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Aut Caesar, aut nihil
de Cyrlight

                   


SOMMAIRE

Fanfictions

Entre infini et au-delà (Pokémon)
Après la fin (Pokémon)
Fer de Lance (Pokémon)
Un combat de tous les instants (Tortues Ninja)
Cycle III : Le cycle de Nourasie (Oban Star-Racers)


Si vous trouvez un contenu choquant cliquez ici :


Lectures #1
Je l’avais évoqué il y a quelque temps, et même si j’ai eu peu de retours, j’ai tout de même décidé de faire un essai avec un article regroupant mes chroniques littéraires du mois de septembre. Je tiens à rappeler que ce ne sont que des avis personnels, et par conséquent subjectifs, donc différents pour tout un chacun. (Qui a dit que mon lynchage concernant HP7 et Les Hauts de Hurlevent me hante encore ? ^^’)

Sherlock, Lupin & moi T.3 : L’énigme de la rose écarlate
L'information suivante est susceptible de révéler quelque chose d'important et de gâcher une surprise
Dans ce troisième tome de Sherlock, Lupin & moi, L’énigme de la rose écarlate, le trio se réunit une fois de plus pour mener l’enquête, intrigués cette fois-ci par un mystérieux problème d’échecs qui sera résolu par Sherlock Holmes, entraînant ses amis Arsène Lupin et Irene Adler sur la piste d’un meurtrier et d’une affaire vieille de plusieurs décennies.

Déjà conquise par les deux premiers romans, celui-ci ne m’a absolument pas déçue. Les enquêtes se suivent mais ne se ressemblent pas, car nous n’avons absolument pas l’impression d’assister à un schéma préconçu et répété de tome en tome. Qui plus est, l’intrigue générale semble se resserrer elle aussi, celle qui tourne autour des origines d’Irene, comme le laisse penser les dernières pages. Les réponses ne sont sûrement plus très loin.

Les personnages sont toujours aussi agréables, qu’il s’agisse du trio principal ou de M. Nelson, le majordome dévoué d’Irene. Un nouveau venu fait également son apparition dans L’énigme de la rose écarlate, le détective Field, dont le jeune collaborateur ne peut qu’intriguer. Même s’il est seulement nommé en toute fin de livre, on ne peut qu’espérer qu’il se manifeste un jour « en chair et en os » dans une prochaine histoire.

Il n’y a que deux points qui m’ont laissé une sensation légèrement négative, c’est l’arrivée presque miraculeuse de Lupin (parce qu’après tout, le titre n’aurait pas lieu d’être sans lui) et la réaction offusquée d’Irene quand il raconte le mauvais tour qu’il a joué et qui lui a valu de gagner assez d’argent pour fuguer jusqu’en Angleterre. Après toutes les frasques qu’ils ont déjà commises ensemble, la façon dont Irene est choquée paraît quelque peu exagérée.

Cela mis à part, ce tome est, à l’instar des deux précédents, absolument excellent. J’ai particulièrement apprécié la touche de réalisme lorsque le trio se présente à Scotland Yard et qui nous rappelle que, en dépit de leur intelligence, ils n’en sont pas moins des enfants, et que les enfants sont rarement pris au sérieux, même par des gens qui auraient mieux fait de les écouter.

Un bilan plus que positif, donc, pour L’énigme de la rose écarlate, mais surtout pour la saga en elle-même. Je n’ai qu’une hâte, avoir le quatrième tome entre les mains pour poursuivre les aventures de Sherlock, Lupin et Irene Adler.

La dernière valse de Mathilda
L'information suivante est susceptible de révéler quelque chose d'important et de gâcher une surprise
La dernière valse de Mathilda est un roman qui prend pour décor l'outback australien. Jenny, citadine venue de Sydney après avoir hérité d'une station d'élevage, Churinga, découvre les journaux intimes de l'ancienne propriétaire et plonge dans la vie tourmentée de Mathilda.

Ayant adoré Les oiseaux se cachent pour mourir de Colleen McCullough, c'est tout naturellement que je me suis tournée vers les œuvres de Tamara McKinley, qui lui sont comparées. Grande fut ma déception à la lecture de celle-ci.

L'histoire débute de manière pourtant prometteuse, dans la première partie du XXème siècle, avec la jeune Mathilda, orpheline de mère, qui se retrouve seule avec un père alcoolique et violent, devenu aussi violeur.

