Domino, Lovely Bitch Writer
de Domino

Je crois que ma théorie se confirme, la stat à 130 de Nymphali serait sa défense spéciale.

Sur une vidéo, il se prend un Hydrocanon + Pluie + Orbe Vie + Coup Critique.

Ses PV vont à peine dans le jaune.

Je pense donc que sa défense spéciale est très, très élevée.

Ici..

PV : 110
Attaque : 60
Défense : 65
Attaque Spéciale : 65
Défense Spéciale : 130
Vitesse : 95

Pourquoi vitesse 95, parce que malgré la distorsion, Tarpaud attaque en premier. La vitesse de Tarpaud est 70.

Nymphali est donc le nouveau Leuphorie.

Bon alors il est très plus que probable au vu de mon rythme actuel que je finisse à temps le Estelle vs Ethel... vous laissant ainsi pendant 16 jours avec l'affreux cliffhanger d'attendre pour avoir le combat Etienne/Adam. That bitch of a cliff

Je publierais évidemment ce que mes modestes doigts auront réussi à écrire entretemps mais ça sent mauvais pour le battle du siècle (non en fait non)

Il est très probable que j'avance/finisse le tournoi pendant ces 5 jours. Il y a deux ans, j'avais écrit environ 400 ko de barbaque chapitrale en une vingtaine de jours, je pense qu'à l'aise, je finis le tournoi, à savoir les sept-huit combats restants. Je pense aussi pouvoir amorcer la suite de la fic.

A mon retour cependant je publierais directement TOUT ce qui a été écrit pendant ces vacances, car je sens que la fin de l'été sera très agitée pour moi et que j'aurais peu de temps pour écrire/aller sur le net. Bref, sur ce, je vous laisse, j'ai un combat à finir =_= THIS IS TORTURE !

PS : Le chapitre est publié

"Et je peux invoquer... UNE PALOURDE GEANTE !!!"
(Le second Mizukage dans le chapitre 548 de Naruto)

Chapitre convenable, on continue sur Gaara, tout ça, donc c'est ok et même presque plutôt émouvant, la guerre bat son plein...

La double page fait un peu Doujinshi (Kishimoto devrait penser à une reconversion) et le coup de Itachi/Nagato face à Naruto s'annonce... Bah... Je sais pas trop en fait. Itachi a encore ses yeux ? Nagato aussi ? WTF ? Ils en ont de rechange ?

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Je rappelle également
- que j'ai publié la totalité du chapitre de Smirnoff,
- que ce qui a été posté précédemment sur ce blog sera publié aux environs du 1er aout (Je le posterais avant mon départ en vacances). Comme certains l'ont remarqué, le nom de la fic en question sera Extrême Parodie de Fic Pokémon à Unys.
- que je peux à présent vous donner les combats de l'avant-dernier chapitre du tournoi :

Lily Meadow contre Jennifer Scoresby
Léopold Finsbury contre Vincent Hadley
Malcolm Heine contre Théodore Raven

Par analogie, vous pouvez donc deviner qui sont les six derniers concurrents : Rachel Smirnoff, Kate Ludges, Nathan Vinner, Lenny Vaulton, Gilles Moutier et Daniel Pentwell. Ils se partageront donc les dernières batailles.

Finalement il ne me reste que neuf combats à mettre en scène... Pfiou, qu'est-ce que j'ai abattu comme boulot ! Ca va être marrant de voir la taille totale du tournoi à la fin...

- Hélionceau
- Flingouste
- Cabriolaine ou Marisson
- Sucroquin
- Pandespiègle
- Un esclave à CS ou un sixième Pokémon cool

En tout cas je les vois beaucoup plus facilement en fic que les 5G que j'ai mis des lustres à adopter...

