Il pleut... Il faut beau...
Note : Chapitre spécial ! Deux points de vue différents sont expliqués ici ! Vous ne pouvez en lire qu'un, mais sachez qu'il est compléter par l'autre.
Il pleut...
À l'autre bout de demi-monde, dans la profonde forêt, un meuglement retentit. Une vague composée d'un liquide jaune, visqueux mais épais tombe à terre. Un énorme animal d'environ quatre mètres hurla. Un hurlement dans lequel se mêlait du désespoir, une quantité incroyable de haine, une teinte démesurer de rage et une touche de douleur. Une petite touche.
« La légende dit que la haine peut vous donnez des ailes... Est-ce des ailes dont j'ai besoin ? se répéta-t-il en son for intérieur. J'ai surtout besoin de force... Tu verras, Aquo, comme je te traiterais bien, lors de ta mort. »
Il pleut. Et le voilà qu'il saute sur l'immensité bleue qui l'avait si grièvement touché et dont pourtant, il ne sentait rien, la haine cachant la douleur.
Il pleut...
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Il faut beau...
À l'autre bout de demi-monde, dans la profonde forêt, un cri retentit. La pluie revient, puisque son adversaire, grièvement blessé, ne peut plus apporter le soleil. La vague visqueuse composé du sang de son adversaire touche sol, une profonde entaille lui déchirant le visage. Il cria. Un cri dans lequel ont retrouve sans difficulté la joie, mais aussi une touche de méfiance pour son ennemi de toujours. Une petite touche de méfiance.
« La légende dit que tu passeras l'arme à gauche quand la pluie couvrira l'entaille qui en finiras de toi et de ta descendance. Mais ai-je besoin de la prophétie ? Non, je n'ai besoin de rien, Helio. De rien pour t'exterminer. Toi, comme du reste. »
Il fait beau. Il esquive la première attaque du pokémon du monstre rouge et se prépare à contre-attaquer. Seulement, une lumière verte l'en empêche...
Il fait beau...