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» Auteur : Hikadey - Voir le profil
» Créé le 01/12/2009 à 22:28
» Dernière mise à jour le 15/10/2010 à 19:27

» Mots-clés :   Aventure   Humour   Présence d'armes   Présence de personnages du jeu vidéo

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12 : Bourg Palette, un monde de couleurs s'ouvre à vous.
Notre chapitre commence dans un lieu blanc, blanc comme la poudreuse recouvrant la terre d'une quelconque forêt après une tempête. Il n'y avait rien à perte de vue, seul la divine couleur dominait, pas une tâche, ne fut-ce qu'une légère poussière, dans cet étrange paysage, Arno déambulait, sans but
- He bien, où suis-je ? dit-il en scrutant le lointain.
Il resta plusieurs secondes, puis il entendit des bruits de pas, il vit une silhouette se rapprocher de lui, il vit alors Yami, ses courbes généreuses se mouvant au doux son de ses sautillements remplis d'allégresse.
- Ah salut ! Tu es là ! dit-il en souriant content de voir une connaissance
-Oui j'ai hâte de continuer les leçons. dit-elle en se collant au jeune garçon, posant délicatement son index sur sa langue.
Arno fut surprit de cette attitude, bien sûr il ne savait pas où il était ni ce qu'elle faisait là. Il ne se rappelait plus depuis combien de temps il errait à travers le néant. Comprenant les intentions de la jeune fille, il décida de s'offrir à elle, pouvant jouir de plaisirs terrestres avant qu'il ne meure de faim dans ce désert.
-Oui.. En effet ! dit-il avec un air intéressé. Nous en étions à l'orga... c'est ça ?!
-Oui... répondit-elle collant ses seins contre le poitrail du jeune homme.
Ne sachant pas du tout comment il fallait si prendre, il jugea bon d'envoyer ses Pokémon pour les mettre dans le bain, il aperçut alors ses Pokéball à sa ceinture. Etant étonné de les voir, il ne se posa pas plus de question, malgré la surprise de voir qu'il ne les avait pas rangés. Il prit les deux sphères en mains et les envoya sur le sol. Ses deux esclaves Pokémon apparurent alors au milieu d'une fine brume blanche les rendant comme irréels.
-Aller !! Vous aller vous accouplez. dit-il sans aucune gène à ses deux Pokémon.
-Mais maître. dit lentement Draco avec une voix fluette. Nous sommes des mâles.
-Tiens depuis quand vous parlez ? demanda-t-elle de plus en plus curieux de savoir ce qui se passait dans ce monde.
-Ne t'en fais pas Arno... dit Yami rougissante et comme essoufflée. Je sais le faire... Mais je ne peux plus tenir...
-Moi aussi... répondit Arno qui commençait à déboutonner son pantalon.

[Afin de ne pas choquer nos jeunes lecteurs voici une courte ellipse]

Cela faisait maintenant 5 minutes qu'Arno et Yami étaient plongés dans leurs ébats, éprouvant une brûlante passion envers l'un et l'autre. Ils étaient à présent à terre, Yami, allongée sur le ventre d'Arno à moitié assoupie, une expression de joie sur son visage.

-Arno... murmura-t-elle dans un dernier soupir
-Yami...
-Arno... Arno... Arno... ARNO !!

-Hein !! s'écria-t-il avant de se cogner violemment le crâne contre le sol de sa chambre.
Il leva légèrement les yeux, sa mère toujours accompagnée de son éternel sourire d'ahuri le regardait pointant le cadran de sa montre.
-Nous sommes le 3 Septembre ! C'est la rentrée jeune homme, allez ! Va déjeuner.
-Pourquoi c'est toujours aux meilleurs moments des rêves qu'on me réveille. Pensa-t-il en se relevant, frottant sa tête.
Après avoir furtivement jeté un regard à travers la fenêtre il descendit les escaliers ruminant les évènements de ces dernières journées :
Après avoir quittés Léo, Arno avait passé une nuit de plus à Carmin sur Mer. Le lendemain, il eut décidé de rentrer chez lui, Yami avait tout naturellement l'accompagner, cela ne l'avait point dérangé, étant ravi d'avoir une présence féminine dans sa vie quelque peu morose.
Ils prirent alors la grotte Taupiqueur, raccourcit vers Jadielle, ce tunnel de 50kilomètres entièrement creusé par ces Pokémon cavernicoles était un bon moyen de gagner du temps.
Après quelques péripéties ils étaient arrivés à Jadielle, de la ils avaient pris un taxi et ils arrivèrent le soir du 25 Août à Bourg-palette.
Sa mère avait été quelque peu surprise de la présence de la jeune fille, mais savant sa mère naïve, Arno lui eut raconté qu'elle venait vivre chez eux dans le cadre d'un croisement culturel. Cela avait tout naturellement enchantée sa mère contente de voir que son fils s'intéressait à son nouveau pays, ce qui naturellement était faux.

