Chapitre unique
Un vieux manoir, à l'abord d'une route, était présent depuis longtemps. Terrifiant, personne n'y avait plus remis les pieds depuis...ce qui c'était passé. Un homme, d'une trentaine d'année, à la moustache bien garnis, observait ce bâtiment. Ce n'était qu'un curieux, comme il en venait souvent. Personne ne savait ce qu'il c'était produit, tous ce dont on pouvait savoir était ce qu'on avait entendu. A savoir : domaine hanté par l'esprit d'une femme et de la famille qu'elle a assassiné. Bien sûr, l'homme n'y croyait goutte. Il y avait tellement d'histoire terrifiante, de fantôme, qui se révélait finalement être un Fantominus ou un Pichu coincé dans une armoire. Comment pouvait-on croire cela ? C'était invraisemblable. Un bruit de feuille l'attira, le coupant dans sa contemplation. Un grand-père était là, une canne à la main, s'approchant du mieux qu'il pouvait. Un instant, l'homme se dit qu'il ferait mieux de l'aider, puis s'y ravisa. Le grand-père semblait être une personne fière, qui ne voulait pas être aidé. Il détourna le regard, et continua d'observer le manoir. Des fissures se dessinaient sur les murs, et du lierre poussait un peu partout. Pourtant, le manoir restait très grand et imposant. Il n'y avait pas d'arbres mort ou de corbeau autour, comme on pouvait le voir dans les films d'horreur. Juste une façade, qui inspirait peur à quiconque s'en approchait. Le vieil homme finit par être à côté de lui, et ne dis mots, se contentant d'observer lui aussi cette imposante architecture.
« Vous m'avez l'air sceptique, finit-il par dire, quant à l'histoire de ce manoir »
L'homme ne put retenir un petit rire. Ce n'était pas un rire de joie, mais c'était un rire plutôt nerveux.
« Je dois bien admettre, finit par dire l'homme, que cette histoire est fort étrange. Et j'en ai entendu tellement, vous savez.
-Oh, je pense savoir, répondit le vieil homme, mais personne ne connait sa véritable histoire, car, sachez-le, celle que vous entendez aujourd'hui n'a cessez d'évoluer aux cours du temps, racontant les pires sottises.
-Et je suppose que vous, vous le connaissez.
-Evidemment. Je travaille à la mairie du village d'a côté, Floraville. L'histoire y ait écrite.
-Et puis-je savoir comment on a pus la savoir.
-Oh, elle n'ait certainement pas entière, et certains point sont sans doute faux. Néanmoins, c'est l'original, fais à partir des preuves et des journaux que l'on a retrouvé dans le manoir. C'est celle qui doit donc le plus se rapprocher de la vérité. Souhaitez-vous l'entendre ?
-Vous avez attisé ma curiosité, je vous écoute »
Le vieil homme s'assit, l'homme fit de même. Et c'est doucement que commença son histoire.
Nous sommes en décembre 1655. A l'époque, la ville de Floraville était encore un désert, aucune fleur n'avait percé, et le manoir vivait dans la forêt, au même endroit qu'aujourd'hui, à une cinquantaine de kilomètre de Vestigion. La famille Loris qui y vivait allait faire ses courses en ville chaque mardi, et avait choisit d'habitez loin pour être à l'écart de tous les problèmes que pouvait comporter la ville. C'était une assez grande famille. Il y avait tout d'abord le père, nommé Pascal, qui gérait les finances. La famille avait un grand troupeau de Galopa et de Ponyta, qu'il vendait à travers toutes la région, tant leur qualité était réputé. A l'époque, les pokemons n'étaient pas considéré comme étant un...être vivant. Plutôt comme une créature, créer pour servir l'homme. Ce qui pourrait être méchant de nos jours, ne l'étaient pas à l'époque. Au contraire, toutes personnes qui contredisaient cette affirmation se voyaient traiter de fou. La mère, Julia, aidait le père dans son travail, mais faisait principalement le ménage, les courses et la cuisine. Elle était aidée par sa fille, Mist. Une jeune fille de seize ans, belle comme le monde. Deux beaux yeux bleus, et une magnifique crinière blonde. Néanmoins, elle n'avait pas le droit de fréquenter le moindre petit garçon. Elle était tellement jolie, que ses parents craignaient que sa virginité et son innocence ne disparaissent dans un mauvais garçon. La petite pucelle, comme elle se traitait pour faire enrager ses parents, n'hésitait cependant pas à désobéir à ses parents. Elle n'était pas encore passé à l'acte, elle ne contredisait donc qu'à moitié l'ordre de ses parents. Enfin, le dernier, était un jeune garçon de dix-huit ans plongé dans ses études. Il était brillant, chaque professeur qu'il avait eut n'avait cessé de le dire à ses parents, qui se vantait que l'intelligence venait d'eux. Néanmoins, Pierrick, comme il se nommait, ne voyait pas les choses de la même façon que ses parents. Pour lui, vendre des Galopas était quelques chose d'horrible. Les pokémons avait voulut être amis des hommes, pas se faire exploiter. Et c'était l'essentiel de ces recherches dans l'énorme bibliothèque de ses parents.
