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Tempreville de charkosfan



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Informations

» Auteur : charkosfan - Voir le profil
» Créé le 20/06/2012 à 15:05
» Dernière mise à jour le 20/06/2012 à 15:05

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Chapitre 2: Quand la légende devient réalité
Les éclaireurs de tout les Temprevilles avaient trouvés les points de sortis. Les bases de chaque région se communiquèrent les denrières informations. A Tempreville-Unys, on avait trouvé principalement des points de débarquement sur la plage, tandis qu'à Tempreville-Kanto, c'était plutôt en plein coeur de la forêt. Quoi qu'il en soit, chacun était prêt. Chaque Président avait défini des groupes, chacun constituant d'habitants, de Protecteurs, et de Pokémon. Il avait été décidé que le Président de Tempreville-Hoenn, le plus âgé parmi ses confrères, donne le feu vert. Ce dernier fut donné à 1h06 du matin précisément. D'un même pas, les Temprevilliens déboulèrent de toutes parts, tels des fourmis énervées. Les quelques personnes qui les virent ne vécurent pas longtemps. Les Protecteurs en avaient fait les proies de leurs armes. Un jeune garçon, qui courait vers le poste de police, s'étala par terre, et du sang coula de sa blessure. Tous continuèrent leurs chemin. Dans chaque région, chaque ville se couvraient d'humains censés avoir disparus depuis longtemps.
Les premiers services de l'armée reçurent l'alerte à 6h38. Quand ils comprirent que la même "invasion" se répétait partout, ils se dirent qu'ils avaient à faire à une autre région encore inconnue. Mais les Présidents avaient envoyés des signaux sonores qui recouvraient toute une région. Ou que l'in se trouva à ce moment là, on entendit "Citoyens de chaque régions. Nous sommes les Temprevilliens. Aujourd'hui, il est temps de vous montrer que nous n'avons pas sombré dans l'océan! Vous nous avaient ignorés pendant tant d'années. Nous avons été humiliés, abandonnés à notre propre sort. Puis totalement oubliés. Désormais, nous crions vengeance. Ne tentez pas de vous défendre. Vous perdrez. Si vous fuyez, nous vous retrouverons. Si vous vous soumettez, le pardon sera accepté. Si vous rejoignez nos rangs, vos familles seront protégées. A vous de choisir votre avenir".
L'armée elle-même tremblait. Pourtant, on envoya les militaires de toutes part. Dans les bases, ils s'équipèrent des meilleurs armes, n'étant pas encore au courant de l'avancée technologique de leur ennemis. l'armée de terre, l'armée de l'air, et même l'armée maritime pour les côtes prirent part au combat. Aux radios, on pria les citoyens de se cloîtrer chez eux. On venait chercher les gens et on les cachaient, pour ne pas que les Temprevilliens les trouvent. Tous avaient peur: la légende, celle qu'ils avaient tous entendus sans jamais y faire attention, était belle et bien réelle. Tempreville existait toujours. Ils ne savaient pas comment, par quels moyens ils ont pû vivre sans que personne ne les trouvent, mais ils ont réussi. et ils sont revenus se venger contre ceux qui les avaient jusque là ignoré. Baptiste, le petit garçon, comprit ce qu'ils avaient entendus quelques jours avant. C'était eux, qui se préparaient. Et il n'avait pas su les en empêcher. Serrant très fort son Goupix contre lui, il jura qu'il essaira de protéger sa famille. Partout, les petits garçons de 10 ans se terraient, apeurés, pleurants. Mais pas lui. Lui, il se sentait responsable. Il avait le pressentiment que la guerre qui s'était déclenchée ne finirait pas de sitôt. Qu'elle durerait des années entières. Allongés dans un lit, au fond d'une cave dont l'entrée était cachée, il n'arrivait pas à dormir. Toute la nuit, il resta les yeux grands ouverts, contemplant le noir, et la petite bougie allumée sur le sol. Sa mère et son grand frère dormaient à côté de lui. Et la nuit passa, alors que le bruit des armes couvrait le silence habituel.
La guerre avait été déclarée.