Goinfrex au pays des merveilles
Nous étions sur le bateau de Mr Marco. Jérémie revoyait toutes ses prestations pour le grand festival et Brice réfléchissait à son ex-aequo aux Jeux Olympiques. Libégon et Absol bronzaient sur le pont pendant que Lanturn et Groret jouaient à « Dégomme Piko ». Jungko était avec Jérémie… Et ne faisait rien.
-Goélise (Laissez moi tranquille bande de méchants !)
-Lanturn (Presque touché l'aile ! Je réessaye.)
Quand à moi, je regardais la mer, puis… Un Laporeille blanc qui courait sur l'eau. Il portait de beaux habits et tenait une grosse montre. Il était plutôt joli, même s'il criait tout le temps. « En avance, en avance, j'ai rendez-vous en France, je n'ai pas le temps de dire je pense, en avance, en avance ! »… Attendez une seconde. UN LAPOREILLE HABILLE ! C'EST QUOI CE DELIRE ? Hein ? Ce n'est pas normal qu'il soit blanc aussi ? Et qu'il court sur l'eau ? Eh ben, c'est bizarre toutes ces conneries. Il monta sur le bateau.
-Hep ! Laporeille ! Pourquoi t'es habillé ? … Et blanc aussi ?
-En avance, en avance, j'ai rendez-vous en France, je n'ai pas le temps de dire je pense, en avance, en avance !
-… Je t'ai jamais dit de dire « je pense » !
Il sauta dans la trappe qui menait à la cale. Evidemment, la curiosité m'a emporté. Un Laporeille habillé, pff n'importe quoi… OUI JE SAIS IL EST BLANC ET IL MARCHE SUR L'EAU ON LE SAURA ! Bref je le suivit en sautant, puis je tomba, tomba, tomba… Ca ferait une bonne chanson tiens ! TOMBA TOMBA TOMBA ! YEAH TOMBA !
Bon, d'accord j'interviens, mais avouez le ! Il est lourd ! C'est fini tes conneries narratives Goinfrex ?Bah tiens, quand c'est pas les autres, c'est l'auteur.
Tais-toi et reprend l'histoire !Humpf ! Bref je tomba très longtemps, tellement que ça devenait chiant et que je commençais à avoir la dalle. Enfin, j'arrivais dans une grande pièce. C'était rose bonbon, eh bah… Quel goût minable. Enfin… Je vit la porte elle était minuscule de chez minuscule. Je me baissais un coup pour voir.
-Bah mince alors, comment il a fait pour passer par là ? Ce n'était pas un nain quand même.
-A ton avis glandu ?!
La poignée de porte avait parlé. J'eu un sursaut et je regardai de plus prêt. J'éclatais ensuite de rire.
-HANLALA Trop fooort ! Elektek c'est toi ?
En effet, la tête d'Elektek était la poignée de porte.
-Me regarde pas comme ça ordure ! Qu'est-ce que tu veux ?
-Je suis le p'tit lapin, il est passé par là ?
-Bah oui évidemment. Sinon tu le verrai. Han lala j'ai vraiment affaire à un demeuré moi. Je te le dis tout de suite, tu ne passeras pas ?
-Pourquoi ? J'suis trop grand ?
-Bah oui. Il faudrait que tu bouffes un Poffin qui est sûr la table là-bas mais bon. T'es trop nul.
-Ca tombe à pic, j'ai faim !
J'en pris donc un et je grandis subitement. Je touchais presque le plafond. Je fusillais du regard Elektek qui se marrait.
-COMMENT JE T'AI EUT AH AH AH ! Quel gros naze !
De fureur, je prit des bombes qui traînait, et les plaçait sur le mur. Je me cachai derrière la table.
-EHHH TU FAIS QUOI ?!
BOUM ! Tout explosa, le mur fut détruit. Et je pus passer derrière. Je ne vous dit pas le boxon... SOUDAIN ! Une musique !
http://fr.youtube.com/watch?v=zrlCfuonhzw(regardez la vidéo sinon vous comprendrez paaas !)
-Alors là c'est très spirituel, bravooo !
Je regardais autour de moi. Eh ben. C'était une vraie connerie ce qui se trouvait dans la cale du bateau. Un élevage de bordel voilà ce qu'il y avait. J'aperçus Charmillon qui faisait courir des Pokémon. Ils étaient bleus, rouges, verts, caca d'oie. Eh ben…
-Hey Charmi ! Ca va ?
