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The Free Leek de Armadragon



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» Auteur : Armadragon - Voir le profil
» Créé le 07/02/2012 à 20:05
» Dernière mise à jour le 07/02/2012 à 20:05

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Sentiments de poireaux
N°16 vaquait à ses occupations de dictateur. Outre divers massacres exécutés dans la joie et l'allégresse comme le veut l'ordre publique, il se devait de visiter les exploitations de ses habitants, histoire de voir si les bases de sa nouvelle société seraient solides. Ainsi, fut rapidement adoptée au sein de Sixteenpolis, une monnaie, à l'effigie de N°16, et un marché était constamment sur la place centrale, de jour comme de nuit. Bien entendu, comme toutes sociétés qui se respectent, les canards les plus dépravés se cachaient, dans des quartiers de la cité, qui devinrent mal famés. La plus grosse crainte de N°16, était qu'ils deviennent comme leur prédécesseurs humains. Mais bon, pour l'instant tout allait pour le mieux. Il passa avec sa garde rapprochée devant un champ de poireaux où des laboureurs labouraient, devant sa statue que des sculpteurs sculptaient, et devant des mendiant qui mendiaient en tendant vainement leur ailes pour une ou deux pièces. Bref, comme tout autres sociétés. Mais une chose tracassait le dirigeant, et ça se voyait:
-Quelque chose ne va pas maître?
-Si si Vernak, mais...
-Mais?
-N'interrompt plus mes phrases veux tu?
-Désolé.
-Bref, je disais que je suis un peu sceptique envers notre messagers.
-Que voulez vous dire?
Un mendiant un peu frustré de ne pas avoir de pièce au passage de son maître leur coupé la route. Cet acte fut qualifié de « tentative d'assassinat » par les gardes du corps, qui se donnèrent à cœur joie de plumer, et de lapider le malheureux avant de l'achever. L'incident clos, les deux canards reprirent la parole.
-Hé bien, Vernak, tu ne trouve pas un peu bizarre que le cœur de la résistance humaine ai disparu comme ça? Je serai bien tenté d'envoyer une autre charge pour être sûr.
-Mais la dernière fois, vous disiez que nous devrions économiser nos canards! Et puis ce messager avait l'ai véridique!
-Tu dois avoir raison Vernak...tu dois avoir raison...



-Hé bien, vous partez déjà!
-Et oui James, il le faut...
L'ex-professeur Keeteleria finissaient ses bagages devant le regard déçu du vieux James Peterson. Il continua:
-Et une fois parie, vous ferez quoi?
-Je vais déjà tâcher de me faire racheter auprès des miens...
Le professeur, avait repris confiance auprès de James. Le goût de la vie, il n'y avait que ça de vrai. Elle voulait se rendre au château enfoui, afin de donner des précieuse information sur la position des défenses de Sixteenpolis. Et puis Aros...elle avait une dette envers se gamin. Elle était tout ce qui lui restait comme famille. Et puis sa conscience n'en pouvait plus de son fardeau...cette action l'allégerai.


-Rien à foutre Sandra, je pars!
-Mais ils sont loin désormais! Et puis...
Marcus se retourna exaspérer, elle tentait de le retenir de rejoindre les autres, mais pour lui c'était hors de question. Il comptait bien reprendre la route même seul. Ils comptait sur lui, et il voulait absolument faire ses preuves auprès de Chrome. Il l'incita à finir sa phrase:
-Et puis quoi?!
-Hé bien je...je...
Sandra rougie légèrement, elle n'osait pas dévoiler ses sentiments envers lui, surtout qu'elle ne savait même pas ce qu'elle ressentait exactement. Était-ce de l'amour, de l'attachement de la pitié, ou tout simplement rien du tout? Elle ne finit pas sa phrase, et Marcus repartit, en lui tournant le dos, elle laissa couler une larme lorsqu'il partit dans la brume. Enfin il lui dit:
-Tu peux venir si tu veux.



