1er mai : Printemps et nouveau chapitre
Mon rythme de plus en plus lent vous a concocté un chapitre supplémentaire pour Smirnoff. Yay ! Sonnez hautbois, résonnez musettes !
C'est également le printemps dans Pokémon ! Les Escargaume ressuscitent de leur exil zombie sous la glace et la nature reprend ses droits et c'est merveilleux. Je kiffe ! Je trouve qu'Unys au printemps, c'est magnifique.
Point Mangaaaaa !
NARUTO
Ca va trop vite, on en arrive déjà à la résolution du plan de Madara, ça va TROP vite, ça m'inquiète énormément. Si l'auteur fout en l'air tout ce qu'il a mis en place sur cette guerre, franchement, je pète un câble.
ONE PIECE
... Fiou...
Ca faisait longtemps - depuis la mort de Ace quoi - que je n'avais pas eu un frisson en lisant ce manga. C'est juste terrible ce qui se passe dans ce chapitre. Je sens qu'on en est à un point crucial de l'arc. On a déjà compris quelque chose d'important concernant la philosophie des pirates du soleil. La suite s'annonce riche d'enseignements.
Article ajouté le Dimanche 01 Mai 2011 à 18h52 |
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Point Manga
NARUTO

C'était... assez confus. Qui se sert de qui, qui fait quoi, qu'est-ce qui se passe...
Kishimoto retourne tout droit dans son pire travers : la confusion totale, le chapitre de pseudo-transition pour faire du suspense... C'est mauvais signe.
J'avoue avoir été assez touché quand j'ai vraiment cru qu'Obito allait mourir et qu'on voyait des flashs de Rin.
Par contre j'aimerais vraiment que Sasuke et Obito aient une bonne explication.
ONE PIECE

Côté One Piece, alors que Naruto faiblit, le manga d'Oda semble retrouver une vraie ligne directrice. De vraies intrigues se créent petit à petit et on sent qu'on s'achemine vers quelque chose d'intéressant. Fujitora est un gros taré, et on sent que la relation entre Doflamingo et Trafalgar sera un point absolument crucial. Le raisonnement de la Marine est vraiment complètement azimuté (N'importe quel connard peut faire n'importe quelle horreur, si c'est le subalterne d'un shichibukai, il sera gracié ? Mais WTF cette justice de merde quoi ! Ils ont conscience que 80% de la merde du monde, c'est leur faute ?!). Luffy se bat à l'arène mais osef (je suppose qu'on y reviendra plus tard vu qu'il est dans le groupe du gros barbu chelou), ce qui se passe avec Sanji s'annonce étrangement intéressant (et c'est sympa que pour une fois on s'intéresse de plus près à la "mission solo" de Sanji).
Quant à Usopp et Robin, leur partie m'a absolument fait MOURIR de RIRE. La dernière image du chapitre est juste totalement priceless. Usopp, mon vieux, tu es dans une MERDE !
Article ajouté le Mercredi 03 Juillet 2013 à 14h51 |
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La fin de la route
C’est une route, une très longue route de bitume noir, plantée en plein milieu du désert. Elle est sûrement longue de plusieurs kilomètres. On ne sait pas quand elle fut construite, ni pourquoi, ni comment, ni par qui, ni où elle mène précisément. C’est une route tout ce qu’il y a de plus simple et de plus bête. En son milieu, il y a un lignage jaune qui n’est plus très clair, le temps et l’usure faisant. D’après la nature de ce tracé, on peut aisément rouler à droite ou à gauche de cette route. La ligne autorise le dépassement.
Mouvement. Il y a cet homme sur un vélo. Il a l’air tranquille. C’est un grand type aux cheveux noirs et courts, comme tant d’autres, habillé assez légèrement, à cause du soleil de plomb qui rugit dans le ciel rouge, avec pour seul bagage une sacoche assez pleine pour être pratique mais pas assez pour être lourde. Son vélo fait un petit bruit régulier, mécanique et mélodieux. Il roule. Il ne sait pas trop vers où. Enfin, il ne sait plus trop. Il pense que fut un temps, cette route menait quelque part. Aujourd’hui, il sait que ça ne mène plus à rien.
