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La taverne du scénariste
de Cernel
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La Préface
Bonjour à tous! Aujourd'hui je met la préface à l'histoire que je vais commencer. Je ne vais pas vous mettre tout de suite la liste des personnages car cela risquerai de "gâcher" la découverte des personnages, justement. Du coup aujourd'hui c'est la préface à l'histoire et prochainement le chapitre 1.
« Plus que six mille huit cent vingt-cinq révolutions avant la retraite. »
Joshua poussa un nouveau soupir. De résignation cette fois. Il avait cinquante ans. Une femme et trois enfants. Il était heureux en ménage, gagnait bien sa vie, mais ce qu’il voulait par-dessus tout, c’était d’arriver à la retraite. Aller au travail chaque jour le minait un peu plus. Les tempes grises lui étaient arriver à trente ans, mais à ce jour plus aucun de ses cheveux n’avaient leurs noirs d’antan. Au départ il avait bien essayé de les cacher, mais rien à faire, quand on en était à se colorer en noir l’ensemble du cuir chevelu autant arrêter. Il y a un âge où tout arrive. Il était à celui des cheveux blancs et de la vue qui baisse.
Joshua sorti de son bureau sans un regard en arrière. Il croisa en sortant l’équipe de nuit, mais aucun ne sembla le remarquer.
Tant mieux. Je suis trop fatigué pour discuter.
Il monta dans l’aérobus, valida son badge de transport et ne trouva aucune place assise. Il se résigna et resta donc debout, une main sur la barre transversale. L’aérobus se souleva à trois mètres du sol à l’horizontal. Au-dessus de lui se trouvait les lignes de bus. De long tubes de verres renforcés dans lesquelles les aérobus se déplaçait par mouvement d’air comprimé. Le bus avança sans un soubresaut. Joshua resta dans ses pensées et ne remarqua pas ce que le reste des personnes remarquèrent immédiatement.
Une secousse ébranla l’aérobus. N’ayant rien remarqué, Joshua tomba au sol, écrasant les autres passagers au passage. Il tourna la tête dans tous les sens, cherchant la cause du problème. C’est là qu’il les vit.
Une dizaine de vaisseau destroyer venaient d’apparaître dans le ciel, cachant les deux lunes diurnes de la planète Oxyrion. L’un d’eux tira un laser qui explosa non loin de l’aérobus. Ce dernier s’ébranla une nouvelle fois. L’aérobus grinça, les gens crièrent, l’alarme hurla dans toute la ville. Joshua rampa vers une fenêtre et regarda en bas. Au niveau des deux impacts, deux gigantesques cratères creusaient la chausser. Les tôles des voitures avaient fondu et des cadavres, tel des torches humaines, étaient clairsemés autour.
Un nouveau laser fut tiré. Cette fois-ci le tir toucha la ligne d’aérobus. Le tube de verre gémit, grinça, se fissura, puis, finalement, éclata sans un bruit. L’aérobus chuta sur trois mètres. Les passagers quittèrent le sol un cours instant avant de s’écraser lourdement sur la route. Joshua fut sonné. Ses oreilles sifflèrent, sa vue était brouillée. Il tenta de se relever, mais quelqu’un le poussa puis d’autres le piétinèrent. Il perdit connaissance.
Quand il rouvrit les yeux, il avait mal partout et ne voyait finalement pas grand-chose. Son corps était douloureux de partout et il avait un goût de sang dans la bouche. Il voulut se dresser, mais une masse l’écrasait de tout son poids. Sans sa vue, il se cru aveugle et commença à paniquer. Il hurla à l’aide. Il gesticulait dans tous les sens. Au bout de ce qui lui parut une éternité, il senti l’étreinte se desserrer.
Quelqu’un est venu à mon secours !
La plaque s’enleva et Joshua pu se retourner. C’était un Ogrek qui l’avait secouru, ce qui somme toute était assez logique vu que c’était le plafond de l’aérobus qui avait écrasé Joshua.
