Un Blog De Légendes...Presqu'Urbaines!
de Légendes Urbaines

Savez-vous ce qu'est le Nuzlocke Challenge? C'est un défi qu'un joueur se lance lorsqu'il joue à un jeu Pokémon. en gros, il y a deux règles fondamentales à respecte.

1. Tout Pokémon K-O est considéré comme mort et doit être relâché.

2. On ne peut capturer que le premier Pokémon vu dans chaque zone.

Si je vous parle de ça, c'est que j'ai commencé le défi (CHALLENGE ACCEPTED) sur Pokémon Noire et Émeraude.mje joue aussimavec la règle (facultative) de donner des surnoms à tous les Pokémon capturés. Cette règle ne fait pas grand chose sauf plus de peine lors de la perte d'un coéquipier.


Selon vous, devrai-je faire une fic parodique dans le même style que Aventures du dessin animé Pokémon? Serait-ce une bonne idée?

Enjoy! Le début est un peu lent, mais le conte se transforme peu à peu en cauchemar! 19 pages World! Les noms d'Orion et d'Héméra sont tirés d'une super fic que je lis en ce moment! :)








L’histoire que je vais vous raconter peut sembler complètement superflue, complètement irréelle. Aux premiers abords, les pouvoirs dont j’ai hérités auraient pu être considérés amusants, utiles même…
Ça a pris du temps avant que je remarque que ma vie glissait lentement, très lentement, vers un gouffre sans fond nommé le Néant.
Et si seulement…

*****

L’univers est peuplé de galaxies, d’étoiles et de planètes par milliers. Pour ma part, moi, Orion né Lhunaak, a vu le jour sur des terres d’une grandeur complètement ridicule. Ma planète n’avait pas de nom, les seules informations que je peux vous donner est qu’elle est principalement constituée d’eau et a un cycle de 320 jours. Sur cette planète, il n’y avait qu’un seul continent sur lequel vivaient deux tribus, la mienne et celle des foutus Midjuwuiks. Bien entendu, les deux clans étaient en guerre perpétuelle depuis le début des temps et chacun avait son propre moyen de défense.
Moi, Orion, est né dans une famille de Lhunaak (et quelle chance!), l’une des deux grandes familles de notre clan. Pour assurer la défense de notre territoire, le clan est divisé en deux : Les Lhunaaks et les Shalaaks. Bien sûr, je suis né dans la famille qui assure la défense de la patrie pendant le jour.
Ma vie était plutôt monotone. Comme toute ma famille, j’étais destiné à devenir un Lhunaak et c’était très bien ainsi. Mon âme était pure (enfin presque), donc rien ne devrait entraver mon destin de Paladin de la Lumière.

Moi, Orion, avait 16 ans lorsque ma vie a chamboulé. Il faut dire que tout était beau avant, je n’avais aucun problème, aucune difficulté mentale ou physique.
Mais surtout, j’avais Héméra. Cette fille était si merveilleuse et si douce qu’en sa présence, j’oubliais tout le mal. Elle gentille, généreuse, avait un corps mince et des cheveux d’or… Oui, Héméra était une femme formidable. C’était ma petite amie, et j’en étais très fier. Nous avions hâte d’attendre l’âge adulte pour que nous nous mariions enfin. Ensemble, nous vivrons, ensemble, nous combattrons, ensemble, nous monterons au sommet des cieux. Ensemble, nous serons de fier Lhunaaks.

Ma vie a chamboulé lors du 280è jour de l’année, lors du mois d’Autobre. À cette période de l’année, l’air devenait plus frais ; les feuilles aux arbres prenaient des teintes rouges, orangés et rosées avant de tomber au sol afin de former un lit. C’était ma saison préférée ; et je n’allais pas manquer une occasion de voir toute cette belle nature à son meilleur. Une de mes activités favorites était la randonnée pédestre et, par chance, près de notre territoire se trouvait la Montagne du Supplice. Celle-ci n’avait de mal que le nom car c’était une véritable réserve de merveilles naturelles. Chutes, rivières, faune, flore, tout était beau. Lorsque je montais cette montagne, je me sentais en harmonie avec la nature. Seul, seul avec la montagne. J’avais créé un lien avec elle.
Eh bien, aujourd’hui, que ce lien aille se faire foutre car, franchement, je m’en serais bien passé.
La journée avait plutôt bien commencée. J’étais parti avec le sourire, ma gourde était bien remplie (mon Dieu que je connais les dangers de la déshydratation). J’ai suivi le sentier jusqu’au sommet, heureux, observant la nature et toutes les petites choses des bois.
À mi-chemin, le sentier dans les bois effectua un croisement. Vers la gauche, il y avait un point de vue, et vers la droite, la suite du chemin jusqu’au sommet. Je me suis dirigé vers le point de vue et j’ai observé. Cette image était si magnifique, une armée d’arbres colorés se dressait devant moi. Ébahi, j’ai délacé mon emprise sur ma gourde et celle-ci a roulé au sol avant de tomber au milieu des arbres.
Bien sûr, j’étais idiot et je ne l’ai remarqué qu’au sommet de la montagne, alors que j’avais bien soif. C’est donc en détresse que j’ai regardé s’il n’y avait pas de rivière proche, mais il y avait juste de la roche près du sommet. Je me suis donc dit que j’allais regarder la vue et ensuite, je retournerais bien vite sur le sentier afin de trouver une rivière proche.
Je me suis approché du bord d’une falaise afin de profiter de la vue. C’est là que je l’ai remarquée.

