Domino, Lovely Bitch Writer
de Domino

Merde, ça devient de mieux en mieux.

Tout le processus de la création de PCP m'a pas mal plu (en même temps, remettre Hattori dans la balance ne pouvait que ramener du bon après le marasme Miura) notamment le fait que nos héros doivent se viander et que SOUDAINEMENT ils s'aperçoivent qu'ils s'en sortent mieux en faisant naturellement ce qu'ils font le mieux : Takagi fait des nemus écrits et Mashiro fait ses dessins en fonction.

VOILA. Naturellement, sans vous forcer.

Ugh.

A part ça, c'est toujours aussi crispant. Takagi tape une crise mais Kaya s'écrase pour préserver le travail de son mari. Kaya, bordel de merde. Autant je trouve ce manga émotionnellement très réussi, autant je trouve que les auteurs sont vraiment de gros mâles hétérosexuels de base à la manque parfois.

Le pétage de câble de Hiramaru à la fin du tome... 13 ? il me semble ? Est un des moments les plus géniaux que j'ai eu à lire dans ce manga. C'était extrêmement touchant dans tous les sens du terme. Bravissimo.

Là du coup j'en suis à Toru Nanamine. Putain, l'extrait de manga ! Pourquoi les auteurs n'ont pas fait ça plus tôt, afficher des extraits (élaborés, je parle) des mangas fictifs qu'ils mettent en scène ! Ce manga "La classe de la vérité" m'a juste mais PASSIONNE ! J'ai kiffé ce qu'on m'a servi.

D'autant plus délectable fut la suite avec les avis de ces grosses pétasses jalouses de Mashiro et Takagi qui OSENT quand même balancer :

"Oui euh mais tu sens qu'il veut juste attirer l'attention, c'est rien que de la provoc"

...

disent les deux grosses putes qui depuis le début du manga ne dessinent que pour faire un succès. Mais TA GUEULE, Muto Ashirogi, SERIEUSEMENT. Quelles petites salopes !! Hypocrites à fond la caisse en plus. Depuis le début vous faites vos hipster en voulant faire du "marginal" et là y'a quelqu'un qui fait un truc surprenant et d'un coup c'est "HAN LE MICHTONNEUR QUOI LOL"

STFU quoi.

Du coup là j'en suis au moment où Nanamine a mis son manga sur Internet et les gars du Jump pètent les plombs. *sirote son coca jubilatoirement*

- J'en suis au tome 11 de Bakuman. Leur obsession des classements va finir par leur donner un quadruple ulcère sinon un triple pontage.
La misogynie du manga atteint son paroxysme quand Iwase, salope notoire, menace l'intégrité des mangas à force de sauter tout ce qui bouge. Ugh. Autant son comportement est ridicule, autant c'est pas nécessaire de la traiter comme une ignoble succube de l'enfer.

- J'ai les deux gros tomes du manga Ikigami : Permis de Tuer, j'envisage de les lire après Bakuman...

- ... dans lequel je vais faire une pause pour lire le nouvel opus d'Edouard Louis, "Histoire de la Violence".

- Nouveau but dans la vie : Avoir une promotion au taf. Oulala.

- Le tome 49 de Fairy Tail... Je suis perplexe.
Autant je suis satisfait que la fin de l'arc ait de vraies conséquences sur les personnages.
Autant je ne suis pas fan du nouveau saut dans le temps "un an plus tard, tout le monde est séparé".
Surtout si c'est pour que Natsu soit le premier que Lucy retrouve. Ugh. Quelle prise de risques.
Et... la petite pute-chat à la fin, c'est quand même pas... oh non, cette fois, l'auteur va vraiment TROP LOIN.

- L'écriture avance lentement mais sûrement, je vous rappelle/signale/informe que le ralentissement de la fic est dû à la scénarisation du projet qui la suivra. Et autant vous dire que je me prends bien la tête comme il faut (pas, puisque le mieux serait que je termine d'abord Wallace...)

Un indice sur le projet... Hm...

