Transports, appartement
Après l'avion qui a beaucoup de retard, la grève des métros, ce qui nous fait prendr le bus (mais bon, grâce à ça j'ai pu voir Big Ben et la Grande Roue de nuit *-*). Le second bus qu'on doit prendre et qu'on attend depuis 20 minutes qui nous passe devant le nez parce qu'il est plein. Le taximan qui ne sait pas où est l'adresse demandée, qui regarde sur une carte et qui laisse tourner le compteur. 16 livres au lieu de 11. Maintenant, l'appartement. Les parois de l'ascenseur sont recouvertes de carton légèrement malodorant. On arrive dans l'appartement, je me pète la gueule sur le parquet. Dans la chambre, nos amis (oui, on loge avec des amis) arrivés avant nous dise "Alors, comme vous voyez, le lustre est un peu bas. Et si on le cogne il tombe. Ça m'est arrivé trois fois." J'entre dans la salle de bains et voit un bouchon accroché à une ficelle. Je tire et hop, lumière ! Sur ce coup là j'étais mort de rire. Mais bon, je vous dis que des défauts alors qu'il y a un avantage qui fait oublier toutes ces conneries : on est à Londres, merde.
Chroniques de Londres par un Haut-Savoyard
Article ajouté le Mardi 29 Avril 2014 à 10h18 |
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