Origine de Dark-Minuw

J'étais assise sur le pas de la porte lorsque l'homme ressortit de la pièce une heure plus tard. L'homme me refit rentré dans son bureau. Il avait l'air soucieux.
- Tohru tu peux rester avec nous. Quelqu'un te fera visitais notre bâtisse. On t'expliquera aussi les règles. Maintenant laisse moi seul.
Une chose me vient à l'esprit quand je sortie de la pièce. Je ne lui avais pas dit que je voulais rester ici moi. Et je ne lui avais pas dit mon prénom. Mais une mauvaise surprise m'attendait à la sortie de la pièce. Les trois types de tout à l'heure n'avaient pas l'air content. Ils se dirigèrent vers moi mais quelqu'un d'autre réagit en premier. Le garçon aux cheveux orange sortie un Mentali. Le Pokémon exécuta un Choc Mental et les trois tyrans percutèrent le plafond.
- Vous allez lui fichait la paix maintenant. Elle fait partie du groupe désormais, gronda le garçon
- Mais le petit Kyô a trouvé une petite copine, pouffa Gary
Cette fois c'est moi qui réagis. Je fis sortir Vibraninf de sa Ball. Mentali relâcha son attaque. Vibraninf fit une attaque Tornade et les trois hommes se retrouvèrent assommé contre l'ascenseur. Je remarquai que l'ascenseur n'avait aucune égratignure. Apparemment, le boss avait le luxe de se payer des ascenseurs en or massif. Par contre les trois hommes gisaient au sol. Ils étaient bien sonnés. Le dénommé Kyô me fit visiter Golden City. Le réfectoire était un étage en dessous les dortoirs. Les autres étages concerner les missions, les dossiers etc., etc.…Sauf l'étage huit qui contenait les salles d'entraînements ainsi que le dernier étage, l'étage neuf qui contenait le bureau du boss. Les dortoirs avaient les douches et tout ce qu'il fallait. Les dortoirs des garçons et des filles étaient côte à côte donc en cas de problème Kyô était tout prés. Je me sentais en sécurité en sa présence. Je ne mettais jamais sentie autant en sécurité avec un être humain. Les gens ici étaient assez réservés. Sauf Kyô. Lui il était très ouvert. Et très gentil. Mais il semblait ne pas avoir d'amis. La visite se poursuit sans encombre. Plusieurs garçons regardaient Kyô de travers. Je ne comprenais pas pourquoi. Kyô m'apprit que les Pokémon plantes été interdits. Si un homme faisait alliance avec l'adversaire il serait châtié. De plus si on n'obéissait pas aux règles on risqué d'être banni. Nos Pokémon devait servir l'association d'une manière quelconque. Kyô ne parlait pas beaucoup de lui. Il me dit juste que, généralement, on se moquait de lui à cause de ses cheveux et de ses yeux. Par contre il était heureux qu'on ait envoyé promener les trois garçons deux fois dans la même journée. Le soir j'avais la tête pleine de doutes et le cœur rempli de sentiments qui m'étais étrange. Je n'arrivai pas à déterminer ce que je ressentais. Mais je me sentais plutôt bien malgré mon adhésion à Golden City. Je pris la direction de mon dortoir. En poussant la porte je réussi à peine à dissimuler un cri. Les pestes étaient la au grand complet. Je pris le lit le plus éloigné possible d'elles. Mais être tranquille aussi rapidement ne pouvait être qu'un rêve.
- Alors on courtise ? demanda Sophie
- J't'ai rien demandé à toi ! grondais-je
- Oh la Grahyena reste dans sa tanière et protège ses petits. Les filles ont à franchi les limites de son territoire, déclara Marie d'un air dédaigneux
- Serait-il possible de dormir en paix ? Et puis comment êtes-vous arrivé ici ? Et depuis quand ? demandais-je
- La voiture tu connais ? On est arrivés hier, déclara Katia
- Elle ne doit pas connaître la voiture. Technologie beaucoup trop avancée pour elle, mais au moins elle a trouvé un petit copain aussi débile qu'elle ! déclara Laura
- N'insultaient plus jamais Kyô devant moi ! grondais-je
Mais les filles rigolèrent devant ma remarque. Je devais dormir. Je n'en pouvais plus. Soudain une idée me vient.
- Les pokémon électrique ne sont toujours pas à la mode que je sache, parce que j'ai toujours Négapi, déclarais-je en baillant
Les pestes me regardèrent d'un air dégoûtées. Comme ça j'aurai la paix. En effet, les filles me laissèrent dormirent tranquillement trop répugné pour m'approcher.