« Merci monsieur…
-On a pas le temps de discuter, suivez-moi et pas un bruit, ils ne sont pas loin. »
Comprenant qu’il ne fallait pas discuter et que la situation était assez critique pour ne pas gêner son sauveur, qui aurait très bien pu le laisser sous l’aérobus.
Joshua suivit l’alien tant bien que mal et constata l’ampleur des dégâts. Chaque bâtiment était en proie aux flammes. Des dizaines de corps jonchaient les rues. Au loin il entendait encore des cris, mais là où il se tenait, il n’y avait que le crépitement des flammes. Le choc fut trop rude pour l’homme et ses jambes se dérobèrent sous lui.
« C’est pas possible…
-Pourtant si. T’as mal quelque part ? »
Joshua inspecta son corps comme s’il le découvrait pour la première fois.
« Non… Non je ne crois pas…
-Alors lèves toi, on est à découvert ici. »
Joshua hocha la tête et se leva lentement. Il devait faire confiance à cette Ogrek. Lors d’une situation de crise, c’étaient les mieux placé pour savoir comment réagir. Surtout s’il fallait tirer sur quelqu’un ou quelque chose.
« Qu’est ce qui s’est passé au juste ?
-Tu n’as pas vu les vaisseaux dans le ciel ? rétorqua l’alien.
-Si, mais…
-Alors tu sais déjà tout. »
Ils avancèrent en silence dans les décombre de la ville. Joshua réfléchissait à ce qu’il venait de se produire. Mais il ne put aller au de ses conclusions car des bruits de pas précipiter se dirigeaient dans leur direction. L’Ogrek attrapa Joshua et le plaqua derrière des décombre fumant. Il arma son fusil et fit signe de se taire. Joshua en arrêta même de respirer.
Devant eux trois civils couraient à en perdre haleine. L’un d’eux saignait abondement à la jambe, mais cela ne sembla pas le déranger. Pas encore du moins. Au même moment, trois lasers les frappèrent. Seul le blessé ne mourut pas sur le coup. Il avait été touché à l’autre jambe et s’écrasa sur ses compagnons de fuite, touchés en pleine tête. Des voix se firent entendre et se rapprochèrent. L’homme commença à hurler, à les implorer de le laisser vivre. Mais aucune réaction ne semblait venir de la part des voix.
Puis les créatures apparurent. Grands de deux mètres cinquante, à l’ossature fine, au visage ovale et au teint verts, c’était les Fléau. Ils étaient cinq et avançaient tranquillement vers leur victime. Ce dernier essaya bien de ramper sur les fesses, mais il ne s’éloigna pas assez rapidement. Il n’aurait pas pu de toute manière. L’une des créatures posa une de ses pattes aux longues griffes sur le corps du malheureux et déchira sa chaire. L’homme cria, mais le Fléau ne s’arrêta pas pour autant, extirpant tous ses organes de son corps. Une fois cela fait, les Fléaux semblèrent rire, s’ils savaient rire et déployèrent des ailes membraneuses de leurs dos et s’envolèrent.
Quand les créatures furent assez loin, Joshua vomit sur le macadam. L’Ogrek se redressa, tous les sens aux aguets, le fusil prêt à tirer.
« Ce… Ce sont des monstres.
-Ouais. C’est moche. »
Un silence s’installa entre les deux compères.
« Au fait comment t’appelles tu ? demanda Joshua.
-Lorzan et toi ?
-Joshua, mais appelles moi Josh ça sera plus simple.
-Ok. Tu as de la famille Josh ?
-Oui une femme et deux enfants. Et toi ?
-Pas encore. J’étais amoureux d’une fille par contre.
-Ah oui ? Comment s’appelle-t-elle ?
-Sirgona. » Il se tut quelques instants. « Il faut qu’on avance.
-Pour aller où ?