Si j'avais à les placer par personnage dans la fic actuelle :

- Marisson : Firmin, Francis, Holland, Orson, Ana

- Feunnec : Wallace, Roland, Violette

- Grenousse : Walter, Clive, James, Tino

- Nymphali : Rebecca, Amélia, Christina, Quinn, Perrine, Holly, Naomi, Santana

- Pandespiègle / Pandarbare : Firmin, Steven, Violette

- Passerouge / Flambusard : Firmin, Wallace, Robbie, Tristan

- Galvaran : Santana, Lucy, Quinn, Fey

- Cabriolaine / Chevroum : Firmin, Santana, Perrine, Wallace, Walter, Francis

- Bruyverne : Steven, Mike, James, Fey, Helen

- Lépidonille / Pérégrain / Prismillon : Christina, Amélia, Holly, Rebecca

- Flingouste : Walter, Clive, Robbie, Violette, Lilian

- Venalgue : Clive, Andréa, Ana, Quinn, Léon

- Hélionceau : Firmin, Naomi, Wallace, Robbie, Tristan

- Flabébé : Firmin, Christina, Santana, Walter, Francis, Holly

- Monorpale : Orson, Benjamin, Tino, Tristan, Robbie, Clive, Andréa

- Fluvetin : Holly, Christina, Amélia, Rebecca, Lilian

- Sépiatop/Sépiatroce : Rebecca

- Sucroquin : Firmin, Léon

- Dedenne : Robbie, Tristan

- Sapereau : Francis, Walter, Steven, Christina

Je tenais également à attirer votre attention sur le caractère thématique des équipes de certains élèves :

- L'équipe de Wallace respecte le triangle des éléments (Eau-Feu-Plante)

- L'équipe de Santana est spécialement construite, typologiquement parlant pour battre celle de Wallace.

- L'équipe de Perrine, a l'exception de Cacturne, a une thématique artistique (Maskadra avec ses yeux, Kecleon et son talent, Queulorior)

- L'équipe de Holly a un thème qui tient au sacré, au pur, au beau : Mélofée, Aéromite, Ecayon, autant de Pokémon gracieux.

- De même l'équipe de Gina a une thématique plus ou moins "chaude", avec Vibraninf et Maracachi qui sont des Pokémon désertiques.

- Les Pokémon de Violette n'évoluent pas et ont été spécialement choisis pour ne pas convenir à une fille.

- L'équipe de Fey a pour thème la vitesse et la mobilité.

- L'équipe d'Andréa a pour mot d'ordre : Effrayant mais Petit et Faible.

- L'équipe de Clive a pour mot d'ordre : Flippant mais Grand et Badass.

- Mike, Steven et James ont des équipes construites selon trois archétypes différents : Un Pokémon Combat avec chacun un poing élémentaire (James = Feu, Mike = Eclair, Steven = Glace), un Pokémon qui choque dans leur équipe (Yanmega, Drakkarmin et Armaldo) et un Pokémon plus classique (Sablaireau, Blizzi, Tauros)

- L'équipe d'Orson est basée sur différents types de sous-éléments scientifiques : Mouvement perpétuel (Clic), Vent et météorologie (Baudrive), Son (Ramboum)

- Lilian et Léon ont : Un Pokémon Eau/Feu, un Pokémon défensif amené à évoluer en Pokémon Acier et chacun un Pokémon appartenant à une paire différente (Posipi/Muciole)

BIENTOT... sur POKEBIP

*Eté*

Cette histoire débute dans la petite contrée de Renouet. Un village paisible au demeurant. Plusieurs personnes y vivent en harmonie avec la nature. Le jeune Black sort de sa maison en cette délicieuse matinée ensoleillée même que tout est tellement parfait que cela semble irréel.

- … Mais qu’est-ce que c’est que ce bin’s ! MAMAN ! Y’A PLEIN DE POICHIGEON DEVANT LA MAISON ! Et ils ont chié partout !!
- Poichi ! (Qu’est-ce qu’il a ce petit con ?)
- Poich’Poich’ ! (J’crois qu’il a appelé la police un truc comme ça !)
- Poichi Poich’ ! (Montrons-lui de quoi qu’on est capables !!)

Les Poichigeon sautèrent à la face de Black qui ressemblait totalement au dresseur là dans les jeux noirs et blancs. Enfin vous voyez ce que je veux dire.

- NAN ! DEGAGEZ BANDE DE SALES POKEMON POURRAVES ! PERSONNE NE VEUT DE VOUS DANS SON EQUIPE !!! FOUTEZ LE CAMP ! Je hais les Poichigeon !!