La Mort. Silhouette encapuchonnée dans une longue toge noire, visage squelettique à faire pâlir des Midjuwuiks, une faux énorme et qui a l’air bien coupante dans la main droite. Elle lévitait devant moi, au-dessus des arbres. De sa main gauche, elle me pointait. Selon les vieilles légendes de la tribu, lorsque la Mort se montre à notre regard, c’est que notre fin est proche.
Je ne pouvais croire que je devais mourir, là, au sommet d’une montagne, à 16 ans, sans avoir réalisé mes rêves, sans avoir profité au maximum du temps avec Héméra. Je ne voulais pas mourir, je ne pouvais pas mourir. Je devais résister.
La Mort a abaissé sa faux sur le pan de la falaise qui s’est effondrée. Je me suis jeté en arrière et j’ai pu m’accrocher in extremis à une cavité toute nouvellement créé. La Mort, voyant qu’elle avait raté son coup, lévitait vers moi en levant son arme. Je me redressais et évita le coup de faux. J’ai frappé celle-ci, étant à ma portée, avec mon pied et l’ai récupéré à la main. La Mort fonça une nouvelle fois vers moi, mais cette fois, je l’ai plaquée au sol avant de placer la faux devant sa gorge.
« Meurs, salope, meurs! » étaient mes paroles. La seule façon de tuer la Mort était de retourner sa propre faux contre elle-même. Ce que je ne savais pas, c’était les conséquences qui allaient découler de mon acte si je le réalisais. La Mort m’a averti à temps, me disant que si je l’a tuais, j’allais créer un paradoxe puisque personne ne pourrait plus mourir. Puis, elle a usé de ruse et je me rappelle encore de ses paroles :

« Mon ami, je te propose un pouvoir, toi qui est si courageux, si intrépide. Tu es le seul humain à m’avoir résisté, et tu mérites une récompense. Je te propose de devenir mon maître, le Maître de la Mort. Tu seras invincible, tu auras la jeunesse éternelle, mais surtout, tu auras le droit de vie ou de mort sur tous les êtres de ta planète. Tu seras en possession du Livre des Morts. »

Ces paroles m’ont alléchée et j’ai accepté. La Mort m’a ensuite expliqué qu’il y avait trois contraintes à respecter. Premièrement, je ne devrais jamais invoquer le Livre des Morts devant un public, quiconque que ce soit. Deuxièmement, à chaque jour, je devrais mettre à mort un minimum de vingt personnes par jour (la planète étant petite et seulement peuplée d’un millier de personne). Finalement, je devais savoir qu’un jour ou l’autre, tout le monde devra mourir. Je ne peux faire vivre éternellement quelqu’un en particulier.
Moi, Orion, avait seulement 16 ans et a accepté immédiatement. Vous savez, j’étais à un âge où on se croit invincible, au centre de l’univers. Devenir le Maître de la Mort me gonflait de fierté.

*****
Faisons un petit saut dans le temps (une ellipse bien foireuse comme on les aime). Être Maître de la Mort, c’est plus simple que ça n’a l’air. À minuit, dans ta chambre, tu t’assures que personne t’observe et t’invoque le Livre des Morts (Incantation : Livre des Morts, apparait!).
Le Livre des Morts est un livre bien normal en quelque sorte. Il est constitué de papier, évidemment, et pas de papyrus ancien bien craquant. À chaque page se trouve la fiche de personnes vivant sur ma planète, qu’elle soit Midjuwuik ou non. À chaque jour, la nuit de préférence, je décide qui meurt en cochant une petite case près de son nom. Et la personne meurt peu après, quel que soit la façon.
Bien attendu, je les ai fait goûter, à ces foutus Midjuwuiks. Bien sûr, plusieurs personnes sont mortes en deux ans dans notre clan, j’étais obligé en quelque sorte, il fallait garder un certain équilibre. Mais disons que je ne me suis pas gêné avec ces salauds des bois.

La relation entre moi et Héméra s’est améliorée en deux ans. Tout le monde dans la famille Lhunaak nous considérait comme deux tourtereaux n’attendant que le Choix des Esprits avant de marier.

En parlant du Choix des Esprits, cette soirée me réserva une très mauvaise surprise. Le Choix des Esprits se fait à la dernière journée de l’année. Tous les jeunes adultes de 18 ans passent ce test qui détermine si tu vas dans la famille des Lhunaaks et que tu deviens un Paladin de la Lumière, ou si tu vas chez les Shalaaks afin de devenir un Guerrier des Ténèbres. Comme les noms l’indiquent, l’une des familles assure la sécurité pendant le jour et l’autre pendant la nuit. Au début de cette journée, il était évident pour tous et pour toutes que moi et Héméra allons passer dans le clan de la lumière.
Et justement, les esprits ont décidé qu’Héméra sera des Lhunaaks. Lorsque mon tour est arrivé, j’avais des papillons dans le ventre, et curieusement, je ne faisais que penser à la Mort, à mon rôle secret de Maître de la Mort. Je me suis assis sur le Trône des Esprits. Et le rituel a débuté.
Les esprits de mes ancêtres sont apparus et ont tourbillonnés autour de moi. Leurs fantômes m’observaient, me sondaient. Ils révélaient la seule trace de méchanceté et la seule trace de bienveillance en moi. Ils m’ont observé longuement, et cela a augmenté mon stress. J’avais peur, peur de passer chez les Shalaaks et de ne pas pouvoir marier Héméra. J’avais peur de devoir vivre la nuit et dormir le jour, ne voir ma famille que dans les Fêtes de Saison. J’avais peur de partir à la bataille avec un katana et une armure noire, et non une épée lumineuse et une armure d’or.
Le verdict est tombé. Les esprits ont terminé de tourbillonner et sur mon front est apparu un serpent noir. Le symbole des Shalaaks. Tragédie. Peine. Incompréhension. Tous ces mots décrivent ce que j’ai ressenti. Puis, j’ai lâché ma colère devant tout le clan :

« MAIS COMMENT EST-CE POSSIBLE?! Héméra…Héméra…dit-leur que je suis pur…dit-leur que je suis un Lhunaak…que je dois vivre le jour…que je dois te marier… »

Héméra m’a regardé d’un regard triste et peiné. Elle non plus ne comprenait pas. Elle aussi était désolée. Je me suis calmé, toutes les personnes du clan me fixaient. Mes parents avaient l’air déçu. Je ne voulais pas être Shalaak…Je ne voulais pas être obligé de vivre le jour…
Mais comment en étais-je arrivé là? Je ne comprenais pas. Je n’avais fait du mal à personne, j’étais en harmonie avec tout le monde et mon esprit était aussi pur que l’eau de source. Qu’est-ce qui à l’intérieur de moi a fait que je suis passé du clan des Shalaaks? Non, pas que je détestais cette famille, c’est juste que…j’aimais Héméra. Plus que tout.