Son histoire est intéressante à suivre, en dépit de sa noirceur et d'un léger manque de réalisme au tout début. Mathilda a beau être forte et courageuse, il est difficile de croire qu'une adolescente, enceinte de surcroît, ait pu gérer quasiment à elle seule toute une exploitation agricole.

L'histoire de Jenny, en revanche, est beaucoup moins palpitante, or c'est sur elle que se concentre la majeure partie du livre. Avec un début marqué par le deuil de son mari et son fils, on s'attend à un récit tout aussi poignant que celui de Mathilda, mais en réalité, il est mièvre et superficiel à souhait.

Les émotions de Jenny sont particulièrement mal développées : on passe les premiers temps à osciller entre « Ouin, j'ai perdu mon mari et mon fils » à « Oh, les magnifiques couleurs de l'outback que je vais pouvoir peindre », puis de nouveau « Snif, quel dommage qu'ils ne soient plus là » pour enchaîner avec « C'est lui le directeur de ma station d'élevage ? Plutôt beau gosse ».

Au final, l'idée de deuil n'est que très peu présente. Jenny se console très rapidement une fois à Churinga (ou plutôt auprès de Brett) et c'est à peine si elle évoque ensuite la perte de sa famille, hormis une fois de temps en temps, par bribes, comme s'il fallait impérativement le rappeler tellement cela ne transparaît pas dans son comportement.

Même sa relation avec Brett est agaçante au possible. Dès leur première rencontre, ils se prennent la tête pour des broutilles dignes d'une cour de récréation. Tout va bien, puis tout d'un coup, tout par en quenouille et tout recommence. Ces scènes sont tout bonnement inutiles et ne font qu'allonger le roman pour pas grand-chose.

D'un point de vue général, l'histoire de Jenny m'a laissée perplexe sur bien des points. Une grande partie des préoccupations de Brett tournent autour de la vente potentielle de Churinga, à croire qu'il n'existe aucune solution intermédiaire entre Jenny qui reste ou Jenny qui vend pour retourner à Sydney. Ne peut-elle pas conserver la propriété et encaisser les bénéfices rapportés par l'élevage sans pour autant y vivre ? D'autant qu'elle ne sert strictement à rien sur place, puisque que c'est Brett qui gère tout.

Au début, on apprend aussi que son mari avait fait des placements et qu'ils avaient finalement beaucoup plus d'argent qu'elle ne l'imaginait, si bien qu'elle s'interroge sur la raison qui a poussé Peter à garder le silence alors qu'ils avaient peine à joindre les deux bouts, puis... Rien. La question ne se pose plus par la suite. Sans parler des journaux intimes... Jenny passe apparemment des semaines, pour ne pas dire des mois, à Churinga. Comment se fait-il qu'il lui ait fallu si longtemps avant d'achever leur lecture, surtout qu'elle semblait impatiente de connaître le fin mot de l'histoire ?

(Attention, spoilers !) Enfin, à force de dénouer les secrets de famille, on sent venir de loin un lien entre Mathilda et Jenny. Ce que je ne suis pas sûre de comprendre, c'est cette histoire de fidéicommis. Pourquoi ne pas avoir simplement fait de l'enfant l'héritier légitime de Churinga ? Et comment Peter a-t-il pu racheter une station qui, légalement, appartenait à sa femme ? Sans parler du notaire qui, dans les premières pages du récit de Jenny, cherche absolument à la convaincre de vendre. (Fin des spoilers !)

C'est avec un avis très tranché que je ressors de ce roman. La partie centrée sur Mathilda est très bonne, mais celle de Jenny gâche tout. Dommage, car il y avait vraiment d'excellents éléments, mais qui ne suffisent pas à contrebalancer les mauvais.

Lucifer Box T.1 : Le club Vesuvius
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Le club Vesuvius est le premier tome des aventures de Lucifer Box. Dandy le jour et agent secret au service de la couronne d’Angleterre la nuit, il mène une double vie, dans laquelle il multiplie les investigations et les conquêtes, aussi bien féminines que masculines.

À force de croiser le mot « steampunk » sur différents sites littéraires, j’ai décidé de m’y essayer, et voir le terme associé au nom de Mark Gatiss, le créateur de la série Sherlock, m’a convaincue de sauter le pas. Hélas pour moi...

Cette œuvre, malgré le potentiel qu’elle dégageait de prime abord, n’a pas réussi à me séduire. Le début était pourtant prometteur : un meurtre aussi nonchalamment exécuté qu’inattendu avait de quoi surprendre, dommage que cela n’ait pas continué dans cette voie.

