Premier chapitre 2.0
Science-Fiction VS Fantaisie
Chapitre 1
Nouvelle mission
Lena était couché sur son lit dans sa cabine. Elle faisait défilé sur un écran tactile les informations du jour. En gros titre était affiché :
La planète Maximor VI détruite par les Fléaux ! Douzième planète en un an !
L’article présentai des photos des destruction de la planète. Les cadavres jonchaient les rues que les anciens bâtiments recouvraient de leurs gravats. De la fumée, des flammes, du sang. Certains cadavres avaient été pris en gros plan pour montrer l’horreur de la destruction. Personne ne s’en offusquera. C’était cela que voulait le peuple désormais. Voir le sang -tant qu’il ne leurs appartenaient pas, bien entendu.
Lena soupira. D’après les dire les Fléaux semblaient invincible. Lors du massacre de la sixième planète, un croiseur de combat du Conseil stationnait près de la planète. Après le visionnage des casques des soldats mariniers, aucune arme n’avait semblé les arrêtés. De quoi refroidir les ardeurs du plus courageux soldats. Si ni les armes, ni les lames ne les blessaient, qu’est-ce qu’il le fera ?
La porte de la cabine s’ouvrit dans un chuintement et un homme, gradé, accompagné de deux soldats entrèrent sans y être invité.
Lena soupira une nouvelle fois.
« Colonel Bristnia. Que puis-je faire pour votre plaisir ? dit-elle sans se relever, ni lever les yeux vers l’intéressé. »
L’homme grommela. Il ne l’aimait pas et elle lui rendait bien. Chacune de leurs rencontres étaient toujours à couteaux tirés.
« Capitaine Lena Majka, vous êtes sommé de me suivre. »
Le colonel essayait de garder le ton le plus calme possible. Il avait des ordres et il devait les tenir.
Lena éteignait son écran et tourna la tête vers le colonel.
« Je suis désolé colonel, mais je ne peux vous suivre. Par ordre de la générale Maxini en personne, je ne dois en aucun cas quitté mon vaisseau et essayé de le faire quitter la base, ni même d’allumer ses moteurs. Vous comprenez bien mon colonel, que je ne peux pas désobéir à l’ordre direct de la générale Maxini, même pour vous Bristnia. »
L’homme devint rouge. Les soldats derrière lui ne savaient pas trop où se mettre. La mésentente entre la capitaine Lena et le colonel Bristnia était connu de tous, surtout que c’était toujours Lena qui semblait gagné à la fin. Et cela, le colonel le savait aussi.
« C’est justement un ordre direct de la générale Maxini qui veut vous voir tout de suite dans son bureau.
-Seulement mon colonel, il me semble, que la générale était tellement en colère contre moi, qu’elle n’a pas précisé que mon confinement à mon vaisseau était jusqu’à nouvelle ordre. Si je me rappelle bien ses mots, c’était plutôt…
-CELA N’A PAS D’IMPORTANCE LENA ! » il reprit difficilement son souffle. « La générale vous veux dans son bureau et plus vite que ça ! »
Lena fit mine de se lever, puis se rassit.
« A-t-elle dit ce qu’il se passerait si je ne venais pas, écoutant son premier ordre ? »
Le colonel se tut, sembla réfléchir.
« Non, mais je peux trouver tout seul. Si vus ne venez pas, je vous mettrais au trou Lena. C’est ce que vous méritez vous et votre racaille de pirate ! »
Lena prit un air faussement choqué.
« Nous des pirates ? Et qu’en est-il de Htol, aux dernières nouvelles il a fait sa carrière seulement dans l’armée. A moins que l’armée ne fasse de la piraterie. Vous êtes un pirate colonel Bristnia ? »
L’homme au visage rubicond s’approcha de Lena et leva le poing. Avant qu’il n’ait pu comprendre son propre geste qu’il vit un pistolet laser pointé sur son entre-jambe.
« Ça colonel, je vous le déconseille. » dit Lena avec une voix très calme.
« Vous osez pointer une arme sur ma personne ?
