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Domino, Lovely Bitch Writer
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Skitty 8 : La progéniture


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Un conte de Noël
A ses yeux, Noël était et avait toujours été une nuit blanche. Ce soir ne faisait pas exception. Au beau milieu des sapins lapons résonnait le crissement sourd de ses sabots dans la neige. Il flottait dans l’infini sous-bois comme une brume d’un gris amer qui nimbait l’horizon. Dans son champ de vision, une clairière de lumière au milieu des oppressantes fumerolles que le froid extirpait des neiges.

S’il s’obstinait à ne regarder pas plus loin que le bout de son nez, Rudolphe pouvait bien voir clignoter la lueur magique de sa truffe tantôt sombre tantôt rougeoyante. Il était le phare dans la nuit, celui qui transperçait neige et brouillard pour guider le Vieux dans la tempête. Le seul aménagement au cortège dont le Vieux s’était contenté depuis la nuit des temps. On comptait sur le petit Rudolphe, dernier arrivé dans la troupe, mais si volontaire et vaillant. A l’instant présent, pourtant, il était perdu. Il était égaré et personne ne pouvait lui montrer la voie, à lui. Son poil humide et ébouriffé comme après une guerre sentait tout sauf le naturel musc forestier que lui et ses compagnons embaumaient habituellement. Il était l’ombre de lui-même, une ombre qui envoyait ponctuellement un signal phosphorescent écarlate à travers la nuit de la forêt d’hiver.

La tête basse, Rudolphe transpirait le malheur et le désespoir, la démarche lente, lasse et droite vers un possible but. Des émotions résolument contradictoires avec la fête de Noël. L’acouphène qui transperçait son crâne lui rappelait avec douleur la demi-heure qui avait précédé. Elle fut âpre, au point qu’il en tremblait encore. Elle fut douloureuse, la blessure sur son cuisseau droit en témoignait. Il lui avait semblé n’avoir jamais aussi peur de toute sa vie. Qu’était-il arrivé à Tornade, le plus rapide, celui qui entraînait habituellement les autres, le seul à galoper tant avec aisance qu’avec grâce ? Qu’était-il arrivé à Danseur, cette brave Danseur, celle qui virevoltait et donnait au défilé tout son attrait ? Où se trouvait à l’heure actuelle Furie dont l’orgueil n’était pour ainsi dire plus le sien mais celui de toute la bande qui s’en imprégnait presque à chaque sortie ? Dans quel état se trouvait Fringant, cette brave Fringant, aussi belle que puissante, la préférée du Vieux pour ainsi dire, jamais un passage dans l’étable sans qu’il ne lui frotte affectueusement son vif col de fourrure luisante. Comète, Cupidon et Eclair… Quel bonheur, amour ou lumière pouvaient-ils bien apporter aux enfants à présent ? En étaient-ils seulement encore capables ? Par toute sa force conjurée, Tonnerre serait-il parvenu à s’en tirer ? Aurait-il pu empêcher cela ? Avec quelle ardeur le sentiment de culpabilité pouvait bien le ronger à présent ?

« Aucune, car ils sont tous morts », se répéta Rudolphe dans son petit cerveau de cervidé. « Tous morts, et toi, tu as survécu. » Dans son esprit bourdonnant, les évènements lui revenaient sporadiquement en mémoire. Il revoyait les paquets cadeaux volant à travers la nuit tumultueuse, ballottés au gré du vent mais rejoignant invariablement le sol. Il cauchemardait ses compagnons de course secoués par les vents, sans leurs harnais, sans les rênes qui les tenait au Vieux, complètement à l’abandon, s’entrechoquant, broyés par les tempêtes qui inondaient ce ciel du vingt-quatre décembre.

A la réflexion, ils n’auraient jamais dû partir. Rudolphe le savait. Il avait tout vu. Il savait que cela allait arriver un jour où l’autre et celui-là plus que tout autre. Le Vieux avait ses airs rougeauds des grands soirs, une face luisante écarlate figée dans la violence du froid. Ah bien sûr, la Vieille avait tenté de le dissuader de partir, mais c’était Noël. Les enfants attendaient. Ils en rêvaient de ce jour, toute l’année. Comment le Vieux aurait-il pu ne pas sortir ? Quand bien même… Quand bien même, bon sang. Comment être aussi mauvais pour présager de sa capacité à mener un traineau dans les cieux ?

