Just refuel and keep going
de Nicéphore

Bonjour !

Je n'ai point la foi de faire à la fois un article ici et un sur l'autre blog, là (et repense à l'époque où j'y signalais pourtant chaque retour de week-end — j'étais jeune) ; me voici donc revenue de vacances mais ce n'est pas très important. L'ordinateur ne m'a pas manqué tant que ça et je m'énerve même seule à retrouver mes réflexes d'errances Pokébipienne (accueil des fics - accueil de l'EM - page principale - etc) pour passer beaucoup trop d'heures devant l'écran. Je me suis faite, pleine d'enthousiasme, plein de résolutions (sortir plus, pianoter moins et n'utiliser l'ordi que pour lire des fics et travailler) mais la foi mollit déjà... pour pas grand-chose, et je doute même d'arriver à retrouver une activité décente.

Je n'ai rien écrit de plus que des sms pendant les vacances (performance notable, remarquez, sur le clavier que j'ai et à une telle fréquence !), et rien dessiné de plus que les deux-trois trucs qui viennent.

Parenthèse obligée pour expliquer la suite, j'ai passé deux mois (trois) à écouter beaucoup trop souvent et avec beaucoup trop d'ardeur des morceaux d'une comédie musicale nommée Chess et conseillée par on se demande qui. Il est question d'échecs, d'acteurs géniaux et de musiques fabuleuses. Si vous avez deux heures devant vous. (après renseignements préalables puisque mes deux lignes ne volent pas haut)



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Mon costume de carnaval.
Pour The Merchandisers, inspiré par une version coréenne du musical plutôt que par sa représentation la plus connue (Chess In Concert, dont le lien est plus haut) ; la mise en scène y est terriblement cool et pour ce morceau notamment. Les messieurs-dames s'y habillent en damier pour vendre jusqu'à du dentifrice à carreaux en profitant d'un championnat d'échecs.
(En une journée avec des liners noirs pourris ; les lines propres aaaah ;-;)


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Idem. Je veux en faire des stickers.


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Le morceau le plus connu du musical, et le moins représentatif, et celui que tout le monde connaît sans avoir jamais entendu parler de Chess, est One Night In Bangkok (en parlant à un vendeur de disques : "ah oui Chess, Bangkok, Murray Head tout ça !"). Franz, personnage de Gestalt (©), est lui-même grand joueur d'échecs et son créateur affirme que le mépris du protagoniste lui irait tout à fait. Ainsi...
(Aquarelle sur une feuille beaucoup trop texturée, et bonjour l'anatomie)

Sinon oui un jour je me calmerai et j'arrêterai de voler les concepts des autres pour construire des trucs à moi.

(Pas la foi non plus de poster des photos de vacances mais si des grenouilles, crapauds, couleuvres, poules d'eau intéressent des gens... :) )

Bonne soirée !