Pikachu
Pokébip Pokédex Espace Membre
Inscription

Emmenez-moi au pays des merveilles
de Owl-san

                   


Salut, 2020.

Si vous trouvez un contenu choquant cliquez ici :


Emmenez-moi au bout de la Terre
Hé, ça a beau faire une dizaine d'années que je me suis inscrit ici, j'ai jamais garanti que je savais faire des titres à mes articles.

J'ai repensé par hasard tout à l'heure à toute cette partie de ma vie qu'a été Pokébip, il y a déjà si longtemps. Quelle nostalgie ! Je vous avoue être un peu perdu, c'est tellement étrange. J'ai l'impression, après avoir galéré à retrouver mes identifiants (le mot de passe on n'en parle même pas), d'avoir retrouvé l'accès aux archives de ma vie, et c'est très curieux. Une vague d'émotion m'a pris au coeur, comme si l'enfant que j'étais ici s'était réveillé d'un long rêve où il grandissait trop vite.

Et je ne sais même pas trop pourquoi j'écris ici, ni même si on me lira. J'ai rapidement parcouru les vestiges des blogs et galeries des personnes de ma liste d'ami.es, remarqué qu'apparemment, 2020 est l'année de la nostalgie (Mat', Kiwi, si vous passez par là !). Et puis j'ai remarqué que ça faisait dix ans. C'est gigantesque, à l'échelle d'une personne de 22 ans. Si on m'avait dit ce que je deviendrais, y a dix ans !

Votre ami Math', Math_chan, Lady Math et autres sobriquets, s'est découvert non-binaire, plus fragile qu'iel ne le pensait, passionné, poète à ses heures perdues, bosseur en prépa littéraire puis en école d'art. Un jour auteur, espérons. Toujours la tête pleine d'histoires, d'OCs et de conneries, ça, ça ne change pas. Et puis, j'ai surtout l'envie de reprendre contact avec les gens dont je n'aurais pas gardé la trace grâce aux réseaux sociaux ou autres forums, d'avoir un aperçu de ce que vous devenez. Vous avez beaucoup compté pour moi. N'hésitez pas à passer faire un petit coucou en MP ou en commentaire, si l'envie vous prend ! J'utilise surtout discord, twitter, et instagram, je peux vous filer mes identifiants sans souci. Ça me ferait plaisir d'entendre des nouvelles, même juste une fois, même si l'amitié ne reprend pas !

Oh, et excusez-moi d'avance si je me souviens plus (ou pas tout de suite) de vous, ma mémoire n'est plus si bonne.

Je ne sais pas trop où je vais avec ça, j'avoue. Merci d'avoir pris le temps de lire, en tout cas, et bonne continuation !
Article ajouté le Mardi 13 Octobre 2020 à 17h41 |
3 commentaires
Meanwhile chez Math

J'ai 8h de philo par semaine avec ce gentil monsieur et j'écris très petit. :l (ma vie wow)
Article ajouté le Mardi 07 Avril 2015 à 20h03 |
8 commentaires
Des fois ça m'arrive de faire des trucs constructifs
Sisi c'est vrai. Hier soir j'ai écrit un peu, un texte à remettre dans le contexte d'un RP bien précis. Toutefois je précise que même en dehors de ce RP, peu de choses changeraient. (Et surtout pas la superbe émotion négative que le texte véhicule, merci Jojo)

/!\ AVERTISSEMENT /!\ Le contenu peut se trouver choquant, ou du moins très noir. Si vous êtes susceptibles d'en être affectés négativement après la lecture, retenez-vous de lire ou ne vous plaignez pas par la suite. Merci. (et désolée)

__________________________


L'information suivante est susceptible de révéler quelque chose d'important et de gâcher une surprise
Tu l'entends. Ses pas. Ces pas, tu les connais, tu les reconnaîtrais entre mille. Tu les as trop entendus, tu les connais par coeur. Tu sais que c'est lui, tu le sens, c'est tout.