La mise en forme du projet m'a été inspirée par quelque chose que j'ai découvert récemment.

(Je comptais vous mettre une photo des Miis des personnages mais c'eut été bien trop révélateur)

- Je piaffe d'impatience à l'approche de la sortie du numéro 150 de Walking Dead, du premier tome de One Punch Man ainsi que de l'Amiibo Lucas.

Ne lisez pas cette diatribe inspirée et pure si vous avez l'intention d'aller voir cette merde qu'est Star Wars 7. Ou mieux, n'y allez pas, économisez deux heures de votre existence à quelque chose de plus productif

Pu-TAIN.

Les qualités :

- La bonne exploitation des personnages de Han Solo et Leia
- L'intro de Rey
- Le personnage de Poe Dameron
- Les scènes d'action pas trop dégueu dans l'ensemble
- C'est... distrayant, si on réfléchit pas

Les défauts :

- Le côté obscur est en carton : Un zombie géant, un nazi et un ado boutonneux moche en pleine crise de puberté.
- sérieusement, Kylo Ren a une gueule de cul.
- Sans parler de ses motivations qui se résument à "Ouin, ouin, mes parents n'étaient pas très présents"
- La scène "climatique" (la fameuse confrontation Solo/Kylo) est d'un prévisible, mais d'un PREVISIBLE, PUTAIN. ZERO EMOTION. C'est TELLEMENT MAL FOUTU.
- La scène Nazie. Subtile. Tu mets un moment à faire le rapprochement avec le nazisme, entre la foule rigide qui lève le poing, le blond aux yeux bleus qui hurle, les banderoles rouges et noires, l'accent bien sévère, les uniformes... SUBTIL !

- Le héros est noir, chouette ! Donnons-lui des répliques de noir, faisons-en un rigolo, même si au départ il semble être en plein doute quant à sa position de soldat dans l'armée du mal. Nan, on s'en fout de ça.
- Oh, et puis, on va le faire mentir à l'héroïne "Non, je ne suis pas un stormtrooper, je suis un résistant, je suis un rebelle, MOUAH."
- Quatre scènes plus tard, il lui avoue TOUT moyennant violons et ça passe crème genre "OK OSEFG"
- Oh et évidemment vu qu'il est noir, il est éboueur...
- Il est vraiment inutile et j'arrive pas à croire qu'en 2015 on soit capable d'écrire des rôles aussi vides pour des personnages de couleur.

- L'héroïne, parlons-en. C'est un putain de Mary Sue : Aucun défaut, super force, talent inné pour la maîtrise de la Force. A la fin elle va s’entraîner, limite tu te demandes pourquoi vu qu'elle a poutré le méchant en 2-2
- Sans oublier que personne ne la blesse à aucun moment dans le film
- Elle sort de nulle part le truc de manipulation mentale Jedi, genre elle s'est dit que ça marcherait si elle essayait vraiment très fort.
- "J'ai jamais piloté quoi que ce soit mais le Faucon Millenium HAHAHA C'EST TROP FASTOCHEUH"
- Le film est vraiment très, très, très subtil et à aucun moment tu ne te doutes que Rey est la fille de Luke Skywalker.
- De fait je suis persuadé qu'à la fin du 2ème film, Kylo et Rey vont se battre et il va lui dire, très solenellement "JE SUIS TON COUSIN !". Ou son frère. Allez, Léia, t'as très bien pu en pondre deux !
- La toute fin qui ressemble juste à un mélange entre les INTENSE STARES des Honest Trailers de Twilight et un clip de Manau. DANS LA VALLEE, OH OH DE DANAAAAA LALILALAAA *regards intenses échangés*

