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Legendary Bonds de Clafoutis
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Informations
» Auteur : Clafoutis - Voir le profil» Créé le 28/04/2015 à 11:53
» Dernière mise à jour le 28/04/2015 à 11:55
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Chapitre 19 : Culottes, épées, sablier, éventail, donjon...
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Dimanche 31 janvier
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Sofian prit son téléphone, fébrile, et relut le message y étant apparu la veille :
[ Félicitation ! Vous avez obtenu un fragment de la relique légendaire ! (5/5) ]
5 sur 5. Cela signifiait... que tout ceci était terminé. Finies les chasses aux petites culottes improbables et éreintantes. Mais au fond, Sofian savait que tout ceci n'était que le commencement, comme le prouvait un second message :
[ Maintenant, veillez rassembler les fragments de relique en cercle, héros ! ]
Sofian déglutit. Il n'avait pas osé le faire immédiatement, préférant dans l'immédiat une bonne nuit de sommeil, histoire de se remettre de ses émotions. Mais désormais, il était temps de conclure le chapitre.
Timidement, le brun prit une à une chacune des petites culottes avec une délicatesse sans précédent.
La petite culotte blanche, la première, celle qui avait enclenché sa destinée.
La petite culotte noire, qu'il avait dû voler à une lycéenne qui s'en servait comme porte-bonheur.
Les petites culottes verte et rouge, récupérés dans le bain public de Mérouville, où Sofian inventa la légende de Slipus et Culottus.
La petite culotte bleue, celle que Thomas avait volé à Lyo. Sofian avait dû pousser ses capacités physiques au maximum afin de l'obtenir, sans compter la rencontre salvatrice avec Eroman.
Sofian les positionna dans un cercle parfait, la larme à l'œil. Oui, il avait souffert pour en arriver là. Quoiqu'il puisse lui arriver désormais, il ne le regretterait pas.
Ce fut alors que cela se passa.
Les petites culottes se mirent à tourner, suivant le cercle, tout en s'illuminant. Toutes les lumières semblaient être aspirées par les cinq lingeries, comme si elles formaient un trou noir, à un point tel que tout l'appartement de Sofian plongea dans les ténèbres les plus absolues, uniquement illuminé par l'éclat des petites culottes.
N'importe qui aurait pu trouver cette situation absurde, mais la lumière débordant des lingeries étaient si pure, noble, que Sofian en resta le souffle coupé. Et avant même qu'il n'eut le temps de reprendre ses esprits...
Tout devint noir.
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La suite ici !
Dimanche 31 janvier
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Sofian prit son téléphone, fébrile, et relut le message y étant apparu la veille :
[ Félicitation ! Vous avez obtenu un fragment de la relique légendaire ! (5/5) ]
5 sur 5. Cela signifiait... que tout ceci était terminé. Finies les chasses aux petites culottes improbables et éreintantes. Mais au fond, Sofian savait que tout ceci n'était que le commencement, comme le prouvait un second message :
[ Maintenant, veillez rassembler les fragments de relique en cercle, héros ! ]
Sofian déglutit. Il n'avait pas osé le faire immédiatement, préférant dans l'immédiat une bonne nuit de sommeil, histoire de se remettre de ses émotions. Mais désormais, il était temps de conclure le chapitre.
Timidement, le brun prit une à une chacune des petites culottes avec une délicatesse sans précédent.
La petite culotte blanche, la première, celle qui avait enclenché sa destinée.
La petite culotte noire, qu'il avait dû voler à une lycéenne qui s'en servait comme porte-bonheur.
Les petites culottes verte et rouge, récupérés dans le bain public de Mérouville, où Sofian inventa la légende de Slipus et Culottus.
La petite culotte bleue, celle que Thomas avait volé à Lyo. Sofian avait dû pousser ses capacités physiques au maximum afin de l'obtenir, sans compter la rencontre salvatrice avec Eroman.
Sofian les positionna dans un cercle parfait, la larme à l'œil. Oui, il avait souffert pour en arriver là. Quoiqu'il puisse lui arriver désormais, il ne le regretterait pas.
Ce fut alors que cela se passa.
Les petites culottes se mirent à tourner, suivant le cercle, tout en s'illuminant. Toutes les lumières semblaient être aspirées par les cinq lingeries, comme si elles formaient un trou noir, à un point tel que tout l'appartement de Sofian plongea dans les ténèbres les plus absolues, uniquement illuminé par l'éclat des petites culottes.
N'importe qui aurait pu trouver cette situation absurde, mais la lumière débordant des lingeries étaient si pure, noble, que Sofian en resta le souffle coupé. Et avant même qu'il n'eut le temps de reprendre ses esprits...
Tout devint noir.
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