Black se releva et tomba sur Tcheren. Enfin, Techreine. Ou Técheraine. Il n’avait jamais su écrire son propre nom à vrai dire. C’était le même garçon que dans les jeux ou sur son Artwork. Bref vous avez juste à chercher sur Internet. Sur Google quoi. Vous tapez « Tcheren » et vous le verrez. N’oubliez pas le T sinon vous tomberiez sur une image de la chanteuse Cher ou alors deux vieux en calbute. Pas cool.

- Tiens. Black Copyright Nintendo… Que fais-tu, levé, de si bon matin ?

Black regarda l’étrange garçon à lunettes avec son style de cheveux bizarre qui porte un nom en japonais mais osef.

- Tiens... Tcheren Lunettes ! Et toi donc ?
- Moi ? Eh bien j’étais en train d’espionner White par la fenêtre en bavant dans les fleurs de sa mère…
- Ah, la routine quoi… marmonna Black.
- Ouais, et en fait je t’ai entendu hurler sur les Poichigeon. Tu sais, si tu ne respectes pas le Poichigeon, il ne te respectera pas en retour…

On entendit alors une chaîne Hi-Fi à fond.

- Tiens, Madame Keteleeria est réveillée ! sourit Tcheren.

La scientifique sortit de sa maison, saoule et en sous-vêtements.

- OUAAAAAAAAAAAAIS PUTAIN C’EST LA FÊTE OUAIS ! VIVE KE$HA PUTAIN DE SA MERE ! DON’T STOP, NANANA, APRES J’COMPRENDS PAS LES PAROLES, TIK TAK NANANA, NANANANANANANA ! OH OH OH OH !
- Baggi Baggi !! (Eh reviens ici toi là !)

Baggiguane suivait Keteeleria. Black et Tcheren regardaient cette scène très habituelle.

- Elle a changé de marque d’alcool ?
- Non, Jack Daniels a changé la forme de ses bouteilles.
- Ceci explique cela… marmonna Black.
- EH LES JEUNES ! DITES NON A LA DROGUE ! ET ENSUITE DITES-MOI QUI EN VEND ET OU ! WHOUUUUU !
- Oui madame… marmonnèrent Black et Tcheren.
- Baggiguane !! (J’ai faim ! Va me nourrir, et mets un slip qui tienne !!)

Keteleeria rentra chez elle en titubant, furieuse.

- ME DICTE PAS MA VIE, PUTAIN DE BAGGIGUANE ! TU SAIS QUOI ? T’ETAIS UN ACCIDENT ! J’T’AI PAS DESIRE ET J’AURAIS MIEUX FAIT D’AVORTER !!!
- Baggiguane… (Rien à faire, j’ai fait caca dans ton café !…)

Black soupira et regarda Tcheren.

- La routine, quoi… tu vois ce que je veux dire, le petit village de Renouet quoi.

Keteleeria s’arrêta devant sa porte.

- AU FAIT BLACK N’OUBLIE PAS QU’AUJOURD’HUI TU RECOIS TON PREMIER POKEMON !

Black regarda Tcheren, faussement surpris.

- N’OUBLIE PAS DE RAMEUTER LA BLONDASSE AINSI QUE TA GONZESSE AU MINISHORT SEXY ET NE DIS RIEN AU PETIT MERDEUX AVEC LES LUNETTES !
- …………………
- … Black, aurais-tu quelque chose à me dire ?
- … Avec White, ça fait un an !
- … Et tu n’as pas daigné me prévenir, ni pour ça, ni pour le premier Pokémon ?
- En fait, elle a pas de Pokémon pour toi…
- FAUT QUE J’AILLE ME SAOULER LA GUEULE AVEC LE FRIC QUE J’AI ECONOMISE EN ACHETANT QUE TROIS STARTERS AU LIEU DE QUATRE !
- … enfin tu vois l’embrouille quoi ! sourit Black, gêné.
- … pas vraiment…
- Black !

Les deux garçons se tournèrent vers White Entertainment System. Tcheren se courba vers l’avant, la bave aux lèvres. Black salua la jeune fille. SOUDAIN elle se prit de l’eau qui était tombée d’un avion qui passait au-dessus du village. Couverte d’eau, ses vêtements et ses cheveux étaient trempés. Elle s’agita dans tous les sens sur la musique diffusée par Keteleeria à savoir un truc de Beyoncé, Rihanna ou Jay-Z enfin bref un bon gros beat sur lequel une fille sexy, une bonasse quoi, peut se déhancher de façon sexy tout en étant trempée.