La cuisine était silencieuse quand Arno y pénétra, le soleil filtré par la fenêtre entrouverte baignait la pièce d'une mielleuse couleur. Sa mère lavait les quelques couverts du repas frugal de la veille, renversant de la mousse sur le carrelage brute. Sur la table brune, d'enivrantes senteurs s'échappaient d'un panier contenant de nombreuses viennoiseries.
-Arno, tu dois être affamé ! Tiens mange donc un de ces délicieux croissants. Lui dit-elle d'une voie mielleuse en lui tendant le panier d'osier.
Dedans, trois pâtisseries encore chaudes ; cuites juste assez et bien beurrées, semblaient n'attendre que d'être saisies par des dents avides et désireuses. Rien n'aurait su leur procurer plus de plaisir que la caresse d'une langue enivrée, et c'eût été un crime que de ne pas succomber avec dévouement aux délices qu'elles promettaient.
-Ils chont chuper bon ! dit-il en les dévorant ! Tu peux me faire un chocolat chaud ? Moi je vais mettre mon uniforme !
-Oui mon chéri ! dit-elle sortant une tasse de l'armoire.
Dans a chambre, posé sur la chaise de son bureau, reposait son nouvel uniforme ; typiquement Japonais, celui-ci était composé d'une chemise azur au long col et d'un jeans bleu également.
-Je vois que notre directeur est un fana du bleu...
Après avoir but goulûment sa tasse de chocolat, Arno se mit en route vers son nouvel établissement. Les rues silencieuses du Bourg palette étaient entourés d'une légère brûme, certes mais humide... La ville était encore assoupie, malgré cela tous les élèves devaient commencer leurs cours à sept heures, disant que c'était l'heure propice au développement intellectuel des adolescents au contraire de toutes les études scientifiques qui affirment que neuf heures est le moment idéal.
Après quelques minutes de marche dans les rues de son village, il fit face à son nouveau lycée. Enfin, pas exactement c'était à vrai dire le même que l'année dernière, cet établissement assurait à la fois le collège et le lycée, il ne serait donc pas dépaysé. Cet établissement privé, offrait les meilleurs résultats de la région, près l'école crève-coeur, école réputée pour former la nouvelle élite des dresseurs et la réussite intellectuelle du Japon.
Après avoir observé une dernière fois, les collines aux lourds reflets mordorés scintillants aux lueurs de l'aube rosâtre, il se dirigea vers le réfectoire où l'annonce des classes serait effectuée.
Une fois à l'intérieur, dans un bâtiment rectangulaire en marge du principal, il prit place au milieu des nombreuses chaises disposées de façon à donner l'impression d'un auditorium.
Lorsque tout le monde fut installé ; un petit homme, gras, aux énormes lunettes de soleil, le crâne dégarni et à la petite moustache, prit place sur l'estrade située au fond de la pièce, mit sa bouche au micro et se racla la gorge :
« Bonjour chers élèves... Eh bien... Euh... Comme vous le savez, euh... Eh bien c'est la rentrée... Peut-être que parmi vous il y a des nouvelles têtes ou des habitués... Euh... Ah excusez-moi je ne suis pas doué pour les discours... Et, ah merde... Je bide là... Le directeur passa une bonne minute à bégayer parlant tout seul sous les yeux écarquillés des éleves et du corps enseignant.
- Mhh... Alors... Euh oui... Eh ben... J'espère que vous nous offrirez les meilleurs résultats... Et... Ah putain!... J'me fous la honte là... Et... Oui... Bon... Euh et... N'oubliez pas travaillez bien... Parce que parfois... Ya des mecs... Oui bon, c'est pas tout les mecs... Mais... Euh... Et oui... Car ya des mecs... Vous voyez .et ben ces mecs... Ils... Non euh... Et...