On m’a installé dans une nouvelle hutte, où je vivrais désormais avec un colocataire, en attendant d’avoir une femme.

Le lendemain (enfin, au coucher du soleil), je me suis fait réveiller par un coéquipier de chambre, Marquis. Il m’a dit de me lever, de vite enfiler mon armure noire qui constituait un parfait camouflage la nuit, et de prendre en main un katana. Cette arme est une longue épée mince noire qui permet des coups rapides et précis. De mon autre main, j’ai pris un bouclier à l’effigie des Shalaaks : un serpent noir.
Ensuite, j’ai suivi Marquis et on a rejoint le reste du groupe. C’était la première fois que je voyais l’armée complète des Shalaaks et j’étais époustouflé. Nous étions tous armés de la même façon et il était difficile de nous différencier. Ma première bataille contre les Midjuwuiks allait enfin commencer.
Nos adversaires, les terribles Midjuwuiks, étaient de gros barbares poilus. Point. Ils se battaient avec des marteaux en bois et des haches. Et comme on dit, fort physiquement, faible psychologiquement. Oui, car ils étaient de vrais idiots, quitte à frapper un ami pour rien. À la fin de la très courte bataille, quelques personnes étaient mortes (enfin, les personnes dont j’ai coché la case hier).
À partir de ce moment, j’ai senti que ma nouvelle vie en tant que Shalaak allait être longue. Heureusement, je savais aussi que je pouvais voir Héméra lors des Fêtes de Saison, qui se passent à tous les deux mois et dure le jour et la nuit. Ce sont des jours de trêve entre mon clan et les Midjuwuiks.

*****

Hé hop! Une autre ellipse de deux ans. Rien de particulier ne s’est passé, que ce soit que j’ai continué à bien remplir mon rôle de Maître de la Mort. Mon colocataire, Marquis, ne m’a jamais surpris avec le Livre des Morts à la main et c’est très bien. À toutes les Fêtes de Saison, j’ai parlé avec Héméra, mais j’ai senti qu’il y a une étincelle qui s’est perdu entre elle et moi. Enfin, dans son cas, car moi, je l’aimais de tout mon cœur.
En fait, cette période de ma vie, alors que j’avais 20 ans, a commencé avec un événement assez déchirant. Vous savez, ce n’est pas parce que je décidais de ne pas mettre à mort quelqu’un que cette personne ne pouvait pas avoir d’accident. Elle pouvait avoir une maladie mortelle et ne pas en mourir, juste souffrir un peu.
Justement, c’est ce qui est arrivé à ma grand-mère. Lors d’une Fête de Saison, j’ai remarqué son absence et mes parents Lhunaaks m’ont expliqué ce qui lui est arrivé. Elle avait tout le temps mal au cœur et restait au lit. Sa respiration était lente et saccadée. Je m’en souviens encore aujourd’hui, ils m’ont dit que c’était comme si la Mort l’évitait et voulait qu’elle reste en vie.
J’ai donc pris l’horrible décision d’ouvrir le Livre des Morts et de cocher son nom. Bie que c’est quelqu’un de ma famille, je ne pouvais la laisser dans un état si déplorable. J’ai pris conscience qu’un jour ou l’autre, le reste de ma famille mourra par ma main.
Héméra aussi.

Par la suite, lors d’une autre Fête de Saison, celle d’Evengilence, j’ai appris qu’Héméra n’était pas seule. Depuis qu’elle a été nommée Lhunaak, il paraîtrait qu’un jeune homme blond lui faisait des avances. Ce sont mes parents qui m’ont glissé le mot. Or, lorsque que j’ai vu ce jeune homme au regard pétillant bécoter mon Héméra, j’ai compris que la flamme de ma copine pour moi s’était éteinte.

Le jeune homme se nommait Loukas. Oh, il n’avait rien de bien méchant, il n’était pas orgueilleux, vaniteux ou prétentieux. En fait, il était très gentil, attentif et aimable. Or, malgré toutes ses qualités, je ne pouvais que le détester. Ce salaud avait marié Héméra, et cette nouvelle m’a choqué.
Je me suis senti mal au début, puis, ma colère s’était accumulée. Je bouillonnais sur place, pendant qu’Héméra et Loukas dansaient au rythme d’une musique pendant la Fête de Saison. C’est moi qui aurais dû être à sa place. Tout ça à cause que je suis devenu un Shalaak. En y pensant, comment en suis-je devenu un? Je n’avais toujours pas trouvé de raison.