Il pleuvait, se fameux jour où tout allait changer. Pas un orage, juste une pluie fine, qui tombait doucement sur la terre. La mère Julia regardait le paysage, par la fenêtre. Elle avait prévu d'aller faire ses courses aujourd'hui, la pluie compromettait tous ses plans. Les réserves commençaient à se vider, elle allait être obligée d'aller les faire demain. Qu'ils pleuvent ou pas. Le pire dans tous sa, c'est que la route était désormais embouée, elle voyait déjà sa robe devenu toutes marron. Elle sirota son thé tranquillement, abattu. Elle ne pouvait pas envoyer sa fille à sa place, elle devrait sinon subir une autre crise de colère. Aux moins, elle acceptait le traiter sur les garçons...Enfin, c'est ce qu'elle croyait, un charmant garçon était dans la chambre avec elle, un peu mouillé, mais néanmoins heureux d'être avec la plus belle fille du village. Pascal, le père, faisais les comptes, juste derrière Julia. La pluie l'embêtait lui aussi. Il ne pouvait pas sortir les Galopa, et demain, quant il le ferait, s'il faisait beau, le lavage devra être nécessaire, les chevaux enflammé adorant se roulé sur le sol...dans la boue. Pierrick travaillait, comme à son habitude, dans la bibliothèque. Il étudiait l'histoire, les différentes guerres de l'histoire. A chaque fois, les pokémons avaient été utilisés. A chaque fois, il n'avait reçu aucune récompense. La pièce longeait la chambre de sa sœur, et il finit par entendre le bruit d'une discussion. C'était sans doute sa mère et Mist. Néanmoins, il reconnut la voix d'un garçon. Il avait beau réfléchir, il voyait mal son père parler avec sa sœur dans sa chambre. Intrigué, il quitta la pièce, et s'aventura dans celle de sa sœur. Il ouvrit la porte soudainement, ne laissant pas le temps à quelqu'un de réagir, et faillit sursauter. Un jeune garçon était sur le lit, assis. Le pantalon et le caleçon baissé...il préféra ne pas voir ce qu'il y avait encore en-dessous. Sa sœur était en face, à genoux, en soutien-gorge, à environs dix centimètre de son...de sa... Pendant un moment, il ne bougea pas, observant sa sœur, puis ferma violemment la porte, et se redirigea dans la bibliothèque. Sa sœur était entrain de désobéir au traité.
« Pierrick ! l'entendit-il dire »
Cinq minutes après, sa sœur rentrait dans la pièce, alors que lui continuait de lire son livre. Il ne daigna même pas lever les yeux. Elle s'approcha, s'étant bien entendu rhabiller, et s'approcha de lui.
« Tu es fâché ?
-Oui, je le suis ! s'emporta-t-il
-Excuse-moi...je sais, j'ai désobéi aux ordres...mais c'était tellement dur...il était si mignon... »
Sa, Pierrick n'aurait su dire, il avait préféré ne pas s'attarder sur le garçon.
« Mais ce n'est pas contre sa que je t'en veux.
-Ah bon ? C'est contre quoi alors ?
-Il se trouve que ma petite sœur désobéi aux ordres, et ne prend même pas la peine de fermer la porte de la chambres. Tu sais ce que tu aurais pu avoir ? »
Mist sursauta, puis ne put retenir un sourire. Elle aimait tellement son frère et ses réactions imprévues.