« Si seulement il pensait un peu plus à lui qu’aux autres », songea Rudolphe. Tout en sachant que cette pensée était fort paradoxale, étant donné la situation. La maison était en vue. Il sentait que cela n’allait pas être beau à voir. C’était tout noir. Pas de lumière. Et ce qui ressemblait à de la fumée émergeait non pas de la cheminée mais de l’ensemble de la maison. « Tout a brûlé ». Embués de larmes, les yeux de Rudolphe se fermèrent un instant, terrassés par le profond désespoir qui ressortait d’un tel constat. Tout était fini, cette belle époque où lui et ses compères et compagnes gambadaient dans les landes de Laponie en attendant patiemment le jour de Noël pour réaliser ce tour du monde, cette impossible chevauchée, ce miracle absolu, l’ultime don fait à tous les enfants du monde, bons ou mauvais, dans le miséricordieux espoir qu’ils s’améliorent d’eux-mêmes et pas parce qu’on les récompenserait ou qu’on les punirait. L’humanisme même, Noël. Une saison de donner et de recevoir. Et tout cela venait de voler en éclats. Cette belle idée, tout cela n’était plus que cendres, tout comme le petit cœur de Rudolphe.

Un faible mais réel espoir survint, paradoxalement, là encore, d’un feu de camp qui ranima peu à peu la volonté de Rudolphe à mesure qu’il marchait vers ce point crucial de son existence à présent. Il devait avancer, il y avait quelque chose au-delà du sous-bois, quelque chose qui l’attendait, un coin chaud salutaire où il pourrait panser les blessures qui lui pesaient depuis tout à l’heure, tant physiques que morales.

Les images défilaient. La perte d’équilibre sur le Chemin du Ciel. La dégringolade. Le traineau qui se laisse aller au gré des flots aériens. Le tumulte. Les secousses. La peur. Les cris, affreux. Les hurlements, même. La douleur. L’irrépressible force centrifuge qui les menait tous, tout droit à leur perte. Rudolphe, projeté sans ménagement dans l’enchevêtrement piquant des sapins. La chute dans le tas de neige. Le choc. Ce moment de flottement entre perte et reprise de conscience. Le silence après la cohue. Se souvenir de qui l’on est, de ce qu’on est, de la vie, de comment marcher, de comment avancer, ne pas oublier de vivre. Avancer. Marcher. Oublier, progressivement.

Rudolphe se souvint pourtant d’avant cela. Au sortir de la maison, au moment de monter en selle, d’arpenter le traineau et de prendre les rênes, La Vieille sort de la bicoque, sent vers quoi le Vieux se dirige grâce à sa sagesse d’épouse, de femme et de mère, cet amour délicat comme une caresse mais qu’on adresse comme une claque, et qui se veut porteur. Elle s’avance, cette petite femme replète aux cheveux gris en chignon, et d’un geste aussi sévère que répétitif, retire la flasque des mains du Vieux. Cette petite bouteille répugnante dont il absorbait chaque rasade avec plus de gourmandise que la précédente. S’il n’avait pas bu autant de cette infâme potion, rien de tout cela ne serait arrivé. S’il avait, pour un jour dans l’année au moins, mis le holà. Mais non. La tentation était trop forte. Cette irrépressible envie, cette délicieuse liqueur au goût de miel, vanille et caramel. Mais ce n’est qu’un philtre immonde qui réduisait un brave bonhomme rond, gentil et affable à l’état de loque monstrueuse, puante et rude.

Il avait réussi à maîtriser son véhicule environ dix minutes, avant de sombrer dans un doux sommeil alourdi par la boisson, la fatigue et l’absence totale de goût de vivre qui avait empli le Vieux depuis que de moins en moins d’enfants s’intéressaient à ses vieux jouets et avaient jusqu’à cesser de croire en lui le moindre instant. Sentant que le monde se lassait de lui, il s’était lassé de sa propre santé mentale et avait décidé de la démolir à coup de liqueur.

C’était leur maison, au Vieux et à la Vieille, qui avait été touchée par l’impact du traîneau vrombissant. L’embarcation était fichée dans le toit fumant mais la majeure partie de la bâtisse n’avait pas été touchée. Soulagement pour Rudolphe. « J’ai peut-être au moins encore un chez-moi. Quelle sensation merveilleuse. Il y a quelques minutes je n’avais plus rien, et maintenant j’ai au moins ça ». L’Esprit de Noël qui l’emplissait savait bien que tout ce qui rappelait la maison au cœur des ténèbres du néant était en soi un cadeau des plus précieux.

