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The Free Investigation de Armadragon



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» Auteur : Armadragon - Voir le profil
» Créé le 06/11/2013 à 20:03
» Dernière mise à jour le 06/11/2013 à 20:03

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[12] Le piège se referme
La Jeep fonçant à vive allure, Cénia et Archiblade n'osaient dire un mot. La nouvelle comme quoi la Coalition avait était attaquée, a écourté les retrouvailles d'Archi avec sa famille.
-Chrome t'a expliqué ce qui était arrivé?
-Il m'a juste dit qu'ils s'agissaient d'hommes en bérets pourpres. Expliqua Cénia, toujours concentrée sur la route. Justement, à l'approche de Méanville, une chose lui fit plisser les yeux.
-Quoi? Fit Archi. Lui même regardant de plus près ce qui se dressait face à eux.
Il s'agissait d'un barrage routier, relativement impressionnant, bloquant l'accès à la ville. Des hommes était en train de jurer, envers le responsable armé qui continuer de leur faire signe de retourner d'où il venait. Il aurait put s'agir d'une procédure d'urgence, mais une petite chose attira l'attention d'Archibalde.
-Tu m'a bien dit des « bérets-rouges »?
-Ouais, mais ce type n'en porte pas.
-Certes, mais regarde dans sa poche.
En effet, dans la poche de celui-ci, se tenait le couvre-chef de tissu. Il avait du l'enlever pour lutter contre la chaleur du désert, tout proche. Quand la Jeep vint à sa hauteur, il s'adressa d'un ton ferme à Cénia.
-Désolé Madame, mais Méanville est en quarantaine, un virus s'est propagé.
-Mais...nos enfants sont là-bas, nous devons les récupérer mon mari et moi...
Archiblade sursauta en entendant une telle excuse. Mais tenta de garder une contenance, et de jouer les pères inquiets.
-Oui, notre fils Marcus a seulement 3 ans. Comment voulez vous qu'un enfant comme lui se rende compte du danger?
-J'ai dit, demi-tour.
-D'accord, mais pourriez vous m'aidez seulement? J'ai trouvé un minuscule objet de haute technologie, je peux vous le remettre?
Soudainement intéressé, le militaire se pencha vers la paume ouverte d'Archibalde. Mais ne vit aucun appareil, hormis l'étrange gant qui sembla un instant scintiller.
-Je ne vois rien...
-Normal, du con!
La foudre se jeta sur le visage de l'homme. Il n'eut pas le temps de crier, que déjà la chair se vaporisait face aux éclairs, et que son corps retombait, la tête en moins.
Cénia vit là le signal du passage en force, et appuya sur le champignon. Mais déjà, une foule d'homme armé se placèrent pour leur barrer le chemin.
-Archi, j'ai passé l'âge de joué au petits soldats...
-Compris!
La foudre continua son œuvre de mort. Déviant les balles par des arcs électriques, et tuant les hommes par ses assauts précis.
La Jeep démarra alors, renversant les quelques hommes agonisant.
-Cénia, tu y crois, toi à cette histoire de Virus?
-Non, ce qui m'inquiète c'est pourquoi ils ont eut besoin de l'inventer...


Voltaire était heureux. Jeune, il n'avait jamais eut le temps de fonder une famille. Et donc, il n'avait aucun enfant, et encore moins de petits enfants. Mais là, le jeune Aros lui donnait un autre moyen d'être grand-père surtout que le petit s'y connaissait en mécanique. Il s'était d'ailleurs amuser à prendre tout les vieux projets de Voltaire, et de les combiner en un truc « badass » comme disent les jeunes...
-Petit, tu veux un verre de lait chaud?
A travers la porte, il entendait les outils travailler, vriller, souder le métal. Aros et son Polagriffe, se révélaient des mécanos hors pairs, et Voltaire comblait leurs rares lacunes.
N'ayant, pas de réponses du jeune homme, il se décida à entrer.
La salle mise à la disposition d'Aros était remplie de câbles, d'écrans, de pièces de métal en tout genre. Voltaire, se tourna vers le Polagriffe occuper à souder une pièce.
-Tu sais où est Aros?
-Polaaaaa. Fit l'ours en désignant un des écrans.
Voltaire s'approcha de lui, et déposa le verre de lait.
-Alors, qu'est-ce que tu nous fabrique.
-Regardez.
Voltaire plissa les yeux. Il avait toujours refuser de mettre des lunettes, mais son entêtement commencer à lui causer du tort.
-C'est un exosquelette?
-Oui.
-Mensurations?
-10 tonnes de traction, autant de poussée.
-Pfffiooouu...Fi Voltaire impressionné, système de commande.
-C'est là que ça coince, je pensait à un pilote embarqué avec une reconnaissance de mouvement. Mais je suis pas assez caler sur le sujet. J'épluche les dossiers sur les prothèses innovante, mais rien de probant...
-je connaît quelqu'un qui peut t'aider. Tu as entendu parler de Lem, le champion d'Illumis?
Aros sursauta.
-Le génial inventeur? Bien sûr que je le connais!
-Et bien, si on l'invitait à venir? Il pourra vous prêter main forte.
-Il faut que j'en parle à mon associer. Polagriffe?
L'ours polaire tendit vers son maître un pouce levé, le regard toujours absorbé par sa soudure.
Voltaire repartit en souriant. Cette vielle barque allez bientôt voir un gosse de plus entre ses murs...


