Chapitre 19 : Le chagrin
Chapitre 19 : Le chagrin
Caleb et Ophélie ouvrirent leurs yeux à un centre pokémon, mais ils ne savaient pas trop dans quelle ville ils se trouvaient. Ils entendirent la voix bienveillante de l'infirmière Joëlle venant de derrière eux.
Infirmière : Vous vous êtes enfin réveillé ?
Caleb : Oui, dans quelle ville sommes nous ?
Infirmière : On est à Rosalia.
Ophélie : Qui nous a emmenés là ?
Infirmière : Ce sont vos pokémon. Ils nous ont aussi remis vos pokéball de ceux qui étaient KO. Et, au fait, comment vous êtes vous blessé ainsi ?
Caleb, prenant subitement une mine triste : Nous ne pouvons pas vous le dire. Où sont nos pokémon ?
Infirmière, en sortant leur ceinture de pokéball : Les voici.
Caleb et Ophélie, en prenant leur ceinture : Merci
Infirmière, en prenant un ère interrogateur : Comment se fait il que vous possédiez un mew et un jirachi shiney ? C'est presque inexistant.
Caleb : Comment les savez vous ?
Infirmière : J'ai dut les soigner. Apparemment ils avaient reçu un gros choc mental, dû peut être à une attaque abri qui aurait explosé trop violemment.
Ophélie : C'est un peu ça.
Infirmière : Je n'ai encore dit à personne que vous aviez des pokémon aussi rare alors racontez moi toute l'histoire ou je vous dénonce. Et sachez que si je vous dénonce, vous serez poursuivi pas des hommes malveillants convoitant vos pokémon.
Caleb : OK, on va tout vous dire.
Ophélie, en chuchotant à l'oreille de Caleb : Mais tu avais dit qu'on ne devait rien dire
Caleb, en chuchotant à son tour : On n'a pas vraiment le choix, sinon elle dira à tout le monde que nous possédons un mew et un jirachi.
Ophélie : OK
Infirmière, venant de voir qu'elle était exclue de la conversation : Et oh les enfants je suis toujours là !
Caleb : Nous allons tout vous dire
Il lui raconta toute leur aventure. Enfin presque tout. Il raconta une sorte de demi-vérité. Il lui dit qu'ils avaient été attaqués par la mystérieuse team shadow, et qu'elle était à la poursuite de mew et jirachi qu'ils se sont empressés de sauver. Il lui dit qu'elle les a attaqués sur la route 35 et qu'ils ont tué un de ses pokémon. A ces mots là Caleb se tut et reprit une mine extrêmement triste, se rappelant qu'il avait perdu son premier compagnons, son petit bulbizarre, qui venait juste d'arrivé à son dernier stade d'évolution.
Infirmière, désolé : Je comprends que tu sois triste, je vous laisse. Si tu veux garde le reste de l'histoire pour toi, et je ne vous dénoncerai jamais, faite moi confiance.
Ophélie : Merci
L'infirmière se leva et sortit de la salle, laissant Caleb et Ophélie seul. Ils firent sortirent mew et jirachi de leur pokéball. Puis, Ophélie engagea la discussion.
Ophélie, essayant de consoler Caleb : Caleb, je sais ce que tu ressens à propos de la disparition de florizarre.
Caleb, en pleurant : Non tu ne peux pas savoir. Tu n'as jamais perdu de pokémon. Tu ne sais pas à quel point ca fait mal d'avoir perdu son tout premier compagnon.
Ophélie : A te voir seulement, je sais à peut prêt. Mais tu dois essayer de te reprendre.
Caleb, toujours en pleurant : Oui, je sais mais c'est trop dur.
Ophélie : Oui, je sais. Mais essaye de faire de tout ton possible pour arrêter de te lamenter. Tu croix vraiment que florizarre aurait aimé voir son dresseur dans cet état ?
Caleb : Non mais...
Ophélie, en lui coupant la parole : Il n'y a pas de mais, essaye de te reprendre
Caleb : Le problème aussi qui fait que je ne puis facilement l'oublié est que c'est de ma faute s'il est mort. Si je n'avais pas sauté de joie au moment où il a évolué, il serai toujours en vie.
Ophélie : Ne dit pas ça, tu sais très bien qu'il a lui aussi été fier d'atteindre sa dernière évolution. Le fait de partagé cette joie avec son dresseur a accentué sa joie. Tu pense qu'il aurait été heureux si tu n'avais pas partagé sa joie avec lui ?
Caleb, en comprenant enfin que ce n'était pas tout à fait de sa faute : Oui, tu as sans doute raison, je dois me ressaisir.
Ophélie, contente : A la bonne heure !
Caleb, en se levant : Maintenant, nous devrions allez visiter la tour ferraille et la tour cendré.
Ophélie, en se levant à son tour : OK, tu as raison, allons y
Caleb : Mais avant, je devrai aller informer le prof Orme de la disparition de florizarre
Ophélie : OK, je te suis.
Et ils sortirent de la salle où ils étaient pour rejoindre les visiophones.