« Oui, c'est vrai excuse-moi..., dit-elle comme une gamine
-La prochaines fois, ferme la porte à clé, et veille à ne pas parler, ni toi ni lui, c'est cela qui m'a avertit »
Puis ils se sourirent, l'un se disant que sa sœur avait de la chance de l'avoir, l'autre se disant qu'elle avait de la chance d'avoir un frère comme sa. Puis, Mist se leva.
« Tu retournes le voir dans la chambres ? demanda Pierrick
-Non, il a pris peur et il a préféré partir. Je crois que je ne le reverrais pas de sitôt.
-Désolé d'avoir gâché ton idylle.
-Ce n'est pas grave. »
Un tonnerre retentit, la petite pluie c'était transformé en orage. Ils regardèrent par la fenêtre. En bas, devant la porte, ils aperçurent une silhouette...blanche, lumineuse...transparente. Ils prirent peur, et dévalèrent les escaliers.
« Mère, mère, cria Mist.
-Que se passe-t-il ? demanda la mère, reposant la tasse de café sur la table.
-Il y a un...quelque chose dehors. »
Elle pensa que cela était une plaisanterie, mais devant l'expression de sa fille et de son fils, elle décida qu'il valait mieux pour elle d'aller voir. Elle ouvrit la porte d'entrée malgré l'orage, et regarda à l'extérieur, sous l'œil intrigué de ses enfants. Le père avait préféré ne pas bouger. La silhouette blanche était là. Elle souriait. Un voile transparent couvrait son visage, comme si elle était en deuil. Elle posa quelque chose au sol, et disparut, aussi soudainement qu'elle était apparut. Un objet luisait au sol, de là où ils étaient, ils arrivaient très bien à le voir. La mère regarda ses enfants, horrifié, puis s'avança malgré la pluie. Elle arriva aux lieux où était l'objet. Il s'agissait d'un petit médaillon, un collier dont on se servait pour mettre une photo autour de son cou. Elle attrapa l'objet, et rentra en vitesse à l'intérieur, afin d'éviter d'être mouillé encore plus.
Une fois chez elle, elle attrapa une serviette et s'essuya, tandis que ses enfants observaient avec intérêt le petit médaillon. Quant elle revint, ils avaient ouvert l'objet et contemplait la peinture, la photo n'existant pas encore. C'était une femme, d'environs vingt-deux ans. Belle, une longue chevelure rousse tombait dans son dos. La peinture était en très bonne état. Le médaillon était fais en or, un or fin, beau, sans aucune saleté, malgré la boue dans lequel il c'était trouvé auparavant. Ils eurent beau réfléchir, encore et encore, à la chose qui venait de se produire, cherchant une explication logique, rien ne leur vint.
« Et bien...passons à table, finit par dire la mère »
Les deux enfants acquiescèrent, le père grommela, quitta son bureau, et tous se dirigèrent vers la salle à manger.
La mère avait préparé une soupe, ne restant plus que quelque légume, et tout le monde la but en silence, encore secoué par les événements, mis à part le père, qui n'avait strictement rien vu de la situation, et qui s'en fichait comme d'une guigne. Mist semblait être celle qui était le plus traumatisé.
« Mère, finit-elle par dire
-Oui, ma fille ?
-Je sais que nous ne sommes pas croyant...mais, cette fille, transparente, qu'on a vu dans la cour...se pourrait-il qu'elle soit la vierge Marie ? »
Elle ne répondit pas. Pierrick attendait lui aussi la réponse, aussi intrigué que sa sœur.
« Voyons, finit par dire la mère, qu'est-ce qui te fais croire des sottises pareil ?
-Et bien, dit-elle en rougissant, j'ai bien vu cette femme dans la cour, et j'ai déjà vu la Vierge Marie représenté sur différente peinture et image...elle se ressemble énormément...
-Voyons, dit la mère, tentant de la rassurer et de se rassurer elle-même en passant, comment veux-tu qu'une telle chose se produise ? Non, je suis sûr que cela n'était rien. Juste une hallucination, ou un Magirêve, peut-être, qui peut produire des illusions.
-Dans ce cas, le médaillon...
