À ba lmaïa : section Ceed, the eternal legacy partie 3 de wataru

Pour recruter il fallait des pointures. L'impératrice eut plusieurs idées dont même l'armée :


- L'armée ?... trop bête, je ne peux pas me permettre de faire appel à une bande d'abrutit qui ne sait que dire oui et qui n'ont aucun esprit… qu'est-ce qu'il me faut zut !



Après des semaines de réflexion elle était complètement découragée. Il faut dire qu'elle approchait de son cinquantième anniversaire, et en plus des recherches elle devait s'occuper des problèmes politiques. Tout ça plus la recherche l'épuisée autant physiquement que psychologiquement. Car pour elle ne pas trouvait chaussure à son pieds était une injustice. Pourtant il lui semblait qu'il y avait assez de gens compétant sur tout Cocoon pour participer à l'enquête.
Elle prit alors l'habitude de se promener dans la citée impériale tous les vendredi soir habiller en civile pour chercher des gens dignes de faire partie du Ceed.


- Ce jean est vraiment une horreur à porter… s'énerva l'impératrice qui ne comprenait pas comment les gens pouvaient bien porter.


- Madame, tout le monde porte ce genre de vêtement, je ne pense pas que ça soit une bonne idée de sortir habiller comme vous l'êtes au palais ! lui répondit calmement sa femme de chambre qui c'était occupé de lui trouver des habits sobre pour passer inaperçue dans les parties les plus populaire de la ville. De plus votre fils porte ce genre de vêtement, vous allez vous y habitué !

- Enfin, on dirait une toile de tente ce pantalon !

Dès qu'elle fut prête l'impératrice put enfin sortir après les précieux conseils de la femme de chambre quant à son langage et surtout de faire attention à son sac à main qui était un cadeau de son mari.
Elle put enfin partir à l'assaut de la ville immense de Zanarkand, chaque soir elle s'enfonçait un peu plus dans les méandres de la ville qu'elle n'avait jamais vraiment eu l'occasion de visité.


- C'est grand et charmant, cette ville ! s'exclama l'impératrice devant un immeuble de logements sociaux
Puis elle s'enfonça encore plus loin dans la ville. Au détour d'une rue elle découvrit une autre petite ruelle. La ruelle était sombre et étroite. Et elle n'avait rien d'attirant. Malgré l'aspect repoussant de la rue, l'impératrice s'y engagea avec un certain amusement sans vraiment savoir où elle allait n'y à quoi elle se risquer.


- Tiens… ça doit être coquet par ici !
Elle trouva la rue vraiment très sale, et finalement elle n'était plus trop amusé par la traversé de la ruelle
En marchant, elle entendit soudain un bruit derrière elle, et se retournant violement. Mais il n'y avait rien. Elle se dit alors qu'elle avait du rêver. Cependant même habiller en en civile, une prestance naturelle s'émanait d'elle que au moins une personne mal attentionné avait remarqué.
En se retournant une main l'empêchât de lui faire le moindre mouvement, et une lame vint se glisser sous sa gorge.
L'impératrice ne put s'empêcher d'avoir un mouvement de recule, et de sérer son sac dans les bras.


- Ton sac ! On je te tue comme un porc ! éructa l'homme derrière elle. Il avait une haleine d'alcool tellement forte qu'elle pouvait le sentir de là où elle était. En plus je sentais vraiment mauvais.

- Je… mais… balbutia la victime qui ne savait pas vraiment ce qu'il fallait répondre, même temps elle se dit qu'il ne valait mieux ne pas trop prendre de temps pour réfléchir car il y avait dans manière un peu plus moins désagréable de mourir

- Vite ! hurla l'homme faisant encore plus ressortir son haleine ce qui dégouta encore plus l'impératrice qui pensait qu'elle n'allait pas résister longtemps comme ça.

- Bon, voilà, mais ne me faite pas de mal.

Puis elle entendit des bruits de pas pressé venant de l'autre bout de la rue. Une jeune femme arriva en trombe avec un pistolet à la main et le pointât vers l'impératrice qui ne put s'empêcher de crier à la vue de l'arme, même si elle avait eu plusieurs fois l'occasion de se servir d'arme, jamais elle ne c'était retrouvé dans ce genre de situation. En effet, en général, les Empereurs et Impératrices ne quittent jamais le palais, si ne n'est pour rendre visite aux gouverneurs des cinq régions.
Dès qu'elle vu la silhouette féminine se rapprocher d'elle se crut que son heure était arrivé et qu'elle était une amie de son kidnappeur.


- Vous allez arrêter maintenant ! On j'ai enfin réussit à te choper, tu ne vas m'échapper aussi facilement ! dit la femme fermement avec le pistolet pointé sur l'impératrice qui commençait à se calmer, et à reprendre ses esprits.

