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Domino, Lovely Bitch Writer
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Generation Kids

Skitty 8 : La progéniture


La Saga Etienne Smirnoff
Smirnoff Saisons 1 et 2
Smirnoff Saisons 3 et 4
Smirnoff Saisons 5 et 6

La Saga Roland Smirnoff
Smirnoff Saisons 7 et 8
Smirnoff Saisons 9 et 10
Smirnoff Saisons 11 et 12

La Saga Alternative
Smirnoff Saisons 13 et 14
Le projet Wallace, Saisons 15, 16 et 17
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La Saga Skitty/Delcatty
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Un point manga de Décembre
NARUTO

Comme d'hab, tant que ça reste dans l'action pure et totale, ça va. Les petites conversations intégrées au chapitre sont sympa aussi. Hachibi est vraiment une bonne personnalité.

ONE PIECE

Après la fin d'Arc la plus torchée et la plus précipitée qu'on n'a jamais vu, voici que Luffy propose à Jinbei de rejoindre son équipage. Je n'ai rien contre hormis le fait qu'il pourrait faire un peu doublon avec Robin (leurs personnalités sont un peu similaires). Sur le fond, un homme poisson dans un équipage humain, je trouve que ça ferait bien, maintenant je trouve que les Neuf tels qu'ils sont actuellement sont très bien comme ils sont. A voir, si ça se fait ça ne me gênera pas, mais si ça ne se fait pas, ça ne me fera ni chaud ni froid. Chapitre sympa qui conclut un peu mieux les choses que les deux précédents. Je pense que cet arc gagnera au passage en Anime plus que n'importe quel autre arc. Chose intéressante : on a des nouvelles indirectes de Caribou...

HUNTER X HUNTER

L'arc avance, Hisoka est comme d'habitude excessivement classe. Trop même. Le petit combat avec Gotô est sympatoche malgré sa finalité. Par contre on ne touche ni à Canary, ni à Tsubone. Amane, je m'en fous. Kirua a beau se voiler la face, il est bel et bien en train d'utiliser sa soeur comme un objet de négociation, et quelque chose me dit que cette histoire va mal finir. Hâte qu'on revienne sur le Zodiaque (<= Opinion impopulaire)
Article ajouté le Jeudi 01 Décembre 2011 à 15h11 |
4 commentaires
Noyons Joêl !!! Tuons ce protozoaire ! Qu'il crève ce gueux !!!
J'espère que vous avez passé de bonnes fêtes. Votre serviteur n'a pas chômé : La saison 4 de Smirnoff est sur le point de s'achever, la 5ème s'annonce pétaradante, le One-Shot "Saint-Etienne" sera publié dans "Histoires indifférentes" à la première heure du 26 décembre, et c'est pas dit qu'il ait un rapport avec le fameux "Etienne". Et votre serviteur vous propose de voir ce qui vous attend dans la suite de votre fic presque préférée.

4-23 - Aide à Domicile

Etienne et Travis retournent à l'appartement : C'est l'anniversaire de Linda ! Cela promet d'autant qu'une dream-team assez étrange risque de semer le trouble à travers Doublonville. Préparez les paravents ! Et que dites-vous d'une pointe de Flashs rouges estampillés Ludges pour parachever la charlotte aux fraises ?

4-24 - Personne ne trouve

Travis et le huitième badge. Ce qui pour certains est une étape cruciale va s'avérer pour lui un véritable calvaire intérieur. Faut-il gagner, perdre, faire semblant de gagner, faire semblant de perdre ?! Et pour quelle réponse au final ? En flashes, une révélation assez troublante va nous être faite, on va découvrir un bien vilain menteur et surtout un monsieur va nous sembler bien malheureux... Encore ??!

4-25 - Bien cernés

Travis et Etienne arrivent au point culminant de leur voyage, et un conflit crucial va devoir se régler par tous les moyens. En flashes, une femme semble prête à tout pour régler les soucis de son homme.

4-26 - Au bon endroit, au bon moment

Foyer de Bourg Geon. Ca ressemble au début, ça a l'odeur du début, c'est pourtant la fin. Qui va gagner ? Qui va être viré ? Qui va mourir ou presque ? Et qui va courir prochainement le plus grand de tous les dangers ? Prions pour que ce ne soit pas la personne concernée par les flashbacks de cet épisode...

4-27 - La vie des hommes...

D'un côté, une réaction excessive. De l'autre, des gens inquiets. Enfin une leçon d'horreur. Première partie de la conclusion de la saison 4. Il y aura (peut-être) du sang...

Voilou ! Tout cela est en cours d'écrivage !
Article ajouté le Jeudi 25 Décembre 2008 à 20h49 |
13 commentaires
Tu fais quoi Domino ?

En ce moment ? Pas grand chose, figurez-vous !

Enfin, si, j'écris un peu (Sur Dream Team principalement).

* On (PokéClément) m'a recommandé (M'a fait savoir en me faisant briser les jambes par ses cousins polonais) que je devrais écrire de longs chapitres pour cette fic (Que les chapitres courts ça faisait chier tout le monde). Donc pour le prochain arc j'en reviendrais à une forme plus "Smirnoffienne" et moins "Reloue". (PokéClément Approves)

* Tentative de Roman : Je me suis dit "Essaie d'écrire un grand roman d'amour gay de ouf de la mort". J'essaie (Nom des personnages : Charlie et Léopold - I'm so Fucking Original !) mais je sais pas quelque chose me bloque. J'ai pourtant un petit scénar en tête (Vie, affres de la vie, drame, mort etc etc) mais quand je me dis "Tu vas donner ça à un éditeur, le mettre en vente et le faire lire à tout le monde ?", quelque chose me bloque.