En effet, le monde s’est achevé il y a quelques temps. Cela fait bien presque un an. Il en est l’un des derniers survivants. Il le sait. Et il sait aussi que le moment venu, cela va chauffer pour lui. Pour d’autres raisons. En attendant, il repère une fontaine abandonnée, un robinet au milieu de nulle part, un de ceux dont, même du temps d’avant l’apocalypse, on se demande qui les a disposés ici. La source artificielle coule à vide. L’homme s’arrête promptement et sort trois petites bouteilles d’eau qu’il remplit consciencieusement, une à une. Une fois les précieuses bombonnes de plastique rangées, il repart sur son chemin.
Il suppose que cette route mène quelque part. Toutes les routes mènent bien quelque part, non ? On n’a jamais vu de route s’arrêter d’un coup pour ne plus mener nulle part. Ça n’existe pas. Alors il continue, à vitesse régulière, en pédalant sur cette route plane et monotone. Mais lui au fond il s’en fiche du paysage. Ce qui l’intéresse, c’est… pas grand-chose, au final. Ce qu’il y aura au bout, probablement.
Il n’était pas un homme très intéressé, de manière générale. La fin du monde lui était tombée dessus. Son petit emploi de bureau n’avait plus de sens à présent. La fin du monde, causée par les excès des hommes, avait provoqué son licenciement logique et qu’il avait approuvé sans vaine protestation. Cet homme avait un nom, mais la fin du monde faisant, il avait décidé qu’il n’avait plus d’importance et se faisait appeler par les rares gens qu’il rencontrait « Bob ».
Bob, donc, faisait du vélo, chargé comme une mule en direction de nulle part. Ce récit passionnant était celui de sa vie à présent. Il espérait en fait croiser une petite bête ou même un cadavre de petite bête, histoire de manger. Mais même les animaux semblaient s’être éteints. Seule, l’humanité s’accrochait telle une tique à la terre meurtrière qui les avait vus naître et qui les avait détruits presque aussi sec. Mais c’était mérité, diront les vipères.
Tenaillé par la faim, Bob se força à reconnaître qu’il y avait une ville à l’horizon. Du moins un amas de bâtisses qui faisait penser à une ville. De la fumée laissait à penser soit qu’il y avait une trace de vie, soit que ces cons avaient incendié l’ensemble, soit qu’un bon pot-au-feu cuisait. Maudite faim.
Dans ces trois cas, Bob devait peser le pour et le contre. Pour certaines raisons, il ne voulait pas rencontrer d’autres gens. En même temps il avait faim et s’il restait sans manger, il allait boire toutes ses réserves pour combler sa famine. Et puis, sait-on jamais, entre autres éléments de burlesque et de pathos, ce patelin comportait peut-être des lits confortables.
Bob atteignit assez rapidement la ville. On l’y accueillit bien. La profusion de femmes l’effraya, mais il tenta de faire bonne figure. Un vieil homme s’avança au-devant de lui, semblant sérieusement vouloir lui toucher un mot, ce que Bob appréhendait autant qu’une diarrhée. Barbu, portant une espèce de toge – ou du moins un grand sac à blé transformé en toge – il avait l’air d’un vieux sage éclairé ou d’un vieux pervers, au choix.
- Etranger, c’est une joie que de te recevoir ici. Je suis Igor. Considère-moi comme le chef ici.
A voir toutes ces femmes, quelques bébés et ce seul homme, Bob en déduit rapidement qu’il s’agissait là de son harem. Ce qui ne fut pas pour le rassurer.
- Viens avec moi dans mon palais, nous allons discuter.
Bob admira la mégalomanie qui touchait le dernier vieil homme du monde. Son « Palais » était simplement un pavillon encore debout et relativement intact, alors que les femmes vivaient dans leur propre crasse, dans des masures indignes. Mais après tout ce n’était pas comme s’il existait une notion de dignité en ces temps.
Surtout, le vieux s’y croyait. Il se voyait vraiment comme l’homme du palace, le shah de ce pays, le seigneur et ses paysannes, le riche propriétaire au milieu des pauvresses en détresse.
- Quel est votre nom ?
- Bob.