-Autre part qu’ici. »
Josh hocha la tête et se remit en route derrière Lorzan. Ils marchèrent plus d’une heure sans rencontrer autres choses que du feu, de la tôle et du sang. L’humain commença à accuser le coup et toute son énergie fondit comme neige au soleil. Lorzan consentit à faire une pause pour qu’il se repose. Il proposa de monter la garde et qu’ils repartiraient dans une heure au maximum. Joshua s’assit au sol et ferma les yeux. Ce n’est que vingt minutes plus tard qu’il rouvrit les yeux. Lorzan le secouait fortement par l’épaule.
« Il faut qu’on y aille Josh ! Ils arrivent ! »
Comprenant l’urgence de la situation Joshua se remit sur ses pieds tout de suite et courut à la suite de Lorzan. Il entendait des bruits d’ailes un peu partout autour de lui, ainsi que ce qu’il pensait être des voix. Au détour d’une rue, ils tombèrent sur un groupe de trois Fléaux. Joshua marqua un temps d’arrêt mais pas Lorzan qui leur fonça dessus en tirant de son fusil. Les lasers semblèrent se fondre en eux comme si ce n’était rien. Joshua paniqua, rien ne pouvait les tuer à ce que l’on racontait. C’était donc vrai. Les trois êtres pointèrent leurs armes vers l’Ogrek et tirèrent une seule salve. Le compagnon d’infortune de Joshua mourut sur le coup et s’écroula au sol. Joshua fut pétrifié. Il ne bougeait plus. Il se savait condamné, comme cette ville, comme cette planète, comme cette galaxie. Rien ne pouvait arrêter les Fléaux. Rien dans cet univers. Il les vit s’approcher mais ne fit rien pour essayer de s’enfuir. Il en entendit d’autres atterrir derrière lui, mais il ne se retourna pas. C’était fini.
Il sentit la griffe lui traverser le corps après l’avoir vu dépasser de son ventre. Il tomba à genoux. Sa vision se troubla et il tomba au sol. En tombant, il écrasa son calendrier et la dernière chose qu’il entendit fut : « Plus que six mille huit cent vingt-cinq révolutions avant la retraite. »
En espérant que cela vous plaise :)
Science-Fiction VS Fantaisie
Préface
Joshua éteignit son ordinateur. L’hologramme de l’écran disparu sans un bruit. L’homme poussa un soupir de soulagement. Il tendit sa main vers un petit calendrier numérique et tapota sur la date du jour. 16ème jour de Torentu de l’année 6203.Une petite voix monta soudain.« Plus que six mille huit cent vingt-cinq révolutions avant la retraite. »
Joshua poussa un nouveau soupir. De résignation cette fois. Il avait cinquante ans. Une femme et trois enfants. Il était heureux en ménage, gagnait bien sa vie, mais ce qu’il voulait par-dessus tout, c’était d’arriver à la retraite. Aller au travail chaque jour le minait un peu plus. Les tempes grises lui étaient arriver à trente ans, mais à ce jour plus aucun de ses cheveux n’avaient leurs noirs d’antan. Au départ il avait bien essayé de les cacher, mais rien à faire, quand on en était à se colorer en noir l’ensemble du cuir chevelu autant arrêter. Il y a un âge où tout arrive. Il était à celui des cheveux blancs et de la vue qui baisse.
Joshua sorti de son bureau sans un regard en arrière. Il croisa en sortant l’équipe de nuit, mais aucun ne sembla le remarquer.
Tant mieux. Je suis trop fatigué pour discuter.
Il monta dans l’aérobus, valida son badge de transport et ne trouva aucune place assise. Il se résigna et resta donc debout, une main sur la barre transversale. L’aérobus se souleva à trois mètres du sol à l’horizontal. Au-dessus de lui se trouvait les lignes de bus. De long tubes de verres renforcés dans lesquelles les aérobus se déplaçait par mouvement d’air comprimé. Le bus avança sans un soubresaut. Joshua resta dans ses pensées et ne remarqua pas ce que le reste des personnes remarquèrent immédiatement.