- L'espèce de Yodette. Vous êtes sérieux ?!
- Le droïde BB8 qui est juste le Jar Jar du film. Insupportable avec ses chutes cartoons, c'est un vulgaire clone de R2D2 en moins subtil (of course) juste là pour vendre du jouet, et bien grossièrement en plus (Oui car BB8 a des émotions, c'est un robot empathique !)
- A ce propos, l'humour du film est VRAIMENT à chier, et entre les tentatives pourries de fanservice à deux balles et les gags de merde du genre "Hahaha je suis C3PO j'ai un bras rouge", euuuuuh
- Le Capitaine Phasma prouve, une fois de plus, que porter un costume à la Boba Fett dans un film de Star Wars, c'est s'assurer un rôle bien pourri de chez pourri du cul. La façon dont les personnages la "contraignent" (le mot est archi fort) à désactiver les bouclier de l'étoile noire 3.0 est juste risible.
- Oui, y'a une troisième étoile noire. Oui.
- Si Léia tenait la route sur l'ensemble, et si son étreinte avec Rey m'a arraché ma seule larme à l'oeil du film, j'ai trouvé que le fait qu'elle n'échange aucun mot avec Rey autre que "Que la F**c* soit avec toi" une ficelle ENORME pour prétexter le fait de repousser une évidente révélation.
- Le mec nazi était tellement mais TELLEMENT naze.
- Le zombie géant, mais merde, ils ont tiré les caractéristiques des personnages au sort ou quoi ? "Alors... zombie... géant... holographique... sith, VOILA !"
- L’enchaînement des péripéties est un vulgaire copié-collé du 4ème film.

Bref : N'y-allez-pas !!

Est-ce que vous voulez mon avis...

... sachant que j'ai détesté ?

J'en suis au tome 8.

- C'est extrêmement instructif et diablement passionnant. Les personnages sont intéressants et on s'identifie/s'investit facilement.

- Mon top de personnages préférés :

1 - Hiramaru. Il est hilarant. Blasé, fainéant, en perpétuelle défaite humaine, ce personnage est juste merveilleux. Mention spéciale tant à son manga complètement débile (une loutre qui combat avec du minerai, i mean...) et à son éditeur qui est, depuis le départ, un Unseen Character. Je suis particulièrement fan de son introduction lors du dîner annuel des auteurs.

2 - Aoki Kô, qui en plus d'être trop mignonne, est un des rares personnages féminins qui a l'air de faire autre chose que la soumise. Sa réaction face à l'acte immonde de Nakai dans le tome 8 m'a presque arraché un orgasme tant c'était jouissif et tant j'avais envie de faire la même chose.

3 - Takahama qui est super ultra méga choupinet, un des rares personnages que je veux absolument voir réussir.

4 - Eiji Nizuma qui incarne, selon moi, ce que doit réellement être un auteur à savoir un être passionné qui n'en a rien à foutre de rien. J'ai totalement kiffé sa présidence du jury du concours Treasure (et me doute qu'une situation similaire a déjà dû arriver)

5 - Takagi, dont j'aime l'approche du processus créatif et le mode de réflexion générale. C'est un des rares personnages qui réfléchit à peu près comme une personne normale.

6 - Fukuda. Son look est à chier mais j'apprécie énormément la majorité de ses interventions et la manière dont il remet en question le système. Si je ne suis pas d'accord avec tout ce qu'il dit, je trouve certaines de ses remarques plutôt pertinentes, mentions spéciales à son coup de gueule du tome 3 qui est selon moi une des meilleures scènes du manga, et dans le tome 8 son autre coup de gueule vis à vis du vote des lecteurs du Jump.

- Mon top de personnages détestés :