Il ne marchait plus à présent, il trottait vers le feu de camp. Il s’arrêta, car tout autour s’était disposé, couchés sur leurs pattes, des rennes et une dame. Les larmes emplirent les yeux noirs du petit renne au nez rouge. La Vieille se leva avec sobriété et douceur. Rudolphe compta ses compagnons d’armes. Huit. Tous là. Il manquait des bois à certains, ils n’avaient pas l’air en bon état, certains portaient des bandages, mais ils étaient vivants, ils mangeaient, certains de bon cœur même. « J’espère qu’ils m’en ont laissé », fut la seule pensée idiote que Rudolphe se donna la peine de formuler dans son esprit confus, submergé à nouveau par l’infinie tendresse des longues soirées enneigées passées autour du feu. A déguster, comme ils le faisaient maintenant, des haricots blancs en conserve.

La Vieille arriva, aussi éprouvée et heureuse que Rudolphe. Elle étreignit le cou léger du renne, délesté de tout le poids que lui avait causé la potentielle disparition de ses frères de trait, de son foyer, de sa vie même, de tout son univers. Elle prit sa bride encore présente, que Rudolphe avait presque oublié. Le dernier lien l’unissant au Vieux et à ses frères. Lorsque la Vieille s’en saisit, une grande chaleur emplit Rudolphe. Ca y est, il était de retour. On l’avait récupéré, on le ramenait « à la maison ».

Il regarda ses frères et ses sœurs qui s’enquirent de son état. Il allait bien, et Rudolphe sut qu’eux aussi, malgré les coups durs, allaient bien. Ils étaient vivants, conscients, un peu amochés, mais bien. Rudolphe eut droit à son pot de haricots blancs en conserve, et la Vieille Mère Noël s’assit doucement sur sa souche d’arbre et reprit son histoire, de façon compulsive, comme pour se rassurer. Elle contait avec monotonie, avec sa traditionnelle éloquence sécurisante, sans sourciller, ce qui surprit Rudolphe. Ce n’est que lorsque ce luron de Comète à sa droite lui désigna la forêt, loin du cercle qu’ils formaient, que le petit renne au nez rouge aperçut le corps fumant du Vieux Père Noël, encastré dans la neige et le sol, totalement inerte, aussi noir que froid, les vestiges carmin de son costume n’ayant plus l’éclat et le soyeux que lui donnait habituellement la fraîche lessive et le bon adoucissant de la Vieille Mère Noël.

Cette douceur était morte avec d’autres candeurs que n’avaient à présent plus la robuste dame qui lisait aux rennes quand d’autres auraient prié. Et Rudolphe de se repencher sur sa boîte de conserve ouverte et frétillante de haricots. Mangeant avec appétit, il se concentra sur ce qu’il avait et oublia le peu qu’il avait perdu.
Article ajouté le Vendredi 12 Décembre 2014 à 22h28 |
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J'suis pas mort (je le jure)
Je joue, juste. Pas ma faute si le jeu est cool.

Deux petit gros bémol pour les "téléportations". Moi ce qui me plait dans Hoenn, c'est l'exploration, et le coup de "Tu veux qu'on aille à tel endroit ensemble ?" Euuuuh juste non. Et quand tu réponds oui, t'es bien deg. "Maiiiis je voulais explorer çaaaaaaa !"

Le Dex Nav est un beau moyen de chasser mais la façon dont il nique le taux de rencontre respectif des Pokémon sauvages est assez saoulante. Dans le désert j'ai bien galéré à me taper des Sabelette jusqu'à trouver les sauvages que je voulais. Et au bout d'un moment, juste ras le cul des Zigzaton.

A part ça le jeu est magnifique, une vraie tuerie. Je prends un pied d'enfer, j'ai six badges, je prends mon temps, j'explore. Je redécouvre des Pokémon.

Ma team :

Laggron "Fluo"
Hélédelle "Aline"
Chapignon "Kiki"
Chartor "Matt"
Négapi "Delphy" (En rotation)
Eoko "Myra" (En rotation)

A venir : Oniglali

Niveau fic, un peu la loose d'avoir perdu le concours, j'avais mis beaucoup d'efforts dans cette fic, mais bon au final content d'avoir mené ce projet là à bien et content d'avoir réussi à la faire comme je voulais la faire. Je pense que le manque d'intrigue et la focalisation sur une seule route et un seul Pokémon a joué contre moi. Je prépare aussi l'après Wallace. Haha ! Inspiration... Probablement Game of Thrones que je dévore en ce moment. Vous verrez bien :p
Article ajouté le Dimanche 30 Novembre 2014 à 12h48 |
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Les impressions du Domino sur ROSA
Boooooooon. Bah il est bien cool ce remake.