-Non, Votre Personne est beaucoup trop simple à toucher, je vise quelque chose de beaucoup plus petit en ce moment. »
De rubicond, Bristnia passa au pourpre.
« Sale garce ! Garde emmenez là au cachot ! »
Les deux hommes, qui depuis le début ne faisaient que regarder la scène reprirent leurs aplombs et se dirigèrent vers la jeune femme. Lena posa son arme au sol avec des gestes lent et se leva avec la même lenteur, faisant danser ses cheveux bruns sur son dos. Quand elle fut droite, elle dut baisser les yeux pour regarder ceux du colonel. Un sourire malicieux éclairait son visage. Elle tendit les poignets et l’un des gardes lui passa les menottes. Les deux soldats l’encadrèrent et l’escortèrent vers la sortie. Dans le couloir du vaisseau, Estrequn attendait Lena.
Estrequn était un non-humain de la race Eckir. Cette race sont des mammifères semblables à des rats mesurant jusqu’à un mètre trente et marchant sur leurs deux pattes arrière. Estrequn était le mécanicien de bord du Xartskin, le vaisseau dont Lena était capitaine. Il était aussi un ancien pirate, tout comme Lena. Lors d’un de leurs raids, ils c’étaient fait capturer. Lena, essayant de sauver la peau de son équipage demanda l’immunité pour elle et ses gars contre ses services et le nom de ses contacts à l’armée. Et, surtout grâce à la chance, sa requête fut accordée par l’armée. Seulement, un grand parti de son équipage n’avait pas apprécié la décision de Lena et étaient parti pour reprendre leurs vies de pirates. Seuls peu d’entre eux, dont Estrequn étaient restés avec elle.
« Alors capitaine, railla-t-il, encore aux arrêts ?
-Non Estrequn, j’invite ses trois gentlemen à faire un tour galant au parc, je ne serais pas rentrée avant minuit ! »
Ils rirent de concert avant que ne sorte Bristnia et qu’Estrequn ne se trouve une nouvelle occupation. Vérifié les hyper-propulseurs, nettoyé les machines, etc.
Lena fut emmené aux geôles. Ayant fait l’expérience plusieurs fois, elle ne put s’empêcher de sourire. Ce qui rendait d’autant plus furieux le colonel. Il ne voulut même pas la regarder entrer dans a cellule sachant qu’elle ne l’énerve encore plus. Il partit donc chercher la générale et la prévenir que Lena était de nouveau aux arrêts.
Lena rentra dans sa cellule comme-ci elle était chez elle. Elle inspecta les murs métalliques de la pièce, observa la couchette et s’y allongea dessus le sourire collé au visage. Elle ne pouvait pas s’empêcher de faire enrager le colonel. C’était plus fort qu’elle. Elle trouvait ce genre de personne exécrable et ne le cachait à personne, surtout aux principaux intéressés. Le pire, c’était qu’une fois, voulant abuser de son pouvoir Bristnia avait essayer de la peloter. Il était reparti avec un œil au beurre noir et une grande perte d’égo. C’est fou, se disait Lena, on pourrait croire que tous les hommes étaient comme lui. Heureusement pour elle, ils ne l’étaient pas tous, mais très peu de femmes l’étaient en tout cas et surtout pas la générale Maxini.
A cette pensée, Lena tressailli. La générale était connue pour quelqu’un qui remarquai tout de suite le potentiel de ceux avec qui elle parlait. Sans elle, Lena serait morte à l’heure qui l’est, et ses hommes aussi. C’est la générale qui avait beaucoup insisté pour accorder l’immunité à Lena. Ce qui faisait donc que cette dernière lui devait la vie. Mais Maxini était aussi connue pour ses hauts faits d’armes et ses colères froides. Et elles tenaient la vie de Lena ainsi que son équipage dans les mains. Beaucoup de rumeur circulaient du sadisme et la force de la générale, mais aucune n’avait été affirmé, ou infirmé.
Ce n’est qu’au bout d’une heure que Lena entendit des pas précipités arriver vers sa cellule. Elle reconnut parfaitement la voix du colonel Bristnia et celle de la générale Maxini. Et elle semblait de très mauvaise humeur. Pour l’instant c’était le colonel qui subissait sa colère, mais Lena en avait des sueurs froides d’avances.
