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Domino, Lovely Bitch Writer
de Domino
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Revenir sur le passé, c'est bien aussi
Je suis en train de relire l'arc de la Ligue Pokémon à la fin de la saison 10 de Smirnoff R.
... et putain je suis sur le cul. En huit chapitres, je développe incroyablement les personnages, je donne un bout de gras à juste TOUT LE MONDE, les combats sont bons, je me suis surpris moi-même en relisant "Smirnoff vs Regigigas", je crois que c'est un des meilleurs combats que j'ai écrit.
J'arrive à caser une quantité incroyable d'intrigues sans jamais en lâcher aucune, et même certains trucs un peu "out of place" (le moment avec les six tarés des forces spéciales) passent tout à fait parce que j'insiste juste ce qu'il faut dessus. Tout s'emboîte nickel, tout le monde est utile (même ce godelureau de Ted), la romance Roland/Marigold que je balance là comme un cheveu sur la soupe passe crème, bref c'est clairement l'apex de mon oeuvre.
Après... les personnages font beaucoup de monologues internes un peu mièvres parfois, et ça entache un peu le truc. Mais ça reste un arc épique et la preuve qu'à une époque, j'écrivais avec passion et soin.
Si je pouvais réussir aussi bien la guerre entre la classe et Direction Dresseurs, ce serait vraiment tip-top.
Le chapitre... il avance plutôt bien, je suis encore un peu sceptique sur la façon d'enquiller les événements mais c'est plutôt bien parti... attendez-vous à de l'émotion, de l'entraide et des clichés à tire-l'arigot.
... et putain je suis sur le cul. En huit chapitres, je développe incroyablement les personnages, je donne un bout de gras à juste TOUT LE MONDE, les combats sont bons, je me suis surpris moi-même en relisant "Smirnoff vs Regigigas", je crois que c'est un des meilleurs combats que j'ai écrit.
J'arrive à caser une quantité incroyable d'intrigues sans jamais en lâcher aucune, et même certains trucs un peu "out of place" (le moment avec les six tarés des forces spéciales) passent tout à fait parce que j'insiste juste ce qu'il faut dessus. Tout s'emboîte nickel, tout le monde est utile (même ce godelureau de Ted), la romance Roland/Marigold que je balance là comme un cheveu sur la soupe passe crème, bref c'est clairement l'apex de mon oeuvre.
Après... les personnages font beaucoup de monologues internes un peu mièvres parfois, et ça entache un peu le truc. Mais ça reste un arc épique et la preuve qu'à une époque, j'écrivais avec passion et soin.
Si je pouvais réussir aussi bien la guerre entre la classe et Direction Dresseurs, ce serait vraiment tip-top.
Le chapitre... il avance plutôt bien, je suis encore un peu sceptique sur la façon d'enquiller les événements mais c'est plutôt bien parti... attendez-vous à de l'émotion, de l'entraide et des clichés à tire-l'arigot.
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