Domino
l'auteur
qui voulait écrire
mais NE PAS ETRE LU

JE SUIS VRAIMENT CON MOI DANS MON GENRE ! XD

Extrait ? NON !

Bon, si... au point où j'en suis c'est ça ou boire de l'alcool

En fait plus je vois le texte plus je me dis que je pourrais être un p*tain d'auteur de théâtre.

Ca craint.

Titre de travail tout à fait innocent et sans le moindre jeu de mots : Le Grand Bain Tiède.

==========================


-1-

Tout a commencé avec un chat. Ou plutôt un cataclysme. La créature venait de faire son entrée dans un appartement un peu particulier au beau milieu de Paris. C’était un très beau chat roux au pelage tigré qui ressemblait à un coucher de soleil, trainant derrière lui de longs nuages en bandelettes sombres dans le ciel. Bref il était outrageusement beau. Un peu comme la personne qui le caressait actuellement, et qui était assise sur le canapé le plus confortable du monde. Le chat ronronnait, enthousiasmé par l’expertise de son caresseur. Il avait de longs doigts habiles et propres, à la silhouette très féminine. Des mains fines et délicates. En même temps, il les nettoie, ces mains, il les hydrate. Et la vaisselle, c’est lui qui la fait. Et le ménage, pour ce que ça change. Il évite de toucher le chat avec son sous-pull turquoise. Il veut à tout prix éviter de mettre des poils dessus. Déjà que le chat est assis sur un dessous de chat – entendez par là un dessous d’assiette reconverti en dessous de chat – on peut dire que la créature était la bienvenue dans cet appartement plutôt spacieux. Le canapé se situait en effet au milieu du salon devant un meuble télé titanesque comportant de nombreux DVD. Face au canapé, une table basse avec un ordinateur portable orné d’une jolie pomme mordue. Derrière le canapé, après un espace vide d’environ un mètre de large, la cuisine avec sa table au milieu, incrustée dans le sol et son ameublement tout autour, là encore très incrusté dans le sol. Bref la cuisine était complètement immuable. Si le porteur du chat se tournait vers sa gauche, il apercevait la porte d’entrée. S’il regardait vers sa droite, il apercevait l’entrée de la chambre qu’il partageait avec son conjoint. Les sanitaires et la salle de bains se trouvaient dans une pièce adjacente à la cuisine et fermée par une porte.

Le jeune homme qui portait la créature était blond. Un blond très naturel aux cheveux courts et dressés, qui recouvrait une tête bien faite, un visage presque angélique dont les défauts n’étaient visibles que par son possesseur. Il trouvait par exemple ses yeux trop tristes. Ses pommettes pas assez saillantes. Son menton pas assez avancé. Son front trop petit. Ses lèvres trop fines. Bref il était typiquement ce genre de personne trop parfaite qui était obligée de se trouver des imperfections tant sa seule apparence était prétentieuse. Pourtant il n’y avait pas plus humble et plus gentil que Léopold Finsbury. Même son nom de famille faisait prétentieux. Même son chat faisait prétentieux. Bon, c’était un chat roux, et en cela il n’était pas très impressionnant mais il avait l’air hautain, même avec la langue hors de sa bouche.

On fit cliqueter une clé dans la serrure de la porte d’entrée, ce qui réveilla l’enthousiasme du blond qui se tourna vers la porte d’entrée en souriant. Le chat sursauta et cessa de ronronner. La porte s’ouvrit et laissa entrer un jeune homme brun. Léopold afficha un grand sourire. Le brun ne souriait clairement pas.

- Quelle journée de merde ! Je suis entouré de cons !

Silence ostentatoire du blond qui sait qu’il a l’avantage. Le brun pose son manteau sur le porte-manteau tout en babillant.

- D’abord cette connasse de Sandrine qui tient absolument à ce que je fasse cette critique de Twilight 4 à sa place soi-disant parce qu’elle ne sera pas « objective », objective mon cul, elle est juste dans le cœur de cible ! Connasse, sans aucune personnalité et mal habillée ! Après, ce trouduc de Gérard qui vient me faire du gringue, genre « Tu sais Charlie, sucer c’est pas tromper », j’ai été obligé de t’y répondre « Et me draguer devant la photocopieuse, c’est compté dans tes heures sup ? Parce que si c’est le cas tu dois être milliardaire ! » Il était tout rouge ! Au moins ça a fait rire Edna, la secrétaire de Philippe… Qu’est-ce que c’est que cette merde ?

Léopold tomba des nues en une seconde, sortant de son écoute polie pour afficher sa surprise.

- Mais enfin Charlie, c’est un chat !
- Et tu es resplendissant avec ce dessous de plat sur tes genoux pour le tenir…
- Je ne voulais pas de poils sur mon pantalon noir !
- Il vient d’où ?
- Mon cousin est passé pour me le donner, il l’a trouvé tout sale et il me l’a ramené pour qu’on s’en occupe et qu’on le garde !

Charlie plissa les yeux en ouvrant la bouche, se figeant ainsi pendant deux secondes précisément, expression signifiant qu’il allait balancer une réplique cinglante.

- Je suis ravi d’avoir été consulté. Tu m’as appelé à quel moment, celui où je regardais Bella Swan accoucher d’Alien ou celui où Gérard me complimentait sur mes fesses fermes et musclées ?
- J’avais pensé que ça te ferait plaisir ! Regarde il est si mignon !

Charlie regarda le chat roux aux yeux ambrés qui se léchait les babines en regardant autour de lui.