Pourquoi tout était si sombre? James Peterson marchait en traînant le pas, dans ce bâtiment où il avait était amené de force. Et là encore, de force, on le poussait dans ce couloir. Sombre, tout était sombre, la lumière ne lui permettait même pas de voir le visage de ses geôliers. De toute manière cela importait peu. Non, ce qui l'inquiétait, c'était la personne qu'il allait trouvé en face de lui, derrière cette porte, au fond du couloir.
Il ne pouvait pas reculer. Son instinct, son conscient, son inconscient, même son système digestif lui disait de faire demi-tour, et pourtant, il continuait.
-Allez, rentre là le vieux.
Et sous les ricanements des deux hommes armés, James Peterson ouvrit la lourde porte blindée.
Près de l'entrée, un homme en blouse et un type armé le scrutèrent, sans dire un mot. Devant, lui se tenait une personne dans un fauteuil. Lui tournant le dos, il ne pouvait voir de lui que les avants-bras et les chevilles. Une voix en sortit pourtant, déformée, et fluette à la fois, inquiétante:
-Mr. Peterson. Vous avez bonne mine.
-Je...vous...
-Oh, ne me remerciez pas pour ça, c'est tout naturel. Non par contre j'aimerais que vous me remerciez pour autre chose...Vous savez, notre petit arrangement?
-Mais, j'ai déjà...
-Non, non, vous ne saisissez pas. Quand vous m'avez contacté, en pleurnichant « aidez moi! Ma sœur va être tuée pour des choses qu'elle n'a pas commise! Aidez là, pitié! Sauvez la de la Coalition! », je vous ai donné mon aide, et aujourd'hui, votre sœur, Bianca, se trouve ne parfait santé, dans un de mes bunker. En échange vous deviez m'être utile...
-Mais j'ai fais ce que vous m'aviez demandé, j'ai mit des mouchards sur chacun des membres que j'ai côtoyer, et je vous ai ouvert les portes pour l'attaque! C'est d'ailleurs là que vos gorilles m'ont cueillit...
-Oh...ne leur en voulait pas. Sous ces bérets pourpres, ce cache un cerveau. Maigre je vous l'accorde mais il est là.
Un bref regard vers le type armé près de l'entrée informa James qu'il avait accueillit l'insulte comme si c'était habituel...ah, ces militaires...
-Maintenant, Mr. Peterson, vos ne me servez plus à rien, votre action s'est achevée...or, vous m'aviez promis d'être utile.
Il paniqua.
-Attendez, dîtes moi ce que je peux faire, je suis sûr que...
-HAHAHA! Il est mignon à ne pas comprendre. N'est ce pas Bob? C'est bien Bob votre prénom?
-Oui monsieur. Assura le militaire avec un hochement de tête.
-Hahaha! Ils n'ont jamais vu mon visage, et pourtant il m'appelle tous « monsieur »! C'est drôle de porter un masque vous savez? Quoique si ils m'appelaient « Madame » je trouverais ça encore plus bizarre...De quoi parlaient on déjà? Ah, oui...
Le siège pivota, et James Peterson leva les yeux de ses sandales pour voir l'étrange personnage en face de lui. Un masque de porcelaine blanche lui souriant, d'un air insolent. Tandis qu'il portait un costard entièrement blanc. Une touche de lumière crue dans un monde sombre.
-Je ne vous demandes pas de faire « quelque chose » d'utile, mais « d'être » utile, vous saisissez la nuance?
James ne comprenais rien à ce charabia de fou. Mais il vit le masque faire un petit signe au type en blouse près de l'entrée. Ce dernier lui remit une seringue. Et l'homme masqué s'approcha de James.
Il avait entendu parler d'expérience génétiques en côtoyant Richard. Il prit soudain très peur.
-Tiens, heureusement que vous êtes un vieux vouté, vous seriez presque plus grand que moi...
Un coup de crosse dans le tibia. Tira un hurlement à James, avant qu'il ne s'effondre à genoux. Il lui sembla entendre dans son dos un « de la part du gorille », mais n'y prêta pas attention. Obnubilez par la seringue qui s'approchait de son cou.
L'homme en blouse semblait dansé gênée, d'un pied sur l'autre, et finit par dire.
-Désolé, mais, son organisme est trop faible, il tiendra pas le choc, l'ADN du Tengalice va le tuer...
-Tss...tss...tss...Frank...vous vous appelez bien Frank? Ce brave James en a vu d'autre, et si son corps ne le supporte pas...
Un haussement d'épaule accompagné d'un petit rire informa James du souci qu'on avait de lui. Mais à peine eut il le temps de penser, que la seringue s'enfonçait dans le creux de son coup. Il sentait le liquide s'infiltrer en lui, et la seringue repartir.
-Bien, vous avez était sage, une si petite piqure, pas la peine d'avoir si peur...hihihi...
James sentit son cou se raidir. Puis son bras gauche, puis tout le buste. Ses muscles se figeaient les uns après les autres.
-Gui...guirf...gnnn...
-Oh, arrêtez de dire de telle sottise, ce n'est plus de votre âge, hihihi!
Mr.Peterson regarda sa main, elle prenait une teint de de bois, ses doigts se crochetaient. Il sentit son cœur ralentir, s'arrêter. Une douleur énorme le parcourait dans tout le corps, comme une énorme crampe. Puis sa vision se brouilla, ses bras se crispèrent, et son visage se figea dans un rictus de douleur et d'affolement, puis il ne bougea plus.
-Je vous l'avez dit Monsieur. Il était trop vieux...
-Oh, lâchez moi! Je lui ait rendu service en épongeant ces dettes. Hein, vielle branche! Hihihi!
Le coup de pied que fit la personne masqué sur loe cadavre de James résonna comme dans un arbre creux.