Une secousse ébranla l’aérobus. N’ayant rien remarqué, Joshua tomba au sol, écrasant les autres passagers au passage. Il tourna la tête dans tous les sens, cherchant la cause du problème. C’est là qu’il les vit.
Une dizaine de vaisseau destroyer venaient d’apparaître dans le ciel, cachant les deux lunes diurnes de la planète Oxyrion. L’un d’eux tira un laser qui explosa non loin de l’aérobus. Ce dernier s’ébranla une nouvelle fois. L’aérobus grinça, les gens crièrent, l’alarme hurla dans toute la ville. Joshua rampa vers une fenêtre et regarda en bas. Au niveau des deux impacts, deux gigantesques cratères creusaient la chausser. Les tôles des voitures avaient fondu et des cadavres, tel des torches humaines, étaient clairsemés autour.
Un nouveau laser fut tiré. Cette fois-ci le tir toucha la ligne d’aérobus. Le tube de verre gémit, grinça, se fissura, puis, finalement, éclata sans un bruit. L’aérobus chuta sur trois mètres. Les passagers quittèrent le sol un cours instant avant de s’écraser lourdement sur la route. Joshua fut sonné. Ses oreilles sifflèrent, sa vue était brouillée. Il tenta de se relever, mais quelqu’un le poussa puis d’autres le piétinèrent. Il perdit connaissance.
Quand il rouvrit les yeux, il avait mal partout et ne voyait finalement pas grand-chose. Son corps était douloureux de partout et il avait un goût de sang dans la bouche. Il voulut se dresser, mais une masse l’écrasait de tout son poids. Sans sa vue, il se cru aveugle et commença à paniquer. Il hurla à l’aide. Il gesticulait dans tous les sens. Au bout de ce qui lui parut une éternité, il senti l’étreinte se desserrer.
Quelqu’un est venu à mon secours !
La plaque s’enleva et Joshua pu se retourner. C’était un Ogrek qui l’avait secouru, ce qui somme toute était assez logique vu que c’était le plafond de l’aérobus qui avait écrasé Joshua.
« Merci monsieur…
-On a pas le temps de discuter, suivez-moi et pas un bruit, ils ne sont pas loin. »
Comprenant qu’il ne fallait pas discuter et que la situation était assez critique pour ne pas gêner son sauveur, qui aurait très bien pu le laisser sous l’aérobus.
Joshua suivit l’alien tant bien que mal et constata l’ampleur des dégâts. Chaque bâtiment était en proie aux flammes. Des dizaines de corps jonchaient les rues. Au loin il entendait encore des cris, mais là où il se tenait, il n’y avait que le crépitement des flammes. Le choc fut trop rude pour l’homme et ses jambes se dérobèrent sous lui.
« C’est pas possible…
-Pourtant si. T’as mal quelque part ? »
Joshua inspecta son corps comme s’il le découvrait pour la première fois.
« Non… Non je ne crois pas…
-Alors lèves toi, on est à découvert ici. »
Joshua hocha la tête et se leva lentement. Il devait faire confiance à cette Ogrek. Lors d’une situation de crise, c’étaient les mieux placé pour savoir comment réagir. Surtout s’il fallait tirer sur quelqu’un ou quelque chose.
« Qu’est ce qui s’est passé au juste ?
-Tu n’as pas vu les vaisseaux dans le ciel ? rétorqua l’alien.
-Si, mais…
-Alors tu sais déjà tout. »
Ils avancèrent en silence dans les décombre de la ville. Joshua réfléchissait à ce qu’il venait de se produire. Mais il ne put aller au de ses conclusions car des bruits de pas précipiter se dirigeaient dans leur direction. L’Ogrek attrapa Joshua et le plaqua derrière des décombre fumant. Il arma son fusil et fit signe de se taire. Joshua en arrêta même de respirer.