La clef sur la serrure, la poignée baissée et relevée, la porte poussée, un courant d'air. Un arrêt, un silence. Et puis :

«Qu'est-ce que tu fais chez moi ?», articule-t-il, froid. Il a oublié de rajouter «petit con», mais tu l'entends tout pareil, tu sais mieux que personne à quel point il le pense.

Rien que le son de sa voix dans ton dos te glace le sang, tu t'immobilises, tu te crispes. Sa voix te lacère, te transperce, telle une lance de glace. C'est idiot, car quand tu veux, tu as la même. La même. Et tu te tais, tu comptais partir de toute façon. Partir, car tu voulais l'éviter. L'éviter plus que tout. C'est pas ton jour de chance.

«Je t'ai posé une question.» Un ton un peu plus irrité. Plus pressant, plus stressant. «Réponds.» Plus strict, aussi. «Strict», pour ne pas dire «menaçant». Parce que ça ne l'est pas encore, ça pourrait être pire.

Et pourtant, un frisson zigzague déjà sur ton échine, comme un cafard, comme un mille-pattes dont tu sentirais chacun des pas. Tu déglutis. Tu n'as pas à lui répondre, tu n'as pas à lui répondre. Cet homme, il n'a plus aucune autorité sur toi, il n'a plus aucun droit de te forcer à répondre, c'est fini, c'est fini tout ça. Et tu ne bouges pas, tu lui tournes le dos — le voir ne ferait que resserrer un peu plus le dégoût autour de ta gorge, comme une ceinture, comme la corde d'un pendu.

Il bouge, il pose une affaire ou deux, et tu l'entends qui s'approche. Ça va mal aller, ça va mal aller.

«J'ai dit : réponds.» Plus froid, plus froid, toujours plus méprisant.

Tu n'as pas bougé, pas un mouvement, à peine une respiration. Maintenant il est juste derrière toi. Tu sens son aura écrasante, mais tu ne veux pas sortir la tienne comme tu le faisais. C'est fini maintenant, cet homme ne fait plus partie de ta vie.

Il crache : «Sale gosse, comment j'ai pu t'élever comme ça.» Haineux.

Haineux, autant que toi, plus, moins, tu sais pas, mais qu'est-ce qu'on s'en fiche. Tu sais juste que c'est réciproque — sûrement votre seul point commun. Et qu'est-ce que tu aimerais t'en débarrasser, qu'est-ce que tu aimerais ne plus jamais avoir à ressentir ça, ce sentiment qui pèse sur ton ventre, qui te cloue la gorge, qui te colle comme une semelle sous une chaussure. Mais forcément, quand tu vois que le monde est fait de types comme lui, pas possible. Pas possible.

Tu sursautes : il t'a touché. Il t'a agrippé l'épaule, pour que tu te retournes, pour que tu le regardes quand il parle, c'est le respect minimum, ça. C'était brusque, c'était pas contrôlé, tu t'es vivement dégagé, et tu as lancé :

«Ça te regarde pas. Je m'en vais, de toute façon.» Ta voix a tressauté, même si ça ne l'a pas empêchée d'être extrêmement sèche.

Il n'est toutefois pas de ton avis, et il te retient. Fermement. Tu maudis sa poigne si forte. Puis tu déglutis, encore, encore, ça si ça pouvait dénouer ta gorge. C'est que ça fait mal.

«Non. Tu pars pas sans que je sache ce que tu fabriquais chez moi, sale petit con.» Ça fait mal... «C'est bien toi qui t'es barré, alors tu fous plus les pieds ici, c'est tout. Je croyais que c'était clair, mais t'es encore plus abruti que ce que je pensais.»

Tu supportes. Tu ne veux plus de conflits, alors tu ne répliques pas. Tu supportes, en silence. Il renforce son emprise sur ton bras et ça fait mal. Tu connais la suite, tu la connais que trop bien. Tu veux l'éviter mais tu sais que ce sera peine perdue.

