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The Free Leek de Armadragon



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» Auteur : Armadragon - Voir le profil
» Créé le 13/09/2011 à 17:14
» Dernière mise à jour le 13/09/2011 à 17:14

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4 poireaux dans le vent
Richard courait, avec toutes ces montés et descentes dans les escaliers il en aura perdu des calories. Il observait autour de lui Tout les cadavres d'employés de la Goland.corp . Même Henri n'avait pas fière allure. De son costume ne restait que le pantalon et une chemise déchirée. Ils montaient apparemment, sur le toit de l'immeuble, au-dessus du 26° étage. Richard dit à Henri:

-On a de la chances que les canartichos ne nous voient pas.
-Ils sont pour l'instant trop occupé à grossir leurs rangs.
Les trois autres se regardèrent et déglutir. Richard tenait toujours son œuf dans les bras, ils brillaient de plus en plus. Quel pokémons cela pouvait-il être...Soudain Henri s'arrêta, il contemplait un cadavre qui jonchait le sol du 24° étage sur son badge maculait de sang, on pouvait lire : stagiaire. Sarah lui demanda soucieuse:

-Henri ça va?...
FLASHBACK
-Alors comme ça tu veut faire ton stage ici?
Henri était dans son bureau, au 14° étage, tout les murs étaient des fenêtres. Il était assis derrière son bureau un noyer, devant un jeune garçon d'environ 18 ans le regardait les yeux brillant en hochant la tête.
-Bien alors ton bureau se trouve au 24° étage, bienvenu à bord!
Le garçon serra la main qu'Henri lui tendait avec entrain.

Henri lui rendait souvent visite au 24° étage, il s'était attaché à lui et un jour...

Henri s'avançait vers le jeune stagiaire, en larme sur son minuscule bureau. Apparemment la cause de ses pleurs serait dut à un piratage lui ayant fait perdre toutes ses données personnelles, remplacées par des adresse de site...euh...proscrit au mineurs. Henri le consola d'une manière paternel avant de repartir. Il avait mit des mois à rechercher les pirates, en vain.

RETOUR AU REEL

Henri coupa court à ses mornes pensées, lorsque Richard lui posa sa main sur son épaule. Lui disant qu'il était tant de partir. Ils continuèrent leur ascension, puis un vrombissement se fit entendre, la tour était sur le point de s'effondrer. Il fallait qu'ils atteignent le toit avant. Afin arriver sur celui-ci ils grimpèrent dans l'hélicoptère qui les attendait. Ils décollèrent en hâte. Une fois à l'abri dans les airs personne ne dit rien. Richard, tenant toujours son œuf, regarda par la fenêtre la tour de la Goland.corp s'effondrer.

-Au fait on va où Henri?
-Nous allons au château enfoui, à Unys Professeur Ireau.



N°16 était situé sur un point de hauteur. Observait ses canartichos mettre la ville de Doublonville à feu et à sang. Cela ne le réjouissait point de faire autant de dégâts, mais c'était nécessaire, tout les humains devaient périr, sinon ils les priveraient de liberté. Au loin il vit sa tour, sa prison, détruite par des bulldozers de canartichos, il s'était débarrassé de ses propres créateurs. Ils avaient eu beau s'enfermer au sous-sol, une centaine de tonnes sur leurs faces les aura sûrement calmés. Puis il vit un véhicule volant partir, c'était impossible!! Ils devait s'en débarrasser, l'homme qui avait vu ce symbole les comprenaient. Hors N°16 l'avait bien compris, comprendre s'est vaincre. Il ordonna donc à ses canartichos d'arrêter à tout pris cet objet volant. Puis ses généraux lui envoyèrent à ses palmes un être humain qui n'était autre que Jack, il était un petit état. N°16 savait que ces humains faisait office de messager, il allait donc leur transmettre un message. N°16 souleva le menton de Jack allongé sur le sol. Il prit une grande inspiration, fit marcher différemment les muscles de sa gorge et un son en sortit qui rappelait celui de quelqu'un ayant inspirait de l'hélium. Ce son était:

-Dîtes autres humains, qu'ils ne sont plus les maîtres de ce monde.
Jack Houille était subjugué par la peur, c'était l'apocalypse. Était-ce l'énergie de la peur? Mais n'empêche que après ce que l'emplumer lui avait dit. Ils prit ses jambes à son cou. Jamais le rédac-chef du « Black Phoenix » n'allait le croire.