- Il a un regard débile.
- Il a des yeux magnifiques ! rétorqua Léopold.
- Il est propre au moins ? J’ai pas envie qu’il pisse partout !
- J’ai pas osé aller acheter de la litière en le laissant tout seul !
- Et ton pique-assiette de cousin n’a pas daigné ramener de la litière ?!
- Il pensait que j’avais déjà un chat !

Charlie leva les yeux au ciel.

- Evidemment, le cliché classique du couple gay qui ne peut pas avoir d’enfants…
- Et c’est reparti…
- … et qui en conséquence achète un chat !! Heureusement que tu n’es pas une femme stérile, on aurait pris un épagneul !
- Tu peux arrêter d’être cynique un petit moment et juste regarder cette petite bouille adorable qui ne demande qu’à recevoir de l’amour ?
- Toi ou le chat ?
- … Moi aussi, mais le chat d’abord !

Charlie soupira et regarda le chat qui le regarda.

- Il a vraiment un regard de crétin. Faut qu’on l’appelle Abruti, ça lui ira bien !
- Alors on le garde ?
- J’en sais rien, ça m’embête… J’ai soif, t’as racheté du thé glacé ?
- Cousin, chat, pas sorti !
- T’as fait quoi de ta journée ?
- Norman m’a envoyé des photos de ses vacances pour que je les lui retouche, et ensuite mon cousin est revenu.
- Va falloir que je ressorte alors…
- Mais non je vais y aller, maintenant que tu peux garder Minou…
- Ah non, on l’appelle pas Minou ! C’est trop simple…

Charlie s’était déplacé en cuisine pour se servir un verre d’eau qu’il s’encaissa cul-sec.

- … et surtout y’a une connotation féminine très désagréable. C’est bien un mâle ?
- Oui !
- Raison de plus.
- Tu veux qu’on l’appelle comment ? Gaylord ?!
- Je sais pas, Rouquin… Rousseau ?
- Tu as laissé ton inventivité au travail ? s’étonna Léopold.
- Sa rousseur me perturbe ! Elle détonne avec le reste des êtres vivants de cet appartement !

Léopold prit son air le plus blasé possible.

- Eh bien on pourrait l’appeler… Carotte !
- Tu as laissé ton inventivité aux toilettes la dernière fois que tu y es allé ?

Léopold leva les yeux au ciel.

- Charlie, j’aimerais que tu cesses d’insinuer que je suis fainéant !
- Mais tu es fainéant, Léopold, je le sais chaque fois qu’on fait l’amour, c’est toi qui bouge le moins !
- Charlie !! Pas devant le chat !!

Le brun leva les yeux au ciel et se sortit des chips.

- Allume la télé, j’ai besoin de regarder les infos.
- Oh non…

Léopold prit la télécommande et alluma l’écran plasma tandis que Charlie vint s’asseoir à ses côtés.

- J’peux même pas me serrer contre toi avec cette chose !
- Parce que d’habitude pour regarder les infos, tu te serres affectueusement contre moi en apprenant qu’une petite fille a été kidnappée, égorgée et violée dans le désordre ?
- Non, mais là j’avais envie !
- A cause de Gérard ?
- Ne m’en reparle pas, quel con ce mec… Il sait, en plus, je déteste les chauves !
- Et que tu es en couple !
- Ah non, ça, ça le gêne pas du tout… D’après cette connasse de Sandrine, il se surnomme lui-même « La torpille » !
- C’est d’un fin… Comment elle le sait ?! s’étonna Léopold.
- Je crois avoir compris qu’elle adore l’entendre papoter même sur les sujets les plus crus et apparemment elle ne fait même pas semblant, tu sais genre écoute polie, non, ça l’intéresse vraiment !
- Comment tu fais pour travailler là-bas ?
- Philou est cool.
- Hm. Il faudrait que tu l’invites à dîner un de ces quatre.
- Dîner avec mon patron, oui, bien sûr…
- Bah quoi, comme ça tu aurais un accessit pour une promotion ! Et tu pourrais faire virer cette grosse vicieuse de Gérard !

Charlie inspira, réfléchissant.

- Je suis bien pour le moment, je ne veux pas que ma situation dans le magazine change.
- Charlie, tu pourrais évoluer, tenter le coup, tu n’es pas pire ou moins bien qu’un autre…
- C’est pas ça, Léo, c’est juste que je fais exactement ce que je voulais faire depuis le départ, quel intérêt de vouloir changer ?
- Hm… C’est juste que je pense que tu peux faire mieux que critique dans un magazine.
- Eh bien je me sens très bien comme ça, merci de me porter en si haute estime, mais non, je n’ai pas d’ambitions furieuses !

Léopold acquiesça alors que le chat se leva de ses genoux et se déplaça dans l’appartement.

- Il faut lui trouver un nom…
- Pourquoi pas Kwhiskas, comme dans le sketch des Nuls ? énonça Charlie en souriant.
- C’est compliqué à prononcer… Si c’était une femelle ce serait plus facile !
- Tu m’étonnes… Princesse, Bichette, Lady Gaga…
- Ah non, un chat qui s’appelle Lady Gaga, moi, je le balance par la fenêtre ! geignit Léopold, embêté à cette seule idée.
- Dit celui qui crie « J’adore cette chanson ! » quand « Judas » passe en boîte !
- C’est sa seule bonne chanson !
- « Paparazzi »…
- Sa seconde seule bonne chanson !
- Ses trois premiers albums…
- Deux et demi !! « The Fame Monster » était une réédition avec huit chansons en plus, bon sang, Charlie ! C’était pas un album à part ! Je déteste quand les gens disent qu’elle a fait trois albums, mais non, non et non !