«Jean-Marie

L'entendre de sa bouche est toujours aussi désagréable, tu sens tes cheveux se hérisser sur ton crâne. C'est sa faute, sa faute, si tu détestes ton prénom, c'est parce que tu ne comptes plus les fois où il l'a prononcé comme ça, comme un reproche, comme une insulte. Il hausse le ton, il perd patience :

«Tu vas parler maintenant, sinon tu vas avoir des problèmes, fils ingrat

Trop. Trop, c'est trop, et tu exploses, tu te dégages et tu le fixes dans les yeux, tu l'assassines du regard.

«JE T'INTERDIS DE M'APPELER COMME ÇA !!!», tu hurles, la voix déformée par cette colère qui t'étrangle.

Très vite, tout se passe très vite. Tu te retiens de le frapper, et tu t'écartes, rapidement. Tu sais que ça se joue à la seconde près quand tu fais ça. Ça marche parfois, ça rate d'autres fois. Aujourd'hui ça ne marche pas. Il te suit et te tire par le col, violemment. Ça te coupe presque le souffle.

Et un claquement. Violent. Le bruit que fait une main balancée contre une joue, à une vitesse élevée et sans retenue, aucune. Ça faisait longtemps. Tu prends sur toi pour le couper avant qu'il parle, même si ça fait mal, même si toi tu as du mal. Et tu cries :

«T'as pas le droit, t'as aucun droit sur moi, encore moins celui de m'appeler ton fils, parce que t'es pas mon père ! T'es pas mon père, t'es qu'un enfoiré incapable d'écouter les autres ni de les respecter alors que toi-même tu voudrais qu'on soit tous à tes pieds mais désolé le monde ça marche pas comme ça !» Ça monte, ça monte crescendo, le volume de ta voix ne fait que monter au fur et à mesure. Maintenant que tu as explosé, ça va ne faire qu'empirer. «Tu voulais que je parle ?», réponds-tu à son regard offusqué. «Eh bah JE PARLE ! Si tu finis comme ça à chaque fois qu'on n'est pas d'accord avec toi, faut pas t'étonner que je me sois barré comme tu dis si bien et faudra pas t'étonner non plus quand ta fille se barrera et quand ta femme se b—»

Une nouvelle claque. Encore plus forte que la première.

«ÇA SUFFIT !» Il hurle encore plus fort que toi.

Vous n'irez nulle part comme ça...

«Dégage de chez moi, et si je te vois une deuxième fois ici je te jure que tu le regretteras, salaud. Toi, et ton espèce de religieux à la con, et quiconque tu veux bien aller emmerder avec tes conneries !»

Non. Non. NON. Tu voulais partir, l'écouter et apaiser le jeu, finir tranquille, mais non. Il a insulté ton père, ton vrai père, ton seul père. Tu peux pas laisser passer ça. Pas possible. Juste pas possible.

Et tu lui sautes dessus, et c'est lui qui se prend une baffe. Une, deux, trois, quatre — et il te repousse, il t'envoie valdinguer quelques mètres plus loin. Vous criez, tous les deux, en même temps ; tu n'en démords pas, lui non plus.

C'est allé trop loin, plus loin que ça n'avait jamais été, tu sais pas jusqu'où ça peut aller, tu sais pas. C'est violent, ça hurle, ça fait mal et tu réclames des excuses pendant qu'il te dit qu'il va t'envoyer voir chez les flics, ça tourne, ça tape, ça fait mal. Ça fait mal. Ça fait mal au coeur, ça fait mal au corps, ça fait mal.

Et vous l'entendez. Son cri, qui vous stoppe net, tous les deux, haletants, à terre, abasourdis. Elle n'en revient pas. Elle est plus choquée qu'elle ne semble pouvoir l'être, qu'elle ne semble pouvoir le supporter. Ton coeur loupe un battement, l'adrénaline retombe, tu paniques. Lui aussi, on dirait. Mais il gronde, il te fusille d'un regard qui t'aurait tué des centaines de fois s'il était une arme. Il te lâche à contrecoeur, et— ... Et se précipite vers sa femme. Elle vient de tomber. Elle a perdu connaissance. Le choc. L'horreur, elle a pas pu supporter. Mais qui aurait pu supporter.