Frank Alonzio conduisait paisiblement son hélicoptère. Il allait pouvoir revoir sa mère et sa sœur à Unys. Il pourrait aussi voir sa chère Maria, et sa magnifique chevelure rousse. Tout le voyage ce passa bien, il faisait beau et Marcus chantait des chanson paillarde à l'arrière, comme si il était en bus. Tout ce corsa lorsqu'il arrivèrent dans le désert, une tempête de sable faisait rage. Il dut ralentir fortement l'appareil pour ne pas s'écraser. Soudain il entendit des chocs sur les parois. Si violent qu'il déformaient la coque. Il vit par la fenêtre les canartichos lancé des attaque kamikazes, se jetant sur l'hélice afin de la décrochée. Au bout du 15° oiseau kamikaze, l'hélice se décrocha. L'hélicoptère pique du nez. Frank ne verra ni sa mère, ni sa sœur, ni Maria et sa chevelure rousse. Mais au lieu de céder à la panique il dit simplement:

-J'aurais dut écouter ma mère et faire médecine...
Puis ce fut le crash



Le dirigeant du « Black Phoenix » écouta Jack avec attention. Cet excentrique directeur portait une couronne noire sur sa tête. Et contre toute attente il prit le jeune journaliste au sérieux, et diffusa cette info sur tous les support qu'il pouvait. L'apocalypse était en marche.



-Est-ce qu'on est mort?
Sarah venait de dire tout haut ce que chacun pensait. Marcus lui répondit:
-Dans ce cas on serait en enfer.
Ces vrai que le paysage autour d'eux n'avait rien de paradisiaque. Des flammes partout autour d'eux. Bizarrement, ils étaient protégés par une sorte de sphère verte translucide. Elle avait dut les protéger du choc. Le pilote lui n'eut pas cette chance. Richard regardait ce qui se trouvait dans ses bras. Ce n'était plus un œuf mais un petit escargaume qu'il tenait. Le petit insecte semblait concentré. Il avait dut éclore, ressentant le stress de Richard durant la chute, puis lancé l'attaque abri qui les avait sauvé. Une fois le calme revenu autour d'eux, l'abri disparu, laissant un petit pokémon épuisé, Richard le mit dans une de ses pokéballs. Puis il enleva sa chemise, qu'il utilisa pour se protéger de la tempête. Les autres firent pareilles (sauf Sarah qui utilisa un foulard). Seulement on ne voyait pas plus loin que le bout de son nez avec cette tempête, et impossible de savoir dans quel direction se trouvait le château enfoui. Mais Marcus sortit une pokéball et fit apparaître un pokémon, Sarah s'exclama:
-Quel horreur!!
Richard eu un sourire amusé, c'est vrai que Marcus avait le chic pour choisir les pokémons les plus hideux mais avec ce cryptéro, il avait fait fort!! Marcus cria afin de se faire comprendre dans la tempête:
-Il suffit de s'accrocher à lui, il sait instinctivement où se trouve le château enfoui!
Ils durent tous s'accrocher à sa queue, pour ne pas se perdre dans la tempête. Ils marchèrent ainsi pendant plusieurs heures. La nuit commençait à tomber lorsque Henri vit une petite grotte dans un monticule rocheux ils y allèrent pour passer la nuit.
Alors qu'il était tous rassemblé autour d'un feu de fortune, Marcus avala une ou deux pilules.