C'est dans l'angoisse, et dans le sous sol du fameux bar, La Petite Chacripane que toute la fine équipe attendait.
En effet, Yuri le tenancier du bar avait prit la place de Sarah pour ravitailler le groupe. En effet, selon lui, des bérets pourpres tenait la ville et maintenait une forte quarantaine autour de Méanville.
Tout de suite, ils avaient pensé à Archi et Cénia censé leur prêter main forte. Mais un appel de Cénia leur avait confirmé qu'ils avaient bel et bien passé les barrages. Pour l'instant, la bonne nouvelle était que Bianca se remettait petit à petit de sa blessure. Et elle arrivait désormais à se nourrir seule.
Le sous-sol qui leur servait de pièce de vie était constitué d'une seul salle de 20 mètres carrés. Des matelas sur le sol, bourrés d'humidité, leur tenait lieu de lit, et une ampoule au plafond éclairait tout ça, dévoilant les rang de moisissures verdâtres et nauséabonds, qui jonchaient les murs. Une table en bois, et des chaises de plastiques leur permettaient de se retrouver tous ensemble sans trop se grimper les uns sur les autres. Étrangement, un flipper s'y trouvait, au grand bonheur de marcus. Quant aux sanitaires, un paravent, et un trou vers les canalisations faisait l'affaire. Tout le monde s'accommoder de cette situation, vu le danger qui les attendez dehors, enfin, presque tout le monde...