1 heure plus tard...
« Ah OUI et... Surtout !!... (Ah chier j'ai oublié ce que je voulais dire)... Eh bien... Oui là écoutez-moi je parle du règlement ! Tout fauteur de trouble sera... Et... RAhhh !! (Et bon voilà heureusement que j'ai préparé une anti-sèche) : Je veux faire du Japon une nation plus juste, qui plairait à tous les hommes sans pour autant les réduire à l'état de bête insouciante, car l'on sait très bien que l'homme devient primate si on lui laisse trop de libertés, selon le philosophe Marc Acrin, qui voit en la liberté un aspect néfaste de la nature humaine, propre à la destruction pure et simple de son espèce, et qui ajoute par la même occasion que l'homme ne peut être heureux que lorsqu'on lui place des barrières. En franchissant ces barrières, il peut alors se voir comme un hors-la-loi, fier ou comme un fautif. Hors c'est cette notion même de faute qu'il faut inculquer à l'homme, afin de le gêner lui même dans son dépassement de l'autorité. Ceci-fait, il sera alors... Il ne pu finir sa phrase car il avait tout lun d'un coup et n'avait plus de souffle.

-Monsieur Je crois que je vais prendre la parole. dit un des professeurs.
-Oui... Moi je vais chercher une corde, j'vais m'pendre ! cria-t-il en partant à toutes jambes.
-Bonjour... Je suis Akira Iwamura... Et je suis professeur d'éducation civique je tiens à vous dire...
1 heure plus tard...

-ET LE PREMIER CON QUI NE RECOUVRIRA PAS SES LIVRES IRA EN ENFER !!!!!!!!VOUS ENTENDEZ ?!!! EN ENFER !!!! CAR C'EST LA PIRE DES DEGRADATIONS LA PI-RE !!!!! Sinon bonne journée ! dit-il avec un sourire comme si rien de tout cela ne s'était produit.
Arno fut envoyé dans la seconde A, après cela, il alla chercher ses livres et se retrouva rapidement le sac plein à craquer. Après quoi, leurs professeurs leur firent un léger briefing de la situation et leur donnèrent leurs emplois du temps. Cela finit ils retournèrent chez eux, afin de se préparer pour la rentrée qui commençait dans deux jours.

10 Septembre 2009
1 semaine s'était à présent écoulée depuis la rentrée, les cours ne lui paraissaient pas si terribles que ça, mais son problème persistait encore, personne ne daignait à lui parler et il ne pensait qu'a Yami, comptant les heures le séparant de leurs retrouvailles.
Ce jour-là, il était assis, un château de cartes sur son pupitre, la récréation avait sonné et il ne restait que lui dans la salle, lui et Satoshi, un jeune Nippon aux cheveux noirs hérissées constamment en retard.
-Aller Arno vient jouer au basket avec nous ! dit-il s'apprêtant à sortir.
-Non merci ! Et puis de toute façon si vous me prenez dans votre équipe je vais vous faire perdre.
-Oui ! Tu as raison... Bon ben à plus.
-Ahhhhh ! soupira-t-il voyant que cinq minutes s'étaient écoulés. J'ai toujours aucun ami dans cette école, bon je vais dehors ça me changera les idées...
En pénétrant dans le couloir, il vit Satoshi fonça sur lui, la mine proche de l'extase, de la bave coulant de sa bouche. Arno, rapide, fit un vif pas de côté et le laissa s'écraser contre le mur
-Bravo 1000 points !! annonça-t-il en applaudissant.
Le jeune aux cheveux noir en épi coupe tecktonik se releva sans présenter aucune blessure apparente et se mit à sautiller en s'adressant à Arno.
-Hé Mec qu'est-ce que tu fous ! Ya une meuf super bien roulée qui te cherche.
-A bon !! dit-il l'air intéressé sans pour autant s'empêcher d'avoir un mauvais pressentiment.
Loin de là dans, les couloirs, des groupes d'élèves observaient d'un oeil avide la gracieuse créature, leurs coeurs battant au son de ses pas.
- Oh putain la bombe ! dit l'un en crachant du sang de son nez
- Arrête j'vais bander ! dit un autre.
-J'vais mourir avec tout ce sang qui coule de mon nez !
-Eh lé mek vs penC a ske jpens ? dit un jeune garçon caché dans l'ombre.
-Oué !! lol.
Yami continuait d'arpenter l'école, sans prêter attention aux regards des élèves et à leurs réactions d'adolescents.
-Arno ! Arno ! Où es tu ? demanda-t-elle observant les alentours.
Déjà, pleins de garçons, leurs chemises couvertes de sang s'étaient attroupés atour d'elle sous les regards furieux de leurs petites amies.
-Euh... Mademoiselle on va vous aider à trouver ce Arno dit l'un d'eux.
-C'est vrai ? Merci !
A cet instant précis, Arno et Satoshi débarquèrent dans l'assistance essoufflés d'avoir autant couru.