Cénia regardait Richard marcher devant elle. Il discutait joyeusement avec Sarah et Archi, même si on sentait bien que l'absence de Marcus les perturbaient...tous. Cependant, Cénia songeait à tout autres choses en regardant le généticien. Elle se demandait si il se souvenait du baiser qu'elle lui avait donner lorsqu'elle avait cru le perdre lors de ses convulsions à la Coalition. Elle supposait que ce passage fut effacé de sa mémoire durant son coma. Dommage.
-Allez, on se magne le train!
Ça, c'était Chrome qui ouvrait la marche aux côtés d'Henri. Le jeune homme aux cheveux gris était doté d'un étrange enthousiasme. Et il arpentait le chemin qui serpentait entre les collines avec un tel naturel, qu'on pouvait penser qu'il était déjà venu. Et puis, il avait avec Sarah, « emprunté en toute légalité » ceux qui restait comme pognon au retranchement de résistance de Sandra, ceux qui finissait de le rendre enjoué. Devant l'injonction du dirigeant de la Coalition, Richard et Archibalde accélérèrent sans pour autant cesser leurs papotages:

-Et sinon, tu ne sortais jamais de ton bureau à la Goland.corp?
Richard se figea durant une demi seconde, farfouillant dans sa mémoire. Bien sûr que si il sortait, mais jamais sans Marcus. Repenser à son ami lui fit resurgir des souvenirs qu'il pensait perdu à jamais...


C'était l'hiver, il faisait froid, très froid, oh ça oui il faisait froid! Tellement froid, que même le mot froid n'était pas assez froid pour montrer à quel point il faisait froid...enfin bref, il faisait pas chaud. Sur la chaussée glissante marchaient deux énergumènes qui ne semblaient pas être si frigorifiés que ça. L'un d'entre eux, un barbu coupa la route de l'autre pour appuyer un discours qui lui tenait à cœur:

-Mais enfin Richard! Puisque je te dit, que les frites c'est meilleur avec du ketchup!!
Richard Enson haussa les épaules, il n'était pas d'accord avec son ami, et estimait que le paprika était bien plus adapté à ces pommes de terres frites. Ils continuèrent leur discussion tout en marchant. Bien entendu, comme chacun le sait, lors d'une discussions, et plus particulièrement les discussions sur la gastronomie à base de patates, empêchait les interlocuteurs de remarquer les obstacles devant eux. Ainsi, lorsqu'une jeune femme brune à manteau rouge vint de passer devant eux au croisement de deux rues de Doublonville, Richard ne la remarque pas et la percute de plein fouet. Elle s'étala devant les deux hommes qui restèrent bouche bée devant sa chute. Elle s'étala sur le verglas, puis tentant de se relever avant de s'étaler une nouvelle fois. Richard lui tendit une main avec un sourire gêné mêlé à un certain charme, pour se faire pardonner. Elle attrapa sa main, et Richard sentit le contact chaud du gant de velours noir. Ils se regardèrent longtemps, tandis que Marcus les observait d'un aire rieur. Richard était un cœur de canarticho, et il avait une certaine classe qui ne laissait pas indifférente, les jeunes femmes...enfin tant qu'il n'ouvre pas la bouche car il lui demanda:
-Pas trop mal au fesses?
Marcus se frappa le front devant la réplique de son ami. Connaissant Richard, il avait dit ça pour déconner encore une fois. Marcus était peut-être exubérant, mais dans le lot des joyeux drilles, Richard était pas mal non plus. Elle lui répondit en rougissant:
-Je vous demande pardon?
-Ben oui, tomber sur le verglas ça fait pas du bien d'après mon expérience.
-Je vous remercie mais sa va.
-Excusez mon ami; fit Marcus pour se faire bien voir de la donzelle; il sort de l'asile psychiatrique, alors il est un peu déboussolé.
Richard eut du mal a gardé son sang froid, mais joua le jeu du fou sortit de l'asile et dit:
-Déboussoquoi?
-Déboussolé, allez viens faut prendre tes médicaments. Fit Marcus en tirant Richard par la manche. En passant la jeune glissa à l'oreille de Marcus:
-Vous êtes bien brave de supporté un tel taré.
-Oh oui, c'est pas facile tout les jours.
Les deux hommes s'éloignèrent jusqu'à un bar où ils attendirent que la demoiselle soit hors de vue, avant d'éclater de rire. Le barman, les pris alors pour des fous, et se dit intérieurement que ça devait être encore des maudits consommateurs de thé.