Charlie leva les yeux au ciel en souriant.

- Je vois… A part ça, si un chat portait son nom, tu la jetterais par la fenêtre !
- Bien sûr ! Ce serait un blasphème !
- … Je vois… Où est le numéro de l’hôpital psychiatrique le plus proche ? J’aurais juré l’avoir noté sur un papier la dernière fois…
- Et d’une, tu charries, et de deux, moi au moins je ne suis pas amoureux de Barbra Streisand !
- Cette conversation est affreusement clichée et ne touche surtout pas à Barbra !
- Je sais, je sais, je me rappelle encore de cette semaine et demie où j’ai dormi sur le canapé ! Il faut trouver un nom au chat…

Ils se retournèrent sur le canapé pour voir le chat qui reniflait la table.

- Il est curieux…
- Et il renifle partout ! remarqua Léopold.
- On devrait l’appeler Sherlock.
- Ah non, ça fait trop sérieux… Gonzo, comme le Muppet bleu !
- Euh… non, Léo, pas Gonzo !
- Pourquoi ?
- C’est… connoté !
- Oh…
- On reste sur Sherlock, c’est trop mignon !

Le tout juste dénommé Sherlock ne remarqua pas la marche séparant le salon de la cuisine. Il trébucha et manqua de tomber. Remarquant sa queue, il eut peur d’elle et partit en courant se réfugier dans la chambre du couple. Léopold regarda Charlie.

- Hm… Je vais revenir sur mon idée de sketch des Nuls…
- Tu veux l’appeler Kwiskhas tout compte fait ? s’étonna Léopold.
- Non… Régis… ça lui ira très bien… Très, très bien… soupira Charlie.

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Autres trucs en route : Vous vous souvenez de mon projet Recueil de OS en rapport avec un album de musique ? J'ai commencé, j'en suis à deux OS sur dix.

Pour le reste, les autres fics etc... bah... Non-Retour j'en suis au point mort (j'ai même pas ouvert le document depuis... *du temps, du temps, du temps...*), EPDFPAU... Il faut que je revienne à plus de simplicité, hein...

Et aussi que j'oublie ces saloperies de projets qui me viennent en tête ! Vade Retro Bananas !!!

Une chanson que j'aime beaucoup : L'Opening 1 de Saiyuki - anime plus que sympa à mon souvenir.

Article ajouté le Mercredi 30 Novembre 2011 à 16h43 |
2 commentaires
Plein, plein, plein de Smirnoff
Ma fic de la moitié de l'année 2008 m'obsède de plus en plus.

Après avoir envahi Junior...


(Oui il est absolument classique et ringard - Je n'ai rien de cool, moi, faut le savoir)

...Je vous annonce non sans horreur que Smirnoff devrait être reparti pour.............................. ......................... ....................... ................ .............. 4 saisons supplémentaires !!! Soit jusque la 8ème saison au moins.

Vous allez me dire "PUTAIN DOM TU FAIS CHIER A FAIRE DES FICS FLEUVES QUI DURENT 41552110 CHAPITRES" ou encore "MAIS FINIS D'ABORD SKITTY, ENFOIRE DE MERDE !" ou même "MAIS OU EST LE KETCHUP ?"

En fait j'ai eu une idée (Inspirée une fois n'est pas coutume par Pokéclément, ma muse) qui a grandi en moi et ça ferait une très bonne suite même si ça s'éloignerait nettement de la fic originelle...

Et aussi oui je sais j'avais dit que je savais comment allait finir la fic... Eh bien cette fin honorera la saison 6 mais la septième saison sera telle que décidée. Ce sera toujours Smirnoff... Peut-être pas Etienne... Je sais pas trop...

Ah et aussi rassurez-vous je n'ai pas oublié que le 26 décembre se fêtait la Saint... Etienne. Et j'ai prévu un piti quelque chose ! ^^
Article ajouté le Lundi 22 Décembre 2008 à 20h38 |
10 commentaires
Toi l'amouuuuuuuuuuuur...








*sigh*

Bloqué, signalé et banni, je remercie la modération de Bip qui a été efficace.
Article ajouté le Lundi 28 Novembre 2011 à 21h31 |
34 commentaires
What's goin'on in a amphithéâtre
L'oeil vif, le poil brillant, la peau claire et le teint halé, le sex-appeal de Stephen Hawking et de Rosie O'Donnell, les oreilles au vent tel le lapin de garenne...

HERE COMES JESUS !


J'ai pas pu enlever mes lunettes, ma voisine n'arrêtait pas de me mater... parce que je jouais à Kirby's Ghost Trap sur émulateur... QUOI ??? J'ai fini un chapitre de Smirnoff ce midi à la cantoche !! è_é

*C'est DOMINO à la fac en train de suivre un cours PASSIONNANT de Droit Constitutionnel*

Un cours ou nous en avons appris de belles sur la méchante crise de 1877 et sur l'abominable Mac Mahon dans son combat contre les pas beaux républicains.

On a fait trois pages là dessus et une ligne sur la commune de Paris, vous savez le truc ou y'a eu quoi... dix mille morts en gros.

Moralité : Les crises institutionnelles auront toujours le dessus dans l'histoire sur les massacres sanglants ou même des bébés d'à peine trois jours sont morts.

Et je crois que ça résume superbement bien notre monde actuel qu'il est moche.