-N'ait qu'une coïncidence, quelqu'un a du le laisser tomber. »
Pierrick regarda sa sœur, et fut soulagé de voir que, comme lui, elle n'était guère convaincue. Le repas se termina en silence, le père n'avait rien écouté de la situation, cela lui était indifférent. Il était obsédé par son travail, un Galopa était enceinte, il allait falloir faire de la place pour accueillir les nouveau Ponyta. Lorsque la fin du repas se produisit, tout le monde quittèrent la table, quasiment en même temps. La mère demanda à ce qu'ils aillent se coucher tous de suite, ce qu'ils acceptèrent, à contrecœur. Il avait beau être presque adulte, ils savaient que cela ne servait à rien de négocier avec leur mère. Ils tentèrent d'aller voir le médaillon, mais Julia fut plus rapide qu'eux, et elle ordonna qu'ils aillent se coucher immédiatement, le médaillon resterait ici, et que dès demain ils s'en débarrasseraient. Lentement, ils gravirent les escaliers et allèrent se coucher. Ils avaient peur, il pressentait quelque chose, mais la mère ne laissa rien paraitre, quant au père, il ne voyait que la nuit qu'il allait essayer de passer avec sa femme. Cela faisait longtemps qu'ils n'avaient pas fais l'amour... et il comptait bien que cela cesse.
Mist se retournait, encore et encore, dans son lit. Elle ne cessait de penser au médaillon. Elle voulait aller le revoir, se rassurer. Elle avait peur, tout cela ne lui disait rien. Elle entendit soudain un petit bruit, et sursauta. Elle sortit du lit, et entrebâilla la porte. Des bruits provenaient de la chambre de ses parents... Des orgasmes...Elle, elle n'avait pas le droit, mais eux, si. Cependant, sa mère était trop occupée pour entendre la moindre chose, et elle avait besoin de vérifier. Elle ouvrit doucement la porte, et descendit les escaliers.
Il faisait noir, elle ne voyait rien. Elle entendit un bruissement sur le parquet, pas en haut, juste devant elle...devant le médaillon. Cela ne pouvait pas être ses parents...c'étaient impossible. Peut-être son frère...
« Pierrick ? demanda-t-elle d'une voix timide. »
Il n'eut aucune réponse. Les bougies étaient éteintes, elle ne voyait rien. Elle avait peur, mais ses jambes refusaient de bouger, de faire le moindre geste. Soudain, la lumière envahit la pièce. Devant elle, une femme. Exactement la même que celle sur la photo. La lumière était apparut soudainement. Elle dévisagea un peu plus la femme. Ces cheveux était coupé un peu partout, n'importe comment, une large griffure s'étendait sur tous son bras gauche, et des tas de bleu lui couvrait le visage. Un de ses yeux était crevé, c'était ideu, le sang s'en échappait encore. Elle était loin de la magnifique jeune fille sur la peinture. Elle leva son bras droit. Un large couteau, portant déjà du sang, s'élevait au-dessus de sa tête. Alors Mist cria, alors que la femme lui sautait dessus sans qu'elle puisse faire le moindre geste.
Pierrick fut réveillé en sursaut. Sa sœur venait de crier, il l'avait entendu. Après tout le mal qu'il c'était donné pour s'endormir... Néanmoins il s'inquiéta. Elle aurait put faire un mauvais rêve, qui l'aurait réveillé en sursaut, mais le crie provenait d'en bas. Doucement, il se leva, et alla descendre les escaliers. Il faisait noir, toutes les bougies étaient éteintes. Pourtant, il entendait un bruit. Des coups de couteau que l'on ne cessait de donné dans quelque chose...ou quelqu'un... Il prit peur...et si c'était Mist ? La lumière sa ralluma soudain, et il put voir la femme...sur sa sœur, un couteau dans la main. Sa sœur était quasiment i reconnaissable, tellement le sang la recouvrait... Elle était morte. Pierrick voulut crier, mais aucun son ne sortit de sa bouche. La créature lui sauta alors aussi dessus, et lui trancha le coup. La lumière se reteint.
« C'était génial, dit la mère »
Le père sourit, fier de lui. Il avait passé une très bonne heure. Julia se releva, et alla mettre une robe de chambre.
« Où vas-tu ? demanda-t-il
-Voir les enfants, cette histoire de médaillon les as profondément troublé.
-Ah ? »
Le père n'avait rien vu, ne s'y était pas soucié. « Quel médaillons ? » Avait voulut-il demander, mais il se serait prit une rouste, il préféra donc ne rien dire, et rester dans l'ignorance. La mère s'avança, et ouvrit la porte. Une lumière envahissait le couloir, puis s'éteignit aussitôt.