- Tu t’es bien réveillée, White ?
- Ouais tranquille, et toi ?
- Ca va, ouais ! sourit Black.
- Tcheren, bonjour…
- baaaaaaaaaaah…
- Tcheren, j’ai reçu tes fleurs, ton parfum, tes biscuits de régime…
- hinhiin…
- J’ai tout jeté à la poubelle vu que c’était bourré de mouchards et de GHB…
- uuuuuh…
- Je songe à rappeler la police parce que j’ai l’impression que tu me prends un peu pour ton objet de fascination, mais dans un sens… Merde avec cette flotte les bretelles de mon soutien-gorge glissent…
- Je vais t’aider ! acquiesça Black.
- Merci !

Black ajusta les sous-vêtements de White alors que Tcheren saignait du nez.

- putaaaaaaaaaaaain…
- Tu me chatouilles !
- Ca glisse un peu trop, tu devrais rentrer te sécher…
- De la merde, au pire j’enlève ce truc… Si j’ai les seins qui ballotent une matinée, ça va pas me tuer…
- Toi non mais Tcheren si !

En effet le jeune homme avait un torrent de sang qui lui coulait du nez.

- On s’en tape. J’ai pas les fesses trop boudinées ?
- Parfaites, mon chou.
- Cool. J’avais peur de ressembler à un boudin.
- Nan, t’es superbe ma puce.

Black tapa les fesses de White qui ricana.

- Vilain petit polisson !!
- C’est toi qui me mets la marchandise sous les yeux !

Tcheren s’évanouit dans une mare de sang. Black et White le regardèrent.

- Mais quel pauvre mec ! soupira White.

Un grand fracas se fit entendre. Black et White se tournèrent vers la maison de Bianca.

- C’est pratique ce village avec les maisons qui sont aussi proches des autres.
- Oui, c’est pratique aussi qu’on soit les seules familles du village… marmonna Black.
- En plus on a tous le même âge vu que tout le monde a fait ses enfants dans la même période.
- Vive les Cocktails Fertilité après les Réunions Tupperware…
- Dire qu’on va voyager ensemble, loin de ce trou paumé ! Rien qu’à l’idée, j’en ai des frissons !
- uuuuuuh !
- Ta gueule, Tcheren… soupira White.

Le fracas se fit entendre de nouveau dans la chambre de Bianca.

- Elle a un mec ? s’étonna White.
- Là, non, elle doit s’habiller…
- Comment tu sais ça, toi ?
- Elle habite à côté de chez moi, cette fille est une calamité humaine…
- Non, comment tu peux savoir que là, elle s’habille ?!
- Oh non, ma choute, pas de crise de jalousie…
- QU’EST-CE QU’IL Y A ENTRE TOI ET CETTE PUTE ?
- White, c’est Bianca, vous êtes amies !!
- Excuse-moi, tu connais ma jalousie extrême !
- Oui, mais tu ne réalises jamais ce que tu dis pendant ce temps-là !
- Je sais mais c’est juste suspect que tu saches que…
- On est le matin, je suppose qu’elle doit se lever, et qu’ensuite elle prend sa douche, s’habille et va probablement venir nous rejoindre après !
- Ok, ok. COMMENT TU SAIS QU’ELLE VA PRENDRE SA DOUCHE ? Y’A QUOI ENTRE TOI ET CETTE PUTE ??
- ……………

Bianca arriva après trois nouveaux fracas. Elle était suivie par son père.

- REVIENS ICI SALE GOSSE !
- Non Papa-heu ! J’fais qu’est-ce que je veux !!
- BON SANG DE BOIS ! TU TE PERDS DANS TA PROPRE CHAMBRE, BIANCA !
- C’est pasque t’as retiré mes flèches et mes traces de pas en plastique sur le sol, je sais plus où j’habite ! Salut Black, salut White, salut cadavre ensanglanté de Tcheren !
- Salut, Bianca ! sourit Black.
- wfffllll… grogna Tcheren, baignant dans son sang.
- Hey Bi ! sourit White.

Nouvelle explosion nasale sanguine de Tcheren.