C’est alors que des cris ont éclatés (je vous rappelle que nous sommes toujours lors de la Fête de Saison d’Evengilence, hein !). J’ai tourné ma tête et j’ai vu un bâtiment de bois en feu. À l’intérieur se trouvait plusieurs personnes qui semblaient enfermées. Personne ne voulait risquer sa vie à aller à leur rescousse, tout le clan était tétanisé. Puis, la cabane s’est effondrée sur ses habitants.
C’est alors qu’un vieil homme a hurlé d’aller aidé les accidentés. Plusieurs personnes se sont précipités et ont déplacés des morceaux de bois en se brûlant les mains. J’étais parmi ces personnes. Avec l’aide de Marquis, j’ai déplacé une poutre et j’ai fait une découverte macabre.
Il y avait le corps d’un homme, complètement calcinée avec différents membres de son corps écrasés. Ses yeux étaient remplacés par des orbites vides d’où coulait un liquide jaunâtre. Un morceau de son ventre était arraché et plusieurs organes comme le cœur ou les entrailles étaient à l’air vif. Par contre, la chose la plus horrible dans tout cela était que son cœur battait encore. Je me souviens que j’ai failli vomir, ce jour-là.
Un peu partout, d’autres corps brûlés étaient retrouvés. Plusieurs personnes se sont évanouis, d’autres ont poussé un cri d’horreur. Certains étaient dans des états terribles, comme celui qui vivait encore malgré que son crâne était un peu ouvert.
Personne ne comprenait, excepté moi. Je n’avais jamais voulu que ces personnes meurent. La veille, je n’avais coché aucun nom, du moins, pas dans mon clan.
J’ai regardé les expressions des personnes autour de moi. Marquis grimaçait, mes parents étaient pétrifiés de peur. Héméra pleurait silencieusement dans les bras de Loukas
Je me suis retiré dans un coin sombre, entre deux maisons. J’ai vérifié plusieurs fois s’il n’y avait pas quelqu’un qui m’observait, puis, j’ai fait apparaitre le Livre des Morts.
La maison qui a brûlé était une d’une famille de Lhunaaks. Il m’a été relativement facile de retrouver tous les membres car le fils le plus jeune était un de mes amis d’enfance. J’ai coché (oui, car moi, Orion, avait un crayon en permanence dans ma poche) tous les noms de ceux qui pouvaient être à l’intérieur. Par inadvertance, j’ai aussi coché celui-là de Marquis. Il s’avéra qu’il était un cousin de cette famille, ce qui expliquait sa position dans le Livre des Morts. Or, je ne pouvais pas sauver mon colocataire. Lorsqu’un choisit de mettre quelqu’un à mort, c’est irréversible. J’étais assez choqué à ce moment. Malheureusement, je savais qu’une personne allait mourir par mon inattention.
Ce n’est pas grave, a dit une petite voix dans ma tête, il serait quand même mort un jour ou l’autre. Où est le problème?
Je me rendis compte que la voix était froide, glacée, dénudée d’émotions et de sentiments. Je croyais que c’était vraiment ce que j’avais pensé.

Je suis revenu à la fête, observant les corps meurtris des victimes de l’incendie. En quelques minutes, ils se sont tous éteints de toute forme de vie. Comme ça. Les spectateurs de la scène avaient l’air plus ou moins soulagés.
Marquis et les autres sauveteurs continuaient de tasser des poutres et des morceaux de bois afin de trouver, en vain, d’autres corps. Mon colocataire a vu une très grosse poutre et a demandé à la personne la plus proche de lui de la tenir pendant qu’il regarderait s’il n’y avait pas de corps.
Grave erreur. Il s’est avéré que la poutre était encore un peu chaude de l’incendie et celui qui la tenait l’a lâché de surprise. Directement sur Marquis. Le pauvre est mort sur le coup, écrasé. Il eut d’autres cris d’horreur. Moi, dégoûté par cette journée, j’ai décidé d’aller me reposer.

Il ne restait plus grand temps avant la fin de la Fête de Saison d’Evengilence. Le jour allait bientôt se lever et je devais aller dormir, avec mes coéquipiers Shalaaks, tandis que les Lhunaaks devaient assurer la garde du territoire. Justement, quelques membres Lhunaaks étaient déjà partis se coucher afin d’être un minimum en forme avant de repartir au combat.
Je suis resté dans ma hutte pendant quelques minutes. Par la fenêtre, j’ai vu au loin Loukas qui buvait une boisson alcoolisée en solitaire.
C’est ta chance, a dit la petite voix qui était de retour, allons, tue-le. Il n’y aura plus personnes entre toi et Héméra. Utilise le Livre des Morts puis va le combattre dans un endroit sombre, loin des regards. Défie-le en combat, il doit être saoul comme un Midjuwuik.
Je ne savais pas d’où venait cette voix, mais elle avait de fichtrement bonnes idées. Bien que je savais que Loukas n’était pas un mauvais garçon, il était un obstacle entre moi et Héméra.
Cette journée-là, j’avoue avoir peut-être pris un coup de trop, et c’était peut-être à cause de ce petit verre de trop que j’ai commis cet acte.
J’ai invoqué le Livre et j’ai cherché son nom.

LHUNAAK, Loukas
Né en 1896. 20 ans. Mort :

En ricanant, j’ai coché la case à côté (d’une manière très singulière il faut avouer).

LHUNAAK, Loukas
Né en 1896. 20 ans. Mort : ===

Puis, je m’étais dit que de l’attaquer par derrière n’était pas très fair-play. J’ai cherché dans le placard d’armement d’urgence (en cas d’une invasion) et j’ai trouvé deux épées à double lames. Ce sont des armes très magnifiques dont le style de combat est très gracieux. Ces armes sont constituées d’une longue tige de métal avec deux lames arrondies à chaque côté. Il y a une diversité énorme de mouvements possibles.

J’ai sorti de la hutte. Fort heureusement, il ne restait plus beaucoup de personnes à l’extérieur. Par contre, les premières lueurs du Soleil pointaient leur nez. Je me suis donc dépêché à rejoindre le jeune homme aux cheveux blonds et je lui ai tendu une épée :
-Loukas…Je te défie en combat singulier ici et maintenant!
Il m’a regardé d’un air ennuyé, puis, il m’a reconnu. Il paraitrait qu’Héméra lui parlait beaucoup de moi. Il savait qui j’étais et surtout, que j’aimais sa fiancée.
-Donc…tu me proposes un combat à mort pour Héméra?
Je lui ai répondu qu’il avait tout deviné. Le combat a commencé aussitôt.