1 - Muto Ashirogi en tant que duo d'auteurs. Si j'apprécie beaucoup le personnage de Takagi en lui-même et si Mashiro... est supportable, on va dire, je trouve ces deux petits cons furieusement arrogants et j'ai juste envie de les voir se planter. Leur embrouille avec Miura dans le volume 7 m'a donné des ulcères, j'avais envie que Hattori se pointe chez eux, les batte à mort et leur gueule dessus genre "RESTEZ A VOTRE PLACE ESPECES DE PETITES PUTAINS". De surcroît, leur méthodologie m'horripile absolument. Ils veulent juste faire un succès et pas une bonne série ou une série qui leur fasse plaisir. Je veux bien que le système global du Jump les pousse dans cette voie, mais je trouve totalement malsain cette idéologie qui consiste à dire "je veux faire ça parce que ça va cartonner". A mon sens, ils incarnent la pire engeance possible en termes de création. Leur obsession pour les classements me pompe le cul mais d'une puissance incroyable et j'ai juste envie de les tarter quand ils pleurent parce qu'ils sont cinquième ou troisième (au-se-couuurs) La façon dont la direction du Jump passe la plupart de leurs caprices me hérisse le poil (Et ils peuvent remercier Hattori d'avoir une telle patience) et leur caractère hautain ainsi que leur mépris à l'égard des genres "mineurs" du manga me donne envie de gerber. Ils ne se prennent pas pour de la merde et ce genre de comportement me donne envie de chier du sang. J'aime beaucoup le fait que Nizuma, depuis le TOUT DEBUT, leur dit clairement que ce qu'ils font est cool et que c'est tout ce qui devrait leur importer. Ils ne l'ont JAMAIS écouté à ce jour sur ce point, alors que le mec leur donne juste la clé : Contentez-vous de faire ce qui vous plait de la manière qui vous plait, au diable les éditeurs, les classements, les jugements, les votes etc, juste faites ce que votre âme peut sortir de meilleur. Ca va, ça va, ça va pas, eh bah ça va pas. Et puis cette histoire de "Faut qu'on ait une série pour que j'épouse ma meuf", mais putain même pour ça, t'es obligé de faire des calculs ? Tu fais reposer ta romance sur la réussite de ta vie ? C'est monstrueusement irrespectueux pour ta copine et c'est vraiment donner peu de valeur à ton existence.

2 - Nakai, l'archétype du pervers absolu, du mâle hétérosexuel dans toute sa décadence. "Je suis gentil donc toutes les filles devraient m'aimer et j'aime toutes les filles que je croise parce que j'ai un amour propre complètement inexistant", mais crève.

3 - Iwase, qui a beau être très intelligente et tout et tout, n'en reste pas moins une grosse bouffonne. Sa réapparition surprise au tome 7 m'a fait pousser un gros soupir de n'imp absolue, en mode "attends mais quoi, elle passe juste pour une grosse désespérée là !" J'espère qu'elle va vite disparaître dans le néant du background.

- Je suis assez sidéré par l'ambiguité du manga quant aux femmes.
D'un côté les auteurs dénoncent finement la misogynie qui règne dans le monde du manga en général, notamment en torpillant le monde du doublage où effectivement, les doubleuses sont d'abord choisies pour leur minois plutôt que pour leur voix, dans un système qui s'apparente à de la prostitution ni plus ni moins ("Fais un calendrier de pute pour avoir du taf", en gros), et en fustigeant le fanservice et ses dessous (sans mauvais jeux de mots) avec la bataille d'Aoki face aux pressions de son éditeur pour qu'elle intègre des petites culottes dans son histoire romantique (W.T.F), ce à quoi elle se plie bon gré mal gré (W.T.F.F) sans que la direction ne s'y oppose et va même jusqu'à dire à l'éditeur qu'il faut insister sur ces petites culottes (W.I.T.F.N.O.G). C'est complètement hallucinant. Je sais que le Japon est un pays culturellement éloigné du notre, et je sais que là-bas, il y a des distributeurs de culottes usagées, mais quand même quoi. Ce pays est aussi arriéré en matière de droits des femmes que l'Arabie Saoudite ma parole.

D'un autre côté, cette misogynie qu'ils dénoncent, ils l'appliquent dans leur histoire. Miyoshi est adorable, mais c'est juste une pouf à gros seins qui joue les pom-pom girls. Quand elle découvre que "Takagi la trompe", elle refuse de se disputer avec lui dans l'immédiat pour ne pas gêner les garçons dans leur manga.

...

...

...

... mais putain de grosse soumise quoi.