- BIANCA C’EST LA DERNIERE FOIS ! A TROIS, JE FERME LA PORTE A CLEF, JE CHANGE LA SERRURE ET JE BARRICADE LA MAISON ! A TON RETOUR IL Y AURA UNE DOUVE, DES BARBELES ET DES BARGANTUA PLEIN LA FLOTTE !

Bianca soupira.

- Papa, j’ai décidé d’y aller, t’as rien à dire, c’est tout moi que j’ai décidé ! Avec l’aide de Black et White ! Et aussi du professeur !

Laquelle balançait des bouteilles de vinasse vides par sa fenêtre.

- SALUT MONSIEUR BIANCA ! HEEEEEEY !! CA VA LA VIE ? WHOUUU !

Le père de Bianca soupira.

- Va au diable ! De toute façon tu sers à rien, tu fais pas le ménage ou la cuisine, t’es aussi bancale que ta mère !!
- A bientôt papa !
- T’as intérêt à trouver un appart ma fille parce que t’es pas prête de revenir ! Je vais transformer ta chambre en salle de sport !
- De toute façon y’a que deux pièces dans la maison, le salon et ma chambre… Vous dormez où ?! s’étonna soudain Bianca.

Black et White se regardèrent. Le père de Bianca soupira.

- Pose pas de questions idiotes que tu connais déjà la réponse !
- D’accord papounet chéri d’amour !
- Va chier, petite pouffiasse !
- Oui papa !

Le père rentra, furieux. Bianca se tourna vers Black et White.

- Aaaaaaaaaah ! Qu’est-ce que ça va être bien de partir !
- C’est ce qu’on se disait ! sourit Black.
- Bianca, qu’est-ce qu’il y a entre toi et Black ?!
- Quarante-trois centimètres ! Il est là devant moi et il y a tout cet espace entre nous !
- … Oh.
- Excuse-là… soupira Black.
- Non, ça va je suis habituée…
- COMMENT CA T’ES HABITUEE ?? TU FREQUENTES MON MEC OU QUOI ? DE QUOI T’AS L’HABITUDE !
- Chérie arrête enfin !
- Tu es drôle, White, Hihihi ! sourit Bianca innocemment.
- On devrait aller au laboratoire de Keteleeria maintenant pour commencer plus vite notre voyage initiatique à Unys… marmonna Black pour calmer le jeu.

Tcheren se réveilla d’entre les morts.

- ET MOI AUSSI !
- Non, Tcheren, je suis désolé, vieux, on se connait depuis la maternelle…
- Quelle maternelle, y’a qu’une école, elle est à Ogoesse et y’a qu’une salle de classe ! s’étonna Bianca.
- … mais voilà quoi, j’ai White maintenant, j’ai essayé de te le cacher parce que je savais que tu réagirais très mal, mais…
- Tu sors avec White ?! s’étonna Tcheren.
- … MAIS OUI PAUVRE CRETIN ! Pourquoi tu crois que je suis aussi proche d’elle !
- J’vous croyais frères et sœurs !!
- MAIS NON ! Tu vois bien qu’on habite dans des maisons différentes avec deux parents différents chacun !
- … J’me sens nul…
- Bah ouais vieux… Désolé, c’est la vie.
- Et mon voyage Pokémon alors ? J’le commence quand, moi ?! Et j’le fais avec qui ?

Black haussa les épaules.

- Je sais pas, vieux… Je sais vraiment pas. Désolé.

Les trois tournèrent leur dos à Tcheren. Il mata bien les fesses fermes et bombées de White avant de hurler de désespoir.

- NOOOOOOOOOOOOOON !!!

On lui balança de la flotte au visage. C’était la mère de Black.

- LA FERME ! J’attends un beau détective privé ! Tu vas le faire fuir !!

(Melissa Auf Der Maur, Taste You (French Version))

Mon amour, mon amour
J't'entends pas mon amour
Dis-moi où t'es allé


Mon amour, mon amour
J'te sens pas mon amour
Dis-moi ce que j'ai fait


Branche-toi, à...
Et je vais t'avaler
I will taste you...