Sans mon rôle de Maître de la Mort, je n’aurais jamais pu battre Loukas. Ce jeune homme était un maitre dans l’art du combat. Il faisait des mouvements incroyables, des moulinets, des combos usant les deux côtés de l’épée double. Moi, je bloquais ses parades du mieux que je pouvais.
Mon vrai problème était que je n’étais point capable de contrôler mon arme. Il aurait tant fallu que j’utilise un katana à la place! Après cinq minutes de combat acharné, il m’a coupé un ligament du talon. Sous le coup, je suis tombé au sol en hurlant de douleur. Il a donné un coup sur mon arme afin de l’envoyer plus loin.
Il m’a poussé dos au sol avec son pied et a levé sa lame vers moi. J’étais sûr que ma dernière heure était venue…
Le coup m’a transpercé l’épaule droite. Juste avant qu’il ne frappe, j’avais réussi à bouger un peu et il a manqué sa cible : mon cœur. L’arme est restée plantée dans le sol et Loukas n’était pas capable de l’enlever. Il a grogné, puis, d’un air prudent, il est allé chercher mon double épée qui trainait au sol.
J’ai donné un grand coup et l’arme est sortie de mon épaule. Oh mon Dieu que j’avais mal… Je me suis levé d’un bond, et alors que le mari d’Héméra s’est penché pour ramasser l’autre arme, je lui ai transpercé le dos.
Il est mort sur le coup.
Bravo, joli coup, s’est mis à dire la petite voix. Maintenant, rentre chez toi et repose-toi. Tu as fait un beau travail.
En quelques secondes, mon talon et mon épaule se sont rétablis, comme par magie. Je me suis souvenu des paroles de la Mort : j’étais devenu invincible…
Je suis retourné à ma hutte et je me suis couché.

Le lendemain, lorsque mes coéquipiers Shalaaks m’ont réveillé, ils m’ont annoncés. Une triste nouvelle. Les Lhunaaks avaient retrouvé le corps de Loukas mort. Et le pire de tous, c’était qu’après la découverte de son corps baignant dans son propre sang, Héméra aurait tenté de se suicider en se pendant!
Bien sûr, elle n’est pas morte. Mais selon certaines personnes, son coup était un peu déformé. Un peu beaucoup. Ses cordes vocales n’étaient plus fonctionnelles et elle n’arrivait plus à penser comme il faut.
La petite voix est arrivée. Elle m’a dit de ne pas m’en faire, que je n’avais qu’à tuer Héméra et à me trouver une autre copine.
Tuer Héméra?
QUOI?!?

C’est alors que c’est arrivé. Je suis devenu fou. Moi, Orion né Lhunaak, maintenant Shalaak, est devenu complètement fou.
J’ai en un instant compris tout. Et tout de suite après, je ne voulais plus rien comprendre. En quelques secondes, j’ai compris la vérité. Et cette vérité m’a fait si mal qu’elle m’a mis dans un état déplorable. Je n’avais qu’une chose en tête : Tuer…la Mort.
Depuis le début tout était sa faute! Tous mes malheurs étaient sa faute! Rien qu’à elle! Rien qu’à cette putain de Mort!
Elle m’a manipulé!
Tout, tout est sa faute!
Mon passage dans le clan Shalaak…évidemment, être un allié de la Mort ne peut pas vous rendre bien gentil. Si personnes ne le savaient, mes ancêtres, eux, ils le savaient!
La mort de grand-mère…la Mort savait bien qu’un jour ou l’autre je devrais mettre à un mort ma famille! Elle savait que ça allait me faire souffrir au plus grand point!
L’incendie…Non, mais elle voulait vraiment me faire chier cette Mort? Elle voulait bien rendre la tâche encore plus difficile? Faire de moi à long terme un bouc émissaire? Me rendre coupable de ces morts?
Loukas…oh, pauvre Loukas…La Mort…et Héméra…pauvre de pauvre de pauvre d’Héméra…la Mort le savait bien ça aussi…
La petite voix dans mon esprit…c’était évidemment la Mort! Elle voulait faire de ma vie un cauchemar…
Mais pourquoi? Pourquoi me gâcher la vie comme ça?
À cause que…à cause que je lui ai résisté?!

C’est suite à ces réflexions que je suis devenu fou. Mes pensées n’avaient plus aucune cohésion, je ne voulais qu’une chose : la mort de la Mort.
Devant plusieurs Shalaaks, j’ai crié multiples fois : LA MORT! LA MORT! Avec des fois des petits : Héméra…oh ma pauvre Héméra, camouflés en sanglot.
Puis, tout est devenu évident. J’allais rencontrer la Mort et j’allais l’abattre une bonne fois pour toute! Qu’importe les paradoxes…elle doit payer pour ce qu’elle m’a fait…

Devant la foule médusée, j’ai hurlé bien fort :
-LIVRE DES MORTS, APPARAÎT!
(Justement, l’auteur du récit vous suggère la chanson Requiem for a Dream à écouter en lisant le reste du récit.)
Tandis que le livre apparut dans mes mains, un orage est apparu lui aussi. Des éclairs lézardaient sur le sommet de la Montagne du Supplice. En fait, il semblait que la source de la colère du ciel venait de cet endroit. J’ai compris, malgré ma folie, que la Mort m’attendait en haut. Elle voulait me tuer car j’ai enfreint un des trois interdits. Et, comme par hasard, moi aussi je voulais lui faire la peau.

J’ai ouvert le Livre des Morts, devant plusieurs personnes surprises, j’ai enfin trouvé le nom que je cherchais. Je l’ai coché immédiatement.
Puis, le Livre est disparu alors que la dernière personne que j’ai mise à mort s’est éteinte de toute vie.
Puis, devant toutes les personnes du clan, je me suis mis à courir vers la montagne.

Fou, j’ai décidé de la monter le plus rapidement possible, coûte que coûte. J’ai passé à travers les bois, les branches m’égratignaient, les roches m’éraflaient, les abeilles me piquaient. J’ai dû user d’un énorme effort physique pour atteindre le sommet en un temps record d’une trentaine de minutes.
Or, quand je suis arrivé en haut de la montagne, je n’étais plus Orion. Non, j’étais une bête difforme, éraflée, bossue, cassée de partout. Il y avait de profondes entailles partout sur mon corps. Mes vêtements étaient complètement déchirés. Des lambeaux de peau pendaient un peu partout sur mon corps. Je ne voyais que d’un seul œil. Or, j’ai quand même vu la Mort, flottant devant moi.