La suite est plus convenue. On y suit une enquête plus ou moins intéressante, qui finit par éloigner Lucifer Box de l’Angleterre pour l’Italie, plus précisément la belle ville de Naples et son célèbre Vésuve. On se retrouve donc avec un roman d’espionnage, mais pour ce qui est du côté steampunk, j’en ressors assez perplexe.

Je ne peux faire aucune comparaison, puisqu’il s’agit de mon premier livre du genre, mais je n’ai guère retrouvé la définition qu’on m’en a fait dans ce roman. Hormis quelques éléments mécaniques dans les derniers chapitres, c’est surtout une histoire d’enquête qui se déroule au XXème siècle, sans plus.

Quant aux personnages, ils sont certainement le point le plus décevant du livre. Ils ne sont pas attachants, et surtout pas Lucifer Box, qui est tout bonnement insupportable avec sa condescendance, sa vanité et sa conviction que rien ne lui résiste (ce qui est le cas, qu’il s’agisse des gens ou des mystères à éclaircir).

Il n’y a que Bella qui lui cause quelques... difficultés qu’il ne voit pas venir, tout aveuglé qu’il est par son désir, mais elle n’apporte en revanche aucune surprise, car son apparition et ses réapparitions sont tellement peu subtiles qu’on se doute rapidement qu’elle a quelque chose en tête (et certainement pas ce que Lucifer espère).

Pour ce qui est du style en lui-même, il ne m’a guère emballé non plus. Quand j’ai vu l’immanquable référence à Sherlock (qui n’a pas entendu la voix d’Irene Adler résonner dans sa tête lorsque le protagoniste évoque ses pommettes ?), j’espérais retrouver un humour aussi fin et cynique que celui de la série, mais le roman est en réalité plutôt cru, ce qui n’est pas pour moi.

Déception donc que ce livre. Je me réessayerai probablement au steampunk un jour prochain, mais pour ce qui est des aventures de Lucifer Box, je préfère m’arrêter ici.

A Silent Voice T.2
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Retour dans le présent avec ce second tome d’A Silent Voice. Après avoir persécuté Shoko lorsqu’ils étaient enfants, Shoya est déterminé à lui présenter ses excuses avant de mettre fin à ses jours, mais des obstacles se dressent en travers de son chemin.

Là où le premier tome était dur et cruel, celui-ci contraste par sa douceur et sa bienveillance. Finis les moqueries et le harcèlement. Shoko est désormais dans une nouvelle école où tout à l’air de se passer pour le mieux et, surtout, où elle peut compter sur sa petite sœur pour la défendre avec (un peu trop de) zèle.

Elle repousse d’ailleurs Shoya, dans un premier temps, afin qu’il ne puisse pas approcher Shoko, mais il finit tout de même par revoir la jeune fille, qui n’a gardé aucune rancune de ses années d’école. Elle fait toujours montre de la même gentillesse et Shoya, jusque-là rongé par la culpabilité, reconsidère sa volonté de se suicider.

En dépit de sa douceur apparente, Shoko dévoile un caractère têtu et volontaire, plus plaisant que sa candeur excessive du premier tome. En dépit des manigances de sa sœur pour éloigner Shoya et de la dureté brutale de sa mère, elle n’hésite pas à le fréquenter, allant même jusqu’à plonger dans l’eau pour récupérer son vieux cahier d’école.

Un nouveau personnage fait également son apparition, Tomohiro. Après une rencontre assez particulière avec Shoya, ils se lient d’amitié, ce qui rompt la solitude et l’indifférence dans laquelle l’adolescent s’était enfermé.

A Silent Voice se poursuit donc sur le chemin de l’espoir, du pardon et du repentir, avec une évolution des personnages et de nouvelles têtes pour les accompagner. En espérant revoir par la suite les autres élèves qui s’en sont pris à Shoko, puis à Shoya, car après tout, il n’est pas le seul à avoir ses torts.

Time Riders T.1
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Time Riders est le premier tome d’une saga de science-fiction mettant en scène un groupe d’adolescents recrutés par une mystérieuse agence pour protéger le cours du temps et empêcher des voyageurs illégaux de modifier l’Histoire. Leurs compétences sont rapidement mises à l’épreuve quand le passé est bouleversé.

