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The Free Investigation de Armadragon



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» Auteur : Armadragon - Voir le profil
» Créé le 25/06/2013 à 14:46
» Dernière mise à jour le 25/06/2013 à 14:59

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[5] Dans la police!
[Quartier général de la Coalition]

Marcus Ireau, vagabondait dans les couloirs, un gobelet de café dans chaque mains. Sarah, était légèrement dopée à la caféine, et elle l'avait nommée au « ravitaillement ». Marcus aimait bien cette nouvelle aventure, surtout que Sarah l'amusait bien, avec son franc parlé, mais le cœur n'y était pas...
Depuis que Chrome avait renvoyé Richard, tout semblait fade à Marcus. Ces deux là étaient inséparables, et Marcus ne savait plus trop quoi pensé.
D'un côté, il voulait mettre une grosse baffe dans la tête de Chrome. Hiérarchie ou pas, une décision aussi grotesque ne devait pas restée impunie. D'un autre côté, il se sentait trahit par Richard, qui avait recueillit N°16. D'ailleurs, Richard était devenu très différent depuis qu'il avait consommé lui même le fameux GOL12
Marcus soupira, tous cela était du passé, et maintenant, il devait se concentrer sur une nouvelle mission, avec ou sans Richard. Il rentra dans le bureau de Sarah, posant les deux cafés sur le bureau de celle-ci.
-Tu bosses toujours aussi dur? Lui demanda t'il.
Pour toute réponse,Sarah prit son gobelet de café, en tira une petite gorgée, et recommença à pianoter frénétiquement.
-Je vois...Dit Marcus d'un ton las.
Sarah bossait depuis maintenant 3 heures, et il devait être autour de 22h30. Les yeux exorbités de la jeune femmes ne quittaient pas son écran depuis tout ce temps...il ne clignaient même plus...
Tout ça avait pour but de rassembler des informations sur le suspect N°1, Bianca Peterson. Une parfaite inconnue, que seul Marcus avait vu. Enfin, c'était principalement Chrome qui la suspectait, lui restait un peu sceptique vis à vis d'un tel jugement. Mais bon les faits étaient là, et c'était leur seule piste...
Il avait essayé d'interroger son frère, le vieux James Peterson, mais il sembla à Marcus que le vieux perdait un peu la carte, et qu'il n'en tirerait rien de probant. Sarah quant à elle ne trouvait rien de très intéressant. Cette Bianca était un vrai fantôme, rien ne la concernant n'était sur le net, mais Sarah continuait de fouiller.
Marcus commença alors à observer le bureaux qu'on leur avait assigné. Il était assez spacieux, et des meubles en bois massifs, accompagnés de fauteuils en cuir, donnait une impression de luxe. La lumière émanait d'un néon. En effet, le quartier général étant situé sous-terre, il est dur d'obtenir la lumière du soleil. Mais cela ne dérangeait pas trop Marcus, il avait un côté « taupe ».
L'ordinateur de Sarah semblait en proie à divers soubresauts, tellement sa propriétaire s'excitait dessus. Soudain son œil fut attiré par un petit objet étrange. Il était oblong, et mesurait à peine 5 centimètres. Curieux de nature, il demanda à sa collègue:
-Qu'est-ce que c'est?
Sarah mit un certain temps avant de comprendre qu'il s'adressait à elle. Elle jeta un petit coup d'œil à l'objet en question et répondit simplement.
-Oh, c'est une clé USB, qui comporte toutes les informations que contenait le bâtiment de la Devon.SARL avant que celui-ci n'explose.
Elle recommença à pianoter sur son ordinateur, puis s'arrêta subitement. Marcus la regarda d'un air dubitatif.
-Me dit pas que tu n'y as toujours pas regardé Sarah...
Devant l'air gêné de cette dernière, il ne put s'empêcher d'éclater de rire. Décidément, les grosses bourdes n'étaient pas réservées aux autres.
-Je crois que nous devrions y jeter un œil alors. Fit il entre deux éclats de rire;

...
[Port Yoneuve, Hangars frigorifiques]