Elle me regardait avec un air de défi. Plus, elle semblait amusée. Elle lévitait à quelques centimètres du sol, tenant sa faux à deux mains, m’observant en silence pendant que l’orage se déchainait.
Des éclairs tombaient un peu partout sur le lieu d’une bataille proche. Je ne pouvais plus fuir…je ne voulais pas fuir…je devais tuer mon ennemi, peu importe les paradoxes. Qu’est-ce que ça ferait de mal si tout le monde vivrait éternellement, hein?
Ce n’était pas moi, Orion, qui était devant la Mort. Non, c’était la Bête.
Et la Bête a crié :

-ENFIN, PUTAIN DE BORDEL DE MERDE! LÀ-VOILÀ. MA REVANCHE! MEURS, SALE MORT! MEURS POUR LOUKAS! MEURS POUR GRAND-MAMAN! MEURS POUR MARQUIS! MEURS POUR HÉMÉRA! MEURS POUR MOI!!!!!

La Mort n’a rien dit. Elle s’est avancée près de la Bête, monstre de folie. Elle l’a observé alors que celui-ci grognait, prêt à combattre. Et quel combat épique cela allait être!
Pendant un instant, l’orage s’est dissipé un peu. La lumière du Soleil (alors que c’est la nuit, mais bon, quand on est fou, on s’est contre-sinciborise) illuminait directement la Faucheuse. Elle a regardé la Bête, puis a enlevé son capuchon.
La Bête s’attendait à voir un visage squelettique. Non, c’était un visage fin, mince, avec de grands yeux bleus et des cheveux d’or.
Héméra.
La Bête a rugit, fâché de voir que la Mort se moquait de lui. Il allait lui montrer, à cette personnalité divine!
Pour la tuer, il ne lui suffisait que de lui arracher sa faux et de lui trancher la gorge.
Un éclair est tombé directement sur le doux visage d’Héméra. Des lambeaux de chairs ont tombés un peu partout sur le sol, autour de la Bête. Un crâne d’humain aux orbites vides s’est offert à sa vision.
La Mort a encore observé sa proie, puis, s’est rapproché à deux ou trois mètres de celle-ci.
La Bête voulait lui sauter dessus, lui arracher la tête, mais elle était paralysée.
La Mort, de sa main gauche, a pointé la Bête. Intimidée celle-ci a reculé jusqu’au bout d’une certaine falaise qui avait été le spectacle d’un autre événement, il y eut quatre ans.
La Bête a compris que la Mort voulait lui régler son compte comme il se doit. Sauf que, elle ne va se laisser faire, et cette fois, elle n’aura aucune pitié!
La Bête s’est jetée avec un mouvement digne d’un fauve vers la Mort. Celle-ci quant à elle, a levé son énorme un faux.

Un éclair est tombé sur celle-ci. Puis, d’un coup d’une précision chirurgicale, elle a tranché le corps de façon horizontale de la Bête, sa partie supérieure s’écrasant en bas de la Montagne du Supplice.



*****
Maintenant, moi, Orion, est mort. La Bête n’est plus qu’un souvenir, c’est bien Orion qui vous parle du Néant.
Si Loukas et Héméra ont eu droit au repos éternel, ensembles, à la table de Dieu, moi, j’ai été promis à un sort bien plus cruel à ma mort.

Le Néant éternel. Le Noir infini. C’est ça. Du fait que j’ai résisté à la Mort, celle-ci a décidé de me punir en me mettant dans un monde noir, seulement noir. Noir, la seule couleur que je vois et que je verra pour l’éternité, noir, la seule chose que je verras, noir, la seule chose avec laquelle je me mariera…

Oh, et l’éternité, c’est long. C’est même très long.

FIN

Si je n'ai rien écrit dernièrement, c'est a cause que mon père est mort.
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Nope!

Nan vraiment, j'écris un conte sur la Mort, avec un peu de chance je le publierais sur mon blogue a la fin de la semaine.

1: Bonjour, comment tu t'appelles?
2: Je suis Sméagol.
1: Tu as quel âge?
2: J'ai 18 ans.
1: Quels sont tes deux matières scolaires préférées?
2: Mes deux matières scolaires préférées sont l'espagnol et projet personnel d'orientation.
1: Participes-tu à une activité parascolaire?
2: Oui, je joues au badminton avec mes amis colombiens.
1:Qu'aime-tu de ton école?
2: Les professeurs d'espagnol, les cours d'espagnol et les salles de bain.
1: Qu'aime-tu le plus: la nourriture de l'école ou la nourriture de ta maison?
2: La nourriture à ma maison est dégueulasse.
1: Copies-tu lors des examens?
2: Tout le temps, sauf en éducation physique.
1: Bye, au revoir!
2: Bonne journée.

Le tout présenté devant une classe en délire. On a eu la note maximale permise par la régie mexicaine: 9/10.
Je suis l'élève, mais les réponses ont été choisies à deux, donc le crédit ne vas pas entièrement à mon partenaire...



Et dire qu'une heure avant, on chantait du Louis Armstrong version La Corriveau devant cette même classe.
Ah, les exposés oraux, on peut tout faire avec un peu d'imagination!
C'est même très amusant!

Bonjour à tous et à toutes, je vous présente ma première critique de Jeux Pokémon. Avant de commencer, je vais vous expliquer un peu mes critières. Il y a en cinq en tout.

-Scénario
-Pokémons de la génération
-Personnages
-Région
-Graphismes

Pour vous expliquer un peu plus, je notera le jeu de deux façons différentes : en comparant aux autres jeux vidéo de toutes sortes et en comparant aux autres jeux Pokémon.

Il y aura donc deux notes à la fin de cette article.

Sans plus tarder, commençons.