Comme dans la majeure partie des romans jeunesse, le style est fluide et facile à lire (peut-être un peu trop), et permet d’avaler les pages pour découvrir la suite d’une intrigue relativement addictive. Dès les premiers chapitres, l’auteur nous immerge dans l’action avec un surprenant sauvetage à bord du Titanic, puis bis repetita au cœur d’un avion sur le point d’exploser.

Les personnages sont presque tous convaincants, à l’exception de Maddy. Elle m’a paru relativement insipide comparée aux autres. Sal est sympathique, même si elle se cantonne au rôle de la benjamine observatrice ; Liam est attachant, à l’instar de Bob, le robot qui s’humanise à son contact. Quant à Foster, il est lui aussi touchant.

L’originalité, en revanche, fait quelque peu défaut, ce dont l’auteur semble avoir conscience, puisqu’il pointe lui-même du doigt les similitudes de son œuvre, notamment en évoquant le film Terminator. Difficile de ne pas imaginer après cela Bob avec la carrure et la voix d’Arnold Schwarzenegger (sans parler de Liam, dont le nom de famille est (O’)Connor).

Hélas, comme c’est à craindre avec les histoires de voyage dans le temps, ce roman n’échappe pas aux incohérences, ni aux facilités scénaristiques. Par exemple, lors de la mission test de Liam au Texas, comment le futur peut-il se modifier, sachant que le passé se « corrige » de lui-même dans la foulée, et par conséquent avant la naissance d’un éventuel autre futur ? Ou encore la réapparition relativement tirée par les cheveux de Sal, dans les derniers chapitres.

Il y a également de nombreuses questions sans réponse dans ce premier tome. Des informations sur ceux qui recrutent les Time Riders ne seraient pas de refus, ainsi que des explications sur les enjeux d’une telle mission. Pourquoi vouloir en empêcher le passé d’être modifié à tout prix quant on voit l’avenir (dont Sal est issue) vers lequel le monde se dirige ? Bien sûr, la saga est longue et elle a tout le temps de nous apporter des éclaircissements.

Malgré ses défauts, ce livre n’en est pas moins une agréable lecture, que je recommande. Je me suis déjà procurée le second tome, que je lirai prochainement.

Léonie T.2 : La rivale
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Deuxième tome du spin-off de L’élève Ducobu, La rivale met toujours en lumière le personnage de Léonie Gratin. Après avoir réussi tant bien que mal à se faire une amie, elle doit désormais gérer un problème autre que sa solitude : l’arrivée d’une petite nouvelle qui pourrait bien menacer son titre de meilleure élève de Sainte-Potache.

Ma critique risque fort d’être sensiblement identique à celle du premier opus, car les caractéristiques restent les mêmes. L’humour se mêle à la mélancolie et nous offre un lot d’histoires qui, si elles prêtent à sourire, peuvent aussi paraître relativement tristes.

Si la solitude de Léonie était précédemment mise en avant, c’est à présent autour de la pression qu’elle subit, afin de se maintenir au sommet. Ses certitudes vacillent avec l’apparition d’une nouvelle élève, sinon meilleure, au moins aussi douée qu’elle.

Comme le premier tome, l’histoire se termine sur une note joyeuse, même si je regrette une fois de plus que Ducobu ne soit pas plus présent. Certes, il ne s’agirait pas qu’il vole la vedette à Léonie dans son spin-off alors qu’il est le héros de la BD principale, mais tout de même, alors qu’ils entretiennent une relation somme toute ambiguë, le cancre se cantonne ici à de brèves interventions pour le moins inutile.

En conclusion, c’est un tome agréable, toutefois un peu en dessous de L’élève Ducobu. À voir quelle direction la série suivra à l’avenir.

Cesare T.4
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L’Histoire poursuit sa progression dans ce quatrième tome de Cesare, où l’on fait la connaissance de la délicieuse Lucrezia Borgia. La réconciliation entre les Medicis et Raffaele Riario est en bonne voie et les travaux de la manufacture avancent bien, ce qui n’est pas au goût de tout le monde...

De nouveaux personnages font leur apparition dans ce tome. Lucrezia, bien sûr, mais aussi sa préceptrice Adriana, ainsi que la belle Giulia Farnese, amante de Rodrigo. À leur manière, les deux femmes préparent à son union prochaine la jeune enfant, qui n’a cependant d’yeux que pour son frère aîné.