Alors que la nuit tombait, ils s'arrêtèrent acheter des sandwich, et les mangèrent en s'allongeant dans l'herbe. Au dessus d'eux, un dirigeable publicitaire affichait:
« Entreprise ZenoNo, pour un monde plus beau »
-Pffff...une entreprise avec un nom pareil ça s'invente pas fit Marcus.
-Ben moi, si je dois quitté la Goland.corp, j'irais bien bossé là-bas. Juste parce-que je trouve le nom marrant. Continua Richard
-Et moi, fit Marcus je te rendrais visite pour me foutre de toi.
Ils rirent comme des fous...ou des consommateurs de thé, ça dépends. Et Richard savourait ce moment. C'était des moments comme ça qui donnait le goût de la vie.


Maintenant, Richard n'avait plus goût de rien. Il faisait cette mission par devoir. Et encore, était-ce la bonne décision que de détruire cette nouvelle civilisation? Il en doutait de plus en plus désormais. Surtout depuis le départ de Marcus. Maintenant, rein ne le retenait ici. Archibalde et Cénia s'arrêtèrent soudainement. Chrome, qui avait déjà bossé pas mal de temps avec eux hurla:
-A terre!!
Ils se couchèrent tous à plats ventre. Et ils comprirent vite la raison de l'alerte, car un ultralaser leur passa au-dessus de la tête. Archibalde et Cénia se mirent en position de combat, Cénia envoya Airmure et Archibalde Mr. Mime, et ils attendirent l'attaque. Les autre quant à eux s'écartèrent de là, pour leur laisser le champ libre. Quand soudain il apparut. C'était un Monaflemit mâle, mais ses yeux étaient injectés de sang. De plus il ne semblait pas du tout enclin a dormir. Airmur entama une attaque Pique, tandis que son acolyte psy le protégeais avec un mur lumière. Mais le gorille utilisa Marto-Poing sur le Mime, ce qui lui fêla la boîte crânienne. Du sang du pokémon se répandis au sol tandis qu'Archibalde se jetait vers lui pour le protéger d'un coup fatal. Ensuite, le singe géant attrapa l'oiseau de fer alors qu'il allait l'attaquer et les jeta violemment au sol. Il n'en fut que K.O, Archibalde envoya son Dracaufeu, qui tenta tant bien que mal de carbonisé la bête, sans succès. Le dragon subit le même sort qu'Airmure. Archibalde ne comprenait pas, il avait appris que ce pokémon très fainéant n'attaquait que une fois sur deux, et heureusement car il avait des stats d'attaque incroyables. Mais celui-ci était tout sauf calme. Ils n'avait plus aucune défense, et il était hors de question d'utiliser les pokémons de son père. Il regarda Cénia, échangèrent un regard, et prirent la fuite, très vite suivis par les autres.
-Ce pokémon n'est pas dans son état normal! Hurla Archibalde tout en se baissant pour éviter un Ultralaser.
Soudain, le chemin devant eux devint plus large. Ils se positionnèrent pour pouvoir encercler le Monaflemit. Dégainant leur Electro-gun, ils attendirent l'arrivée du géant. Ce dernier s'arrêta un moment. Et scruta les humains se demandant lequel serait le plus amusant à balancer par terre. Il jeta son dévolu sur Richard. Ce dernier leva son arme et visa la tête du gorille, mais son doigt hésitait à tirer sur la gâchette. Sous l'effet du stress, ses yeux devinrent bleu et il pensa:
-« Qui suis-je? Dois-je vraiment prendre le parti de l'humanité? Je ne suis même pas humain après tout. Je suis...je suis...un monstre. Un monstre de la même espèce que les canartichos. Un monstre voilà ce que je suis. Et si je suis une telle créature, je n'est aucune raison de tuer ce Pokémon... ».
Son hésitation leur coûta quelque précieuses secondes, pour le défendre, Henri fit barrage de son propre corps. Il se reçu le revers d'une main immense et s'envola au loin, avant de percuter violemment un arbre. Richard resta bouche bée...Henri...Henri...mort? Des larmes lui vinrent au coin des yeux. Autour de lui, le combat continuait. Après plusieurs tirs à la tête de Chrome, on s'aperçut que leurs armes avaient autant d'effet qu'une mouche sur un mur de briques. Malgré tout, le gorille se retourna et fit face à Cénia. La jeune femme lui décocha un coup de talon dans la mâchoire, malgré sa haute taille. Vexé, le macaque la prit et la jeta au sol de toutes ses forces. Elle ne se releva pas. Archibalde et Chrome regardèrent leur coéquipière, étendue au sol, inerte. Ils attendirent tout deux la mort quand soudain le géant se stoppa net. On put apercevoir un jet de sang jaillir de sa gorge tranchée. C'était Sarah, bien moins émotive que les autres, qui eut le courage de grimper au dos de la bête et de l'assassiner, proprement. D'un coup, le calme revint. Richard pleurait toutes les larmes de son corps. Son ami parti, Henri et Cénia morts. Il s'avança avec rage vers le corps du Monaflemit dont le sang s'écoulait autour de son cou. Chrome regardait la dépouille de la bête d'un air soucieux, et dit:
-Richard, le GOL 12 qui fut vaporisé peut-il troubler le comportement de ces pokémons?
-Non, le GOL 12 est fait pour un métabolisme ,d'oiseaux faisant à peine 4kg, pas un gorille géant de 4 tonnes. A moins que...
-A moins que quoi? reprit Chrome.
-A moins que quelque lui ai injecté des azymes spécifique à l'espèce.
-Gné?
-Pour faire court, ils ont fait en sorte que le GOL 12 irrite le Monaflemit et le rende très irascible. Mais il aurait fallu lui faire une injection...
Sarah Regarda un détail sur la fourrure du gorille, une plume bleue turquoise...Il volait pas pourtant...curieuse de métier, elle tira sur la « plume » , qui se révéla être une fléchettes, comme celle utilisée pour injecter les animaux à distances dans les zoos. Elle la montra au reste du groupe. Cet indice confirmait l'hypothèse de Richard, surtout que l'on pouvait remarquer que sur la partie métallique, était gravé les initiales P.B.