Critique des Jeux Pokémons Bleu et Rouge

Scénario

Hé bien...vous êtes dans la peau d'un gamin de 10 ans qui a recevoir son premier Pokémon. Bien entendu, il habite dans la ville la plus paumée du jeu, mais sachez que cette aspect se répéte dans beaucoup de jeux vidéo.
Ensuite, vous allez chercher un costume de PokéBall(Mais que va-t-il faire avec ça?!) pour le Professeur Chen dans la deuxième ville du jeu, endroit où se trouve la huitième arène et , à quelques pas, la Route Victoire. Bien entendu, une fois le service accompli, le professeur vous récompense avec un PokéDex, l'objet de tous les désirs!
Ensuite, vous retournez vers Jadielle avant de continuer vers Argenta. Prenez note que le salaud de vieux monsieur couché sur la route et qui vous bloquait le passage est maintenant relevé (quel hasard).
Par la suite, vous gagnez les huit badges l'un après l'autre, battez une Team, devenez Maître de la Ligue suite à votre victoire sur le Conseil des Quatre et votre rival.
Bien entendu, C'EST OBLIGÉ que vous gagnez, les Pokémon sont trop faciles pour perdre, le scénario se fait donc rapidement.
Aucun rebondissement de situation.
Aucune vraie histoire liée aux légendaires(comme dans les autres jeux Pokémon).
Et surtout, parfois, il y a des éléments pas clair du scénario, quoi! Comment savoir, la première fois qu'on joue, que la CS Flash est donnée par un scientifique à l'autre bout du Tunnel Taupiqueur, hein? Y a-t-il quelque chose supposer nous indiquer ça?
Les méchants font pitié en plus de ça ( comme tout jeux Pokémon), mais nous y reviendrons.

Note (globalité):2/5.
Note (jeux Pokémon):4/5.


Pokémons de la génération

151 Pokémons. Il y a des beaux. Il y en a des moins beaux. Il y a des imposants. Il y a des faibles. Etc.
La grande majorité de ces Pokémons sont bien corrects, enfin, si ce n'est pas la totalité. Bien, sûr, il y a Tadmorv, mais en y repensant, il est pas si moche...Bon, ok, je me souviens d'avoir montré une image de ce Pokémon à ma soeur de 4 ans et sa réaction a été de dire "Caca" en le regardant.
Mais moi, ce Pokémon et son évolution, je les image bien "absorver" les autres Pokémon dans leur matière gélatineuse empoisonné avant de les recracher complètement K-O...
Bon, ok, des moches, il y a en pleins d'autres dans les autres générations.
Une chose me déplait. Certaines évolutions ressemblent trop à leur stade de départ. Du genre "lol, regarde, c'est un Tadmorv. Et si on met plus de merde dessus, ça fait un Grostadmorv lol". Oh "regarde G rajoutÉ 1 korn a mon salamech et il é devenu 1 reptinsel".
Genre, Magicarpe, il est bon niveau évolution même si je vois difficilement le rapport entre lui pis Léviator, mais bon...
En fait, une des meilleures si ce n'est pas la meilleure génération de Pokémon.

Note (globalité): XXX
Note (jeux Pokémon): 4.5/5



Personnages

Alors, récitons. On a:
-un gamin de 10 ans avec des ambitions de gamin de 10 ans.
-un rival prétentieux qui est petit-fils d'un personnage important.
-un vieux qui donne des Pokémon dont il fait l'étude.
-un chef d'une organisation qui abandonne ses projets maléfiques dès lors d'un combat Pokémon. Mec, les revolvers, ça existe, crois-moi.
-Des champions d'arène sans personnalités. Morgane, dans l'animé, il y avait un semblant de mystère autour d'elle, dans le jeux vidéo, rien.
-Un conseil des Quatres consistué de:
-une meuf qui se bat avec de beaux Pokémon aquatiques et glaciaux.
-un homme musclé.
-une vielle.
-un dracologue TROP FORT LOL MDR XD.

A-t-on besoin d'en rajouter?
Non
.

Note (globalité): 1/5 (pour "l'effort".)
Note (Jeux Pokémon): 2.5/5



Région (Univers)

Comparé à d'autres jeux vidéo, l'univers de Pokémon Bleu et Rouge est assez limité...Mais pour un jeu de son époque, c'est quand même bien...mais il ne faut pas exagérer.
La région est assez belle, se visite facilement, chaque ville a un point particulier, même si il n'est pas assez bien exploité à mon goût.
Kanto est en vérité une de mes régions favorites, après Johto.
On y compte environ 10 villes, c'est peu, mais bon...
Ce qui est intéressant, c'est qu'il est possible dans d'autres Jeux Pokémon de la revisiter, 3 ans après. Je peux dire que dans mon cas, mes émotions étaient fortes lorsque je veut dans Soul Silver la région en plus...modernisé...en plus facile à visiter.
(Prenez en note que Pokémon Rouge a été mon premier jeux vidéo).

Note (globalité):3/5
Note (jeux Pokémon):4/5



Graphisme

Ouais, faut pas trop rêver sur un GameBoy. Notez que je jouais sur le GameBoy original, en noir et blanc.
Et bien...
Les graphismes sont en quelques sortes...une incroyable lacune du jeu.
Non, mais, est-ce que la grotte entre Azuria et Lavandville vous a déjà fais chier, vous? Tu entres, c'est tout noir, tu vois rien que ton perso qui marche dans le vide infini. Cette étape du jeu, je la détestait, et pour sur car je ne savais pas qu'il y avait une maudite CS Flash a récupéré après le Tunnel Taupiqueur de merde!
Alors, j'était obligé de me déplacer en "tâtant" les murs. En somme, je marche jusqu'à entendre le bruit distinctif d'une collision entre un mur et notre héros. Et je recommençais.
JE HAIS CETTE GROTTE!
Et il faut que je vous explique, à ma toute première fois du jeu, à 6 ans, j'ai choisit Salamèche comme starter. Je ne savais pas comment capturer des Pokémon, ayant un jeu en anglais et un degrès de lecture bas.
Grâce à ma logique de pré-gamin, je ne trouvait pas la sortie de la Grotte Sélénite. Mes deux seuls Pokémon étaient un Magicarpe que je peinait à faire évoluer, ne comprenant pas pourquoi il ne frappait jamais ses adversaires, et un Dracaufeu lv 50.
Oui, car en plus de ne pas savoir capturer, je ne savais pas commer échapper à un combat!
Au fil du jeu, à retourner visiter chaque parcelle de pixel, de la Route Victoire aux bas-fonds de la Grotte Sélénite, j'avais acquis un magnifique spécimen de Dracaufeu. Dermandez de faire la même chose maintenant et la réponse est NON. Je n'ai plus la patience d'un gamin.