Par ailleurs j'étais au sommet de l'amphi (Cours de merde exige)



Ouaaaaah ! C'est... Flou !
Article ajouté le Vendredi 12 Décembre 2008 à 18h39 |
5 commentaires
Petit à petit, Domino publie

Eh oui ça arrive de temps en temps, même si mes chapitres se font aussi rares que Mylène Farmer à la télé (Private Joke de fan de Mylène) j'ai publié ce matin un chapitre d'Extrême Parodie de Fic Pokémon à Unys. Un chapitre... long... pas forcément très drôle mais j'ai réussi à faire ce que je voulais (A savoir caser du porn... euh, une chanson de Céline Dion !)

On remarquera aussi que j'ai intégré en bleu une fic d'un autre auteur, SuperGruikui240, pour le fun, comme ça. Je sais pas trop ce que j'ai voulu faire alors ne me demandez pas... Pour le reste, j'avoue m'être beaucoup dispersé pour ne me reprendre qu'à la fin... Bref un chapitre bordelique... *arrête de parler de ton travail, tu vas finir par dire que c'est de la merde et tout le monde va finir par te croire*

Il va falloir que je me remette à Dream Team, que j'essaie d'avancer dans ce foutu roman... J'ai eu une idée débile que j'ai ajouté à une autre vieille idée, etc etc.

Y'a une vieille idée aussi sur laquelle je pensais rester concentré mais en fait non donc bon :

===============================

Les chaussures à talons cognaient dans les couloirs mal éclairés. Les murs étaient dégueulasses, comme toujours. Pour les toucher, il faudrait des gants ou une combinaison antiradiation. Les gens autour sont malheureux, sombres, pas à l’aise, ils vont vite, ne regardent rien ou tout à la fois, c’est le bordel de la foule. Et il y a deux filles qui courent pour avoir leur métro.
- Mais dépêche, putain, on va le rater !
- Y’en a un toutes les cinq minutes, fais pas chier !
Evidemment comme toutes les filles de leur âge, elles étaient chiantes. Et on ne dira pas leur âge, ça n’est pas poli. Et on ne décrira pas leur physique parce que c’est méchant. Et puis merde, elles ont leur métro.
Elles étaient en fait juste assez belles pour qu’on leur reproche jusqu’au fait d’exister. La ligne 1 du métro était qui plus est juste assez belle pour qu’on lui reproche d’exister aussi.
Néanmoins, Christina et Kelly avaient eu leur métro. Elles s’en réjouirent, souriant au milieu des indifférents. Leur révolution à elles c’étaient leurs sourires. Et des sacs estampillés pétasse.
Assises face à face dans les sièges triplettes de la rame, elles rigolent d’un rien. A côté d’elles, y’a des gens qui s’en foutent. Dont une vieille dame très bonne et très innocente qui va visiter son petit fils handicapé, une femme qui rentre du travail, exténuée et qui a hâte de retrouver ses enfants et son mari… en espérant qu’il n’ait pas trop bu. Il y a aussi un gros bonhomme à lunettes qui semble avoir un taux de cholestérol hallucinant. Et enfin il y a Igor.
Igor est assis juste à côté de Kelly. Ses yeux lorgnent vers les cuisses de la jeune femme. Non pas que ça l’intéresse. Igor est un kamikaze, il a posé une bombe sous le siège.
La rame va exploser.
Tout le monde va mourir.
C’est pas une bombe de canadien qu’il a placé sous le siège. C’est au moins du C4. Lui et ses compères les serbes veulent montrer au monde qu’ils sont au moins aussi dangereux que les musulmans intégristes. Alors lui et son groupe, « Zdravo » ont décidé de faire sauter la ligne 1. Igor s’était étonné que la sécurité du métro français fût aussi merdique. Comme il était blanc et imberbe, il n’avait pas du tout été inquiété par la police. Il avait même croisé l’armée, et pendant un moment il avait eu froid aux valseuses à l’idée qu’ils le coincent. Mais non, rien. Trop cons. En même temps, comment auraient-ils pu savoir ? Mais même : aucun détecteur de métaux lourds, aucune fouille, rien. Quel pays d’empaffés. Ils vivent là, insouciants, sans penser, comme des bovins.
Bah Igor il va leur exploser la gueule, tiens. Bien fait.