Outre le graphisme, les couleurs vives, l'emballage alléchant de la "3D" toute belle toute refaite, Pokémon Rubis Oméga / Alpha Saphir est un jeu Pokémon extrêmement stimulant pour tout fanboy qui se respecte. L'option DexNav est clairement un gros plus (et l'innovation majeure) puisqu'elle permet d'affiner ses captures. Le fait de devoir marcher doucement pour récupérer un Pokémon rare est également un plus : Hors de question de bourriner une route. Du coup on y passe des heures.

Mais le jeu en revient aux objectifs originels du cahier des charges : Attrapez-les tous. Cela faisait un bail que je n'avais pas capturé tout ce que je croisais, et là, c'est le cas. Tout ça pour obtenir toutes ces foutues couronnes.

Mon équipe pour le moment, après un badge et Piko libéré :

- Fluo le Flobio
- Line le Nirondelle
- Kiki le Balignon

On obtient le Multi Exp AVANT le premier badge, ce qui est encore plus tôt que dans XY. Revoir les Pokémon de Hoenn est jouissif, réécouter les musiques remasterisées est un véritable plaisir. Reparcourir Hoenn est dans son ensemble un véritable chemin de pétales de roses. Cette région est vraiment pour moi la région qui fait vraiment territoire d'aventurier. C'est varié, c'est coloré, c'est de l'exploration à fond les ballons, c'est grand, c'est complexe... Et c'est un lieu chargé d'histoire et d'émotion. Ce remake tient toutes ses promesses pour le moment. Et ils se sont vraiment éclatés ne serait-ce que sur la première arène.

Je continue, et la fic, du coup, s'en trouve très ralentie...
Article ajouté le Mardi 25 Novembre 2014 à 00h07 |
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J'ai ROSA
Je jouis.
Article ajouté le Lundi 24 Novembre 2014 à 21h37 |
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En direct du Pokémon Day
J'écris au stand fanfic (Je squatte plutôt)
Article ajouté le Samedi 22 Novembre 2014 à 14h13 |
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Bande de fous + Pokémon Day
1 - Les gens qui formatent leur console pour la passer en je sais pas quelle langue pour avoir ROSA en avance... vous êtes de sacrés malades mentaux. Les magasins l'auront d'ici mardi/mercredi. Bande de gros blaireaux.

2 - J'ai aimé le chapitre de One Piece même si j'appréhende beaucoup la résolution à la va-vite qu'Oda nous promet.

3 - Je serais présent au Pokémon Day, principalement pour passer le temps :p J'aurais mon ordinateur et ma 3DS, histoire d'écrire et de jouer.
Article ajouté le Vendredi 21 Novembre 2014 à 19h32 |
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Selon mes petites infos...

La Rose à l'Ablatif sera disponible République de l'Oberkampf le 25 novembre.

Mais je ne vous ai rien dit :p
Article ajouté le Mardi 18 Novembre 2014 à 18h40 |
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C'est publié...
Ma proposition pour le concours est publiée. J'enverrais le lien le 13-14 le temps de bien me relire.

Gros stress gros stress... ê_ê
Article ajouté le Samedi 08 Novembre 2014 à 12h51 |
12 commentaires
Comment bien finir une histoire ?
Réponse :

En mettant tous ses persos en couple entre eux et en leur donnant des gosses. L'intrigue, les tenants, les aboutissants, la vie en général, la logique ? No one even cares.

Voilà, 700 chapitres pour que Naruto et Hinata finissent ensemble et pour que Sasuke et Sakura fassent des mômes.

Que tous ceux qui ont essayé vainement de défendre ce manga se mettent en ligne et attendent que je les fesse cul nu avec une botte d'orties.

Kishimoto, y'a JK Rowling qui voudrait reprendre la fin d'Harry Potter, s'il te plait.
Article ajouté le Mercredi 05 Novembre 2014 à 20h20 |
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Cuite et décuite
Saison 3 épisode 7 : Déni (Centré sur Christina)

On n'est jamais mieux servi que par soi-même

Saison 3 épisode 8 : Colère (Centré sur Francis)

Tu me cracherais à la gueule que tu me ferais moins de mal

Saison 3 épisode 9 : Marchandage (Centré sur Helen)

Entre Histoire et histoire, il n'y a qu'un pas

Saison 3 épisode 10 : Dépression (Centré sur Walter)

Mes doutes et tes peurs, ça va faire bon ménage

Saison 3 épisode 11 : Acceptation (Centré sur Violette)

Dans Compromis, il y a "Con"

Saison 3 épisode 12 : DEMOCRACY (Centré sur Mike)

Jamais aussi proche, jamais aussi loin

Saison 3 épisode 13 : ANARCHY (Centré sur Lilian et Léon)

La politique, c'est mieux à deux
Article ajouté le Samedi 25 Octobre 2014 à 19h13 |
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