-Salut Cynthia...
Peter entra dans la chambre de la demoiselle. Celle-ci avait les yeux rouges à force de pleurer. Elle avait beau coup de mal à se remettre de la mort d'Axel. Peter, qui fut son ami et collègue pendant pas mal de temps s'inquiétait pour elle. Il s'assit à côté d'elle, sur le lit.
-A quel point tenait tu à Axel?
La jeune blonde sourit devant le remarque et dit:
-Je ne sais pas...beaucoup, mais seulement entant qu'ami.
-Et Chrome?
Elle fit la moue, refusant de dévoiler entièrement ses sentiments, mais devant le regard insistant de Peter, elle abdiqua:
-Lui...c'est différent...il a une certaine présence assez...impériale.
-C'est normal.
-Comment ça?
-Hé bien...vois tu son père lui à fais faire un stage chez les dracologues enfant. Il alors prit l'habitude d'arborer une certaine stature car les dragons sont exigeant un terme de dresseur.
Cynthia hocha la tête en signe d'approbation, elle-même propriétaire d'un Carchacrock, savait ce qu'il voulait dire.
-Mais je connais très bien Chrome, je fut un ami de son père, et avec l'éducation que ce gosse a eut, comment veux tu qu'ils n'est pas cette noble allure.
-Tout le monde parle de son père...et sa mère à Chrome.
Peter, haussa les épaules et fit:
-Je ne l'ai jamais vue...Mais pourquoi toutes ces questions sur son passé? Après tout, il ne reviendra surement pas.
Elle jeta un regard furax sur le dracologue. Il allait revenir! Elle...elle le sentait. Mais à la rage survint bientôt la tristesse, il ne reviendrait pas...c'était couru d'avance, même si son cœur lui disait de garder espoir, son esprit lui criait « Bon, maintenant fais comme si il était crevé et amuse toi! ». Comme pour répondre à cette voix intérieur, Peter passa une main dans les cheveux de Cynthia, caressant les multiples rubans qui les parcouraient. Il lui dit d'une voix douce:
-Accepte le Cynthia. C'est son choix. Mais ne tu ruine pas dans un deuil éperdu. Tu ne t'en remettra pas.
En disant cela, il avait rapproché son visage du sien. Cynthia regardait des ses yeux gris, le visage doux de Peter, cette chaleur humaine, au lieu des froides pensées de la mort. Elle s'approcha de lui. Il lui caressa la joue, leurs lèvres se rapprochèrent. Puis la jeune femme se ravisa. Elle ne pouvait trahir Chrome, non, elle l'attendrait.
-Je vois dit Peter en sortant.
Il ferma la porte, laissant Cynthia attendre Chrome, telle Pénélope attendant Ulysse.