-Allez, hop, hop courrez ! Eh bien vous là, participez à la ronde, sinon vous ne sécherez jamais !
-Pourquoi je sécherai, je ne suis pas mouillé !
-Et hop on saute ! On court, on court !
Quel taré, je ne savais pas qu'il y avait un tel bordel sous le bateau de Mr Marco. Je partis discrètement.
-Eh ben, pas fâché de l'avoir quitté ce fou. Charmi a vraiment un problème dans la tête.
J'avançais dans une forêt. C'était calme, il n'y avait rien. J'avançais, jusqu'à ce que finalement… Grolem et Oniglali arrivèrent devant moi.
-YIK ! Vous m'avez fait peur bande d'idiots !
-Eh ! On ne traite pas les gens d'idiots !
-Quand on rencontre quelqu'un on lui serre la main, se présente et on dit les motifs de sa visite.
-Voilà les bonnes manières !
-Oh bon Arceus… Déjà je peux pas te serrer la main Oniglali, t'en as pas !
-Pas d'insolence ! Je suis Tweedle Oniglali !
-Et moi Tweedle Grolem !
-… Moi c'est Goinfrex. Je cherche le Laporeille blanc, vous l'avez vu ?
Ils dansèrent autour de moi. Je me frappai le front.
-Peut être est-il parti par ici ?
-Où peut être par là ?
-Voulez-vous entendre notre poème.
-Mais je m'en fiche moi ! Votre poème là j'en ai rien à…
-Il s'intitule «
Le Laggron et le Capidextre. »
-Oh non…
Il était une fois sur les rives d'une mère folle !
Où le soleil était drôle !
Cela était inouï, car il était minuit !
Un Laggron qui se baladait sur les rives.
Suivi de Capidextre, son ami.
Ils cherchaient de la nourriture, et tombèrent sur un nid d'huître !
Le Capidextre, en appétit voulu les avaler tout de suite !
Laggron, plus malin alla leur dire :
-Bonjour petites huîtres, voulez-vous me suivre ? Nous allons faire la fête ! Ce sera chouette !
Les huîtres, enjouée, suivirent le Laggron.
Ils ne savaient pas que cela allait les mener au bouillon !
Pendant que Capidextre préparait la sauce,
Laggron les amadoua sans force.
Et ne s'y attendant pas, les huîtres furent gobées
Sans autres formes de procès !
Laggron égoïste, se prit des coups sur la tête.
Par Capidextre qui venait de gâcher la fête.-FIN !
Je m'étais endormi. Grolem, fâché, me secoua.
-Hein, quoi ? C'est fini ?
-Eh bien…
-Où sont les bonnes manières ?
-Vous voulez vraiment le savoir ?
-Allons-y pour le prochain poème !
-Il s'intitule, «
Le père Cacturne » !
Pendant qu'ils déblatéraient leurs idioties, je partis à toutes vitesse. Parce que moi, les poèmes… Surtout que là, ça ne rime pas du tout.
Enfin, je retrouva la trace du Laporeille.
-HE ! LAPOREILLE ! C'EST MOI !
- En avance, en avance, j'ai rendez-vous en France, je n'ai pas le temps de dire je pense, en avance, en avance !
-… Comme d'hab. Pourquoi t'es en avance ?!
Il partit sans dire mot.
-Purée, ils avaient raison les deux autres glandus ! Où est la politesse là ? EH ! Ne t'en vas pas ! Reviens sale…
Il partit par un sentier, je trouvai un cookies sur la route.
-OUAH ! Le bol !
Je le croquai, puis je devint tout, tout petit… Oh non, pas tout petit ! C'est la honte. J'espère que personne ne viendra m'écraser !
Au bout d'un moment, j'arrivai dans un champ de fleurs.
-Oh ! Bonjour jeune Goinfrex !
-Hein ? Qui a parlé ?
-Nous voyons !
-Mince, des Héliatronc ! B'jour !
-Eh, comment vas-tu ? Tu sais, on vend du shit !
-Hein ?! Vous racontez quoi là ?
-Oui ! On est des vendeuses de dro…
-JE SAIS CE QUE VOUS ÊTES ! MAIS PUREE PARTEZ ! AYEZ PITIE DES LECTEURS ! AU SECOUUUURS !
Je me cassai en courant.
Je vis Gardevoir sur un champignon.