T'es si loin, t'es si loin
Je te goûte pas du tout
Faut me guérir amour


J'ai de plus en plus faim
Je suis mon instinct
Ça me met à l'envers


Tu t'effaces mon amour
Tu n'es plus qu'une ombre
Oh reviens-moi


J'ai de bonnes nouvelles
J'oublie tes pêchés
Je te pardonne


Viens vers moi, branche-toi
Et je vais t'avaler
I will taste you !





Mon appétit est sans fin
Laisse-moi te tenter
I will taste you !!


(Excellent épisode, merci pour tout ça !)

Faites-moi une faveur. Arrêtez de me raconter vos problèmes. J'en ai assez. Je ne suis pas votre épanchoir, votre crachoir, votre bénitier, votre confessoir, votre fausse contribution verbale à quelque quota que vous devez remplir. Il suffit. Je suis là, assis, sur ce siège, je vous regarde parler et pleurer et ça me porte au nez. Je n'en peux plus. Si j'en avais la force, la vitesse et le courage, je vous tirerais les cheveux jusqu'à vous arracher la tête. De vous entendre digresser sur votre enfant handicapé et malade, ça me file la gerbe. Cela me rapporte de l'argent mais cela me démolit la cervelle. Je sens que je vais m'envoyer le sachet de cocaïne dissout dans du lait à ce train-là. Je vous pisse à la raie, vous et vos histoires, vous et vos foutreries qui ne m'amusent plus. Et pour l'amour du ciel, pleurez abondamment et face à l'objectif de sorte que la lumière capte avec fidélité l'intensité de votre drame. Sinon, moi, on me sucre des primes.

(J-L Delarue)

Pourquoi me faites-vous la leçon ? Vous pérorez tous de votre irréprochable morale. Vous prétendez que je suis un porc, que je suis immonde, dégoûtant, que je vous fais honte. Mais vous seriez bien contents d'être à ma place. L'argent, les femmes, le statut, les entrées partout, les opportunités... Je ne manque de rien, je suis votre nouveau Bacchus en costume, et pourtant vous me méprisez, vous me crachez dessus comme si j'étais une créature monstrueuse. Ce n'est pas moi qui suis immonde c'est vous. Vous qui n'arrivez pas à regarder en face que je suis en fait la vie dont vous rêvez tous. Laissez tomber ces draps de morale dont vous vous couvrez avec tant d'empressement et regardez la vérité en face : Vous rêvez d'être moi et moi je ne rêve certainement pas d'être vous. Continuez d'avoir la vie la plus misérable possible afin que la mienne paraisse la plus fastueuse possible. Je me gausse de vos réactions face à mon style de vie, parce que tout ce que vous dites contre moi, vous aimeriez le réaliser. Je ne me vautre pas dans le sexe : Je baigne dedans. Si vous vouliez vous y vautrer, vous n'aviez qu'à réussir votre vie.

(D. Strauss Khan)

Je ne suis pas une salope. Vous ne pouvez pas dire ça. Vous ne réfléchissez pas selon des critères rationnels. Avant de me traiter de salope, regardez le monde dans lequel vivent les femmes : Enfants, nous sommes déjà asservies, condamnées à apprendre à nous vêtir et à agir comme des adultes. La poupée Barbie devient un avatar. Toute petite, nous sommes déjà des adultes, du moins dans les yeux de notre jouet. Oui, parce que nous, nos jouets ont des yeux. Des yeux humains, réalistes, qui brillent, dans lesquels nous regardons plus que dans ceux de nos mères, qu'ils soient ceux de femmes, d'hommes qui ne ressemblent jamais à notre papa ou de bébés factices dont nous faisons semblant de nous occuper pour faire comme maman et partager son calvaire. Nous jouons à passer l'aspirateur, à faire la cuisine, à la marchande, nous regardons à la télé d'autres femmes qui tournent des lettres dans un jeu de mots, d'autres femmes qui se tiennent à côté du journaliste important et qui posent des questions sans intérêt. On nous vole notre enfance pour faire de nous des créatures au service des hommes. L'homme, enfant, joue à rêver de sa vie adulte, la fille passe son enfance à prendre conscience de l'enfer qu'elle sera. Alors ne me traitez pas de salope, je suis juste votre création, je suis l'enfer auquel j'ai été entrainée toute ma jeunesse comme une bonne Barbie Soldat. Et n'oubliez pas d'acheter mes sacs P. Tasse, ils sont en solde.

