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L'antre de la poissonne à pattes
de pwassonne
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Tout ça pour un pavé !
_.·´¯`·-»Tout ça pour un pavé...«-·´¯`·._
Oui, mais attention, c'est le Badge Pavé quand même ! Bref, je vous raconte pas le mal que j'ai eu à obtenir ce malheureux insigne. Lucario niv. 30 à exploser avec un seul Pokémon Vol... un Etourvol qui avait certes eu de quoi s'échauffer avec les karatékas pourraves faisant office de plantons, mais qui n'était quand même que niveau 27. J'ai fini par en venir à bout à grand renfort de Rappels.
C'est ça, quand on entraîne six Pokémon régulièrement pour ne pas être largué quand Prinplouf est KO... Bon, j'ai quand même fini par remettre Castorno dans sa bwate, parce qu'en plus d'être nul, cet imbécile est vachement dur à faire monter de niveau... On restera donc sur une équipe de cinq, sauf si je trouve une merveille sur ma prochaine route, qui sait ? J'ai donc trois badges, que j'astique tous les jours avec le plus grand soin. C'est mes trophées, sans blague !
_.·´¯`·-»Bouchez vos stylos et débouchez vos oreilles !«-·´¯`·._
C'est reparti pour un conseil d'écriture ?
Conseil du jour : One-shot ou pas one-shot, telle est la question !
L'idée m'est venue quand j'ai vu quelqu'un qui avait écrit une histoire en trois one-shots. Et aussi un one-shot, il y a longtemps, qui montrait des concepts magnifiquement développés.
Qu'est-ce qu'un one-shot ? Un one-shot est une fanfic courte, plus précisément en un chapitre, publié d'un seul coup. Un peu comme une nouvelle, si vous voulez, mais en fanfiction et sur Internet en général, on emploiera plutôt le terme de one-shot. Personnellement, j'ajouterais aussi une distinction : une nouvelle raconte souvent une histoire, alors que le one-shot c'est souvent du délire contemplatif. Mais bon, en fait on regroupe les deux sous la même appellation, alors disons qu'il y a deux genres de one-shots. Ces distinctions subjectives qu'on admettra ou pas auront peu d'importance pour mon propos.
Alors, quand faut-il faire un one-shot ? Je pense que ça doit correspondre à une histoire très courte, dont l'arrière-plan est peu développé et dont l'intrigue est unidimensionnelle, avec peu de rebondissements (selon les théories de la nouvelle, un revirement à la fin ^^). Autre possibilité, ou extrême de la précédente, la scène contemplative dont la seule action se situe dans les souvenirs et impressions du personnage-narrateur. Ca marche mieux quand c'est triste. Ca, c'est du one-shot.
Et dans ce cas, quand ne pas faire un one-shot ? C'est la partie la plus importante, et il y a des cas très différents que je veux exposer.
- Une histoire proposée en tant que fic normale, refusée pour cause trop courte, et que vous reproposez en faisant suivre le titre de la mention "one-shot" pour avoir une excuse quant à la longueur. NON, car le one-shot est un genre (de même que la nouvelle en général) à part entière, qui a ses conventions etc. Vous avez écrit une histoire qui n'était pas destinée à être un one-shot, elle n'y est donc pas forcément adaptée.
- Une scène certes courte mais qui fait à l'évidence partie d'une histoire plus grande, ou qui se finit en queue de poisson ouvrant sur une histoire plus grande, ou qui met en jeu des concepts qui mériteraient plus de développement... En soi, il n'y a pas de mal à ne faire qu'un one-shot, mais c'est d'une part un gâchis d'idées pour l'auteur, et d'autre part ça laisse le lecteur sur sa faim, il aurait aimé en voir plus. Si vous définissez un univers trop en détail, l'intrigue mérite d'être autant développée. Mais ça marche aussi en sens inverse : dans un one-shot, l'univers nécessite peu de développement, peu de détails.
- Autre cas, pour lequel j'aurais un avis moins tranché : si on reprend l'idée de la scène statique dans laquelle le personnage, de préférence triste et dans un piteux état physique, revient sur son passé, il faut quand même faire attention : si le passé en question peut constituer une histoire entière, n'hésitez pas... Il faut vous demander quelle est la meilleure façon de la raconter : directement, ou à l'intérieur d'une autre histoire ? Avec des détails, ou en se concentrant sur des points principaux ? D'un point de vue interne strict, ou avec le brin d'omniscience que donne la rétrospection (le personnage qui raconte son passé sait comment celui-ci se finit : par le présent)... Ici, c'est donc une affaire de choix.
