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Noctie de klorane



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Informations

» Auteur : klorane - Voir le profil
» Créé le 24/12/2006 à 19:11
» Dernière mise à jour le 02/01/2007 à 11:04

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il ne vaut mieux pas s'attarder ici...
Cela faisait deux semaines déjà que j'étais ici. Les hommes nous nourrissaient tout les trois jours, et bien que la nourriture était meilleure et plus abondante que le jour de mon arrivée, je maigrissais à vu d'oeil.ma santé chutait, et mon moral aussi. À présent, moi aussi, je tremblais dans mon someil, moi aussi j'avais les côtes saillantes.
Par contre, Mentalia et Galliflo allaient mieux, et elles me dirent de nombreuses fois qu'elles n'avaient jamais été aussi bien traité, que les hommes avaient remplacés leurs chaînes par des bracelets, que la nourriture était meilleure ( les restes des humains, de préférence ne datant que de la veille, pas de la semaine dernière). Mouai... moyen-moyen, leur exellent traîtement.

Un soir ( ou un jour, il faisait toujour noir de toutes façons ), alors que je dormais paisiblement, du mieux que je pouvais sur le sol de pierre, Galliflo s'approcha de moi et me secoua doucement.

-MMM... quoi ? Murmurais-je.
-Mentalia écoute les hommes. Ils parlent de nous.

Je me levais en grognant. Je ne pourrais jamais dormir tranquille.
Mentalia était allongée, la pierre verte qui ornait son front posée contre le mur de la prison. Une vibration sourde s'échapait d'elle. Qu'est-ce qui ce passait ?
Inquiète, je questionais la galifeu.

-qu'est-ce qui lui arrive ? Demandais-je.
-Elle écoute les humains. Ne me demande pas comment, mais elle réussi à entendre ce qu'ils disent à plusieurs mètres de distance, malgrès le bracelet. Je crois qu'elle capte les vibrations ou quelque chose comme ça.

Je me raprochais de la mentali. Elle me regarda du coin de l'oeil, puis d'un mouvement de queue, m'invita à lui toucher la patte.

-Écoute leur conversation à travers moi. Me murmura-t-elle.

Dès que je frola sa patte, la discussion parvenu à mes oreilles, aussi nette que si j'étais dans la même pièce que les hommes, avec toutefois un air de lointain... difficile à expliquer.

« Les sientifiques ont échoués. Le caninos est devenu Shiney, puis il est mort. Sa fourrure s'est éteinte avec lui, il est redevenu normal au bout de quelques minutes. » dit une voix d'homme.
« Nous arriverions à quelque chose, si seulement ils se donnaient la peine de lire nos rapports sur les trois shiney. Cela les aideraient à comprendre leur fonctionement. » dit une autre voix, plus éraillée.

Leur fonctionement ?! Mais ils se fichent de nous ! Ont est des pokémons, pas des machines !

« À propos d'eux », repris le premier homme, « le directeur veux qu'on en achève un. Il trouve qu'ils nous côutent trop. »

l'autre homme, certainement agé, resta silencieux un moment.

« Il faudrais tuer le moins docile. Ce n'est pas facile de s'occuper de fauves. Surtout quand les fauves en questions valent des milliers de pokédollard. »

Oups ! Je crois que j'ai fait une gaffe. Durant la semaine, il faut dire que je ne m'étais pas montrés beaucoup trop obéissante. Enfin, si désobéir veut dire renvoyer le repas de la veille ( mal digéré ) sur le visage de celui qui passait pas là, pousser des hurlement toute la nuit pour les empécher de dormir, et surtout déchirer à coup de griffe la chemise neuve de l'homme qui venait nous mettre nos bracelets neutralisateurs, il faut dire que je n'étais pas un modèle.

« Je pensais au noctali. Nous en serions débarassés, et nous pourrions revendre sa fourrure à très bon prix. » repris le moin vieux.

Vos projets m'ininterrressent le plus au point, Messires. Sonjais-je, ironiquement.
« Je le pense aussi. » Dit l'autre vieillard gâteux. « à quand son éxecution ? »
« j'aurais dis jeudi, mais le directeur doit passer. Mercredi serait mieux. »
« Demain ?! Ce n'est pas un peut tôt? »

puis je n'entendis plus rien. Mentalia, l'air épouvantée, avait décollé sa pierre de mur.
Elle me jetta un regard apeuré.

- Noctie, tu nous avaient parlé de fuir, à moi et Galliflo. Je pense que le moment est venu. Tu dois t'échapper ce soir. Et nous viendrons avec toi.