-Hé, Gardevoir ! Je n'arrête pas de rencontrer des fous ! Tu connais un moyen pour grandir ?
-… Ca s'en va et ça revient… C'est fait de tout petits rien.
-Je te demande pardon ?
-Alexandra, Alexandrie.
-…
-Si j'avais un marteau, je frapperai le jour, je frapperai la nuit.
-MAIS OH ! CA VA PAS OU QUOI ?!!
-Bah ! Ca va pas ou quoi ? Laisse moi ! Je médite sur Claude François !
-Je voulais juste grandir !
-Un morceau te fera grandir, l'autre te fera rapetisser.
-Un morceau ? Un morceau de quoi ?!
-DU COOKIES IDIOT !!!!
En effet, il y avait un cookies par terre. J'en pris un morceau, et je retrouvai ma taille normale. J'exultais.
-YEHA ! Je vais faire un truc.
Je cueillais toutes les Héliatronc et les déchirais en lambeaux.
-PRENEZ CA ! SALES GÂCHEUSES DE FIC !
Bon, en tout cas, ça ne m'aidais pas je pataugeais toujours dans la gadoue. J'arrivai à une croisée des chemins.
-Eh ben… Je n'aurais jamais dû suivre ce lapin. En tout cas elle est grande la cale de Mr Marco.
-Tu cherches quelque chose ?
Apparut un sourire plein de dents. Puis des yeux puis…
-SKITTY ! Qu'est-ce que tu fais là vieux ?
-Tu sais te tenir debout sur ta tête ?
Il me montra l'exemple.
-… Nan mais je cherche le Laporeille blanc.
-Tu devrais aller voir le Chapelier fou, il le sait peut être.
-Mais c'est chiant les fous !
-Où le Lièvre de Mars !
-Ah, ce serait mieux !
-Mais il est fou lui aussi ! NOUS SOMMES TOUS FOUS ICI ! BOUAH AH AH AH !
-Oh purée…
-Evidemment, je n'échappe pas à la règle !
Il disparut en arborant un sourire malicieux.
-Bon, je vais aller voir le Lièvre, lui il ne peut pas être aussi dingue que ce matou.
En arrivant, je vis une jolie petite maison. Tout à coup, une musique. Je jetai un coup d'œil. Groret et Lanturn était en train de faire je ne sais quoi.
-JOYEUX POKEBIP-ANNIVERSAIRE MON CHER !
-A MOI ?
-A VOUS !
-A MOI ?
-MAIS OUI A VOUS !
-JOYEUX POKEBIP-ANNIVERSAIRE !
-… Ca ne s'arrange pas.
Ayant la dalle, je m'assis pour chiper un bout de gâteau. Evidemment, pas de bol, je me fis repérer de suite.
-PLUS DE PLACE ! Cria Lanturn.
Je remarquais son drôle de haut de forme. Groret s'était collé deux fausses oreilles avec du scotch.
-Comment ça plus de place ?! Il y en a plein !
-Sauf pour la logique !
-Vous fêtez un anniversaire ?
-Non ! Un Pokébip-anniversaire ! On a un anniversaire par an et 364 anniversaires dans une année !
-Euh non… Un seul Pokébip-anniversaire.
-On avait dit : pas de place pour la logique !
-Oh maintenant ça suffit Groret ! Lanturn, toi qui est intelligent, explique-moi dans quelle connerie je suis tombé !
-Voulez-vous du thé ?
-… Pourquoi pas.
Il me servit une tasse, me la tendit… Et la reprit.
-Ben…
-TASSE PROPRE VIIITE !
-Mais je n'ai pas utilisé la mienne !
-Donc où en étiez-vous ?
-Mais j'ai encore rien dit Groret !
-EH ! Dit Lanturn. C'est mon Pokébip-anniversaire aujourd'hui !
-OH JOYEUX POKEBIP-ANNIVERSAIRE !
-… Dites, si c'est 364 jours par ans, dis-je. C'est mon Pokébip-anniversaire aujourd'hui.
-OOOOOH ! Dans ce cas… JOYEUX POKEBIP-ANNIVERSAIRE, MON CHER !
-A moi ?
-A VOUS !
-A moi ?
-MAIS OUI A VOUS !
Ils me donnèrent un gâteau qui m'explosa dans la figure.
-Franchement, ce n'est pas drôle.
-Quel manque d'humour, ricana Lanturn.
-Voulez-vous encore une tasse de thé ?
-J'ai encore rien bu !