- Bob. Bien. Bob, vous êtes jeune et bien fait de votre personne.
Et allons-y. Bob ferma lourdement les yeux. Il lui fallait quitter cet enfer au plus vite.
- Je pense que vous voyagez depuis longtemps. Votre teint buriné par le soleil me laisse penser que vous n’avez pas d’endroit où aller.
Bob avait la nervosité typique des gens qui avaient envie de partir mais qui n’osaient pas le demander. Il trépignait même.
- Je vous propose donc un marché : Vous restez ici à vivre chez moi et en échange vous m’aidez à satisfaire ces femmes.
N’importe quel homme aurait exulté en disant « Trop top, je commence quand ! »
Pas Bob.
- Je dois refuser.
- Ah mais c’est une offre qui ne se discute pas. Il faut repeupler la terre. Je suis vieux, je ne peux pas toutes les engrosser…
Bob ferma les yeux, dégoûté.
- … sans compter que ces demoiselles n’ont pas beaucoup de… comment dire, de plaisir à être besognées par mes soins.
- Igor, je vous… remercie…
Oui c’était probablement la réponse la plus polie sur le moment.
- … je vous remercie de votre proposition, mais je suis obligé de refuser, je dois repartir.
- Pour quel endroit ? Il n’y a plus rien ! Restez ici et aidez-moi à donner naissance à de nombreux enfants !
Bob soupira et sortit du « palais ». Le vieil Igor sortit à sa suite. Il vit une femme blonde passer et lui donna un ordre comme si elle était son animal de compagnie.
- Aurore ! Sois gentille avec le monsieur !
La blonde, mue par l’autorité du vieux, se jeta littéralement sur Bob. Elle l’enlaça et ronronna doucement. Bob ne bougea pas, debout et figé. Il regarda Igor.
- Où est mon vélo ?
- Mais enfin, vous ne voyez pas que nous sommes les derniers survivants ? Que c’est à nous de repeupler cette planète ? De recommencer la vie ?
Bob éloigna doucement la jeune femme de lui. Igor, décontenancé, sortit de son palais et poursuivit Bob qui ne le fuit pas.
- Qu’est-ce qui ne va pas bien chez vous ?
- Premièrement, je suis gay.
Igor écarquilla les yeux.
- Vous QUOI ??? Vous croyez que c’est le moment ??
- Y’a pas de moment, je suis comme ça depuis que je suis tout petit.
- Mais enfin c’est… Mais… Mais vous vous rendez compte que depuis que toute cette merde nous est tombée dessus, vous êtes seulement le troisième homme à passer ici ! Le premier est mort de faim et de soif en arrivant, et malgré tous nos efforts nous n’avons pas pu le sauver ! L’autre était un vieillard qui n’a pas tenu deux mois !! Vous êtes le premier à être aussi jeune et en bonne santé ! Et en plus depuis que j’ai engrossé ces dames, il n’est né que des filles !!
Bob s’arrêta et soupira, laissant le vieux déblatérer.
- Vous savez ce qui s’est passé il y a un an ! Cette guerre, cette inimaginable bombe surpuissante et toxique ! Ce nuage, cet effluve nucléaire qui a rendu la plupart des hommes stériles et malades ! Nous sommes une poignée à avoir survécu par miracle, et vous… vous êtes homosexuel, mais comment… Vous ne pouvez pas vous forcer ?!
- Quand bien même je me forcerai, deuxièmement, je ne veux pas que l’humanité renaisse.
Igor tombait des nues.
- Comment ? Mais…
- Sérieusement, vieux débris, regarde ce qu’on en a fait, de ce monde ! Le sommet de l’humanité, le pinacle de toute cette civilisation, de cette histoire de merde, de ces guerres, de ces massacres, c’est la destruction totale de l’humanité ! La terre est infertile, les animaux sont rares, morts et leur chair, j’en suis certain, a dû me donner une foule de cancers qui peuvent me faire mourir n’importe quand, vous aussi peut-être, et que dire de ces femmes ! On va tous mourir, laisser ce vieux caillou pourri dériver jusqu’à ce qu’une vie nouvelle ne reprenne le flambeau et essaie de faire mieux.