Ce dernier continue à nous surprendre, mais pas forcément de la meilleure des façons. Les mises en garde de Miguel à propos de Cesare raisonnent tout au long de ce manga et, à l’instar d’Angelo, on en vient à douter, tout en étant incapable de lui résister.

Cesare est un personnage ambigu, l’eau et le vin, le feu et la glace... L’ange et le démon. Il y a des moments où il dévoile son véritable visage, celui d’un être manipulateur, prêt à tout pour parvenir à ses fins, mais qu’il s’agisse d’Angelo aussi bien que du lecteur, on ne peut s’empêcher de retomber sous son charme quelques pages plus loin. La mangaka a parfaitement réussi le pari de transposer à la fois les craintes mais aussi (et surtout) la fascination qu’inspire Cesare Borgia, quoi qu’il fasse.

Même s’il peut paraître condescendant et arrogant, c’est surtout quelqu’un qui accorde du crédit à l’intelligence et au savoir, peu importe d’où ils proviennent. Il est évident qu’il tire toutes les ficelles, en particulier celles de ce pauvre et naïf Angelo, mais il ne semble pas moins avoir une certaine considération pour ses connaissances du peuple et du milieu ouvrier, d’autant que cela sert ses desseins.

Il le prouve également avec Lucrezia. Alors qu’elle est éduquée pour suivre le précepte des femmes de l’époque « Sois belle et tais-toi », il insiste pour qu’elle se cultive, qu’elle apprenne le latin... En plus de ses atouts physiques, il tient aussi à ce qu’elle ait de l’esprit, bien que ce soit le cadet des soucis de son futur mari.

Giovanni est quant à lui davantage mis en avant dans ce tome. Même s’il manque toujours de charisme (ce qui est d’autant plus flagrant quand il se tient face à Cesare), il dévoile aussi un côté touchant et attachant. Son entrevue avec Raffaele est excellemment bien menée.

Pour ce qui est du scénario en lui-même, il est riche en rebondissements dans ce tome. Tantôt dramatiques, avec le complot contre la manufacture, tantôt burlesques, avec Cesare qui tente (plus mal que bien) de se mêler au peuple, on ne s’ennuie pas une seconde.

Le manga continue donc sur sa lancée, voire s’améliore, si tant est que cela soit possible, étant donné qu’il frôlait presque la perfection dès le début. Un chef-d’œuvre à lire absolument, ou à redécouvrir !
Article ajouté le Dimanche 07 Octobre 2018 à 23h44 |
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Point sur les fanfics
Fer de Lance : En pause jusqu'à nouvel ordre, la motivation commence à faiblir un peu (ce qui est paradoxal avec le fait que j'ai enfin réussi à sortir du marécage dans lequel je m'étais embourbée dès les premiers chapitres). J'ai quand même pas mal d'idées pour la suite, avec notamment un petit bond dans le temps qui permettra à Sandra et Peter de grandir un peu plus. En attendant, je reprends ma fanfic TMNT Un combat de tous les instants.

Entre infini et au-delà : Cinquième partie réécrite, soit 119 chapitres, que je vais à présent m'appliquer à relire, car je me suis aperçue qu'il y a encore deux ou trois trucs qui clochent. Ci-dessous un récapitulatif des changements entre la première et la nouvelle version.

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=> La relation Cassy/Sylvain : moins flagrante dans la première version, il est désormais clair qu'ils nourrissent des sentiments amoureux réciproques.
=> La relation Cassy/Sven : au contraire plus ambiguë autrefois, il n'y a pas d'amour entre eux, du moins du côté de Cassy, même si elle tient à lui en dépit de toutes les atrocités qu'il commet.
=> Les projets de la Team Galaxie : cette fois-ci, Hélio ne prévoit plus de détruire l'univers aux Colonnes Lances, car la présence de Giratina rendait cela incohérent par rapport aux plans d'Eric. Il veut désormais juste créer un nouveau monde, dans une autre dimension, et si Cassy essaye de l'arrêter, c'est parce que Lilith lui a expliqué que les Dragons (Palkia et Dialga) se haïssait tellement qu'ils avaient failli détruire Sinnoh dans une lutte à mort, autrefois, ce qui avait valu leur bannissement, et qu'ils risquaient fort de recommencer dès qu'ils se retrouveraient face à face.
=> L'implication de l'Elite des Quatre : détail mineur, mais Cynthia leur révélait l'existence de la Confrérie bien plus tard dans la fanfic, alors qu'ils l'aident à surveiller les lacs.
=> La mort d'Emilien : entraîné par l'évolution de la relation Cassy/Sven, ce n'est plus lui qui tue le jeune assistant de Régis, mais les Commandants, qui sont d'ailleurs un peu plus mis en avant que dans la précédente version.
=> L'Arène de Doublonville : puisque les Commandants traquent Cassy en fouillant les lieux où elle a vécu par le passé, la Confrérie se réfugie temporairement auprès de Blanche.
=> Les tensions au sein de la Confrérie : la cassure qui se développe principalement entre Cassy et Marion dans le deuxième arc de la fanfic survient désormais beaucoup plus tôt, quand la Ranger, Esméralda et Chloé s'opposent fermement au retour de Lilith.