-CHUT ! LE LOIR VA PARLER !
Morpheo sortit du sucrier.
-… Aux armes, citoyens ! Formez, le bataillon !
Il rentra dans le sucrier.
-Eh ben… Je ne savais pas que Morpheo connaissait la Marseillaise.
-Je prendrai bien une tasse de thé, dit Groret.
-Changeons de sujet ! Dit Lanturn et assommant Groret.
-Quel est le comble pour un chien ?
-Euh… Alors… Quel est le comble pour un chien ?
-Vous dites ?
-Je dis, quel est le comble pour un chien.
-ST SKITTY ! IL EST FOU À LIER ! Cria Groret.
-C'est le diable ! Quelle question idiote !
-C'est vous qui m'avez demander ça !
Morpheo sortit du sucrier.
-… Aux armes, citoyens ! Formez, le bataillon !
-Je vous sers du thé ?
-…
Ouf, pas fâché d'en être sortit, de tout le bled, ça devait être ces deux tarés les plus fous. J'ai jamais vu ça !
-Hé bien, tu traînes encore ?
-AH ! Ah, c'est toi Skitty ?
-Quatre dentistes sur cinq sont partis par là !
Il me montra deux chemins.
-Mais le cinquième est partit par là !
Il me montre un chemin.
-Au fait, où vas-tu ?
-Je cherche le Laporeille blanc… Ca n'a pas d'importance.
-Ah ! Alors peu importe où vous allez !
-Tu te fous de moi ?!
-Non, je ne raille que les cheminots !
-… Bon, ça suffit à présent ! OÙ DOIS-JE ALLER ?
-Tous les chemins appartiennent à la Reine !
-La Reine ? Elle est où ?
Il ouvrit une entrée dans un tronc d'arbre.
-Je vous conseille de vous rendre par ici.
-Eh ben j'y vais ! Salut matou !
J'entrai dans ce qui semblait des jardins. A force de me promener je vis des Cartes-Helledelle qui peignaient des violettes en jaune.
-Salut Helledelle, vous faites quoi ?
-On peint les violettes en jaune. La Reine n'aime pas les violettes violettes, et le jardinier s'est trompé en les plantant.
-… Je vois.
-Si elles sont violettes et pas jaunes, elle nous fera couper la tête.
-Aouch, je vais vous donner un coup de main va !
A peine eut-je saisit le pinceau que des trompettes retentirent. Le Laporeille Blanc arriva en avant.
-AH ! POURQUOI T'ES HABILLE ?
-Pour être présentable devant la Reine.
-Et euh… Ah oui ! Pourquoi t'es blanc ?
-Jamais entendu parler d'albinos ?
-Ah je vois ! YOUPI JE LE SAIS ! JE VAIS POUVOIR RENTRER CHEZ MOI LALALA ! Voyez lecteurs, votre personnage préféré vous a apporté la solution !
-Qui ose parler de « chez moi » ? ICI TOUT EST A MOI !
La Reine Libégon arriva, suivie du Roi Jungko.
-Eh ben.
-EST-CE TOI ?!
-… Non, c'est les cartes derrière !
-QU'ON LEUR COUPE LA TÊTE !
Un Carte-Absol les emmena.
-TOI ?! Tu veux jouer au croquet ?
-… Non, c'est nul !
-DANS CE CAS JE VAIS TE FAIRE COUPER LA TÊ…
-NAN NAN ! C'est bon, je vais y jouer à votre croquet, c'est d'accord.
-Eh ben voilà.
Nous étions sur le terrain de croquet, des cartes Helledelle s'étaient mit en position. On nous apporta le matériel.
-C'est quoi ça ?
-Prends ton Linéon et jouons.
Je faillis crever de rire en voyant les Linéon transformés en maillet, mais je tenais trop à ma pauvre tête. Ensuite vint la balle.
-OUAH ! Tengalice !
-Que dis-tu ?
-Des conneries, laissez tomber votre majesté.
-Mouais… Allons-y.
Elle prit son Linéon et frappa la balle avec… Enfin frappa c'est vite dit, Tengalice partit sans attendre le coup, les cartes firent tout pour laisser passer la balle. Je soupirai devant la tricherie de Libégon. Jungko applaudit avec les autres cartes.
-Bravo chérie, vous êtes très forte !
-Jungko… Tu me dégoûtes. Dis-je.
Quand vint mon tour, mon Linéon se tordit dans tout les sens. Impossible de frapper le Tengalice.