Igor balbutia alors que Bob reprenait son vélo.
- On a perdu, Igor. On a raté notre chance, on a tout foiré. Abandonnez, vous aussi. Ça ne vaut pas la peine. Nous sommes indécrottables. Oh certes, une grande majorité d’entre nous est paisible et n’aspire qu’à la paix, mais forcément, les puissants, les plus autoritaires, les chefs, les meneurs, eux, seront comme TOUS CEUX que nous avons eu avant : Stupides, violents, bêtes à manger du foin, ils recréeront des systèmes insensés qui nous feront tous courir à notre perte, qui nous obligeront encore à nous détruire petit à petit pour survivre et faire perdurer nos horreurs pour que survivent leurs honneurs. N’importe quoi. Vouloir recommencer toute cette merde à zéro en pensant que les erreurs ne se reproduiront pas, c’est être d’une naïveté et d’une connerie à tomber par terre. Sur ce, je vous dis adieu et bon courage pour « repeupler », je sens que ça va encore être génial.
Bob enfourcha son vélo avec la classe d’un jockey.
- Celui qui fait courir l’humanité à sa perte, c’est vous. En voulant lui redonner vie.
Bob s’éloigna. Igor regarda, sidéré, l’homme qui reprenait la route. Aurore, juste derrière, prit une inspiration.
- Il a raison…
Igor se retourna vers la blonde.
- Je te défends de dire ça !
- Non, il a raison. Vouloir tout refaire… alors que tout vient de se défaire…
- Mais nous ferons MIEUX !
Aurore acquiesça.
- C’est probablement ce qu’ils se disaient aussi. Les premiers hommes. « Nous ferons mieux que les animaux ». « Nous ferons mieux que la nature, nous la surpasserons ». On voit ce que ça a donné, de toute façon.
La jeune femme prit le même chemin que Bob. Igor s’arracha les cheveux.
- Enfer et damnation ! Soit ! Courrez à votre perte tandis que je refonderai la société à moi tout seul !
Igor retourna faire des bébés. Bob continuait à vélo sur cette longue route. Il n’avait pas remarqué la femme qui le suivait.
Après un court chemin, l’homme s’arrêta au bord d’un océan noir sous un ciel rouge. La route venait de s’achever. Bob souffla et s’assit là.
Aurore arriva peu après. Il la regarda. Elle était belle. Elle le regarda. Il était beau.
Ils regardèrent l’océan.
Il était moche. Le ciel ? Horrible. La terre sèche et stérile sur laquelle ils étaient assis ? Immonde et poussiéreuse, rêche. Impropre à tout.
- Je n’ai pas dit tout ça parce que je n’ai plus d’espoir.
Aurore regarda Bob, surprise qu’il veuille parler.
- J’ai dit ça parce que je suis réaliste. Parce que je pense que si l’humanité a décidé d’en finir, il faut respecter ce souhait. Plus de soins palliatifs, plus d’acharnement. On laisse l’humanité mourir. Quelque chose reprendra le flambeau. Quelque chose de mieux, peut-être. Quelque chose qui essaiera de faire mieux. Mais là, refonder l’humanité, ce serait donner de la confiture aux cochons.
Bob regarda l’océan et sourit.
- Je sais même plus c’est quoi le goût de la confiture. Ni même à quoi ça ressemble un cochon.
Aurore sembla fatiguer.
- Si même ma mémoire ne veut plus se donner la peine de se souvenir, à quoi bon continuer à en créer, des souvenirs ?
Elle s’allongea, voulant simplement se reposer au départ.
- Je ne vois juste plus l’intérêt. Je me suis fait une raison, je crois. Je sais que je n’ai pas de pouvoir de décision autre que ma propre volonté, mais ma volonté ne va pas dans le sens d’une humanité qui doive survivre.
Bob la regarda, nue, étendue, à sa merci. Morte. Il poussa un soupir résigné.
- Qu’est-ce que je disais.
Bob se leva. Il se déshabilla. Il regarda l’océan noir et agité face à lui. Il s’avança dans la mer. Il ne s’arrêta pas.
Il ne chercha pas à nager.