« Je vous avais ordonné de l’amener à mon bureau Bristnia, pas de là mettre en geôle !
-Mais… voulu commencer le colonel.
-Il n’y a pas de « mais » Bristnia ! Vous n’êtes pas foutu d’exécuté un ordre ! Je ne sais pas ce qui me retiens de vous y mettre aussi ! Elle se fout de vous colonel ! Elle obtient ce qu’elle veut de vous ! Elle pourrait vous faire avaler du curare en vous faisant croire que c’est votre idée !
-Mais c’est une criminelle générale. Elle n’a que ce qu’elle mérite. »
En voilà un qui essaye de s’affirmer. Elle sait faire mal avec les mots la générale. Je le plaindrais presque.
« Non colonel. Elle est un membre de l’armée à part entière. Un capitaine qui plus ai. Maintenant taisez-vous. Je ne veux plus vous entendre. »
Lena se leva et se plaça un pas derrière la porte. Elle effaça son sourire de son visage et attendit que le garde ouvre.
De l’autre côté se tenait la générale Maxini. Une femme d’âge mur aux cheveux et au regard d’acier. Elle se tenait droite dans son uniforme. Aucun pli n’était visible. Ses cheveux gris encadraient un visage fin marqué par les rides et les batailles. Il avait pu être beau autre fois, mais le côté droit de son visage était entièrement défigurer. Elle avait même perdu l’œil. On raconte que cela fut durant une bataille contre une espèce alien sur une lointaine planète. Toute son escouade de reconnaissance fut prise en embuscade et décimé. Seule la générale revint le lendemain, alors que plus personne n’avait de nouvelle de l’escouade, avec le visage ensanglanté et la tête du chef de tribu des aliens. Bien sûr, elle n’avait jamais confirmé cette histoire. Aujourd’hui, son œil avait été remplacé par un bionique qui semblait bouger tout seul.
La générale toisait Lena.
« C’est la quatrième fois que vous m’obligez à descendre vous chercher en geôle. Et encore je ne compte pas notre tout premier entretien. » ça voix était aussi glacial que le gèle.
« Je suis désolé ma générale. Mais vous savez que je ne veux pas obéir aux ordres de Bristnia.
-Capitaine Lena, vous semblez oubliez que le Colonel Bristnia est votre supérieur. Vous devez lui obéir. D’autant plus que l’ordre venait de moi. Je vous rappelle que je tiens votre vie, et celle de vos hommes, dans le creux de ma main. Je pourrais vous broyez si je pensais que j’avais fait le mauvais choix la dernière fois. J’ai usé de tous mes contacts car vous pouviez mettre utile. Mais si vous continuez capitaine Lena, vous savez ce qu’il se passera. »
Lena hocha la tête. Elle avait une idée très net de ce qu’il se passera si elle continuait comme cela. Mais elle était une pirate auparavant, et elle n’en avait pas perdu le caractère. Elle riva ses yeux sur ceux de la générale.
« Vous n’aurez jamais à douter de nous ma générale, mais envoyer moi quelqu’un d’autre que le colonel. Mais, sauf votre respect mon colonel, on n’est clairement pas fait pour s’entendre lui et moi. Si nous étions tous les deux pirates, ça ferait longtemps qu’on se serait planté dans une ruelle.
-Mais vous n’êtes plus une pirate Majka. Vous êtes une militaire, et une gradée qui plus ai ! vous devez montrer l’exemple. Et votre attitude ne l’est clairement pas.
-Vous saviez très bien à quoi vous attendre générale.
-Et je peux très bien arrêter l’expérience Lena. Allez-vous continuer sur ce chemin-là capitaine ? »
Les deux femmes se toisèrent un instant et Lena baissa les yeux la première.
« Non générale. Cela ne recommencera plus. »
La générale la regarda un moment.
« Bien. Gardes, rendez-lui ses effets personnels. Retrouvez-moi à mon bureau personnel. »
Sur ce, la générale se retourna et partit hors des geôles. Une fois la générale parti, le colonel se posta devant Lena.