-Yami !? Qu'est ce que tu fais là je t'avais dis de rester à la maison !! s'écria Arno la voyant.
-Oui mais tu avais oublié ceci ! lui dit-elle en lui tendant une boîte de viennoiseries.
-Ah... merci.
-Dis nous Arno c'est quoi ta relation avec cette meuf ?! demanda Satoshi.
-Oui, cette fille... renchérit un autre.
En un éclair, une idée naquit dans l'esprit du jeune adolescent, une idée qui lui assurerait la gloire, le rendant l'être le plus cool du lycée.
-Ah elle, c'est ma p'tite amie ! dit-il avec un air de frimeur un rictus aux lèvres. Il s'attendait à cet instant à recevoir des éloges lorsqu'il entendit :
-Ah l'encoulé !! fit un mexicain en donnant des coup de poings sur la paume de sa main droite.
-J'arrive pas à croire qu'il sorte avec une plus jolie fille que moi, AVANT MOI !!!!
-Venez, on va lui faire sa race !!! cria un autre élève de première.
-Koupon lui la bite !!!! s'écria un kikoolol.
Vif d'esprit il comprit qu'il ne fit pas bon de rester dans les parages, il attrapa le bras de Yami et s'enfuit dans les couloirs, poursuivit par une horde d'élèves enragés, poussés par le désir de leur instinct bestial.
-Pourquoi ils sont en colère ?? demanda Yami d'une voix innocente.
-A cause de toi ! cria Arno cherchant une issue.
-On va lui fèr ségné !!!
-Putain !! Ils gagnent du terrain !!

Il vit aussitôt une fenêtre, il savait qu'ils étaient au premier étage et connaissait la violence des élèves, avant qu'ils ne reculeraient devant rien pour une fille, il s'élança à travers la fenêtre fermant les yeux.
-Aïe !!!!
Parmi les débris de verres, Arno était étalé sur l'herbe touffue, à un mètre de la fenêtre.
-Ca va ? Tu n'as rien ? Demanda Yami.
-Non !! CA VA ! cria-t-il furieux d'avoir oublié qu'ils étaient au rez-de-chaussée ! Attends chut ! dit-il en la plaquant au sol.
-Ou il é paC ? demanda un Kikoolol scrutant les environs.
-Je sais pas, continuons à chercher. dit un autre en s'élançant à travers le couloir, suivit d'une dizaine d'élèves.
Voyant qu'il n'y avait plus de danger, Arno se releva en soufflant, Yami le regardant à présent, et illuminant les enviions de son large sourire dit :
-Au fait je ne t'ai pas dit je me suis inscrite !
-Inscrite ? dit-il étonné.
-Oui, ta maman m'a demandé pourquoi je n'allais pas en cours, puis j'ai été étonné et elle m'a tout expliqué, que je devais aller à l'école et tout ça....
-Et t'as fait ça toute seule ? demanda-t-il surpris de voir que Yami pouvait se débrouiller seule.
- Oui, elle m'a dit la direction et on m'a dit de m'adresser à un certain « directeur » !
-Ah... Ce vieux pervers de directeur...
-Si tu veux je te raconte, ça s'est passé comme ça :
Chers lecteurs, nous allons à présent faire un flash-back dans l'esprit de Yami pour mieux vous expliquer la scène ci-contre :
Cela commence dans le bureau du Principal, dirigeant du lycée Saïnan, malgré l'apparence très rangée et posée de son local, il se cache que cet homme fait parti d'une des plus dangereuses espèces de pervers : « Les matteurs » ! En effet ceux-ci sont reconnaissables grâce à leurs énormes paires de lunettes noires et leur collection de magazines pornographiques. Généralement les individus de cette espèce se situent dans la moyenne d'âge des 60-90 ans.
Le sérieux principal que voici était actuellement affalé sur la chaise de son bureau, lisant d'un oeil avide les playmates d'un magazine à caractère pornographique. Alors qu'il était en train de s'efforcer de garder sa précieuse hémoglobine, Yami pénétra dans la pièce ce qui eu pour effet de susciter chez lui un énorme sentiment de peur.