Il laissa simplement les flots l’absorber, le dévorer, détruire toute cette complexité humaine qu’il était. Un corps, une âme, une foule de systèmes organiques se tuant à la tâche pour le faire vivre.
Tout cela, toute cette mécanique.
Il la stoppa tout de go dans l’enchevêtrement maudit des vagues immortelles.
Article ajouté le Mardi 02 Juillet 2013 à 22h38 |
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Je dis non, je dis non...
Ouah ! Vous êtes plutôt unanimes sur le précédent article : Une réfection, oui, un changement, non. La modification des "vannes" d'Etienne vous déplait au plus haut point. Sacrilège !! Et... en fait vous avez plutôt raison. Surtout, ce serait trop long pour moi à refaire dans ce cas là. Donc il n'y aura pas de réfection et j'ai bien fait de vous les montrer AVANT de le poster. Sinon putain, j'aurais été mal !
Que puis-je vous dire d'autre... qui ne vous mette pas en rage... J'ai une idée de fic que je dois cultiver avant de la mettre en forme... Pour la première fois je songe à écrire une fic SANS la publier avant qu'elle ne soit au choix bien avancée/finie. Parce que... c'est comme ça.
Pour ce qui est de Skitty, je pense que je dois repenser complètement la fic... Y'a aucune raison que le héros ait un Skitty s'il fait les arènes... Et s'il fait les concours, là encore, le Skitty est superflu... Je ne sais même pas si la fic en elle-même tiendrait la route.
Pour "La cendre et l'arachide", je pensais faire deux versions de la fic : Une soft pour Bip, une porno pour AdultFanfiction.Net.
Smirnoff Renaissance est toujours en cours, j'écris les enfants, je suis en plein dans un gros combat (Qui, j'espère, va vous plaire parce que plus je l'écris, plus je me dis que vous allez me lapider). De même j'ai un souci vis-à-vis des flashes parce que j'ai le mauvais présage que vous allez penser que j'ai voulu faire quelque chose alors que je veux faire autre chose et donc je pensais ajouter une nouvelle bardée de flashs à la fin, afin de clarifier les choses, puis de finir sur le déjeuner de midi.
Je sens que sur cette fin de saison vous allez beaucoup me lapider. Plus je me repasse la fin dans ma tête (Rien n'est écrit, c'est Moi et mon petit cerveau les scénaristes :p) et plus je me dis "Ils vont me tuer". J'ai vraiment pensé à quelque chose de terrible, d'affreux, d'inimaginable (imaginer l'inimaginable... Hm...) et si je vais aussi loin que je veux aller... Vous allez me détester mais grave !
Pourtant cette fin pourrait me permettre de conclure de manière relativement définitive (Ce "Relativement" est là pour vous inquiéter) Smirnoff. Bien sûr la fin de Renaissance est une fin alternative... en théorie j'ai déjà fini Smirnoff à la fin de Smirnoff R.3... Ici c'est un peu comme si je continuais une série télé en BD (Genre Buffy)
Bien sûr je n'exclus pas de faire une suite après cette fin...
Nan j'rigole !
Ou pas...
C'est un risque. Je suis prêt à m'y exposer. Même si ce serait une "suite" compliquée. Mais je remarque qu'en finissant comme je compte finir, j'aurais moins de regrets qu'avec R.3, je serais plus serein. Bon signe !
Je pense que si après ça, je me concentre sur un éventuel Roman, ou même sur "La surprise du Chef" (Titre NON définitif ! Je déciderais du titre après la fin du livre), ça pourrait le faire.
Ca craint tout ça. Ma tête est toute compliquée en ce moment, je déprime beaucoup, ça n'influence pas l'écriture heureusement... Mais je vois de moins en moins mes amis et... Bordel, qu'est-ce qu'ils me manquent... Il me faut un boulot et de l'argent, VITE...
Mais je n'arrive même pas à en faire une priorité, bordel... L'écriture d'abord, la vie après... C'est INFERNAL !
Article ajouté le Jeudi 28 Avril 2011 à 01h38 |
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HXH 86
Excellent épisode !
Les épisodes semblent rassembler beaucoup de choses, c'est bien. On a ainsi droit à énormément de moments du canon (On a bien l'équivalent de trois chapitres).