-Purée Linéon ! Tu me le payeras ça après !
Apparut Skitty.
-Yo Goinfrex ! Alors ça se passe comment ?
-Mal ! Je vais perdre à un jeu trop facile et trop pourri !
-Et si on s'amusait un coup ?
Il s'approchait de la Reine et se prépara à un joli coup de pied.
-SKITTY NON !
Il frappa, la Reine tomba à terre s'écrasant sa face sur le sol.
-Là chaton, tu me le paieras au labo !
-QUI A FAIT CA ?! ENCORE TOI ?!
-Nan c'est Skitty !
-Et où est-il ?! Je ne le vois pas !
Il avait utilisé sa faculté à disparaître.
-Foutu matou !
-QU'ON LUI COUPE LA TÊTE !
-ARGL !
-Euh, chérie, intervint Jungko, on ne devrait pas plutôt faire un procès ?
-Mouais, ça me défoulera un petit coup. Okay, va pour le procès !
-Jungko, je retire ce que j'ai dit ! Je te bénis !
Donc je me trouvai dans le tribunal, Libégon présidait et Laporeille s'occupait de la procédure.
-Bon ! Le verdict est tombé ! QU'ON LUI COUPE LA TÊTE !
-Euh chérie, on ne devrait pas d'abord entendre les témoins avant le verdict ?
-Ouais chér… Euh Libégon ! Ecoute les témoins comme le dit si bien le Roi !
-Pff, d'accord.
-Premier témoin, le Lièvre de Mars ! Cria Laporeille.
Je me frappais la tête. Groret entra dans la salle, sa tasse de thé à la main. Il la bue et attendit qu'on lui donna la parole.
-ALORS ?! Que sais-tu de l'affaire ?
-Que dalle !
-HEIN ?! TU NE SAIS RIEN ?!
-NAN ! JE SAIS RIEN DU TOUT !
-JURES, NOTEZ BIEN C'EST TRES IMPORTANT.
-Pff, ça me fera du monde à massacrer quand je serais sorti de cette cale, soupirais-je.
-Deuxième témoin, le Loir !
On apporta un sucrier, Morpheo sortit.
-… Aux armes, citoyens ! Formez, le bataillon !
-J'AI JAMAIS RIEN ENTENDU D'AUSSI IMPORTANT ! NOTEZ BIEN CA !
-Pff…
-Troisième témoin, le Chapelier Fou !
Arriva Lanturn.
-Alors ? Où étiez-vous à l'heure du crime ?
-Je fêtais mon Pokébip-anniversaire avec le Lièvre de Mars.
-EH ! Chérie ! Dit Jungko, c'est ton Pokébip-anniversaire aujourd'hui !
-Mince ! C'est vrai ! C'est génial !
-Dans ce cas, commença Lanturn.
Groret arriva, et ils crièrent à l'unisson.
-JOYEUX POKEBIP-ANNIVERSAIRE, MA CHERE !
-A moi ?
-A VOUS ?!
-A moi ?
-MAIS OUI A VOUS !
-On crois rêver, pff, qu'est-ce que je fais encore là moi ?
Ils tendirent un gâteau. Je prévoyais de ce qu'il allait arriver.
-NAN, ATTENDEZ MAJESTE !
Je courut et à peine touchais-je le gâteau que Libégon souffla ses bougies et le gâteau explosa à sa tête.
-Et mince !
-C'EST TA FAUTE ! QU'ON LUI COUPE SA TÊTE !
Les Cartes-Absol foncèrent vers moi. Je courut pour m'échappais, puis je tombais dans un grand trou, un grand, grand trou.
-Hé, ça va Goinfrex ?
La tête de Libégon apparut.
-PRENDS CA SALE REINE !
Je la frappai d'un gros coup à la tête.
-Qu'est-ce qu'il a fait ?! Cria Absol !
-Il est suicidaire !
Elle me tenait au dessus de Sharpedo enragés.
-NAAAN LIBEGON ! PARDON J'SUIS DESOLEEE !
Prochainement :
Goinfrex : Je n'ai jamais vécu un chapitre aussi fou !
Groret : Mais de quoi il parle ?
Lanturn : Aucune idée.
Goinfrex : M'APPROCHEZ PAS VOUS DEUX !
Libégon : Bref, nous arrivons au prochain chapitre…
Jungko : « Naufrage sur l'île Mirage »