-Ah euh... Bonjour dit-il en cachant son magazine.
-Bonjour ! Je voudrais m'inscrire dans votre école s'il vous plaît.
-Dans... M-Mon école ?! Eh bien... Euh... Oui d'accord avez-vous un dossier scolaire ?
-Un dossier scolaire ? Non je n'en ai pas.
-Vous êtes sûrement venue pour nos cours de dressage, nous offrons les deuxièmes meilleurs résultats de la région. Avez-vous un Pokémon ?
-Pourquoi ?
-Jeune fille avez-vous entendu parler par le plus grand des hasards des Pokémon ?
-Pokémon ?... Mhh ça ne serais pas un truc qui se mange ?
La mâchoire inférieure de son interlocuteur manqua se décrocher tant il était étonné. Il faut avouer, à sa décharge, que malgré son âge il continuait de manger une nourriture saine et demandant parfois quelques efforts de mastication qui avaient pu l'user, à force ; de plus il s'offrait parfois un chewing-gum, pour se féliciter de ses recherches au sujet de l'orifice postérieur féminin.
-Tu... Ne... Vous... Pokémon ? Bégaya t-il.
-Bon je ne comprends pas trop, mais je veux juste venir dans votre école.
-Ah... Eh... Bien je crains fort que ça ne soit impossible. Désolé. Il allait à présent retourner à ses fantasmes de vieil homme lorsqu'il eu, par mégarde, la chance de poser les yeux sur la poitrine de Yami.
-Arrghh !! fit-il se tenant le nez.
-Quelque chose ne va pas ? demanda-t-elle.
-Euh..k Non rien... (A non j'peux plus tenir)... Euh... Ecoute-moi !!
-Oui ?
-Je vais t'inscrire... Mais il faut que tu me laisse toucher tes seins. dit-il d'une voix fluette.
-Je ne comprends pas...
-Mais tu sais... Paf, paf !
-Paf... Paf ?
-PAF ; PAF ! dit-il en mimant un pelotage de seins.
Yami fit un bref saut dans sa culture générale et se souvint qu'Arno avait déjà prononcé ce terme et en avait même expliqué les préceptes. Se souvenant de cela elle s'écria :
-Ah oui ! Je crois savoir c'est quoi ! C'est vrai vous m'incrirez ? Alors c'est d'accord ! dit-elle en enlevant son T-shirt dévoilant ses magnifiques seins.
L'horrible scène commença alors, le vieil homme caressait de ses mains usées par le temps, - le doux épiderme de la jeune fille, la pelotant sous tous ses angles il projetait des salves de sang provenant de ses orifices naseaux aux quatre coins de la pièce.
-Paf, Paf ! Et repaf ! Et rerepaf ! cria-t-il jouissant d'un bonheur absolu.
-Alors je suis inscrite ? demanda-t-elle lorsqu'il n'en pu plus.
-Oui... Oui, je m'occupe de tout
-Merci !
-Ca vaut le coup de vivre vieux... soupira-t-il regardant la jeune fille sortir de la pièce tachée de rouge.
Fin du Flashback...

- Voilà comment ça s'est passé ! Termina-t-elle.
-Yami, tu veux un conseil ?
-Oui...
-T'approche plus d'ce type !