-Tu crois que c'est le moment pour ce droguer? fit Sarah
- C'est pas de la drogue, c'est de l'Apinométrinepylibicilinenytratesodium, une vitamine, j'en ai besoin quand je suis nerveux. Et qu'est ce que ça peut te faire que je prenne de l'Apinométrinepylibicilinenytratesodium, hein?
-Je m'en fout que tu prennent de l'Apinométrinepylibicilinenytratesodium. Tu peut prendre autant d'Apinométrinepylibicilinenytratesodium que tu veux!!!!
-Vous avez finit de dire « Apinométrinepylibicilinenytratesodium » à la fin!fit Richard exaspéré
- Je rêve ou t'ai entrain de m'ordonner de ne plus dire « Apinométrinepylibicilinenytratesodium »?
- Qu'est ce que vous avez tout les deux contre l'Apinométrinepylibicilinenytratesodium? Ajouta Marcus
-Mais on a rien contre l'Apinométrinepylibicilinenytratesodium!! dirent Sarah et Richard en chœur.
-SILENCE!!
Tous se turent devant le cri d'Henri. De tout les quatre c'était celui qui était le plus touché par la catastrophe. Non seulement comme victime, mais en plus parce-qu'il était en partie responsable de ce qui se passait. Ils eurent honte de leur acte, puis ils se préparèrent pour la nuit.


N°16 était heureux, ils avaient réussi à arrêté l'hélicoptère, et en plus il était sur le point d'écraser Johto sous sa palmes. Seul Rosalia restait comme unique rempart. Mais ce n'était qu'une question de temps. Oui, N°16 était heureux, il jubilait même. Son regard se posa quelques instants sur la bague portant le numéro 16 attaché à sa patte. Cette époque douloureuse, elle était révolue, désormais, ce seront les humains, les animaux.



Sarah n'arrivait pas à s'endormir. Non seulement parce-que les nuits dans les déserts sont fraiches. Mais en plus parce-que le sol d'une grotte n'a rien de moelleux. Son regard se posa quelques instants, sur Richard. Il s'était endormi comme une souche vu qu'il n'avait pas dormi allongé depuis un mois. Résultats il était encore torse nu, elle admira quelques instants: son corps svelte et ses muscles saillants. Se rendant compte de ce qu'elle faisait, elle rougit, se retourna et se força à dormir. Ou du moins essaya vu que Marcus se mit à ronfler.

...Le Lendemain...

Les quatre compères approchaient du château enfoui. Il faisait encore trop tôt pour les touristes. Henri prit les devant conduisant le groupe au fin fond des ruines. Ils arrivèrent devant une salle où le mur de fond était couvert d'inscription en zarbi. Henri passa allègrement le ruban jaune où était marqué: « SALLE INTERDITE FOUILLE EN COURT ». Les trois autres se regardèrent avant de le suivre. Henri appuya sur l'œil d'un des zarbis. Le mur du fond coulissa laissant apparaître un escalier un colimaçon, il n'avait rien d'antique vu qu'il était un béton. Henri le descendit, suivi des autres, émerveillés. Ils arrivèrent devant une lourde porte, elle semblait plus dur que n'importe quoi d'autre. Henri passa devant un scanner de rétine. Une voix robotique dit:
-Bienvenu Mr. Henri Goland.
Marcus pouffa, ce qui n'empêcha pas la porte de s'ouvrir et de donner sur une immense salle. Des lustres raffinés étaient suspendus au plafond. Diffusant une lumière semblable au jour. Elle donnait sur une multitude de couloir, bref, elle était sublime pour n'importe quel sans abri. En face d'eux un jeunes aux yeux et aux cheveux gris était sur une estrade. Il portait un costard gris lui aussi tandis qu'autour de lui, des dresseurs et des coordinateurs plus connus les uns que les autres les regardait. Ils devaient être au moins 100. L'homme en gris les regarda de ses yeux aciers avant de leur dire:
-Bienvenu, je me nomme Chrome.