-
Blogs
-
Galeries
-
Fanfics
-
Chat
-
Communauté
-
Créations
Pokémon [Recueil de poèmes] de M@xime1086
Retour à la liste des chapitres
Informations
» Auteur : M@xime1086 - Voir le profil» Créé le 21/11/2014 à 17:57
» Dernière mise à jour le 27/02/2016 à 14:57
Si vous trouvez un contenu choquant cliquez ici :
Balade nocturne
[size=5]B[/size][size=5]alade nocturne[/size]
Entre jeunes, à la tombée de la nuit,
Dans les rues jusque là pleines de vie,
Nous sortons. La ville en apothéose
Y connaît sa plus grande métamorphose.
En face de la tour illuminée
Jahissaient des fontaines aux eaux perlés ;
Des Remoraids s'y baignaient et dansaient,
Comblant des touristes qui les regardaient.
On marchait sur les quais embrumés ;
Soudain des ombres spectrales surgissaient,
Et le long du ruban bleu, nous accompagnaient.
Tous les lampadaires étaient réveillés,
Éclairant les Mystherbes sautillant.
Au loin, la lune se levait lentement
Et fut trouée par la tour flamboyante.
Une fragrance se répandit, flottante.
Les rues se déroulaient dans la nuitée ;
Des Pitrouilles erraient et nous effrayaient.
Des touristes étaient encore attablés
Aux entrées des cafés et contemplaient
La brusque disparition des étoiles,
Balayées par les lumières de la ville.
Sur nos yeux reposait un léger voile :
Le souvenir vaporeux de la nuit.
Entre jeunes, à la tombée de la nuit,
Dans les rues jusque là pleines de vie,
Nous sortons. La ville en apothéose
Y connaît sa plus grande métamorphose.
En face de la tour illuminée
Jahissaient des fontaines aux eaux perlés ;
Des Remoraids s'y baignaient et dansaient,
Comblant des touristes qui les regardaient.
On marchait sur les quais embrumés ;
Soudain des ombres spectrales surgissaient,
Et le long du ruban bleu, nous accompagnaient.
Tous les lampadaires étaient réveillés,
Éclairant les Mystherbes sautillant.
Au loin, la lune se levait lentement
Et fut trouée par la tour flamboyante.
Une fragrance se répandit, flottante.
Les rues se déroulaient dans la nuitée ;
Des Pitrouilles erraient et nous effrayaient.
Des touristes étaient encore attablés
Aux entrées des cafés et contemplaient
La brusque disparition des étoiles,
Balayées par les lumières de la ville.
Sur nos yeux reposait un léger voile :
Le souvenir vaporeux de la nuit.