Toi, tu t'en veux plus que jamais, et pourtant tu lui en veux encore plus à lui, parce qu'il s'est pas excusé. Tu regrettes deux choses : avoir mis ta mère dans cet état, et n'avoir pas pu extirper ces foutues excuses à l'autre enflure. Maintenant, tu déguerpis. Tu te relèves, et tes nerfs crient qu'il vaudrait mieux pas, tu as pris plusieurs coups assez embêtants. Tu as du mal à respirer, à marcher, tu chancèles mais tu passes la porte sans rien dire, regardant le visage de ta mère, t'excusant mentalement à ta mère, mais pas à ton géniteur. Ton géniteur, pas ton père.



J'abuse de l'italique je crois
Article ajouté le Dimanche 08 Mars 2015 à 15h04 |
2 commentaires
Je précise que c'est la première fois que je dessine Isaac


Grosse ambiance.
Article ajouté le Mardi 17 Février 2015 à 20h00 |
14 commentaires
Découverte du sicèle


Le Saint préféré de Jojo. Sans mauvais jeu de mots.
Article ajouté le Lundi 16 Février 2015 à 21h07 |
16 commentaires
Parce que vous les attendiez tous
Ils sont enfin de retour sur vos écrans, j'ai nommés : les screens de ce merveilleux jeu qu'est Tomodachi Life !



Cette info est-elle vraiment essentielle, Mr. Addlermann ?


"OuO" (pardon)


J'adore le lieu où on peut faire des photos o/ (le petit brun est le seul et unique ami de JM (et il l'a dragué))


Totor chante une comédie musicale

Et il s'y croit :')




Ci-dessus, vous pouvez observer un Totosaurus Rex dans son habitat naturel.


… Encore ?

J'avais que ça. D':


J'adore décidément l'éditeur de photos XD


C'est pas parce que Vicky le fait que tu dois l'imiter.


Ne jamais oublier de sauvegarder. Jamais, c'est trop priceless.

Beaucoup de Totor dans cet article, mais il l'a cherché. :l
Article ajouté le Dimanche 18 Janvier 2015 à 18h31 |
5 commentaires
Because he's worth it


Mon scanner tue mes colos au bic.
Article ajouté le Dimanche 18 Janvier 2015 à 14h33 |
21 commentaires
«Je suis Charlie.»
Parce que cette histoire m'émeut beaucoup depuis hier, voilà de quoi y participer, si j'ose dire. Plutôt que de répéter comme déjà fait (et mieux fait) par d'autres, je vais plutôt parler des évènements suivant l'attentat.

Ce midi, au lycée, tout le monde dans la cour, sous le crachin cherbourgeois, à quelques mètres de la queue infernale du self et l'estomac grondant. Et pourtant, personne ne bouge, tout le monde attend, à l'unisson, et se recueille. Pendant ces quelques secondes, j'ai été plus émue encore qu'hier en voyant les rassemblements des diverses villes à la télé. Je me suis dit «Tu te rends compte ? Là, juste là, tout de suite, toute la France se tait, toute la France est silencieuse et on ne peut plus solidaire. Toute la France pense et rend hommage à ces pauvres hommes et femmes armés de crayons, d'humour et de courage. On est tous ensembles malgré le drame. On reste forts. Et ça, c'est beau.» Sincèrement, ce fut une superbe expérience, un bel hommage, respectueux. J'ai senti en moi de la foi envers l'humanité, que j'avais perdue depuis quelques années. Je pourrais rester des heures à regarder des reportages sur les différents rassemblements qui ont lieu partout dans le monde, à regarder les gens qui se battent avec nous pour la liberté d'expression, droit, à mon sens, essentiel.