Le lendemain matin, le soleil brillait fort sur Port Yoneuve. L'eau de la mer reflétait les rayons de soleil, donnant à la ville une apparence encore plus brillant. Une jeep s'arrêta devant l'un des hangars. Ce dernier était entouré par un cordon de police jaune, et toute une troupe de forces de l'ordre inspectait le corps de Michel Hecman gisant par terre.
De la jeep venant de s'arrêter, sortit Archibalde et Cénia. Archi, s'empressa de mettre ses lunettes de soleil, face aux durs rayons solaires. Il afficha un petit sourire satisfait en s'apercevant dans le rétroviseur de la jeep. Ces lunettes lui allait décidément très bien.
-Hey! Archi, tu as finit de t'admirer?
Il suivit sa coéquipière en souriant. Peu après avoir passé le ruban jaune de sécurité. L'agent Jenny vint les voir:
-Désolé messieurs dames, mais cette zone est interdite au public...
Elle arrêta son discours bateaux, face aux deux cartes de membre de la Coalition. Étant une officier, l'agent Jenny connaissait cette organisation...du moins en partie. Ils passèrent sous le ruban de sécurité et l'agent de police leur décrivit la scène:
-Meurtre par balle. En pleine poitrine. Il a eut le temps de se relever et de tirer avec son fusil de service.
-Le mobile? Demanda Archibalde.
-On a trouvé des traces de pneus, elles venaient d'une camionnette apparemment. Ils ont surement emporté le contenu du hangar.
-Vous avez des pièces à convictions? Demanda Cénia.
La policière grinça des dents, elle connaissait la suite.
-Oui, vous allez les emporter je suppose?
-En effet. Continua Archibalde.
L'agent Jenny grimaça. Elle n'aimait pas ces agents gouvernementaux qui ratissait toute les informations de telles ou telles enquêtes. Elle ne se laisserait surement pas faire.
-Vous les aurez, à condition que vous me suiviez au commissariat de Port Yoneuve.
-Vous croyez que vous êtes en état de nous donner des ordres? Vous êtes qu'une...
Archibalde attrapa le bras de Cénia à temps, et répondit plus posément.
-Nous avons une petite heure à vous accorder, agent Jenny.
Cette dernière, souris, satisfaite de la décisions prise par les deux agents. Elle aurait ses réponses.

Dans leur Jeep, sur la route du commissariat, Cénia foudroya Archibalde de reproches.
-Tu peux m'expliquer pourquoi on lui obéit? Cela retarde l'enquête.
-Premièrement, ça ne retarde en rien l'enquête au point où on en est. Deuxièmement si elle nous amène là-bas, c'est qu'elle à des choses à nous dire.
-Et troisièmement?
-Troisièmement, tu viens de griller un stop, et quand on suit une voiture de police, ça fait vilain.
-M'en fout.

...
[Quartier général de la Coalition]
Les deux travailleurs acharnés, Sarah et Marcus maintenait leurs yeux fatigués sur l'écran d'ordinateur. Toute la nuit, Sarah avait essayé de craquer le code. Et, à la grand surprise de celle-ci, Marcus se révéla une véritable mine d'idée pour contourner le pare-feu. Ce dernier les empêchait d'accéder aux informations si cruciales pour cette enquête. Mais il ne voulait pas lâcher pour l'instant.
-C'est incroyable! Fit Sarah On dirait que le système de cryptage mute à chaque fois que l'on rentre un proposition erronée. On est obligé de connaître directement la clé du code, sans avoir travaillé dessus, c'est prodigieux. Tout ce travail pour aboutie à une telle conclusion...
-Hum...fit Marcus à moitié endormit.
-Hey, c'est pas le moment de flancher, j'ai besoin de toi! Fit Sarah en le secouant en peu.
Marcus finit par se remettre d'aplomb. Rehaussant ses petites lunettes bleutées, il examina longuement la situation.
-Tu dit qu'il change à chaque fois que l'on rentre une proposition erronée...
-Oui, c'est ça...Je vois pas comment faire pour trouver la bonne solution dans ce cas là...
-J'ai ma petite idée.
Le visage de Sarah s'illumina subitement, incitant Marcus à continuer:
-Si, à l'aide d'un programme extérieur, on rentre une grande quantité de fausse proposition. Le système sera obligé de les prendre toutes en compte pour muter à chaque nouvelle proposition; avec un peu de chance, le système de protection buggera à mort, et l'on pourra récupérer toutes les informations.
Sarah le regarda estomaquée avant de le serrer dans ses bras.
-Ahah! Tu es génial Marcus je n'y aurais jamais pensé. Comment tu fais pour trouver ça comme ça?
-Je dirais, que c'est dût à la caféine et au manque de sommeil.
Sarah commença à desserrer son étreinte, puis se mit au travail.
-On va y arriver ! Fit elle, le sourire aux lèvres.