« Tu fais moins la maline la pirate, hein ? Tu as bien compris la générale Majka, si tu me désobéi je te fais fusillé directement. »
Lena le foudroya du regard. Bristnia perdit tout de suite de sa superbe.
« Essayer de me fusiller Bristnia. Essayer pour voir et je vous trouerais en deux. Seule la générale pourra donner l’ordre sans que je bronche. Mais essayer d’abuser de votre pouvoir Bristnia et rien, même la générale, ne m’arrêtera. »
Le colonel Bristnia blêmit et glapit. Il réussit à reprendre de l’aplomb quand les deux geôliers arrivèrent. Il lança un regard noir à Lena.
« Vous avez intérêt à vous reprendre Lena, sinon vous savez ce qui va vous tombez dessus. »
Il repartit sur ces mots, sans un regard en arrière.
Les garde redonnèrent les effets personnels à Lena qui se dirigea aussitôt vers le bureau de la générale. Le bureau officiel de la générale occupait tout un étage du B.A.G.H (Bureau des Armée Galactique Humaine), autrement appelé BAGUE. Cette pièce était faste, tout en vitre et en objet de luxe. La générale le détestait. Il était trop exposé aux attaques et aux espionnages -elles avait déjà repéré plus d’une vingtaine dans tout le bureau. Mais il avait l’importance car cela permettait de filtrer les informations qu’elle passait aux espions de tout genre. Pour les informations secrètes, elle avait son deuxième bureau, c’était là-bas que se rendait Lena. La générale appelait cela, son bureau personnel pour que les individus qui n’était pas au courant ne sache pas de quoi elle parlait.
Ce bureau avait été conçu pour ne pas pouvoir subir de piratage ou se faire attaquer physiquement. Il était construit sous le B.A.G.H. Sous trois mètres de béton amé, renforcé d’acier trempé et de champs de force de la dernière technologie. Il était desservi par un unique escalier bourré de pièges et de détecteurs en tous genres. Seuls les personnes autorisées pouvaient passer sans finir en tas de poussières fumantes. L’intérieur du bureau était protégé par une porte à multiple vérins ouvrable par une code interminable et plusieurs autres test différents, ou depuis l’intérieur par un bouton activable seulement par la générale en personne. Une dizaine de petit canons lasers étaient dirigés vers l’extérieur et était contrôlé par l’IA personnel de Maxini, Vauban. La générale ne manquait pas d’humour au moins. Il y avait assez de nourriture pour tenir un mois, des armes pour une dizaine de personnes ainsi que d’autres choses utiles en cas d’attaques physiques. L’intérieur était sobrement meublé. Trois fauteuils durs, un bureau noir et un petit ordinateur connecté sur un réseau interne. Seule trace de luxe était le tableau accroché derrière le fauteuil de la générale. Il était l’un des dernières originales de trente-cinquième siècle de l’artiste Ostalvo. La toile représentait une bataille spatiale qui se passait au-dessus de la planète Terre.
Même invité, Lena n’était jamais rassuré d’aller dans le bureau personnel de la générale. Elle avait l’impression d’étouffer dans se conduit qui menait à la porte. Ce qui étais ironique pour quelqu’un qui passait le plus clair de son temps dans des vaisseaux spatiaux. La voix posée de Vauban l’accueilli.
« Bonjour capitaine Lena. J’imagine que vous êtes attendu par la générale, c’est cela ?
-Oui, Vauban, sinon ma tête roulerait devant la porte.
-Négatif capitaine Lena. Il n’y aurait plus votre en bas des marches. La générale veut vous ouvre. »
Les verrous s’actionnaires et la porte tout doucement laissant apparaître le bureau. La générale était debout derrière son fauteuil. Elle invita Lena à choisir une chaise et fit fermer la porte. Une fois sûr que personne ne pouvait les écouter Lena prit la parole.