- Et à mon avis, c’est comme ça que ça s’est passé.
L’homme harnaché au lit termina son histoire alors que le très beau jeune homme en costume noir bien taillé à ses côtés, censé prendre des notes, l’observait, éberlué. Il jeta un coup d’œil à l’écran plasma fixé au mur de la chambre qui ressemblait plus ou moins à une chambre d’hôpital. A la télévision, on parlait effectivement d’un attentat à la bombe… de peinture, métro ligne 1 à Paris. Les témoignages se succédaient, deux filles de quinze ans, Christina et Kelly, avaient vu leurs habits salis par l’attentat et se plaignaient, en larmes devant un cameraman passionné.
- … Vous avez beaucoup d’imagination, monsieur Harris…
- Pourquoi on m’a attaché ?
- Je ne suis pas habilité à vous le dire.
- C’est-à-dire ?
- … Je n’ai pas le droit ni la possibilité de vous le dire. Je suis votre médecin, ma fonction m’empêche de vous dire quoi que ce soit et mes supérieurs m’ont interdit de vous informer à propos de la situation. Je suis coincé.
- Avec moi, répondit l’homme.
- Avec vous, répondit l’autre homme étrangement beau.
L’attaché n’avait même pas le choix des armes, il regardait la télévision. On était passés à une autre nouvelle. Un homme politique avait dit une phrase particulièrement polémique. Choux gras aux infos.
- Changez de chaîne. Cette tendance au dépouillement m’exaspère.
- Il n’y a pas d’autre chaîne sympa, les infos au moins ça informe… résuma le gars en costard.
- Vous me cachez quelque chose, à présent j’en suis sûr.
- Sarcasme, c’est un progrès…
- Où est Martha ?
- Elle dort probablement. Il est seulement neuf heures.
- Où est Boris ?
- Je crois l’avoir vu jouer aux échecs avec Hégés… euh, Cleydermann, dans la grande salle.
- Il va perdre…
- Qui ?
- Cleydermann. Il est nul. Où est Frank.
- Je ne sais pas.
- C’est ballot. Où est Florence ?
- Je crois qu’elle est interrogée par le docteur Marmont.
- Y’a quelqu’un pour surveiller l’interrogatoire ?
- Pour la dernière fois, monsieur Marmont n’est pas un pervers. Il a été accusé à tort.
- On n’en sait rien. Pourquoi je suis attaché ?
- Simple mesure de sécurité.
- Où est Bobby ?
- Il est probablement encore au trou suite à… « l’incident ».
- Mettre le feu à une poubelle ça n’est pas un incident.
- De notre point de vue, si.
- Non. C’est un appel au secours.
- Nous savons.
- Nan, justement, vous savez pas. Si vous saviez, vous l’auriez pas envoyé au trou.
- Nous faisons ce que nous estimons le plus juste et le plus sûr pour la sécurité de tous.
- Il a brûlé une poubelle, pas les cheveux de Barbara. Elle est où, au fait ?
- Elle danse dans la grande salle.
- Elle va déranger Boris et surtout Cleydermann. Vous êtes au courant que Boris et Barbara fricotent…
- Oui nous le savons, les dispositions vont être prises.
- Cool. Vous êtes cools. Où est Frank ?
- Je l’ignore.
- Où est Lucien ?
- Il mange une compote je crois, dans la grande salle.
- Barbara va le déranger.
- Sûrement.
- Et vous, avec votre femme, ça va ?
- Je n’ai pas à vous en parler, monsieur Harris.
- Vous savez que vous pouvez m’appeler Samuel.
- La… situation de ce matin est un peu particulière, au cas où vous ne l’auriez pas remarqué.
- Hm… J’ai été réveillé à sept heures quarante-trois, précisément, j’étais déjà attaché à mon lit, un de vos objets sexuels ambulants…
- Une infirmière.
- Voilà, est venu m’injecter cent milligrammes de sédatif…
- Deux-cent…
Le jeune homme en smoking se reprit, confus. Samuel arbora un grand sourire en regardant le psychiatre.
- Bon. Deux-cent milligrammes de sédatif, ensuite vous êtes venu vous asseoir, nous regardions les infos, et comme vous ne disiez rien, en vous contenant de lire ce stupide bouquin de Nietzche que vous n’arrivez pas à finir, j’ai imaginé une histoire stupide à propos de cette information débile de ce matin : Un attentat à la bombe de peinture dans le métro, ligne 1.
- C’est bien résumé.
- Les couloirs sont bien silencieux.
- En effet.
- Tout le monde a été confiné…
- Certains dans la grande salle, d’autres dans leurs chambres.
- Où est Frank ?
- Je ne sais pas.
- Où est Frank ?
- Vous aurez beau répéter la question, je ne saurais pas.
- Vous savez où sont les autres mais pas Frank.
- … J’ignore aussi où est Nassima, ça ne veut rien dire !
- Nassima est dans sa chambre, elle est agoraphobe, docteur Schmitt.
- En effet, pardon.
- Pas Frank.
- Non, pas Frank.
- Frank est sympa.
- Je sais. Nous savons tous.
- Je veux savoir où il est.
- Je ne peux rien dire, Samuel, désolé.
- Pourquoi vous me répondez alors ?
- Je ne veux pas que vous vous sentiez exclu ou mis à l’écart. Je garde un contact verbal avec vous pour éviter que vous ne gambergiez trop.
- Et si je veux gamberger…
- C’est préférable que non.
Samuel gambergea. Il regarda le plafond. Il apprécia les bruits au dehors. On jouait du piano.
- Cleydermann a perdu… marmonna Samuel.
- Il semble, oui.
Samuel sourit. C’était beau ce que Cleydermann jouait. Cleydermann s’appelait en réalité Hégéssipe mais tout le monde l’appelait Cleydermann parce qu’il ne savait jouer que du Richard Cleydermann. Mais Samuel trouvait cela immensément beau. Surtout depuis quelques temps. Cleydermann avait vraiment rendu sa vie plus belle.
- Qu’est-ce que ce gars fout ici, sérieusement ? soupira Samuel.
- Il est comme vous tous, c’est un inadapté social.
- C’est intéressant ce que vous dites.
- Plait-il ?
- Vous nous traitez d’inadaptés sociaux mais vous nous regroupez tous ici, nous sommes les inadaptés, les pièces de puzzle qui ne peuvent pas s’emboîter aux autres pièces qui circulent dans la société, et vous nous regroupez dans une structure semblable à une mini-société, dans laquelle nous sommes tous les atomes incapables d’interagir correctement ensemble.