Après avoir partagé son repas à l'abri des regards, derrière un buisson, de crainte de n'être retrouvé par ses assaillants, il alla en cours de Japonais, car bien que le parlant couramment, il ne maitrisait guère toutes les subtilités de la langue.
Dans la salle de Madame Misaki, leur professeur, réputée pour être très « chiante » il prit place sur un pupitre en face du tableau, afin de se protéger d'éventuelles attaques. Arno avait déjà eut Madame Misaki pour institutrice, pour vous aider à vous faire une idée d'elle, dites-vous qu'elle était en parti responsable du dégoût d'Arno pour le Japon.
Cela faisait cinq minutes que la cloche avait sonnée et personne n'était entré, soudain la porte s'ouvrit, et le directeur, des larmes coulant sous ses lunettes, pénétra dans la pièce, un papier à la main
-Bonjour, je viens vous annoncer que... Madame Misaki... Est morte... pleura-t-il.
-YYYYYYEEEEEAAAAAAHHHHHHH !!!!!!!!!!!!!!Crièrent tous les élèves prit d'une soudaine envie de danser sur les tables.
-« Yeah » n'est pas la réaction que j'attendais de vous...
-Youpi !!!
-Youpi, non plus...
-Youah ?
-Dites-moi, vous avez l'intention de dire tous les mots que vous connaissez commençant par Y.
-Yipipip !
-Non monsieur Motémitsu « Hipipip » commence avec un H et non un Y.
Pendant que tout le monde fêtait cet incroyable évènement, une jeune fille, la tête dans ses bras, pleurait.
-Allons mon enfant ne pleurez pas ! Consola le directeur... Nous devons faire face à l'adversité
-Non... J'ris aux larmes !! Ah ! Ah ! Ah ! Pouffa-t-elle.
-Quoi !! Cuistre !
-Euh monsieur ! dit Arno en levant la main. De quoi est-elle morte ?
-Le conseil d'administration a décidé que... Pour ne pas vous choquer, nous ne vous dirons pas la cause du décès, et afin de vous salir la conscience jusqu'à la fin de vos jours... Bon, juste avant de se suicider...
-Ah ok super discret le mec... soupira Arno.
-Madame Misaki a laissé ce testament par terre au pied du tabouret dont elle s'était servie pour se pendre, je vous le lis :
Mes très chers enfants, je voulais vous dire de ne pas vous en faire pour ma mort, (même si vous en êtres responsable !) Je voulais vous dire que je ne vous en veux pas, non je ne vous en veux pas pour la fois ou vous m'avez saoulé et forcé à chanter la marseillaise nue devant mes collègues. Je ne vous en veux pas d'avoir gâché la seule relation amoureuse de ma vie avec votre très cher principal, en vous introduisant dans l'hôtel où nous passions la nuit, je ne vous en veux pas et les personnes qui me trouveront pourrons en témoigner : je m'en balance !!

-Voilà... soupira-t-il essuyant une larme. Madame Misaki qui était aussi très généreuse vous a laissé un devoir que vous devrez déposer au pied de sa tombe pour lundi prochain, et vous êtes tous conviés aux obsèques !!!!

-Ah putain ! Même dans la mort, elle nous fait chier cette sale put& !
-Surveillez votre langage Motémitsu !
-Bon je reprends... Madame Misaki qui était très généreuse a laissé ceci dans le message : Celui qui parviendra à pleurer, mais SINCEREMENT à ses obsèques, elle a dit que ça pourrait compter comme des points bonus pour l'épreuve de fin d'année et croyez-moi dans votre cas, ça n'est pas du luxe, AU REVOIR !! Clama t-il en claquant la porte.
-Préparez les oignons ! s'écria Motémitsu.