« Pourquoi m’avoir fait venir ici générale ? Si on est là c’est à cause d’un sujet important, la Rébellion ou les Fléaux ? »
La Rébellion c’était créé après la guerre. Elle était composée des grands perdants de la guerre, les Hauts Vivants. Cette race n’avait pas voulu arrêté la guerre alors que la majorité des races signaient toutes des traités de paix. Les Hauts avaient réuni toute leur flotte et avaient foncé sur la planète Orbion 7 où se déroulait le traité des Cinq. Ogrek, Humain, Eckir, Yvnor et Ishvo. La totalité de la force de frappe des Hauts Vivants apparurent au matin, pilonnant la totalité de la planète. Orbion 7 est devenu un champ de ruine recouverte de cendre. Dès que la nouvelle de l’attaque des Hauts Vivants arriva aux cinq races concernées, elles rassemblèrent toutes leurs troupes et firent le blocus de Visanga, la planète mère des Hauts Vivants. Et, lorsque la flotte ennemie arriva, ils détruisirent la planète en tirant dessus avec tous leurs canons. La flotte des Hauts Vivants vécut une très forte défaite, perdants en même temps que leur planète les trois quarts de leur flotte. Elle s’enfuit loin dans la bordure de la galaxie, réfléchissant à de nouveaux plans pour abattre le Conseil et se venger. Ils se réfugièrent sur une petite planète rocheuse du nom de Lentmora. Utilisant toute leur puissance technologique, ils créèrent un bouclier énergétique si puissant qu’aucun vaisseau ne pouvait l’ébrècher. Aujourd’hui, Lentmora avait été rallié par des hors-la-loi, des gens qui pensaient y trouver une vie meilleure hors des carcan dicté par le Conseil et par les Améliorer. Race d’humain entièrement créer pour en faire des machines à tuer. Ils avaient voulu que le Conseil leur attribut le statut de personne pensante et vivante, mais ils refusèrent. Ce n’était que des machines. Ils s’enfuirent donc sur Lentmora pour éviter d’éventuels répressions.
La générale regarda la jeune femme de ses yeux perçants. Elle semblait réfléchir.
« Vous êtes toujours aussi perspicace capitaine Majka. Ce sont bien des Fléaux dont j’ai à vous parler. Mais d’abord je voudrais savoir comment se porte votre équipage depuis votre dernière mission.
-Aussi bien qu’il pourrait qu’il pourrait aller. Le fantassin Lorzen est blessé au bras, mais la capsule régénératrice aura fini son travail dans quelques minutes. Les autres vont bien pour la plus part. Si vous voulez savoir s’ils sont frais et dispo pour une nouvelle mission, c’est le cas ma générale.
-Bien. La mission que j’ai à vous confier est dangereuse et sera sur le long terme. Et bien sûr, vous ne pouvez pas refuser.
-Ça à l’air génial comme plan ma générale. Vous voulez qu’on aille attaquer les vaisseaux des Fléaux pendant que le Conseil essaye de trouver une solution ?
-Tout ceci ne servirait à rien. J’ai confiance en votre capacité de survivre à presque n’importe quoi. Mais essayé de ralentir les Fléaux ne serais que perte de temps. Déjà, parce que les Fléaux ne serraient même pas gêner, mais aussi parce que la solution, nous l’avons.
-Et c’est quoi la solution pour détruire ces monstres ?
-A notre connaissance, aucune.
-Alors quelle est votre solution ? Vous voulez qu’on fasse tous nos bagages et qu’on se tire aussi vite que nos vaisseaux le permettent et qu’on n’espère pas mourir de faim et de soif avant d’atteindre la prochaine galaxie ?
-Presque capitaine, mais comme vous le remarquer, voyagez jusqu’à la prochaine galaxie, même avec des hyper-propulseur très puissant, nous prendrai trop longtemps. Non, nous allons passer par des trous de vers. La technologie est à notre porté. Nous venons d’en créer plusieurs dans des directions différentes, seulement, personne ne sait où ils mènent.
-Et c’est là qu’on intervient mon équipe et moi, c’est ça ? On traverse un de ces trous de vers et on revient si c’est vivable de l’autre côté ?
-C’est tout à fait ça.
-C’est du suicide ce que vous demandez.
-Oui, c’est pourquoi c’est à vous que je le demande. »
Article ajouté le Samedi 26 Août 2017 à 19h21 |
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