-Ce n'est plus très loin maintenant.
Chrome, qui marchait devant à travers les sous bois, menait ses amis vers une destination inconnue. Car il y avait urgence. Après avoir rapidement enterré le corps de Mr. Mime, ils remarquèrent que Cénia et Henri respiraient toujours. Chrome disait connaître les lieux, et s'avançait de plus en plus dans les bois. Richard tenait dans ses bras le corps de Cénia. Tout en marchant, il regardait son visage. Ses lèvres graciles, et ses courbes magnifiques. Soudain, lui revint en mémoire une bribe de souvenirs, précédents son coma, mais surtout ce baiser. Ses yeux se nimbèrent de larmes une fois de plus, pensant à cet amour, qu'ils ne vivraient surement jamais.
-Voilà c'est là. Fit Chrome.
Devant eux se trouvait un chalet. En plein milieux des bois. De la taille d'une petite maison. C'était le lieu de repos de la famille disait Chrome. Seulement le lierre qui recouvrait les murs, faisait douté sur la capacité du lieu à sauver sauver leurs amis. Chrome passa devant un scanner oculaire. Et la porte de bois s'ouvrit. Dans un fauteuil de velours rouge, les regardait un grand homme à la barbe en collier brune, et les accueillait avec un fort accent russe:
-Ha! Monsieur Chrome! Comme vous avez grandi!
Il le serra fort dans ses bras, haut de près de 2 mètre l'inconnu n'en était pas moins fort puisqu'il étouffait le pauvre Chrome.
-Doucement Nikolaï! Vous allez me tuer!
-Désolé, mais ça faisait tellement longtemps que je vous attend ici! 5 ans! Et...qui puis-je faire pour vous?
-Et bien, tes compétences en médecine pourront peut-être nous aider.
Chrome désigna ses deux amis encore dans le coma. Nikolaï les embarqua alors, et les emmena dans une salle de soin dont il claqua la porte.
-C'est qui lui! Demanda Sarah
-Ha lui! C'est Nikolaï Debrechnev, le majordome de la famille.
-Et il t'as attendu ici pendant 5 ans!
-Ben...oui.
Soudain, le silence se fit. Les quatre personne valides restantes du groupe attendirent. Sarah, ne supportant pas de rester assise même dans un fauteuil de velours très confortable. Regarda les multiple photos, une d'elle l'intrigua. Elle représentait un couple. L'homme était le célèbre Yuri Von Faust, tandis que la femme aux yeux verts, qui portait une toque cachant des cheveux roux, d'à côté était inconnue pour elle. Elle la montra à Chrome et dit:
-Qui est-ce?
Chrome eut soudain un étrange sourire, et le regard vide. Il dit:
-Ce sont mes parents. Yuri, et Anastasia...
Consciente de touché un point sensible, Sarah se décida de se taire. Archi quant à lui se pencha sur la photo et fit remarquer:
-J'ai beau coup voyager, mais je n'est vu dans aucune région un tel paysage...
-C'est normal, fit Chrome, cet île est indépendante, et cachée par le gouvernement. C'est l'île impériale d'Esternie.
-Gné?
Leurs discussion fut coupée par l'arrivée de Nikolaï. Il leur dit:
-Ils se reposent mais...je doute que le vieux s'en sorte...
-Et Cénia?
-Qui?
-La femme!
-Ha! Oh elle il lui suffit d'un jour ou deux...Au fait, c'est un sacré modèle que vous avez là...J'en ferai bien mon quatre heure si vous voyez ce que je veux dire.
-On se passera de commentaire. Fit Richard.
-Hum...Mais comment ont ils put avoir de telles contusions, je n'ai jamais vu ça avant!
Chrome explique alors à Nikolaï leur péripétie. Le géant sibérien semble réfléchir, une fois le récit terminé:
-Hum...PB? Cela me dit quelque chose...
-PedoBear? Demanda Richard.
-Ne, c'est une ancienne ami à moi...
-Son nom! Fit Chrome.
-Bianca...Bianca Peterson.