Le docteur Schmitt haussa les épaules.
- Non, la preuve, vous êtes capables de tomber amoureux, d’être amis…
- De nous battre, de nous faire du mal, d’être méchants ou cons les uns envers les autres…
- Comme dans une vraie société ! admit le docteur.
- … de disparaître…
Le docteur, stoïque, hocha la tête. Samuel soupira.
- Frank est mort…
Le docteur garda un silence de marbre.
- Il s’est suicidé, c’est ça ?
Même silence de marbre. A en voir la matière avec laquelle était fait ce silence, à en voir les veines qui creusaient ce marbre, à en juger par les précautions prises, Samuel vit qu’il avait vu juste.
Le premier sentiment qui l’envahit se borna à une profonde résignation. Il s’en doutait un peu au fond. Si on l’avait attaché, c’est parce qu’on craignait qu’il n’ait une réaction violente. Effectivement, sous les sangles du lit, il donnait de furieux coups de poing au reste du monde. Au monde qui avait détruit Frank, au monde qui les avait détruits tous les deux, qui les avait broyés et placés ici, qui les avait, en quelque sorte, maudits depuis la naissance. Dès le plus jeune âge, on le leur avait fait comprendre. A l’école, on le leur avait fait comprendre. De par leur anormalité, chaque étape de la vie en société avait été un sacerdoce, un chemin de croix sans détour possible, sans avantage, bardé d’inconvénients, de discours lénifiants d’impasses. Aujourd’hui pour Frank c’était la fin, il avait tout perdu, et maintenant il n’était même plus. Il était une vulgaire carcasse sans âme. Il n’y avait plus le Frank que Samuel avait connu.
- Je suis profondément désolé, monsieur Harris.
Le fou regarda le docteur. C’était inhabituel, cet investissement émotionnel.
- Non, vous ne l’êtes pas.
- A votre guise de penser que je ne le suis pas, mais moi je sais que je le suis. Frank était un homme bien.
- Nous le sommes tous. Même Kubrick du bloc D, celui qui a poignardé une réceptionniste. Même lui, c’était un homme bien.
- Hm… Je… ne me prononcerais pas.
- Vous êtes un lâche.
- Là, vous commencez à dire n’importe quoi. Je ne suis pas un lâche parce que je refuse de me prononcer sur la bonté ou le mauvais fond d’un psychopathe.
- C’était pas un psychopathe, c’était Kubrick.
- Monsieur Duchamp n’était pas « Kubrick » ou n’importe quel autre surnom idiot, c’était un psychopathe. Et cette réceptionniste va bien, merci pour elle.
- Ouais, ouais, elle peut. Mais Kubrick, lui, il n’ira jamais bien.
Le docteur soupira et stoppa cette conversation inique. Samuel regarda le plafond.
- Si vous avez besoin de parler de ce que vous ressentez à propos de la mort de Frank, c’est à moi que vous devrez vous adresser.
- Vous ? Pfff !
Le docteur Schmitt regarda Samuel, intrigué.
- Quoi, moi ?
- Rien, vous êtes con.
- Si ça vous fait plaisir de le penser… Je suis aussi compétent que n’importe quel autre docteur de cet établissement !
- C’est bien là le problème. Vous devriez l’être plus.
Le docteur Schmitt plissa les yeux.
- Je pense l’être plus que certains, en tous cas.
- Lesquels ?
- Quoi, lesquels ?
- Vous êtes plus compétent que quels docteurs ?
- … Le docteur Marmont !
- AH ! Donc vous pensez bien que c’est un obsédé.
- Non ! Il a une approche qui ne correspond pas à la mienne, c’est tout…
- Avouez que vous êtes jaloux. Lui il entre quelque part, toutes les filles lui sourient et lui font la bise. Vous, vous entrez quelque part, on vous demande votre carte d’identité et vos diplômes parce que vous avez l’air d’avoir dix-huit ans. Et aussi, les filles vous confient leurs secrets parce qu’elles vous croient homo et qu’elles se disent « A lui je peux lui parler sans risque, il n’essaiera pas de profiter de moi ! »
Le docteur Schmitt entendit que Samuel s’était arrêté, il baissa donc la tête et regarda son patient, complètement blasé.
- Dans ces moments-là, je me rappelle que vous êtes fou, ça efface tout ce que vous venez de dire. Vous êtes fou, je n’ai pas à vous écouter !
- Et surtout ça vous arrange bien ! ricana Samuel.
Le docteur Schmitt ne répondit rien. Samuel garda le silence.
- … comment Frank est mort ?
- Vous ne devriez même pas être au courant, cette fois ne comptez pas sur moi pour vous dire quoi que ce soit.
- Pendu ? Ce serait le genre de Frank.
Le docteur Schmitt s’en retourna à son passionnant livre.
- Il a toujours aimé être suspendu. La pendaison, c’est quand même l’acte de suspension ultime. La lévitation absolue. Je parie qu’avant de le faire il a fait « Je vole ! », ou un truc dans le genre.
Schmitt tournait les pages. Samuel regarda l’ouverture de la porte qui donnait sur le couloir. Il entendait des conversations lointaines, des infirmiers qui s’occupaient des patients, des infirmiers qui ne faisaient rien, quelques patients gravement atteints qui déambulaient…
- Ou alors il s’est entaillé les veines. Je le vois bien casser sa fenêtre ou un vase pour qu’il s’ouvre. Dans le sens de la largeur, comme dans les films. Profondément. Tchac, tchac. Et il aurait ri en voyant le sang. Genre « Ahaha y’a mon sang qui coule, trop drôle ! »
Nouveau silence, Schmitt ne voulait pas rentrer dans le jeu du patient, il avait déjà trop parlementé, il n’était même pas censé être au courant avant au moins une bonne semaine, le temps que les dispositions auraient été prises. On aurait alors expliqué calmement à Samuel que Frank était décédé…
Evidemment dans le cas-ci présent, on allait pouvoir gagner du temps.