...

[Joliberges, hôtel du centre ville]

Cynthia s'étira en baillant. La petite chambre de l'hôtel où elle avait passé la nuit s'était retrouvée très confortable. Elle inspecta les lieux de ses yeux endormis.
De fins rideaux blancs laissaient passer quelques traits lumineux, illuminant les murs blancs qui entouraient la championne. Les seuls meubles était une armoire et le lit, lui aussi recouvert de draps blancs. Cynthia finit par s'apercevoir qu'elle aussi était assortit à la pièce, dans sa nuisette blanche, elle aussi. Elle se leva et commença à se changer.

Une fois à l'extérieur, elle prit le petit déjeuner proposé par l'hôtel. Une vielle télévision parlait toute seule.
«Le président Shadow, a annoncé aujourd'hui, qu'il présenterait bientôt sa démission. Tout son parti est en émoi face à cette décision, qui semble pour l'instant irréfléchie. L'opposition même n'y croit pas en évoquant je cite : « un coup de bluff pour essayer de se maintenir sur son trône ». En parallèles, les manifestations de protestations politique continuent d'ébranler la région de Hoenn.  »
Cynthia n'écoutait pas ces informations qu'elle jugeait triviales. Étant donné qu'elle connaît la majeure partie des informations confidentielles du pays, les médias et leurs pseudo-scandales la faisait gentiment sourire. Cependant, jamais elle n'avait entendu parler d'une telle décision politique...
Effaçant toutes ces petites affaires de son esprit, elle régla la chambre, et se dirigea vers la bibliothèque de Joliberges.
Dans les rues, l'imposant bâtiment culturel détonait face aux petites maisons des alentours. Au loin, Cynthia entendait la corne des cargos-transporteurs sortir du port. La brise marine lui chatouillait le nez. Elle s'arrêta un instant, savourant la bise de l'aurore, le cris des goélises, et le souffle des embruns. Puis, elle continua sa route vers la bibliothèque.
Cette dernière était composé de multiples style architecturaux différents. Elle datait du IX°s, quand le Duc de Charbourg, fit construire une université à Joliberges, pour disséminé le culte d'Arceus via le port. Cette université fut ensuite agrandie et utilisée comme pôle majeur du savoir, vers le XV°s, où la première dynastie du pouvoir en Esternie mit fin aux guerres entre régions. Mais lors des révoltes contre l'empereur de la dynastie des Éthers, au XIX°s, le nouveau pouvoir en place fit détruire l'université, considéré comme un symbole de l'impérialisme. Aujourd'hui, seule la bibliothèque a survécu, et elle possède la plus grande collection d'œuvres mythologiques. D'où l'intérêt de Cynthia envers ce lieu.
Elle n'en oubli ait d'ailleurs pas son objectif initial, découvrir la raison du réveil de cette statuette. En effet, elle les possédaient depuis très longtemps, comme simple objet décoratif, mais là, elle avait découvert qu'il s'agissait d'authentiques artéfacts. Elle les possédaient toutes..sauf deux, celles de Latias et Latios.
Elle cherchait aussi la véritable signification de ces vers:
Vilii regis uni can
Condlol tella, mella, cian.
Sinekwanon craz impalâte,
Homo simpli peltla la tâte.