L'homme ne comprit pas vraiment ce qui était en train de ce passer et eu un moment de faiblesse que l'impératrice sut exploiter pour se libérer du ravisseur pour se glisser sous ses bras et le frapper avec une certaine précision et une force suffisante dans un endroit où elle savait que l'homme allait être à terre pour un bon moment. Ainsi elle réussit à extraire un cri puissant du puant qui se retrouva à terre sans pouvoir faire le moindre mouvement tellement il avait mal.
La femme qui avait le pistolet le rangea et accourut avec des menottes dans la main et les passa aux mains de l'homme qui n'opposât aucune résistance.


- Merci madame de votre aide, nous ne vous serons jamais assez reconnaissante. Grâce à vous, nous allons pouvoir finalement mettre se fous furieux derrière les barreaux. Vous avez du sang froid c'est impressionnant ! La plus part des femmes de votre âge aurait eu beaucoup plus peur.

- Vous vous rire ! je n'ai jamais eu aussi peur de ma vie ! Mais mon métier veut que je sache me défaire et avoir un certain self contrôle. Rétorqua l'impératrice en rigolant Puis elle regarda un peu plus attentivement la jeune femme. Vous faite partie de la police ?

- Oui… répondit la jeune femme un peu étonné par le ton sérieux de l'impératrice (dont bien sur elle ignoré son statut) mais que depuis quatre mois. Mais non avons beaucoup de mal vous savez. Je m'appel Ashee au fait ravit de faire connaissance ! Et vous ?


- Mhh… nous parlerons de ça plus tard. Nous allons attendre ici, qu'une voiture de police vienne pour chercher votre protéger.

En attendant la voiture de police les deux femmes parlèrent tout et de rien. Puis une voiture arriva enfin pour amener le fou qui avait essayé de tuer l'Impératrice.
Puis elles embarquèrent dans une autre voiture que l'Impératrice Xénis avait fait venir pour pouvoir les ramener le plus rapidement possible au palais Impériale.


- Allé ! Monté vite, je pense que je vais avoir besoin de vous ! dit Xénis heureuse d'avoir enfin trouvé la personne qu'elle cherchait depuis si longtemps

- Mais je ne comprends pas ?... Qui vous êtes à la fin ?

- Je suis… dit Xénis avec hésitation Quelqu'un d'important du gouvernement.

- Mais… c'est vrai ! On dirait que vous êtes… non ce n'est pas possible… Xénis ? dit Ashee, à la fois au hasard et à la fois sur d'elle. Elle se souvenait de l'avoir vu à la télévision, mais avec des vêtements beaucoup plus soignés.

- J'ai besoin de personne comme vous s'il vous plait suivez moi !

Ashee, n'opposa plus de résistance, elle s'étonna elle-même d'avoir sauvé l'Impératrice Xénis six. Même si elle habitait Zanarkand depuis toute petite jamais elle n'était allé à un seul défilé, n'y aucune représentation officiel, donc c'était la première fois qu'elle voyait l'Impératrice.

- Bon vous avez quel âge ? demanda Xénis

- J'ai dix-huit ans…

- Très bien ! c'est parfait, je veux des personnes qui ont l'âge d'être responsable. Pas comme mon fils, qui a seulement quatorze, je doute qu'il puisse vous accompagner…

Après presque une heure de voiture, elles arrivèrent enfin au garage du palais Impériale. Xénis sortit la première et Ashee l'accompagna. Elles prirent un ascenseur et allèrent dans l'appartement privée de l'Impératrice. Son mari n'était toujours pas là, en voyage d'affaire politique, elles étaient donc seul ce soir à l'exption du fils de l'Impératrice et les servantes.
L'appartement Impériale était tout simplement somptueux, les murs étaient tous recouvert de tapisserie dont une représentait un superbe champ de coquelicot sauvage, une espèce aujourd'hui disparue.


- Je vous invite ce soir, ça vous va ? dit Xénis

- Mais… c'est que Welle va s'inquiéter si je ne reviens pas ce soir… on est ami depuis toujours, je ne peux pas me permettre de la laisser comme ça sans la prévenir. Nous sommes amies depuis que nous sommes toutes petites et nous avons voulut devenir policière ensemble, donc maintenant que nous le sommes je ne peux pas la laisser toute seule à la caserne… Dit Ashee en faisant la moue.
- Très bien je vais envoyer quelqu'un pour aller la chercher ce n'est pas un problème. Prenez place, sur ce fauteuil, il faut que je vous parle.

- Mais c'est que habituellement c'est interdit de s'assoir dans les musées … remarque Ashee.

- Enfin ! Vous n'êtes pas dans un musée, mais chez moi ! Bon alors par où commencer…

C'est alors que la réalisa vraiment ce qu'elle était sur le point de faire : révéler à cette parfaite inconnue le plus grands secret de Cocoon. Le problème était de taille, car si Ashee refusait de faire partie de la mission en deux mois Cocoon était entier sera au courant, et elle aurait une résolution sur le dos, ce qui est rarement ce qui a de plus de agréable pour les souverain. Elle se dit alors que ça serait une excellente idée de l'amadouer avec de l'argent, puis elle se ressaisit.


- Bon Ashee, est-ce que je peux avoir votre confiance complète ou non ? dit-elle avec un ton sévère qui donne toute de suite envie de la respecter au maximum.