« Chérie...dit-elle, il y a quelque chose de bizarre... »
Elle entendit des coups de couteaux, puis quelqu'un marcher et gravir les escaliers...
« Chérie... »
Il se contenta de grommeler, et l'invita à venir le rejoindre à côté de lui, dans le lit. Soudain, la lumière se ralluma, la mère sursauta. Une femme était devant elle, un œil crevé, du sang partout...
« Qui...qui êtes vous ? »
La mère était terrorisé, quant au père, il avait veillé à bien remonter la couverture jusqu'au coup...
« Quelqu'un ! dit la femme
-Que venez-vous faire ici ?
-Tué...
-Tu...tu...tué ?!
-Oui tué...
-Ciel, les enfants... »
Elle faillit s'évanouir. Le père ne pensait cependant pas du tout aux enfants. Il avait peur pour sa vie, la sienne, pas celle des autres...
« Mort ! dit la femme avec un sourire...
-Mo...mo...mort !! »
La femme sourit, et sauta sur la mère, qui tomba à la renverse. On entendit ses cris, puis plus rien, juste les coups de couteaux qui continuait de taper. Le père avait peur, n'osait pas regardait, se contentait d'observer l'ombre, sur le mur, où on la voyait frapper encore et encore. Il avait peur pour lui. Pourvut qu'elle l'oubli, ne cessa-t-il de penser. Soudain, l'ombre de la femme disparu. Il attendit...Etait-elle partit ? L'avait-elle oublié, ou laisser tranquille ? Finalement, il jeta un regard hors de la couette. La femme était là, le regardait de son unique œil, puis se mit à frapper le père. Sa besogne terminé elle disparu, aussi mystérieusement qu'elle était apparut. S'en était finis de la famille Loris.
L'homme avait écouté le vieil homme jusqu'au bout. C'était une histoire a vous flanquez une sacré trouille. Lorsque finalement, le grand-père finit, il se sentit presque mieux, tant cela avait été angoissant.
« Et ils sont mort...finit-il par dire
-Oui, se contenta de répondre le grand-père.
-Mais, pourquoi ? C'est une chose que je n'ais pas comprise.
-Personne ne le sais, mais on suppose qu'ils ont voulut être punis.
-Punis ? Mais...de quoi ?
-On a fait des recherches sur la femme rousse de la peinture. Cela avait été une très belle femme, qui était né cinquante avant cette histoire. Comme Mist, ses parents avait refusé qu'elle ne rencontre des garçons trop vite, et elle avait désobéi. A l'âge de seize ans, elle était passée à l'acte. A vingt-deux ans, elle avait rencontré un garçon, qui, après l'avoir...fait avec elle, l'avait battu à mort, d'où son état délabré...
-Mais alors...cette femme ne voulait que se venger de Mist, vu qu'elle était entrain de faire exactement la même erreur qu'elle.
-Oui mais non. Elle en voulait à Pierrick, qui était avec sa sœur, elle en voulait à sa mère, qui ne prenait pas assez de précaution. Elle en voulait au père, qui s'en fichait comme d'une guigne de sa famille...
-Mais alors, qu'est-ce qu'était que cette forme, cette espèce de fantôme ?
-Sa non plus, personne ne le sais. Etait-ce tout simplement une illusion, comme l'a dit la mère. Ou bien la femme qui a cherché à les attiré a elle ? Ou bien tout simplement, la vierge Marie, qui a cherché à punir ses gens pour ne pas être croyant, et pour tous les défauts qu'ils présentaient. Il existe plusieurs hypothèses différentes, tu sais ? Mais tous finisse pareil : la mort de la famille.
-...Et...Où est le médaillon désormais ?
-Il est resté au même endroit, dans la maison. Personne n'a voulu aller le chercher, ni même rentré. On dit, que le fantôme de la femme et de la famille plane, et que quiconque entrera dans cette demeure, se verra sévèrement punis.
-Je crois que je vais donc m'abstenir...
-Il vaut peut-être mieux, rigola le vieil homme »
L'homme sourit, et retourna la tête vers le manoir. Il préférait les histoires d'aujourd'hui, concernant le manoir, elles étaient...beaucoup moins terrifiantes. Il n'avait aucune idée de pourquoi cette femme avait agit comme cela...
Et vous ? Quel est votre hypothèse ?