T'es bafouée, ton mec depuis genre 3-4 ans te ment éhontément et toi tu t'écrases pour pas le gêner. D'accord. Je suppose que c'est un peu ça, être une femme. Ton mec fait des trucs dans ton dos, tu fermes ta gueule parce que lui bosse et que toi tu n'es qu'une pom-pom girl. Wow.
Azuki, azuki, azuki. Autant j'aDORE leur relation avec Mashiro (désolé, Malak, je les trouve juste trop super mignons tous les deux), autant j'ai adoré le moment où elle est tiraillée quant aux photos de pute qu'on l'oblige à faire pour avoir du taf. Autant, merde, qu'est-ce que tu vas te mêler de cette histoire en faisant genre "AH BAH NON MASHIRO A COUVERT TAKAGI ALORS MOI JE ME METS EN COLERE !"
... je sais que c'est dur pour toi d'avoir des intrigues puisque toi et ton petit ami avez décidé de vous la jouer "nous vivons dans une mosquée géante et donc nous sommes perpétuellement séparés parce que sinoncépasbien", mais de là à monter une colère en épingle juste pour apparaître dans le manga, pleaaaaaaaase.

Idem je ne suis pas fan du manque de protestation d'Aoki face à certaines remarques notamment de son éditeur. Comment peut-elle concevoir sérieusement que pour rendre son histoire romantique plus intéressante, elle doit ajouter des petites culottes ??? Je comprends que les auteurs veulent mettre en évidence les codes iniques régissant les mangas, mais Aoki proteste bien peu, elle qui semblait pourtant exigeante au début du manga.

Bref, c'est extrêmement paradoxal tout ça.

- Je passe sur l'hospitalisation de Mashiro qui doit être le moment le plus ridicule de tout le manga. Je n'arrive absolument pas à prendre au sérieux le fait que le mec soit prêt à mourir pour son manga, par contre je prends totalement au sérieux le coup des éditeurs qui tiennent à ce que l'auteur continue à dessiner même hospitalisé. Merci la mère de Mashiro, au passage, de s'être enfin inquiétée pour son fils - qui, depuis quelques chapitres, dans une indifférence quasi générale, dépérissait à vue d'oeil.

- A part ces petites chichiteries, je suis enchanté par la complexité des personnages (sinon je ne prendrais pas autant de plaisir à les critiquer) et par le déroulement général de l'intrigue. On apprend beaucoup de choses, on croise beaucoup de personnages intéressants, et même si évidemment c'est moins génial que Death Note, ça reste bien plaisant à lire.

- Je vois le genre, vous êtes en train de perdre à LoL et il a des flashbacks d'Auschwitz en flammes avec Hitler qui ricane comme un pendu et qui crie : « Ach-Ach-Ach, Brenez za dans le Nexus, maudits chuifs, Ach Ach Ach ! »

(je n'aurais jamais dû faire de chapitre centré sur le petit juif...)

(ceci dit c'est pire après avec Steven)

(et à l'heure actuelle ce chapitre comporte 6 mentions d'Israël !)

Je refais une partie dans Pokémon X

Illumis

Le NOMBRE de DIALOGUES QUE T'AS A TE FARCIR

MAIS TA GUEULE

JE VEUX JUSTE AVANCER DANS LE JEU

TA-GUEUUUUUUUUUUUUULE

MEEEEEEEEEERDEUH

PUTAIN

c'était un message contre les dialogues à outrance dans les jeux vidéos.

Ouf tu sors de la ville ENCORE UN DIALOGUE MAIS J'EN AI RIEN A BRANLER DE TES AURAS A LA CON PERSONNE S'EN SERT NIQUE TA MERE PUTAIN DE CHIEN

MERDE MERDE MERDE

'culés quoi.

(non, j'ai pas été voir cette connerie de Star Wars 7)

J'ai réussi à aligner 10 pages du prochain chapitre.

Si je continue comme ça, il sera publié en février ! *joke joke joke*

Allez, cadeau de Noël.

Même si je pense que ce que vous allez apprendre dans ce chapitre...

J'ai du mal à écrire la fic, mais par contre pour faire des ébauches de projets, ça, y'a du monde !