_.·´¯`·-»Un coup de pub ? «-·´¯`·._
Tout beau, encore un peu nouveau, voici le blog de l'équipe du site ! Tous les modérateurs et administrateurs du site y écrivent des articles à tour de rôle. Et quand j'aurai des idées, j'en ferai sûrement aussi...
Oui, mais attention, c'est le Badge Pavé quand même ! Bref, je vous raconte pas le mal que j'ai eu à obtenir ce malheureux insigne. Lucario niv. 30 à exploser avec un seul Pokémon Vol... un Etourvol qui avait certes eu de quoi s'échauffer avec les karatékas pourraves faisant office de plantons, mais qui n'était quand même que niveau 27. J'ai fini par en venir à bout à grand renfort de Rappels.
C'est ça, quand on entraîne six Pokémon régulièrement pour ne pas être largué quand Prinplouf est KO... Bon, j'ai quand même fini par remettre Castorno dans sa bwate, parce qu'en plus d'être nul, cet imbécile est vachement dur à faire monter de niveau... On restera donc sur une équipe de cinq, sauf si je trouve une merveille sur ma prochaine route, qui sait ? J'ai donc trois badges, que j'astique tous les jours avec le plus grand soin. C'est mes trophées, sans blague !
_.·´¯`·-»Bouchez vos stylos et débouchez vos oreilles !«-·´¯`·._
C'est reparti pour un conseil d'écriture ?
Conseil du jour : One-shot ou pas one-shot, telle est la question !
L'idée m'est venue quand j'ai vu quelqu'un qui avait écrit une histoire en trois one-shots. Et aussi un one-shot, il y a longtemps, qui montrait des concepts magnifiquement développés.
Qu'est-ce qu'un one-shot ? Un one-shot est une fanfic courte, plus précisément en un chapitre, publié d'un seul coup. Un peu comme une nouvelle, si vous voulez, mais en fanfiction et sur Internet en général, on emploiera plutôt le terme de one-shot. Personnellement, j'ajouterais aussi une distinction : une nouvelle raconte souvent une histoire, alors que le one-shot c'est souvent du délire contemplatif. Mais bon, en fait on regroupe les deux sous la même appellation, alors disons qu'il y a deux genres de one-shots. Ces distinctions subjectives qu'on admettra ou pas auront peu d'importance pour mon propos.
Alors, quand faut-il faire un one-shot ? Je pense que ça doit correspondre à une histoire très courte, dont l'arrière-plan est peu développé et dont l'intrigue est unidimensionnelle, avec peu de rebondissements (selon les théories de la nouvelle, un revirement à la fin ^^). Autre possibilité, ou extrême de la précédente, la scène contemplative dont la seule action se situe dans les souvenirs et impressions du personnage-narrateur. Ca marche mieux quand c'est triste. Ca, c'est du one-shot.
Et dans ce cas, quand ne pas faire un one-shot ? C'est la partie la plus importante, et il y a des cas très différents que je veux exposer.
- Une histoire proposée en tant que fic normale, refusée pour cause trop courte, et que vous reproposez en faisant suivre le titre de la mention "one-shot" pour avoir une excuse quant à la longueur. NON, car le one-shot est un genre (de même que la nouvelle en général) à part entière, qui a ses conventions etc. Vous avez écrit une histoire qui n'était pas destinée à être un one-shot, elle n'y est donc pas forcément adaptée.
- Une scène certes courte mais qui fait à l'évidence partie d'une histoire plus grande, ou qui se finit en queue de poisson ouvrant sur une histoire plus grande, ou qui met en jeu des concepts qui mériteraient plus de développement... En soi, il n'y a pas de mal à ne faire qu'un one-shot, mais c'est d'une part un gâchis d'idées pour l'auteur, et d'autre part ça laisse le lecteur sur sa faim, il aurait aimé en voir plus. Si vous définissez un univers trop en détail, l'intrigue mérite d'être autant développée. Mais ça marche aussi en sens inverse : dans un one-shot, l'univers nécessite peu de développement, peu de détails.
- Autre cas, pour lequel j'aurais un avis moins tranché : si on reprend l'idée de la scène statique dans laquelle le personnage, de préférence triste et dans un piteux état physique, revient sur son passé, il faut quand même faire attention : si le passé en question peut constituer une histoire entière, n'hésitez pas... Il faut vous demander quelle est la meilleure façon de la raconter : directement, ou à l'intérieur d'une autre histoire ? Avec des détails, ou en se concentrant sur des points principaux ? D'un point de vue interne strict, ou avec le brin d'omniscience que donne la rétrospection (le personnage qui raconte son passé sait comment celui-ci se finit : par le présent)... Ici, c'est donc une affaire de choix.
_.·´¯`·-»Un coup de pub ? «-·´¯`·._
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