(P. Hilton)

Il faut que vous sachiez une chose : Je suis un pauvre être humain au milieu d'un grand carcan de pierre, de verre et d'électricité. Les gens me pensent riche mais je n'ai que de l'argent, cela ne me serre pas dans quelque bras pour me consoler d'un gros bobo. Je suis un pauvre petit homme qui fait caca comme vous chaque matin, qui se voit nu quand il se lave, qui rote de temps en temps à table, qui trébuche et perd sa dignité de temps en temps. Il faut me comprendre. Je n'ai pas le choix : Pour garder ce qui me permet d'être mieux que vous, je dois tuer ces gens de mon pays qui veulent me renverser. Qu'ont-ils à me reprocher ? Qu'est-ce que je leur ai fait ? Rien, au contraire, j'ai nourri ces gens comme au sein. Ils sont vraiment ingrats et méchants. Je dois me défendre, vous comprenez ?

(M. Kadhafi)

Mais la vie, ça n'est pas facile. Je me lève à sept heures du matin et chérichou n'est pas là. Je caresse mon ventre et je sens bébé qui cogne. Petit monstre ! Ensuite je bois de l'eau pure dans un verre en cristal fin importé d'un pays qui se finit en Tan ou en Nie. Puis je me balade en chantonnant dans les couloirs. Et enfin tout le reste de la journée, je me prélasse car j'aime me prélasser, c'est si bon. Je ne comprends pas que les gens se plaignent, la vie est si belle. Mon chérichou fait tellement bien son travail, il y est presque 24 heures sur 24, il me voit à peine et quand il me voit il me dit qu'il m'aime, même si je doute qu'il se rappelle pourquoi il m'aime. Moi-même parfois je me demande pourquoi on s'est mariés... et ce bébé, il me l'a fait quand ? Enfin, je veux dire... Trouvez un trou dans son emploi du temps pendant lequel il aurait pu me le faire ? A moins que cet enfant ne soit de l'immaculée conception... Oui c'est la seule explication logique. Je devrais écrire une chanson à ce sujet.

(C. Bruni-Sarkozy)

A surligner si ça vous intéresse !

- Les titres des chapitres ont quelque peu changé, vous retrouverez donc "Métamorphine", "Tribunal Zéro", "Sérieux ?!", et les titres qui ont changé sont "Roulette Rose" et "Purgatoire", les deux suivants.

- Deux éminents chats seront référencés dans la suite de la fic, l'un venant d'un conte de fées, l'autre en rapport avec la physique.

- Amy pourrait devenir un personnage important.

- Au terme de la fic, deux personnages qu'on a vu sur plusieurs saisons seront morts.

- En plus d'Amy, un nouveau personnage inquiétant sera introduit, et un personnage pas inquiétant du tout mais pas forcément très rassurant apparaîtra aussi. On n'a vu aucun de ces deux personnages auparavant dans la fic.

- Il y aura un passage musical élaboré et complexe dans un chapitre

- Le chapitre spécial "The Walking Bed" aura une réelle importance dans la fic. Il donnera des indices sur la suite des évènements et des éléments révélateurs pour chaque personnage, y compris Finn et Denis.

- A propos de Denis, il se peut qu'il lui arrive quelque chose de grave avant la fin de la fic. Avec du sang.

- Un des chapitres les plus ignobles... probablement celui où Rachel apprend "l'affection" que lui porte Tobias.

- "The Walking Bed" fera intervenir au total 14 personnages.

- Le dernier arc narratif de la saison ne ressemblera en rien à ce que j'ai fait auparavant tout en rappelant de nombreux thèmes de la fic.

- Un des chapitres sera quasiment exclusivement constitué de dialogues.

- Le tout dernier épisode aura une structure narrative très linéaire et pourrait bien changer à jamais la vie des personnages voire de tout Poképolis. Fin du monde ? Peut-être.

- On aura droit à une dernière "réunion de famille".

- En à peu près dix chapitres, c'est Yann qui va le plus changer.

- Dimitri est le personnage le plus important de cette fin de fic. Avec Malcolm aussi.

- Près de cinq citations pourraient être utilisées pour le chapitre final, parmi celles-ci : « L'image du livre de cuisine ne correspond jamais au résultat final. » (Loi de Murphy)