Était-ce une prophétie? Une nouvelle légende? Ou bien un texte sans importance...
Coupant court à ses réflexions, elle entrait dans la bibliothèque, ce vaste lieu s'étendait sur deux étages, le premier, et le rez-de chaussé destinés au tout public, le second avec les écrits antiques. Ce dernier étage n'était accessible qu'avec l'accord du responsable bibliothécaire, même lorsque l'on est la maîtresse de Sinnoh.
Elle se dirigea donc vers un vieil homme au cheveux blanc et effilés. Deux grosse lunettes carrées encadraient son sourire jovial. Il semblait être absorbé par son livre s'intitulant « Cinquante nuances de Kyurem ». Il ne remarqua même pas Cynthia, cette dernière impatiente, toussa bruyamment pour le faire réagir, et il tomba alors de sa chaise. Tous les lecteurs autour d'eux les regardèrent d'un air courroucé en leur envoyant des « Chut! » à répétitions.
Une fois le vieil homme remit sur ses pieds, Cynthia remarqua sur son badge le nom de « G.Ireau », il devait surement être de la famille de Marcus, ce qui expliquait son attitude déconcertante.
-Je peux faire quelque chose pour vous Mâdââme je-tousse-comme-un-Brouabam?
Pour toute réponse, elle désigna le plafond.
-Le second étage? -Reprit-il- Ces très rare deux personnes là-haut le même jour...mais bon, je vais vous laisser y aller, vous me semblait pas être une kamikaze...

Il sortit alors un trousseau de clés, et ouvrit une lourde porte blindée, conduisant à un escalier. Cynthia le remercia et gravit les marches, la mena jusqu'au second étage. Apparemment une autre personne se trouvait là-haut. Elle était curieuse de savoir de qui il s'agissait.
Une fois arrivée, elle ne fut que trop surprise de voir la personne en face d'elle.

...

[Port Yoneuve-Commissariat]
-Allez y, entrez dans mon bureau.
Archiblade et Cénia, pénétrèrent dans le bureau de l'agent de police. Ils s'assirent sur les deux chaises en face du petit bureau en bois. Ce bureau était minuscule, par rapport à ceux qu'ils connaissaient dans la Coalition. Et la seule décoration, était le diplôme d'agent de police décerné à l'agent Jenny, encadré, et accroché sur un mur.
Archibalde ne put s'empêcher de regarder avec envie les jambes gracieuses de l'agent Jenny. Cela n'échappa pas à Cénia, qui le reprit d'un coup de Coude dans l'estomac.
-Ça va pas?!! Émit faiblement Archibalde la respiration coupée.
Il se remit remit rapidement. Et l'agent vint finalement s'asseoir en face d'eux, après avoir fermé son bureau à double tour.
-Je vous écoute! Leur fit-elle.
-Que voulez vous savoir? Fit Archiblade d'une voix encore un peu éteinte.
-Ce que contenait ce hangar tout d'abord, et ensuite, qui était exactement Michel Hecman.
Archibalde sa collègue se regardèrent. Archibalde accusa le regard froid de Cénia signifiant clairement « Dis lui ce qui te fais envie, moi j'en ai ma claque »
Il soupira, décidément Cénia avait vraiment un caractère de chiottes.
-Ce hangar contenait...de dangereuses armes chimiques, dont notre agence en assurait la garde avec l'aide d'agents auxiliaires tel que Michel Hecman.
L'agent Jenny hocha pensivement la tête avant de dire.
-Décidément, vous les fédéraux vous êtes vraiment plus abrutis que vous en avez l'air...
En une fraction de seconde, Cénia se jeta sur elle. Dans un ultime réflexe, l'agent Jenny sauta de sa chaise. Archibalde retenait Cénia qui tendait les mains vers la policière d'un aire féroce.
-LACHE MOI ARCHI, JE VAIS L'ECORCHEE VIVE!!!

Quelques minutes plus tard, cinq agents de sécurités la maitrisèrent pour l'envoyer dans une petite cellule. Cénia attendit ainsi une bonne dizaine de minutes. Quand la porte du bureau se rouvrit, et Archibalde en sortit légèrement décoiffé, avec sa chemise un peu entrouverte.
Il demanda à ce que Cénia soit libérée, puis, ils revinrent dans la Jeep, pour discuter au calme.
-Pourquoi tu lui as sauter dessus comme ça Cénia??
-Elles nous a insultés!
-C'est pas une raison! Un peu plus, et on serait repartit bredouille.
Cénia scruta l'accoutrement débraillé de son collègue.
-Hum...je vois que tu as sut te montrer persuasif...
-Oui, fit Archibalde rougissant légèrement, ils ont retrouvé un gant de l'assassin. Il semblerait qu'il l'ait enlevé après que Michel ne lui ait tiré dans la main...
-Viens en au fait.
-Grâce au sang de l'assassin, ils ont eut un échantillon d'ADN, malheureusement, il a trop était endommagé par le pluie pour identifié clairement le tueur, mais une chose est sûre...
-Laquelle?
Archibalde déglutit avant de révéler son information cruciale.
-L'assassin de Michel Hecman était un homme...Bianca Peterson est donc innocente