La journée fut exténuante comme d'habitude pour Arno, heureusement la présence de Yami lui remontait le moral, car étant dans la même classe que lui, son sourire lui donnait la force de suivre ses cours.
La fin de la journée arriva sans crier gare, tel un chat sautant sur sa proie, Arno cherchait à présent Yami dans les couloirs dénués d'élèves. En passant près du local à poubelles il entendit des voix avec un fort accès Kikoolol.
-Qu'est-ce que ? dit-il en pénétrant à l'intérieur.
-Koi !!!!
Devant lui, Yami dévêtue et endormie, se faisait peloter et filmer par les trois membres de la Team Kikoo accomplissant leurs méfaits à l'abri des regards, dans l'obscurité.
-Hé hé hé ! Nou som en trin 2 fèr 1 vilin tour ! dit XD en touchant les fesses de Yami du bout des doigts.
-Notr ViDo sur Youporn Vodra le Dtour ! dit lol en fimant le tout grâce à une caméra numérique.
-Af1 2 peloT tt lé Fèm 2 notr Nation !
-Af1 ke le gouvernemen rekonèsse le Hentaï kom 1 Vritable institution !
-Af1 2 viré la sensur et l'égaliT social
-Af1 k1 program sur lé anim sexuel 2vienne légal
-MDR
-LOL
-XD
-La team Kikoo uni ds le Hentaï et le pokeechi juska la mor !
- RenD vs tous car ds se domèn la on é trop for !
-LLLLOOOOOLLLLL !!!
-Encore vous ! Mais Votre hymne a changé.
-Ui lé Kikoo C plu a la mod C le Sex Ké a la mod mtn. dit XD en gloussant.
-Sexe ou pas relâchez la !! ordonna Arno.
-é tu kroi kon va Tcouté !
-Hein... Non... Je...
-KOMBA POKEMON KAN MEM TU PE PA REFUZER TROU DUC C KOM SA POOOOOOOOOOWWWWWWWWWAAAAAAAA ! Lol ! cria XD invoquant un Pingoléon
-Alé PINE-goléon !
-Pine ?! s'exclama Arno.
-Oué on sé acheT D nouvo poké é on lé don D surnom.
-Ah ok ! Go Feunard ! cria-t-il envoyant sa Pokéball qu'il gardait toujours dans son sac, la fabuleuse technologie de cette capsule pouvait convertir l'énergie en matière et inversement...
Ellipse : (combat de Pokémon rien de passionnant à raconter victoire d'Arno)
-J'ai gagné !
-Ba Hé ! On voi mèm pa mn Komba
-C'est normal, l'auteur va pas se faire chier à raconter tous les petits combats, encore moins pour un Kikoolol, alors il fait des ellipses pour gagner du temps.
-Enfoiré doteur ! cria le Kikoolol en levant les poings aux cieux.
-Aten XD je vé te venG ! dit Mdr ! Go Look-PINE !! cria Mdr envoyant un lockpin qui semblait-il avait été siliconé.
[Ellipse] Feunard met Knock out Lockpin.
-I've won again !
-Hé o sa fé chié lé ellipses la ! cria XD.
-Oué ! déjà kon a 1 peti role !
Pika_shiney : Bon, ok on le fait normalement !

-G vé vou vengé mé frèr ! Go BITEbizarre !!! cria Lol en envoyant un petit Bulbizarre.

Feunard utilise Lance-Flamme!
C'est super efficace !
Bulbizarre est K.O. !
Pika_shiney : C'est bon t'es content ?!
-Mé C prek kom 1 élipse ! s'écria MDR dégouté.
- On sen branle j'ai gagné ! Vous auriez pu au moins tenter quelque chose de sérieux, non ?
-Si on montr pa no komba ossi...
-Arg on é 20Q replion nou !! Ta gg 7 bataye mé pa la gèr ! On srevera !!! cria XD avant de s'enfuir avec ses camarades.
-Ouais c'est ça à plus !
Il était à présent seul dans la pièce avec Yami, il regarda d'un regard mi-amoureux/mi-pervers le corps svelte de son amie, songeant à la caresser un moment, mais son bon esprit revint et il la rhabilla et la porta sur son dos jusqu'à chez lui.
Une fois dans son salon il étendit le corps de Yami sur le canapé ce qui suscita des interrogations dans l'esprit de sa mère.

-Oh que s'est t-il passé Arno ?? Demanda-t-elle soucieuse de la santé de son amie.
-C'est rien... C'est rien... Bon je vais à la boutique lu chercher des médicaments au cas où... Je reviens.
-Ok mon chéri !
Sous un ciel crépusculaire agrémenté de lourds nuages ténébreux, Arno marchait dans les rues désertes du petit village, le vent frais du nord passait faisant bruisser les feuilles jaunies des arbres. Il passa à un moment à la lisière de la forêt où il avait rencontré Yami pour la première fois (voir chapitre 1), soudain, il lui sembla que les arbres lui parlaient, chaque feuille produisant un son distinct.
-Viens... souffla une faible voix provenant du bois.
-Hein c'était quoi ça ?! s'écria-t-il quelque peu apeuré.
Humant les senteurs de l'automne, Arno regarda en direction de la forêt voyant un petit chemin caillouteux se perdre des la pénombre. Puis..k Une force mystérieuse l'attira, il lui semblait que son corps ne réagissait plus, à présent à mi chemin entre le rêve et la réalité, Arno s'avança lentement et pénétra à travers les fourrés, allant se perdre dans l'immensité de la forêt.

A suivre...