-J'en ai marre, j'ai l'impression d'être Anne Frank!
-Du calme Marcus, au moins de dans on est en vie, tandis que si tu sors ton gros orteil de hors...
-Ouais je sais, plus de gros orteil...tu m'expliquera en quoi c'est différent d'Anne Frank Chrome!
-Je suis d'accord avec Marcus pour une fois, il faut agir!
-Du calme Sarah! Essayer tous de vous calmez!! C'est déjà assez pénible comme ça! On agira lorsque Richard sera prêt, et que Bianca ira mieux! C'est clair?!
Sarah et Marcus capitulèrent face à Chrome. Ce dernier avait les marques de la fatigue et du stress peintes sur son visage. La destruction de la Coalition l'avait mis à terre, et difficile de se relever d'un coup pareil. Mais il refusait d'y penser pour l'instant.
Un peu à l'écart, Richard était concentré, à bricoler de la verrerie trouvée par Yuri, pour faire un laboratoire de fortune. Cela semblait peine perdue, tellement l'ensemble de tesson, de bouteille, et de tuyau scotché maladroitement était ridicule. Mais il ne perdait pas espoir. Et plus Bianca allait mieux, plus Richard se sentait prêt à se battre pour sortir d'ici, et se venger.
Ses yeux restaient désormais toujours bleu. Toujours concentré au maximum, ne parlant que par murmures et divagation, et mangeant du bout des lèvres. Tout son esprit était concentré sur un objectif.
Soudain il tourna la tête, en entendant la lourde porte du sous-sol tourné sur ses gonds. Yuri apparut, les bras chargés de victuailles, et d'autres choses. Mais à peine eut-il franchit le seuil que Richard était sur lui.
-Tu as ce que j'ai demandé?
-Un peu mieux même...Répondis le cousin de Nikolaï, un étrange sourire au lèvres. Posant tout son fourbi sur la table, il sortit d'une des poches en plastiques, une fiole, que personne ici n'avait depuis bien longtemps.
-Mais c'est...commença Marcus...
-Du GOL12...
Malgré la stature imposante de Yuri, Chrome n'hésita pas à le choper au col.
-Où as tu trouver ça? Où?!!
Sans dire un mot, Yuri désigna du doigt la porte. Une personne s'y trouvait. Un homme, la trentaine, des cheveux d'un noir profond coiffé en une coupe dynamique, et une peau pâle. Vêtu d'un costard usé et déchiré un peu partout, il n'en dégageait pas moins une aura de prestance.
-Salut la compagnie! Finit par dire l'inconnu.
A peine eut-il finit sa phrase, que Chrome était sur lui, le bourrant le visage de coup de poing, écumant de rage.
-SALAUD! TOUT CA C'EST DE TA FAUTE!
Nikolaï releva son patron, et l'éloigna de l'inconnu. Ce dernier, avait le nez éclaté, et une lèvre ouverte. Marcus, qui avait regardé la scène avec amusement demanda:
-Vous vous connaissez.
-en quelque sorte...dis leur Chrome. Répondis l'homme, en s'essuyant le sang qui dégoulinait d'un revers de manche.


35...36...37...
Chrome VonFaust finissait de compter les marches qui le menait à l'imposant bureau. Légèrement stressé d'être convoqué à une telle réunion pour la première fois, compter les marches l'avait relaxé.
37? Un nombre premier...unique...
Cela faisait à peine trois jour qu'il avait succéder à son père à la tête de la Coalition, qu'il était déjà convoqué chez le directeur. Et le directeur du directeur de la Coalition bah...c'est juste le type le plus puissant du pays...
Chrome déglutit une dernière fois, avant de frappe à la porte. Cette dernière s'ouvrit peu après, comme par magie...finissant de mettre Chrome mal à l'aise.
La salle était un bureau un peu rétro, rempli de bouquin jamais lu, et de tapis jamais foulés. Un bureau présidentiel quoi, mais avec une ambiance, une aura lugubre, à l'image de son occupant. Le président Shadow, qui, à l'époque, venait de se faire ré-ré-élire, avait tout de la tête du type qu'on a pas envie de croisé dans la rue. Teint pâles, yeux perçants, sourire crispés. Intérieurement, Chrome se demanda comment un tel personnage pouvait se faire élire, une troisième fois...par magie sans doute...
Shadow était justement dans une discussion animé avec un jeune homme, un peu plus âgé que Chrome. Assis dans un fauteuil, il lui tournait le dos. Mais Chrome pouvait discerné ses cheveux de jais. Le hic, c'est que la réunion était censée se déroulait « seul à seul », à quoi tout cela rimait?
Visiblement, l'autre type n'était pas non plus au courant, car quand ils remarquèrent la présence de Chrome, son visage semblait crier: « mais qu'est ce qu'il fout là celui-là? ».
Shadow sourit, un sourire à vous glacer le sang, et commença à leur expliquer.
- Bon, les jeunes, je n'irais pas par 4 chemins, mais vous allez me remplacez.
Choc. Chrome prit vite un fauteuil, sentant la tête lui tourner.
-Holà du calme! Officiellement je reste le président. Mais vous, vous allez me faire toutes les petites affaires. Bref, à moi le champagne, les mondanités tout ça tout ça, à vous les corvées. Vu?
Les deux jeune gens se regardèrent effarés.
-Oups, j'en oublie les formalités! l'agent Parker, voici Chrome VonFaust, nouveau directeur de la Coalition, Chrome VonFaust, voici l'agent Parker, promu récemment nouveau directeur de l'Agence de Sécurité et de Surveillance Gouvernementale. Maintenant, cassez vous, vous tronches me donnent la gerbe...allez, ouste!