Pâmu est EXTRAORDINAIRE, c'est vraiment LA révélation de cet arc. Elle est non seulement hideuse mais en plus sa voix d'outre tombe est effrayante. Ravi de voir ce personnage enfin animé.
Knuckle est hideux mais c'est pour son bien.
Peu de rajouts (si ce n'est le changement d'ordre assez étrange pour ce qui est de la façon dont Pitô découvre sa faculté) (Et une meilleure explication des pouvoirs de Pufu - je n'avais jamais compris ce moment "Je l'ai dit à voix haute" lors de leur première rencontre et j'ai fait le lien avec son "message spirituel")
Un seul petit retrait que SEUL un fan hardcore comme moi a pu remarquer tellement je suis autiste de ce manga : Quand Biscuit utilise son pouvoir Magical Esthe, dans le manga, elle mentionne que "ce n'est pas gratuit". Cette réplique n'est pas dans l'anime. Je pense que c'est un truc que l'auteur voulait développer plus tard mais qu'il a finalement laissé tomber.
Bref l'anime avance bien, est très fidèle au manga ce qui est jouissif, tout est parfait ne changez RIEN.
Article ajouté le Lundi 01 Juillet 2013 à 19h56 |
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Pendant que j'y suisse....
Oui c'était pour vous informer/dire que j'avais refait le chapitre 1 de Smirnoff... 1.
Le souci.
C'est que cette réfection s'accompagne de la modification de certaines phrases/répliques que j'estime mal écrites ou imparfaites. Du coup ça donne ce genre de changements :
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SCENE ORIGINALE :
Smirnoff pêcha d'abord un Magicarpe. Adam exulta de joie. Le professeur demanda au pêcheur s'il en voulait, celui-ci accepta.
-Eh !
-Pas assez cool pour toi.
-Mais ça évolue en Leviator !
-Justement, t'es trop minus.
-Mais...
-Et ce pêcheur a une famille à nourrir ! Il en a plus besoin que toi !
Il pécha un Mustebouée qu'il rejeta à la flotte.
-Ca se pêche ça ?! Franchement ! Grommela le prof.
-Oh non... C'est rare ces trucs !
-Justement c'est trop bien pour toi !
SCENE REFAITE :
Smirnoff pêcha d'abord un Magicarpe. Adam exulta de joie. Le professeur demanda au pêcheur à côté de lui s'il en voulait, celui-ci accepta.
- Eh !
- Pas assez cool pour toi.
- Mais ça évolue en Léviator !
- C’est pas Feng-Shui d’avoir des Pokémon plus beaux que soi.
- Mais...
- Et ce pêcheur a une famille à nourrir ! Il en a plus besoin que toi !
Il pécha un Mustebouée qu'il rejeta à la flotte.
- Ca se pêche ça ?! Le réchauffement climatique fout un de ces bordels… grommela le prof.
- Oh non... C'est rare ces trucs !
- Justement c'est trop bien pour toi !
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M'voyez ?
Néanmoins cela me permet sur ce seul chapitre de rectifier certaines erreurs.
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SCENE ORIGINALE :
-Ouah, quel... Rêve original... Ca me rappelle ma sœur... « Moi j'veux être danseuse »... Et aujourd'hui elle est serveuse dans un fast-food. Magnifique, les rêves... Très beau... C'est utile ! Sourit cyniquement Smirnoff
SCENE REFAITE :
- Ouah, quel... rêve original... Ca me rappelle ma sœur... « Moi j'veux être éleveuse »... Et aujourd'hui elle enchaîne les boulots mais rien de stable. Magnifique, les rêves... Très beau... et utile ! sourit cyniquement Smirnoff.
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M'voyez² ?
Je refais les chapitres dans un document qui s'appelle "La Repriseuse".
D'un côté, moi ça me botte, j'aime revenir sur mon histoire et la perfectionner.
Cependant j'ai un peu peur de dénaturer l'esprit originel de la fic et du coup de la rendre moins... naturelle, moins spontanée.
J'aimerais donc savoir ce que vous en pensez...