*BONUS*
L'auteur de cette fanfic regrette de ne pas avoir posté plus tôt, il espère se faire pardonné auprès de vous, cher lecteur, par cette séquence bonus..
Toi, petit enfant pur et innocent qui lit ces lignes, ne va pas plus loin. Ce qui suit est une parodie plus que satirique d'une de tes chansons favorites.Je tiens aussi à dire que ce qui suit n'a STRICTEMENT AUCUN RAPPORT AVEC LA FIC EN DEHORS DU CONTEXTE, C'EST JUSTE UN BONUS. Et de plus, ceci s'inspire de personnage de jeu vidéo, toute ressemblance avec des personnages réels serait purement fortuite.



[Commissariat de Port-Yoneuve]

L'agent Jenny hésite à rejoindre la Coalition depuis son rapprochement « mouvementée » avec Archi
Sur cet air là

[Sébastien (le commissaire adjoint: un black au fort accent de la Nouvelle-Orléans)] - Jenny, écoute-moi !
- Chez ces pauvres types, c'est la pagaille !
- Faire notre boulot
- C'est bien mieux que la vie qu'ont les fédéraux !
[Sébastien] Le gazon est toujours plus vert
Dans le jardin d'à côté
Toi t'aimerais bien changé d'air
En te faisant mutée!

[Sébastien] Regarde comme on mène la belle vie
Dans ce commissariat.
Ici tous les flics sont pourris,
Alors pourquoi partir Là-bas?

[Sébastien] Dans la police, dans le police
Vraiment c'est bien mieux,
On fait ce qu'on veut,
Dans la police.

[Sébastien] Là-haut, ils bossent toute la journée,
Esclavagés et prisonniers,
Pendant qu'on se tasse,
Comme des feignasses,
Dans la police.

[Sébastien] Chez nous, les flics font la loi
On se chope aucune sanctions.
Là-haut, ils s'emmerdent plus d'une fois,
A bosser dans leurs sections!

[Sébastien] Leur section, faut dire, c'est bâtard
Petite faute égale grosse sanction
Sans passer par la case départ

[Un prisonnier] Tu finiras en prison !

[Sébastien] Oh non !
Dans la police, dans la police
C'est jamais d'ta faute,
Tu trouves que des potes,
Pas d'boeuf carottes.

[Sébastien] Vu que les cartels craignent la police.
On leur rackett leur canabis
C'est des pétards, pas des cigares
Dans la police!

[Choeurs de flics] Dans la police!

[Sébastien] Dans la police !

[Choeurs de flics] Dans la police!

[Sébastien] Ici c'est plus beau
Qu'chez les fédéraux, je te le dis.

[Choeurs de flics] Oui, je te le dis ! hi hi !

[Sébastien] Tu vois la veuve et l'orphelin,
On s'en balance soir et matin.
Parce-que tu vois,
On a tous les droits,
Dans la police !

[Sébastien] L'greffier a fumé
L'adjoint fume un joint
L'scientifique se pique
C'est les rois d'la nique!

[Sébastien] L'inspecteur voleur,
Lieutenant au volant,
Avec 3 grammes dans le sang.

[Sébastien] Le stagiaire prend cher
Avec l'commissaire
Le sous-brigadier
Est contrebandier

[Sébastien] Le brigadier-chef frappe les SDF
Le major a fait mort!

(Le téléphone sonne, Jenny décroche puis sort du commissariat)

[Sébastien] Ouais!
Dans la police!

[Choeurs] Dans la police!

[Sébastien] Dans la police

[Choeurs] Dans la police!

[Sébastien] Quand Giovanni ramène de l'héroïne
On est jamais clean !
On se fait du fric, çà c'est certain,
Nous, la mafia, et tous les copains !

[Sébastien] On a des tazers,
Pour les controleurs,
Dans la police !

[Sébastien] pas de diplôme de fac,
Des aphrodisiaques,
Dans la police !

[Sébastien] Prend donc un bedo,
Pour donner l' tempo,
C'est frénétique,
C'est fantastique,
On est en transe,
Faut que ça balance,
Dans la police!