Devant eux trois civils couraient à en perdre haleine. L’un d’eux saignait abondement à la jambe, mais cela ne sembla pas le déranger. Pas encore du moins. Au même moment, trois lasers les frappèrent. Seul le blessé ne mourut pas sur le coup. Il avait été touché à l’autre jambe et s’écrasa sur ses compagnons de fuite, touchés en pleine tête. Des voix se firent entendre et se rapprochèrent. L’homme commença à hurler, à les implorer de le laisser vivre. Mais aucune réaction ne semblait venir de la part des voix.
Puis les créatures apparurent. Grands de deux mètres cinquante, à l’ossature fine, au visage ovale et au teint verts, c’était les Fléau. Ils étaient cinq et avançaient tranquillement vers leur victime. Ce dernier essaya bien de ramper sur les fesses, mais il ne s’éloigna pas assez rapidement. Il n’aurait pas pu de toute manière. L’une des créatures posa une de ses pattes aux longues griffes sur le corps du malheureux et déchira sa chaire. L’homme cria, mais le Fléau ne s’arrêta pas pour autant, extirpant tous ses organes de son corps. Une fois cela fait, les Fléaux semblèrent rire, s’ils savaient rire et déployèrent des ailes membraneuses de leurs dos et s’envolèrent.
Quand les créatures furent assez loin, Joshua vomit sur le macadam. L’Ogrek se redressa, tous les sens aux aguets, le fusil prêt à tirer.
« Ce… Ce sont des monstres.
-Ouais. C’est moche. »
Un silence s’installa entre les deux compères.
« Au fait comment t’appelles tu ? demanda Joshua.
-Lorzan et toi ?
-Joshua, mais appelles moi Josh ça sera plus simple.
-Ok. Tu as de la famille Josh ?
-Oui une femme et deux enfants. Et toi ?
-Pas encore. J’étais amoureux d’une fille par contre.
-Ah oui ? Comment s’appelle-t-elle ?
-Sirgona. » Il se tut quelques instants. « Il faut qu’on avance.
-Pour aller où ?
-Autre part qu’ici. »
Josh hocha la tête et se remit en route derrière Lorzan. Ils marchèrent plus d’une heure sans rencontrer autres choses que du feu, de la tôle et du sang. L’humain commença à accuser le coup et toute son énergie fondit comme neige au soleil. Lorzan consentit à faire une pause pour qu’il se repose. Il proposa de monter la garde et qu’ils repartiraient dans une heure au maximum. Joshua s’assit au sol et ferma les yeux. Ce n’est que vingt minutes plus tard qu’il rouvrit les yeux. Lorzan le secouait fortement par l’épaule.
« Il faut qu’on y aille Josh ! Ils arrivent ! »
Comprenant l’urgence de la situation Joshua se remit sur ses pieds tout de suite et courut à la suite de Lorzan. Il entendait des bruits d’ailes un peu partout autour de lui, ainsi que ce qu’il pensait être des voix. Au détour d’une rue, ils tombèrent sur un groupe de trois Fléaux. Joshua marqua un temps d’arrêt mais pas Lorzan qui leur fonça dessus en tirant de son fusil. Les lasers semblèrent se fondre en eux comme si ce n’était rien. Joshua paniqua, rien ne pouvait les tuer à ce que l’on racontait. C’était donc vrai. Les trois êtres pointèrent leurs armes vers l’Ogrek et tirèrent une seule salve. Le compagnon d’infortune de Joshua mourut sur le coup et s’écroula au sol. Joshua fut pétrifié. Il ne bougeait plus. Il se savait condamné, comme cette ville, comme cette planète, comme cette galaxie. Rien ne pouvait arrêter les Fléaux. Rien dans cet univers. Il les vit s’approcher mais ne fit rien pour essayer de s’enfuir. Il en entendit d’autres atterrir derrière lui, mais il ne se retourna pas. C’était fini.
Il sentit la griffe lui traverser le corps après l’avoir vu dépasser de son ventre. Il tomba à genoux. Sa vision se troubla et il tomba au sol. En tombant, il écrasa son calendrier et la dernière chose qu’il entendit fut : « Plus que six mille huit cent vingt-cinq révolutions avant la retraite. »
En espérant que cela vous plaise :)
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