Il y a autre chose que je devrais vous dire mais en fait j'en ai parlé à Pokéclément et je pense que je ne devrais pas ébruiter la chose sous peine de provoquer une émeute guerrière.
Ah, si ! Je prévois peut-être une fic en plusieurs chapitres, un Ship entre Sacha et Rachid, titre de travail : "La cendre et l'arachide". La fic serait évidemment restreinte, mais en plusieurs chapitres = une vraie histoire ! D'ailleurs ce même Pokéclément m'a apporté des éléments intéressants pour la construction d'un potentiel scénario... ou pas, en fait, ça dépend, on verra. Encore que. Oui Pokéclément c'est un peu l'éminence grise de Domino... En fait c'est lui qui tire les ficelles, toussa.
Vwala Vwala. J'ai oublié d'aller sur le Dream World aujourd'hui... Pas bien !
Article ajouté le Mercredi 27 Avril 2011 à 01h09 |
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Avancement du chapitre
Pffffff.
- Fini 4 combats sur 6 mais faut que je retouche le combat contre Inézia qui pue un peu du cul (C'est pas ma faute si les Pokémon électriques n'ont aucune diversité dans leurs attaques)
- J'ai pas avancé dans le flashback. Ouais. Je sais.
- Ni dans les scènes annexes. Huhuhu.
Et il est hors de question que je m'excuse pour ma critique de Hunger Games. C'est exactement ce que j'ai pensé du film, avec mon ton de merde, certes, mais ça ne justifie absolument pas vos réactions de veuves éplorées qui défendent le truc mordicus et qui me conjurent de lire le livre. Alors qu'ailleurs j'ai quand même lu que le film avait quand même retranscrit pas mal de détails du livre, notamment des trucs insignifiants comme le fait que Katniss compte les coups de canons au début. Donc je suppose que le scénario n'est pas si mal retranscrit que ça.
Article ajouté le Lundi 01 Juillet 2013 à 11h48 |
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Processus de réflexion : Over
Cela veut dire en gros que je SAIS EXACTEMENT, avec grande EXACTITUDE COMMENT je vais finir Smirnoff, à savoir de la façon la plus... convenable qui soit afin d'éviter de recommencer ensuite. Du moins la fin telle que je l'ai imaginée est celle qui me plait le plus et me paraît la plus adéquate, même si ça m'oblige à faire du mal à quelqu'un, à torturer un autre personnage et à faire quelque chose qui peut sembler idiot vu sur le papier mais qui au final s'avérera salutaire.
Ca fait plaisir.
J'amorce le prochain combat, ça s'annonce long et dur. Très long et très dur, oui oui. Un peu d'appréhension concernant votre réaction sur un certain point du chapitre, il faudra que je relise certains combats mais... On verra bien.
J'ai aussi trouvé une idée sympa pour finir le tournoi de façon à ce que la situation finale conserve tout son arôme, son piquant et son épiquant.
Donc je rappelle pour les non-voyants que la suite de la fic se dessinera ainsi : (full of spoilers
48a - déjà publié
48b - La moitié est faite, reste le match xxxxx vs xxxxx
48c - 3 autres matches déjà donnés précédemment
48d - 3 autres matches dont un avec Denis
49a - 3 autres matches dont un avec Travis
49b - 3 autres matches dont un avec Etienne
49c - 3 autres matches dont un avec Malcolm
49d - 3 autres matches dont un avec Nathan
50 (La fin du tournoi !)
51 Chapitre normal ! Titre de travail : Métamorphine
52 Chapitre normal ! Titre de travail : Tribunal Zéro
53 Chapitre normal ! Titre de travail : Arcana
54 Chapitre normal ! Titre de travail : La tentative de ?
55 Chapitre ajouté - Titre de travail : The Walking Bed
56 Chapitre normal ?
57 Chapitre normal ?
58 Chapitre normal ?
59 Chapitre normal ?
60 Chapitre normal ?
61 Chapitre final qui clôturera la série, la saison, la vie bref... Titre de travail : Un petit dernier pour la route.
Voilà tout les enfants. Je suis fin prêt à finir cette fic, je m'y engage. Jusqu'à ce que je recommence ! :D
Article ajouté le Lundi 25 Avril 2011 à 15h42 |
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