Bon, j'en oublie sûrement, mais ce sont les principales modifications majeures qui me viennent à l'esprit.
Article ajouté le Mercredi 03 Octobre 2018 à 13h38 |
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Lectures
Bonsoir,

A la suite d'une conversation avec Soundlowan, j'avais songé à faire un article répertoriant les livres que j'ai le plus détestés (puis j'ai eu peur de me faire lyncher pour la énième fois par tous les fans de Harry Potter 7 et des Hauts de Hurlevent, aussi ai-je finalement choisi de me raviser ^^')

A la place, j'ai eu une autre idée. D'aucuns savent peut-être que je tiens un blog de chroniques littéraires, et je me demandais si certains seraient intéressés pour que je partage ici aussi les avis que je rédige sur mes différentes lectures (d'autant qu'il y en a sensiblement pour tous les goûts).

Ça tente quelqu'un ?
Article ajouté le Mardi 18 Septembre 2018 à 21h38 |
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Chibis
J'avais prévu de terminer le chibi de Cassy aujourd'hui, mais mon logiciel de dessin n'a pas arrêté de boguer et j'ai finalement passé plus de temps à l'ouvrir et à le refermer qu'à dessiner :/

Au lieu de m'acharner dessus, j'ai plutôt décidé d'établir la liste non-exhaustive de mes futurs chibis :

- Ryuk (Death Note) => parce que deux de mes amies me l'ont réclamé
- Ezio Auditore (Assassin's Creed)
- Kylo Ren (Star Wars)
- Cynthia (Pokémon)
- Mitsuha (Your name)
- Picsou et Goldie (La jeunesse de Picsou)
- Sophie (Le château ambulant)
- Emily (tirée de ma fanfic EIEAD)
- Mikey et Karai (TMNT2012)
- Clochette (La fée Clochette)
Et j'ai l'intention de m'essayer au xénomorphe d'Alien, mais la morphologie non humaine m'effraye un peu ^^'
Article ajouté le Mercredi 18 Juillet 2018 à 19h44 |
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Un peu de musique, Mother
1: Des chansons qui te rendent heureux.
Shine your way - Owl City et Yuna
Je t'emmène avec moi - Baptiste Giabiconi
(En fait, c'est méga dur de trouver des chansons joyeuses sur mes playlists, je n'écoute que des trucs de dépressifs ^^')

2: Des chansons qui te font pleurer.
I'll always remember you - Hannah Montana
Wherever I go - Hannah Montana
Puisque tu pars - Jean-Jacques Goldman
Ne dis jamais adieu - La route d'El Dorado

3: Une chanson des années 60.
Stand by me - Ben E. King

4: Une chanson des années 70.
Take me home, country road - John Denver

5: Une chanson des années 80.
Les valses de Vienne - François Feldman

6: Une chanson des années 90.
Je veux donner ma voix - Nayah

7: Une chanson des années 2000.
Because of you - Kelly Clarkson

8: Une chanson de ton artiste préféré.
Worryfish - Yohanna

9:Une chanson avec un jour dans le titre.
Euh... Le jour d'après - Chimène Badi ^^'

10:Une chanson avec un mois dans le titre.
Back to december - Taylor Swift

11: Une chanson qui te rappelle quelqu'un que tu aimes.
I need you more - Crush & Alexandra et Leslie

12: Une chanson issue d'un film.
The call - Regina Spektor

13: Une chanson qui commence par la première lettre de ton prénom.
Mieux que nous - M. Pokora et Soprano

14: Une chanson qui commence par la dernière lettre de ton prénom.
Everything you're not supposed to be - Mélanie Laurent et Damien Rice

15: Une chanson que tu aimes depuis des années.
La solitudine - Laura Pausini

16: Une chanson que tu connais grâce à un ami ou à un membre de ta famille.
Listen to your heart - DHT