Dès lors, Parker et moi nous ne somme plus jamais vu directement. Cependant, nos deux organismes travaillaient régulièrement de concert. L'A.S.S.G nous demandait des informations confidentiel, et nous n'avions pas d'autres choix que d'obtempérer, c'est pourquoi, j'ai appris à m'en méfier...


-...Et là, ce connard de Parker ose se ramener avec du GOL12?! L'arme la plus destructrice qu'il n'y est jamais eut!
-Du calme Chrome, reprit Richard, ceci est une aubaine pour moi, pour comprendre comment ils ont réussit à transformer mon produit en un espèce de mutagène pour X-men...Parker tombe à pic.
-Tu vois, je tombe à pic! Reprit Parker.
-Ta gueule quand même...Finit Chrome.

Richard alors se décida à se mettre au travaille, séquestrant les précieuses fioles, ainsi que l'ordinateur portable, que Yuri lui avait ramené cette fois-ci. En c'est temps d'anarchie, le pillage était courant, et un tel engin technologique n'avait pas coûté grand chose à Yuri.
-J'aimerais savoir comment vous...vous les avez...eut...patron...Fit Bianca, au prix d'un douloureux effort.
-Déjà, ne m'appelle plus patron, plus de président l'A.S.S.G a été carrément dissoute...
-Bien fait! Fit Chrome
-Quant au GOL12, il s'agit d'une très vielle pièce à conviction, qui date de notre surveillance de la Goland.corp. Rien à voir avec le meurtre de votre agent.

Le groupe tenta tant bien que mal de caser ce nouvel arrivant dans leur cachette, mais déjà, qu'ils étaient entassé, l'atmosphère n'en devint que plus électrique. Il fallait que Richard leur trouve une des clés dont il avait le secret...et vite.


Je flotte...pourquoi, je ne sais pas...qu'elle importance d'ailleurs? Je flotte, c'est tout. Je ne me noie pas, je ne respire même pas, mais je flotte. C'est assez sympathique en fait de flotter. Un peu chiant aussi...

...3...on dégage!

Tiens, une vague...Je chancèle, puis je re-flotte. J'ai mal aussi. A la poitrine. Laissez moi flotter...

1...2...3...on dégage!

Ouch! Encore une vague, cette fois je suis renversée. Au fond, il y a de la lumière, c'est bizarre...mais laissez moi flotter...

Encore! A 90, à 3, 1...2...3 on dégage!

Non...cette fois je suis aspiré...j'ai mal...j'entends...ma poitrine me fait mal...ma tête me fait mal...je ne flotte plus, je suis sur un lit...je...je...

Deux yeux d'un gris métalliques s'ouvrirent. Le visage rassuré et le bip bip continu des machines informa Cynthia qu'elle se trouvait dans un Hôpital. Mais qu'est-ce qu'elle avait mal...mais les souvenirs suivirent la douleur. Et c'est une pensée envers la trahison d'Agris qui lui coutèrent une larme.
Soudain, une sensation étrange l'envahit, et elle se surpris à retirer son masque à oxygène, pour vomir de l'eau au sol.
-C'est normal, fit une voix connue, à ses côtés.
Elle se tourna, à son chevet, se tenait Hector, le majordome. Ses cernes et son visage fatigué témoignait de son ancienne inquiétude qui petit à petit se transformait en soulagement.
-Hector? Co...comment?
-Je n'ai fais qu'appeler les secours en vous trouvant sur le sol. Vous devez la vie à votre Millobellus, son attaque Anneau Hydro vous a fait flotter ensemble dans un espèce de liquide amniotique. C'est pour ça que vous crachez de l'eau.
-Ch...Chrome...
-Je viens à peine de l'appeler, il a dit que le nom de votre ami lui rappelait quelque chose. Et qu'il était soulager par votre reprise de conscience. Visiblement, il est coincé à Méanville. Maintenant dormez, vous en avez besoin.