«Je suis Charlie.» Restons unis.
Article ajouté le Jeudi 08 Janvier 2015 à 23h17 |
3 commentaires
"Faire un article ? Ne pas faire un article ? Ah, je dois bosser. Faisons un article." _ Math
Bon, ça va être du rapide parce que je suis sur tel et que j'ai un million de trucs à faire pour demain. Faisons un bilan de 2014 !

Cette année a été... Euh. Ahem. Je sais pas. Janvier : plus de souvenirs ; Février : la St Valentin ?? ; Mars : le Bac blanc de français ; Avril : LA FÊTE FORRAIIIIIIINE ; Mai : Le printemps donc la dépression (quelle horreur le printemps) ; Juin : Mon retour sur Bip je crois, et accessoirement reprendre contact pu rencontrer un bon nombre de personnes, ma vie serait rien sans vous, c'est dingue comme je vous aime <3 (mais aussi le bac uuuuuh la choucroute) (et le mois où j'ai vraiment commencé à RPer sérieusement) ; Juillet : les vacances, les résultats du bac (19 en français fuck yeah) et Bordeaux avec un être cher <3 ; Août : euh plage ? Et l'anniv de JM c'est important ! ; Septembre : Terminale bonjour (j'avais envie de bosser et de me coucher tôt hahaha) ; Octobre : euh je sais plus ? Du dessin en Octobre je crois ; Novembre : pareil je sais plus, cette mémoire est fascinante dites donc ; Décembre : le froid <3 et le character Drawcember que j'ai lâché car pas le temps -> contrôles + cadeaux de Noël à faire à pleiiiiiin de gens + fêtes + SA (mon Flobio s'appelle Jésus [prononciation hispannique] et j'ai un Mystherbe avouez vous êtes jaloux). Ça ressemble vraiment à rien cet article, on dirait une prise de notes. ovo

Dooonc pour résumer tout plein de vide et pas mal de choses très chouettes mais aussi de la déprime. Je classerai donc cette année comme "average". La première c'était super cool n'empêche. Ma vie est super intéressante. Uh.

Aussi, comme j'ai constaté BEAUCOUP de vide dans ma mémoire, j'ai voulu y pallier. La seule résolution que je prendrai donc pour 2015 est la suivante : prendre une grande boîte, et, chaque soir, tous les jours, y mettre une petite note sur papier avec un évènement de la journée qui m'a fait plaisir. Ou même plusieurs. Ainsi je me souviendrai de cette année, et je relirai tout le 31 Décembre. J'ai nommé ceci la "Boîte 2015", n'hésitez pas à reprendre le concept. <3

Btw pour moi cette année a démarré de la meilleure façon qui soit : toute première IRL avec mon meilleur ami en quatre ans. Certainement cinq des jours les plus heureux de ma vie. J'avais jamais vécu ça, c'est juste... Ça m'a redonné foi, ça m'a changée, mais vraiment. Juste... J'avais jamais vu un aussi beau sourire que le sien. C'est... Wow. Y a pas de mots. Aussi, je voumais vous dire : perdez pas espoir si vous voulez rencontrer vos potes du net. Ça viendra, si vous le voulez vraiment. Et quand bien même l'attente peut être longue, n'abandonnez pas. Ça vaut le coup. Jamais je m'étais sentie aussi vivante. Tout simplement.

Sur ce, bonne année 2015 à vous (un peu en retard certes, et le temps que je me rende compte qu'on est en 2015, on sera en 2016) ! Je vous aime, je le dirai jamais assez. Et restez vous-mêmes, c'est important.
Article ajouté le Lundi 05 Janvier 2015 à 21h41 |
11 commentaires
La vie de Vicky en screens - Hors série #1 : Qui est le plus blasé ?
Je vous laisse voter. À vos claviers.




Images d'archive




...

Jojo : 0
Isaac : 3
Les deux : 1
Aucun : 0
Article ajouté le Dimanche 28 Décembre 2014 à 13h51 |
14 commentaires