17: Une chanson avec une couleur dans le titre.
Bleu noir - Mylène Farmer

18: Une chanson d'un artiste toujours vivant.
Je t'aime - Lara Fabian

19: Une chanson d'un artiste décédé.
L'aigle noir - Barbara

20: Une chanson d'un groupe qui s'est séparé.
Little things - One Direction

21: Une chanson qui passe à la radio.
There's nothing holding me back - Shawn Mendes

22:Une chanson que tu aimes d'un artiste que tu détestes.
Ton héritage - Benjamin Biolay
Article ajouté le Mardi 08 Mai 2018 à 17h46 |
3 commentaires
Un peu de rangement
En début de mois, j'ai tant bien que mal réussi à ranger ma bibliothèque (bon, le hic, c'est qu'entre-temps, j'ai trouvé une demi-douzaine de livres supplémentaires qu'il a fallu que je case en vrac, sans parler du dernier Alien que je dois me procurer sous peu et de la novélisation de Star Wars VIII qui me fait de l'oeil >.< )

Ça faisait un petit moment que je voulais poster les photos, donc les voilà ^^ Bon, je sais, il y a plus fournie en matière de bibli, mais je n'en suis quand même pas peu fière, d'autant que ça ne fait qu'un an et demi que je me suis remise à lire avec assiduité.

Article ajouté le Dimanche 22 Avril 2018 à 17h58 |
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Un peu de lecture
Pour changer un peu, j'ai décidé de poster un article sur des livres autres que les miens et de vous faire partager quelques coups de cœur (plus ou moins) littéraires. Si vous en avez déjà lu certains, n'hésitez pas à le dire, j'ai rarement l'occasion de parler de mes lectures avec qui que ce soit ^^

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Une vie entre deux océans

Mon roman préféré, que j'ai découvert par accident. Je suis une acheteuse compulsive de livres dont les couvertures représentent une affiche de film. C'est un énorme coup de cœur, une histoire poignante et bouleversante, avec un personnage principal touchant qui essaye de faire ce qu'il juge le mieux pour tout le monde et qui en paye souvent le prix. Une pure merveille.

La trilogie des Livres des origines (L'Atlas d'Émeraude / Les chroniques de feu / Le dernier grimoire)

Une trilogie trop méconnue, mélange des orphelins Baudelaire et de Narnia. J'avais découvert le tome 1 il y a plusieurs années, et j'ai eu l'occasion de lire les deux derniers l'an passé. C'est vraiment super, riche en humour, en magie, en rebondissements et en émotions. On ne ressort pas indemne du troisième tome, c'est indubitable. Ma grosse préférence va à Gabriel, probablement l'un des personnages les plus charismatiques que j'ai croisé au détour d'un livre.

Les chroniques de Narnia

Parce que Narnia. Parce que Aslan. Et parce que « chaque chapitre est meilleur que le précédent ». (Bon, ça, ce n'est pas tout à fait vrai, parce que mon tome fétiche, c'est Le neveu du magicien.)

Le grand Meaulnes

Parce que c'est le nom de mon chat, il s'appelle Augustin Meaulnes du Corta. En fait, à la base, c'est le nom d'un cheval (gagnant de Prix d'Amérique). À cause de lui, je me suis sentie obligée de lire le livre, et comme je l'ai adoré, de donner son nom à mon chat. CQFD.

Autant en emporte le vent

Est-il bien utile de s'attarder dessus ? C'est culte, et bien plus qu'une romance historique, c'est aussi l'amour de la terre, la relation paradoxale qu'entretiennent Scarlett et Melly, la mort d'une civilisation et de tout un monde, le courage d'une femme pour (se) reconstruire... Il y a vraiment de tout, dans ce roman.

Les orphelins Baudelaire et Les fausses bonnes questions

Rien que pour le style complètement génial de Lemony Snicket (et parce qu'il est toujours bien utile de connaître le cycle de l'eau). D'ailleurs, vous savez ce qu'il faut faire, quand quelqu'un disparaît ? Prendre une feuille et un crayon, tracer des carrés, puis la balancer parce que vous avez mieux à faire que de dessiner alors que quelqu'un a disparu. J'adore cet auteur <3

Sherlock, Lupin et moi

Une saga que j'ai découverte récemment et dont je n'ai lu que le premier tome, mais j'ai adoré, qui narre l'amitié entre les trois célèbres personnages à leur adolescente. En même temps, ce roman est co-écrit par Pierdomenico Baccalario, auteur des passionnants Ulysse Moore (à condition de se limiter au six premiers, les six autres sont une déception monumentale).

