Pikachu
Pokébip Pokédex Espace Membre
Inscription

Histoires indifferentes de Domino



Retour à la liste des chapitres

Informations

» Auteur : Domino - Voir le profil
» Créé le 01/01/2008 à 07:05
» Dernière mise à jour le 01/01/2008 à 07:21

» Mots-clés :   Humour   One-shot

Si vous trouvez un contenu choquant cliquez ici :


Largeur      
Chapitre 349
Ou nous apprendrons que les scénaristes américains n'ont rien inventé

*En raison d'une grève des narrateurs de fics, la narration du One Shot "Ruth et Ludivine chapitre 349 - "Epilogue pour du Thon" sera diffusé avec la narration du chapitre 15 de "Jules, dresseur jeune et forcément crétin". Veuillez nous excuser pour la gêne occasionnée... Ou pas.*

-Bonjour, je m'appelle Jules ! Je suis dresseur Pokémon !
En haut, grand-mère faisait du thé. Du bon thé. Pas comme celui qui sentait le Moufouette au bar de Ludivine.
C'était une vie paisible mais ennuyeuse. Ruth rêvait mieux.
-Oh !! Un dresseur ! Qui es-tu, Dresseur ?
La vieille femme releva ses lunettes. Elle appela Chaglam, mais le vieux chat ne répondit pas. Pas même à son surnom honteux. Elle pesta
-Je suis Brice, Brice Seko. Tu sembles un peu jeune pour dresser des pokémons.
-Ca fait 150 chapitres qu'on est ensemble ! On te vaincra ! Prinplouf, bats-toi !!
Ruth dévisagea la Ludivine sur son déambulateur.
Les deux vieilles femmes se vouaient une haine séculaire. Dans sa jeunesse, Ludivine et Ruth s'étaient disputées le cœur d'un certain Nils Limane. Il les avait repoussées en riant. Depuis l'une avait toujours cru que c'était la faute de l'autre.
Ruth tenta de bouger mais son fauteuil roulant la gênait dans la grande salle à manger.
-Chimpenfeu !!! Go !
-Tu as le mauvais type, Brice !
-Ne sois pas prétentieux, Jules, cela te perdra !
Lorsqu'elle tenta d'attraper le fusil sur le mur, son fauteuil la bloqua encore.
-Bulles d'O !
-Mach Punch !!
Et ce vieux Poupouille qui dormait !
Elle geignit mais Rhinoferos arrivait toujours sur elle.
Ludivine voulait la tuer cette fois, c'était sur.
Elle devait se défendre
-Prinplouf ! Oh non mon meilleur ami pour la vie !!!
-Jules, la vie t'a appris une leçon : Ne jamais croire que tout est joué d'avance !
C'est alors que Chaglam, réveillé par la prononciation de ce mot précis, sauta sur le fusil et tira la décharge de gros sel sur la Ludivine. Ruth se dirigea vers la porte, roulant à perdre haleine dans la grande rue vers le bâtiment de Monsieur Simon, le télégraphe de sa rue, son chat exténué par l'effort accompli, couvrant sa boîte de thon tant méritée

---------------------------

-Il n'est nul chat plus fainéant que mon Chaglam, Poupouille !
-Oh ça oui Grand-mère !
-Je suis persuadée qu'un jour il m'abandonnera pour une maîtresse qui sert une meilleure pâtée ! Enfin, je suis fatiguée, je monte, les enfants. Il est temps pour vous d'aller à l'école.
-Oui Mamie ! A ce soir Mamie !
-A ce soir !
Ouais, j'étais vraiment le mec le plus cool qui soit. J'étais populaire, sympa, pimpant… Tout le contraire d'une vieille enfarinée qui lirait des histoires dans une maison.
-Halala… Mes enfants ne comprendront jamais à quel point leur vie sera morne…
-Tu parles pour toi maintenant ?
Han lala mais c'est mon pote Brice !!!
-Poupouille enfin !! Sale chat…
-Inutile d'appeler ton minou débile, vieille bique !
Prinplouf fit coin-coin comme un chef
-Que fais-tu là ?
-Je suis avec Rhinoferos pour qu'on règle une vieille dette…
-Encore ça, vieille carne tu ne cesseras donc jamais !
On commença à se battre et c'était trop cool !
-Haaa…. Oh non…
-N'essaie pas de chopper ton vieux canonnier, abjecte vieille catin !
Oh non il me bat en un coup c'est vache !
Mais c'est la vie !
-Poupouille ! Souviens-toi ce matin je t'ai montré cette boîte de thon !
-Meow ?
-Eh ben quoi ??? Cria la Ludivine, prompte à attaquer.
-Si tu m'aides je te la donne cette boîte ! Sans compromis !
-CREVE !
-Meow ?
-Oui mon Poupouille je te jure ! Du POISSON !
-Meow !
Jules jura qu'on ne l'y reprendra plus !

----------------------------------------------------

-Il n'est nul chat plus fainéant que mon Chaglam, Poupouille !
-Oh ça oui Grand-mère !
-Je suis persuadée qu'un jour il m'abandonnera pour une maîtresse qui sert une meilleure pâtée ! Enfin, je suis fatiguée, je monte, les enfants. Il est temps pour vous d'aller à l'école.
-Oui Mamie ! A ce soir Mamie !
-A ce soir !
En haut, grand-mère faisait du thé. Du bon thé. Pas comme celui qui sentait le Moufouette au bar de Ludivine.
C'était une vie paisible mais ennuyeuse. Ruth rêvait mieux.
-Halala… Mes enfants ne comprendront jamais à quel point leur vie sera morne…
-Tu parles pour toi maintenant ?
La vieille femme releva ses lunettes. Elle appela Chaglam, mais le vieux chat ne répondit pas. Pas même à son surnom honteux. Elle pesta
-Poupouille enfin !! Sale chat…
-Inutile d'appeler ton minou débile, vieille bique !
Ruth dévisagea la Ludivine sur son déambulateur.
Les deux vieilles femmes se vouaient une haine séculaire. Dans sa jeunesse, Ludivine et Ruth s'étaient disputées le cœur d'un certain Nils Limane. Il les avait repoussées en riant. Depuis l'une avait toujours cru que c'était la faute de l'autre.
Ruth tenta de bouger mais son fauteuil roulant la gênait dans la grande salle à manger.
-Que fais-tu là ?
-Je suis avec Rhinoferos pour qu'on règle une vieille dette…
-Encore ça, vieille carne tu ne cesseras donc jamais !
Lorsqu'elle tenta d'attraper le fusil sur le mur, son fauteuil la bloqua encore.
-Haaa…. Oh non…
-N'essaie pas de chopper ton vieux canonnier, abjecte vieille catin !
Et ce vieux Poupouille qui dormait !
Elle geignit mais Rhinoferos arrivait toujours sur elle.
Ludivine voulait la tuer cette fois, c'était sur.
Elle devait se défendre
-Poupouille ! Souviens-toi ce matin je t'ai montré cette boîte de thon !
-Meow ?
-Eh ben quoi ??? Cria la Ludivine, prompte à attaquer.
-Si tu m'aides je te la donne cette boîte ! Sans compromis !
-CREVE !
-Meow ?
-Oui mon Poupouille je te jure ! Du POISSON !
-Meow !
C'est alors que Chaglam, réveillé par la prononciation de ce mot précis, sauta sur le fusil et tira la décharge de gros sel sur la Ludivine. Ruth se dirigea vers la porte, roulant à perdre haleine dans la grande rue vers le bâtiment de Monsieur Simon, le télégraphe de sa rue, son chat exténué par l'effort accompli, couvrant sa boîte de thon tant méritée