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Si vous me cherchez, j'essaie d'écrire Dream Team... Dream Team sur lequel je me pose des questions quant à un personnage. Oui, encore. En fait j'ai remarqué que physiquement, les quatre personnages féminins se ressemblaient trop... Enfin surtout trois d'entre eux... Autant pour les hommes, les ressemblances physiques peuvent passer, autant sur les femmes, ça ne pardonne pas...

Article ajouté le Vendredi 25 Novembre 2011 à 15h21 |
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Hello Kids ! It's Smirnoff time !
La prochaine tripotée de chapitres pour Smirnoff

4-18 : Pertes et tracas

Alors qu'Etienne et Travis se dirigent vers Acajou, ils se font attaquer par un Kaimorse appartenant à une surveillante du foyer de Travis. Entretemps Norbert et Eddy vont chercher leur fils adoptif aux Etats-Unis et en flashforward, on découvre une phase peu reluisante de la vie future de Norbert...

4-19 - Smirnoff sur glace, 1ère partie

Dans ce premier deux-parties de la saison 4, découvrez comment Etienne et Travis vont se ridiculiser devant un couple plus exubérant qu'une discothèque entière...

4-20 - Smirnoff sur glace, 2ème partie

Le match de l'arène d'Acajou continue dans une ambiance survoltée, notamment du fait d'un pari entre Smirnoff et Travis qui pourrait laisser des traces...

4-21 - La saison désamour

Sur le chemin vers Oliville, Etienne et Travis rencontrent une vieille connaissance. Entretemps chez les Winchester, le torchon brûle entre les filles de la famille et leurs parents qui semblent mener un étrange manège dont le sens est plus profond qu'elles ne le croient...

4-22 - Un garçon plein d'avenir

Travis affronte Jasmine dans un combat qui s'annonce compliqué : En effet, Travis semble dans un embarras terrible... Peut-être à cause de son premier flash personnel à lui dans le futur qui nous révèlera entre autre un étrange secret...

So that's all !
Article ajouté le Jeudi 11 Décembre 2008 à 09h31 |
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J'aurais pu mais j'ai pas pu : Les projets que Domino a annulé genre hier

- PARTICIPER AU CONCOURS

J'avais demandé à PokéClément de m'aider jusqu'à ce que je réalise qu'il ne savait pas trop dessiner (Il est niveau moi en un peu mieux, voyez le genre). Le souci avec moi c'est que je suis trop solitaire pour m'investir avec quelqu'un sur un projet (maudite asociabilité de merde). J'avais essayé de poster un message sur le forum mais je l'ai supprimé peu après en réalisant que je n'étais pas super motivé non plus et que j'avais genre 40 000 trucs à faire de mon côté.

Pour info, mon idée c'était un Noadkoko de Noël qui arriverait sur la plage en surfant, tiré par des Noeunoeufs. Il aurait apporté des cadeaux explosifs à une jeune femme et à son Lockpin. Puis il aurait été accueilli par les enfants qui l'auraient appelé "Señor Coconut" et auraient organisé une fête en son honneur, fête pendant laquelle ils trempent les feuilles du Noadkoko dans de la sauce chili. Après avoir distribué ses cadeaux et fait un magnifique discours sur la paix et l'amour devant le Parlement Colombien, au final le brave Noadkoko de Noël repartirait dans le ciel sur sa planète magique, Arborica. Duh.


- SMIRNOFF... post-apocalyptique !

Ca n'est pas une blague, PokéClément a même subi mes orgasmiques sursauts d'imagination, je comptais faire un gros One-Shot bien délire. En gros je situe le truc : Fin de Smirnoff Renaissance, on a retrouvé Ethan, c'est cool. Seulement gros hic, des météores tombent sur la terre. Boum, apocalypse. Nos héros sont amenés à survivre dans un monde hostile. Pour votre information, voici ce qui s'y serait passé. Attention cette énumération peut choquer les plus jeunes :

- Liste non exhaustive des personnages morts pendant l'apocalypse : Etienne, Linda, Estelle, Judith, Norbert, Lionel, Finn, Flora, Colin, Aude, Amy, Claire...

- Rapprochement prévu entre Malcolm et Lily dans le OS en question

- Autre rapprochement : Charlie et David, Léopold et Denis ayant quitté le groupe de Roland pour vivre leurs derniers jours dans un groupe de hippies hédonistes. Yann, vivant et avec le groupe de Roland, est un peu en rage contre Charlie de se jeter sur David par dépit et en rage sur David qui veut paternaliser avec lui. Brrr !

- Kate et Bernice élèvent les enfants de Colin et Aude.

- Max a récupéré avec lui Perrine, Nell, Alex et Léa qu'il a récupéré chez Judith. Noé, Walter, Daria et Nadia, sous les décombres, ont été récupérés par les secours.

- Meredith Tucson et Tobias Morris étaient partis pour jouer les méchants et diriger un gang de survivants ultraviolents :p J'avais aussi pensé à leur faire prendre Perrine en otage en visualisant bien la scène, avec la folle blonde qui menacerait la petite grosse avec un couteau de vingt centimètres... *ça s'appelle une épée...*

Bref ça ne se fera pas (parce que... j'ai la flemme et j'ai genre 40 000 trucs à faire dont un chapitre d'EPDFAS qui ne VEUT PAS se finir et qui me PREND LA TETE... aux dernières nouvelles y'a une partie de tennis entre Grotichon et Pashmilla sur une musique complètement gogole, moyennant gémissements orgasmiques... cherchez pas à comprendre...)

Il est temps que j'arrête de me disperser et que je me CONCEEEEEEEEEEEENTRE !

Article ajouté le Jeudi 24 Novembre 2011 à 06h00 |
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Un truc qui trainait au fond d'un dossier


Mouais...
Article ajouté le Samedi 29 Novembre 2008 à 18h22 |
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