire.
Mary regarda Stanley.
-Quoi ?
Stanley hocha la tête.
-C'est Maverick. J'ai bien connu l'un d'entre eux. Ces types sont de vraies crapules.
Krant hocha la tête.
-Mais on ignore leur but exact.
Mary semblait inquiète. Elle se tourna vers ses trois amis.
-On devrait partir ! On n'est pas de taille ! C'est de la folie de rester ! On ne peut pas continuer à se faire attaquer comme ça !
-Mary Martin ? Brice Seko ?
Le groupe se tourna vers la voix hispanophone. Une grosse dame avec un tablier vert et rouge "Taco Bar". Elle s'avança vers les quatre Dresseurs.
-Bonjour. Me llamo Josetta, Jé souis gérante dou Taco Bar. Yé à vous parler.
Brice s'étonna.
-Nous ?
Josetta hocha la tête.
-Esta à propos dé Maverick. Ces hijos de su mama vont comprendre leur douleur. Yé besoin de vous.

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Sur la lune, un monstre observait la terre.
-Raaah.... Monstres ! Vous vous êtes débarrassés des lutins !
Les trois elfes baissèrent la tête.
-Désolés, Maître Darkrai....
Le maître des ténèbres envoya sur les trois elfes une boule d'énergie noire. Les trois créatures se dispersent. Darkrai va voir Cresselia, attachée dans une cage noire. Les larmes coulaient sur les yeux du Pokémon.
-Tu te sens bien ? Tu aimes ce que tu vois ?
-Laisse-moi partir... Et laisse les pauvres elfes, ils sont innocents !
Darkrai électrisa la cage.
-TU ES A MOI ! TU ES MA CHOSE ! JE VAIS REDUIRE LE MONDE EN CENDRES !!! JE VAIS TOUT FAIRE MOURIR !
Le Pokémon ténèbres s'envole alors... Vers la terre !
-RAAAAAAAAAAAAAAH !!!!
Cresselia pleure de plus en plus.
"S'il te plait, Skitty... Sauve le monde !"

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On est ou, nous ? Purée on est devenus complètement secondaires !
-Ah j'adore cette ville ! S'écria Tarsal.
Bon, on a été chez l'épicier.
-C'est super, c'est moi qui porte le sac... Grommela Absol.
-Ouais ben crotte ! T'es un chien, les chiens portent les commissions ! Ricanais-je.
-Skitty ! Pas de racisme anti-chien ! Grogna Charmillon.
-Cette fic prône déjà d'assez mauvaises valeurs ! Ajouta Gobou.
-Comme ?
-Le vol ! Ricana Tarsal.
-Le meurtre ! Songea Absol.
Shaymin avançait tristement à nos cotés.
-Eh vieux, ça va ?
-Non, pas trop. Je me sens de plus en plus mal. Ma mission a échoué, et je suis inutile ici !
Gobou allait dire quelque chose mais...
-Meuuuuh non mon gros ! Allez prends de la téquila !
Gobou m'envoya un pistolet à O.
-ARG ! Eh la poissonne ! Calmos !
-Skitty ! Ce n'est pas ça qu'il fait faire pour rassurer quelqu'un ! Il faut lui parler, être doux !
Shaymin nous regardait nous disputer. Absol soupira. Charmillon ricanait. Tarsal se descendait une bouteille de Yop.
Le hérisson blanc soupira. "Qu'est-ce que je fais avec eux..."
Soudain, dans le ciel, une étoile rouge apparut.
Nos yeux comme ceux des habitants s'élevèrent. Puis ils s'endormirent tous l'un après l'autre.
-Tout le monde s'écroule !! S'écria Shaymin
Nous tenions bon. Du moins on ne voyait pas ce qui...
Soudain il apparut devant nous.
Un démon, une ombre ténébreuse
-MAINTENANT.... C'EST MOI CONTRE VOUS.
Le monstre passa sa main à travers Gobou.
-GOBOU !
Notre amie s'écroula.
-GOBOU !!!!
Je fonçais pour latter ce sale monstre mais il me chassa d'un coup de griffe. Il emporta Gobou, inconsciente.
-GOBOU ! NON !!! RAMENE LA !!!
Darkrai s'envola, nous laissant bêtes et méchants.
J'étais choqué.
Absol n'en revenait pas.
Tarsal se sentait tout bête et son Yop lui coulait dessus.
Charmillon était tétanisé.
Shaymin fronçait les sourcils.
"Pas lui ! Pas le commanditaire noir !"