Note (Globalité): 2/5
Note (Jeux Pokémon): 2.5/5




Et voici le grand moment, les résultats finaux!
Alors, en comparaison des autres Jeux Vidéos, Pokémon Bleu et Rouge se mérite une note de...
8/20Bon, peut-être un peu sévère, mais bon. Selon moi, ça mérite plus un 10, mais cela est une compilation des autres résultats.

Et comparé aux autres jeux Pokémons, Pokémon Bleu/Rouge mérite...
17.5/25
Donc voilà, c'est tout!

Finalement diriez-vous, un chapitre est sorti!
Mais malheureusement, pas celui-là que vous attendiez!

Les chapitres 6 de Noir Idéal/Blanc Réel devront sortir sous peu (Enfin, j'espère). À noter qu'il aura peut-être un chapitre de Gris Frontière mettant en vedette Bianca.

Côté fic, je souhaite m'échauffer un peu donc j'aimerais bien faire une fic collective avec quelqu'un et/ou corriger une fic (même si je suis loin d'être infaillible en ortographe).

Sinon, avez-vous des idées pour me relancer afin que je puisse sortir des chapitres régulièrement?

Comme l'indique le titre de mon blog, après FF IV, je m'attaque maintenant à FF III (sur iPad) et j'ai recommencer ma partie à FF The 4 Heroes of Light.

Demain, direction Kingston, 3 heures d'auto encore une fois! :)

Je sais même pas si je vais avoir du Wi-Fi, à Boston, j'ai été chanceux d'en avoir. (L'hôtel nous a donné une suite pour fumeurs alors qu'on en voulait une justement sans fumeurs, donc ils nous ont donné le Wi-Fi gratuit, sinon, c'était 11$ la nuit).

J'ai posté un chapitre, peut-être pas celui attendu, mais bon. Un peu court, mais je me suis bien marré en faisant les répliques des Pokémon en rimes.

Justement, Gris Frontières sera suspendue (et non abandonnée, faites attention à la différence). Pour la fic d'Antoine, peut-être, je dis bien PEUT-ÊTRE un chapitre sera posté ce soir, mais il sera assez court, de 3 à 4 apges, comme celui de Gris Frontières.

Pour Blanc Réel/Noir Idéal, j'ai toujours pas accès à l'ordi où il y a les documents et j'ai la flemme de réécrire 17 pages par chapitre, donc 34 au total.

Ensuite, j'ai prépare une autre fic, je sais pas si ça va marcher, mais j'ai besoin de me défouler sur un peu d'action autre que des combats Pokémon.

Pensez un peu à une fic de Final Fantasy version Pokémon 0_o
Non, en fait, il y aura que l'idée des cristaux copiés, ce ne sera pas un cross-over avec les personnages de IV (même si j'en rêve).

Alors, c'est tout, je vais jouer à T4oL!

Édit: J'ai vu dans ma description que j'ai écris 10 ans à mon âge, MAIS CE N'EST PAS VRAI. Je sais pas si certaines personnes en ont douté, mais , réellement, j'ai 14 ans (et toutes mes dents).

Bon en gros, c'est juste pour me présenter.
Prénom: Xavier
Âge: 11 ans
Aime: le hockey, lire, écrire (même si c'est pas fort dernièrement), les RPG ( Role Playing Game)
Aime pas: Magasiner des vêtements, certaines attitudes de mes frères
Sexe: Mâle.
Famille: Trois frères et deux sœurs moins âgés que moi.

Voilà. P.S. J'ai fini FF IV. J'ai battu le boss final, Zéromus, alors qu'il me restait juste Cécil avec 6 PV et plus de PM pour me régénérer ^^

Aujourd'hui est mon premier jour de vacances. Cela annonce une grande période d'écriture!

Malheureusement, je serai absent assez longtemps. Je pars dès demain à Boston jusqu'à dimanche, puis je reviens. Le jeudi suivant, je pars à Kingston (Ontario) et revient aussi le dimanche. Puis, toute suite après, je repars pour la semaine à Philadelphie.

Comme vous voyez, l'horaire est assez chargé :)

Je vais tenter d'écrire un chapitre ce soir, mais c'est à voir.

Côté FF4, je suis rendu dans le géant de Babil, j'attends avant d'affronter les quatre seigneurs élémentaires car j'ai 6 heures de route demain en voiture. Il faut bien que je m'occupe!



EDIT: Les chapitres de Noir Idéal/Blanc Réel seront disponible lundi ou mardi!!!

Pas de chapitre depuis deux semaines. La raison? Pa-res-se.

Mais que fais-je pendant ce temps? Je joue à Final Fantasy! (FF4 et FF The 4 Heroes of Light).

Dnas FF4, je suis rendu à affronter Golbez...le level up, c'est vraiment plate. Par contre, jusqu'à maintenany, le jeu est intéressant avec une histoire de sacrifices comme je les aime O_o.

Quand à l'autre jeu, il ne vaut même pas la moitié du succès de FF4. Assez facile dans l'ensemble, combats moins dynamique, scénario moins bien travaillé, personnages moins charismatiques...bof.

Alors c'est ça :)