- Oui, bien sur.

- Je suis sur le point de vous révéler un secret, le plus grand que Cocoon ait connut. Si vous me dite que vous acceptez la mission que je veux vous donner, je vous promets un salaire de un millions de gils par mois à vie. Mais faite moi le serment que vous ne me trahirai pas. Si vous le faite, vous n'aurez pas le moindre problème, mais tout Cocoon deviendra un champ de ruine et je me ferai tué moi et ma famille. Je veux votre entière confiance.

Ashee resta bouche bée et ne savais pas trop quoi dire, elle n'avait pas l'habitude qu'on lui propose des salaires aussi impressionnant, en même temps peut-être que ce secret était vraiment horrible et qu'elle ne pouvait pas accepter car c'était hors de ses principes. Peut-être qu'elle allait devoir tuer des gens…mais un salaire aussi élevé, et savoir ce secret la tiraillé. Toutes ses idées fusaient dans ça tête, et n'avait aucune idée de sa réponse. Intérieurement elle avait tout de même une petite flamme qui lui disait que c'était le moment où elle ne devait pas prendre les choses à la légère. Ce n'était pas la première fois qu'elle avait ressentit cette petite flamme. Elle eut de plus en plus peur, son rythme cardiaque commença à s'accélérer et des gouttes de sueur coulaient sur son visage.
Soudain une porte s'ouvrit et la sorti de réflexion.


- Mademoiselle Welle, annonça le majeur d'homme.

- Merci bien, vous pouvez vous retirer. Dit-elle respectueusement inclinant légèrement la tête.

Ashee regarda son amie avec des yeux implorant, Ashee était presque en pleur ce qui affola un peu Welle qui ne savait pas quoi dire.



Le majeure d'homme avait préalablement tout expliqué à Welle (sauf la mission).


- Welle ?... je lui dit oui ou non ? demanda Ashee

- Euh… commença Welle qui ne savait absolument pas de quoi son amie voulait parler. Elle crut alors comprendre qu'il s'agissait d'une demande en mariage. Tu sais, je ne dois pas faire ce genre de choix pour toi, mais je pense que c'est quelque chose que tu attends depuis si longtemps ( à dix-huit ans…), dis lui oui. Vraiment dit lui oui.

Le visage de Ashee s'illumina et elle se jeta dans les bras de sa meilleur amie.

- Tu as raison Welle ! Il ne faut pas que je me laisse faire par mes sentiments stupides, je dois aller de l'avant et me prouver que je suis forte ! Mais juste une question madame ? dit-elle en se tournant

- Oui avec plaisir. Répondit l'Impératrice en croisant les bras

- Je veux que Welle soit de la partie ! Vraiment.

- Tu veux que je vienne à toi mariage ? dit Welle bouleversé de joie par la nouvelle

- Quoi ? dit Ashee qui ne comprenait pas

- Bon. Reprit l'impératrice. Je veux bien au contraire, vous allez être les premiers membres de du Ceed, le nouveau service d'investigation des dernières catastrophe qui ont lieu de plus en plus souvent sur Cocoon. Mais pour que vous puissiez comprendre, je veux que vous sachiez le plus grand secret de Cocoon.

- Quoi ? dit Welle qui ne comprenait toujours pas.

- Mais tais toi cinq secondes tu Welle, je suis désolé mais tu vas devoir venir avec moi.

- Bon ?! Je peux y allé ?! J'ai pas toute la nuit non plus ! Bon très bien… Cocoon est en réalité… Une île flottante dans le ciel.

- Quoi ?!!! dit alors une voix venant de derrière une porte du salon.

- Akumu !! hurla Xénis l'Impératrice se jeta à travers le salon pour ouvrir la porte d'où venait le bruit.




- Maman ?... alors c'est vrai… Yume n'est pas une blague… dit le jeune garçon

- Mais d'où tu sais ça ?!!!!!!!!!!!!! dit l'Impératrice complètement affolé. Tu n'es pas sensé savoir ce genre de chose !! Akumu dit le moi comment tu sais ?

- Ben… la bibliothèque dans la chambre de papa, un jour je l'ai vu mettre un livre derrière le portait de l'ancêtre Mitsuru celant la grotte de la GS Ball, c'était un livre portant le nom de An Other World. Mais je croyais que c'était juste un livre, et pas une réalité…

Ashee trouvait que la conversation prenait une tournure assez cocasse. Welle ne comprenait toujours rien.

- Maman, laisse faire partie du Ceed ! Tu en parles depuis si longtemps !

- Quoi mais je n'en ai jamais parlé à personne ?!

- Enfin je voulais dire que tu laisses tellement de note sur ton bureau…

Welle regardait le petit garçon de quatorze ans sidérait, un vrai petit espions…


- … il ne me semble pas vraiment avoir le choix… en une soirée j'ai eu trois membres à mon fameux Ceed… les trois que je cherchais depuis plus de un ans… dit l'Impératrice. Bon alors l'histoire est longue…