La jeunesse de Picsou

Bon, ça, c'est le chef-d'œuvre suprême à mes yeux. Je passe mon temps à scander partout haut et fort mon amour pour cette bande dessinée, et pourtant j'ai encore l'impression de ne pas le faire assez. C'est quand même la seule histoire qui arrive à me faire pleurer, ce n'est pas rien !

Les Nombrils

L'évolution de cette BD est sidérante. Au début, tout se focalise sur l'humour avec des personnages caricaturaux, puis ça vire aux complots, à la manipulation, au meurtre... Et la superficialité des premiers tomes laisse place à des sujets beaucoup plus importants, si bien que sans se départir de son humour, l'histoire s'oriente davantage vers le drame.

Cesare

ZE manga. Celui qui vous apprend des tonnes de faits historiques sur l'Italie du XVème siècle et les grandes familles de l'époque (en particulier les Borgia, évidemment), tout en vous offrant d'étonnants fous rires. Les personnages sont attachants et/ou charismatiques, l'histoire aussi bien que l'Histoire sont passionnantes, et le seul point noir est de devoir ronger son frein en attendant la parution des tomes suivants.
Article ajouté le Vendredi 09 Mars 2018 à 01h10 |
6 commentaires
Annonce fanfics
Bonjour,

J'en ai (enfin !) terminé avec mon nouveau roman, donc cette fois, je peux vraiment me recentrer sur les fanfics, après ne pas en avoir touché une seule pendant plus de deux semaines. Ça va me permettre de lâcher un peu du lest et de décompresser.

Par contre, j'ai une nouvelle qui risque d'en décevoir certains. Après mûre réflexion, j'ai décidé de suspendre la publication d'Après la fin. J'ai beau avoir une cent cinquantaine de chapitres d'avance, je n'étais pas très satisfaite des derniers que j'avais écrit et les longues interruptions auxquelles j'ai dû me contraindre n'ont pas aidé.

Le problème, c'est que je travaille sur un trop grand nombre de fics à la fois (Fer de Lance et Un combat de tous les instants, mais aussi Aux actes condamnés et Retour à Saint-Cyrien en histoires originales), sans parler de la réécriture d'Entre infini et au-delà qui nécessite pas mal de temps. J'ai donc décidé de me concentrer sur celle-ci, d'autant que je modifie de temps à autre des éléments liés à l'intrigue principale, et de ne reprendre Après la fin que lorsque mon activité fanfic sera moins chargée. À force de vouloir tout écrire en même temps, je n'avance dans rien et je ne vois que cette solution pour régler le problème. Par conséquent, elle rejoint Le cycle de Nourasie dans mes fics en pause.

Je suis désolée pour les lecteurs qui suivent cette suite d'EIEAD, mais ne vous inquiétez pas, elle reviendra le moment venu.
Article ajouté le Lundi 08 Janvier 2018 à 09h18 |
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Dessin numérique
Aujourd'hui, j'ai eu l'occasion d’expérimenter ma tablette graphique, après avoir passé toute la journée d'hier à comprendre son fonctionnement.
Bilan : Elle marche bien, mais même en superposant les calques et en m'aidant de traits de construction, je n'en demeure pas moins une quiche lorsqu'il est question de dessiner sans modèle ^^'

Article ajouté le Mercredi 27 Décembre 2017 à 20h04 |
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Tablette graphique
Cet article s'adresse en priorité aux connaisseurs en matière de tablette graphique.

Au début, j'avais pensé à acheter un stylet et un logiciel spécial pour mon futur nouvel Ipad, mais j'ai découvert une tablette sur Internet (Wacom Intuos, je crois, dans les 70€).

Du coup, je voudrais savoir ce que ça vaut, si quelqu'un parmi vous en possède une. Et surtout, qu'est-ce qu'on peut faire avec ? Dessiner, je m'en doute, mais est-ce que ça fonctionne aussi pour les découpes de photomontage et autres ?

Et aussi, pour le stylet, comment ça marche ? Est-ce qu'on peut se procurer facilement des mines de rechange ?

Merci à ceux qui me répondront, je préfère me renseigner avant de me lancer dans un achat.
Article ajouté le Jeudi 02 Novembre 2017 à 18h45 |
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