Le match contre la Corée a tenu ses promesses de finale à deux balles en nous présentant la tête de cul suprême, j'ai nommé :

Bonjour. J'ai une tête de cul, on me prend pour le meilleur tacticien du monde mais je suis une grosse tête de cul et mes stratégies à deux balles ne tiennent pas deux secondes face aux Trolls d'Inazuma Eleven. Kikoo, vous voulez jouer à Starcraft ?SERIEUX c'est QUOI ce CHARACTER DESIGN ??? Mais à côté, n'importe quel personnage non développé des autres équipes a l'air génialement réalisé ! Non, il ne ferme pas les yeux ! Il est asiatique ! Il garde cette tête là TOUT LE TEMPS !!!
O-M-F-G quoi.
Et surtout : Mec, t'es Useless.
Parce que dans la même équipe, y'a APHRODITE, y'a BURN et y'a GAZEL. Le premier a une personnalité, les deux autres aucune. Pourtant, ils sont plus intéressants que... c'est quoi son nom déjà... Choo-sson-oo-pommes ? Un truc dans le genre.
Le match s'étend sur quatre épisodes. Le premier consiste en une jauge. Hijikata (Thor en dub) sert enfin à quelque chose et contribue à marquer un but. Puis vient la super technique de merde de la mort. J'ai nommé la Perfect Press Zone.
Elle consiste à enfermer les adversaires dans NON PAS UN
MAIS DEUX TOURBILLONS.
Quatre joueurs visiblement très cons tournent autour des deux joueurs visés et les enferment dans un tourbillon d'horreur impossible à traverser.
La technique pour l'esquiver ?
TIRER EN L'AIR !
MAIS WHAT THE FUCK
C'EST NUL !
A côté, le truc de l'Australie, au moins, c'était rôdé !
Mais là NON quoi.
Pis que Inazuma Eleven soient les premiers à y avoir pensé, WHAT THE FUCK ????
Y'a QUOI dans les autres équipes, des CARPES ????
- ZUT ON EST BLOQUES AU SOL !
- YA AUCUNE ISSUE !!!
- SI SEULEMENT ON POUVAIT CREUSER AVEC LE BALLON !!!
BRRRRRRRRRRRRRREF.
Endou qui ne joue pas, ça aurait pu être fort, ça s'est avéré décevant au final puisqu'il lui a suffi de remanier la rhétorique de la question du coach pour se sortir de son exil du terrain.
Coach qui par ailleurs est aussi charismatique que badass, tout en étant moins Drama Bitch que la mère Hitomiko. Qui était vraiment trop impliquée dans la vie sexuelle de ses joueurs.
Tobitaka, idem, petite déception, rater la balle à ce niveau de la compétition c'est la honte internationale.
Le père de Gouenji se range d'ores et déjà dans la liste incroyable des trolls, aux côtés de cette salope de pute de ponette Celestia. En voyant son con de fils jouer au foot, paf, il décide tout d'un coup que son fils est super en footballeur en fait, et que bon, il peut continuer à en faire, et donc c'était inutile de lui coller la pression toutes ces années en le forçant à être un docteur au lieu de faire le football qu'il aime !

Solidarité Gouenji International.
Crève, vieux con.Brrrrrref.
J'adore Gouenji, j'adore Toramaru, mais pour le premier, ce genre de twist avait déjà été trop fait, et malheureusement l'idée que ce sera le dernier match de Gouenji a été introduite TROP vite, TROP brusquement et TROP près du match final, ce qui fait que même si les épisodes précédents étaient solides, même si la gouvernante me fendait le coeur avec ses regards de cambodgienne exploitée, je n'arrivais pas à éprouver de l'empathie pour le personnage. (Pourtant dieu sait que j'aime ces personnages !)
Pour le second, il est totalement hors du personnage. Utsunomiya Toramaru qui ENGUEULE GOUENJI ? Qui lui demande de se bouger le cul ? Si encore ça avait été mis en rapport avec les mots que Gouenji lui avait lui-même sorti pour lui décoincer sa Frappe du Tigre du cul, j'aurais compris, mais là, non quoi. Juste lui dire "Arrête de faire ton branleur et bouge-toi le fion", nan.
La révélation de ce match, c'est évidemment celui dont je n'ai pas parlé, c'est le merveilleux Fudou Akio, Caleb Stonewall pour les vendus.
J'ai été tout simplement HALLUCINE par son style, et en même temps assez peiné par l'accueil que les autres lui ont réservé, même si ce n'était pas étonnant. La justification du coach pour le sortir en dernier était un peu foireuse (Oui, bon, l'ennemi n'a aucune donnée sur lui donc ça leur fera la surprise, hihihihi) mais sur le terrain, bon sang. J'ai éclaté de rire quand il a fait rebondir la balle sur la gueule de Kabeyama, et encore plus sur la gueule de Kazemaru. Un rebond sur la face de pet de Castor n'aurait pas été de refus.
Mais quel personnage magnifique. Son passé est probablement la chose qui m'a le plus ému de tout le match. Pauvre gosse, littéralement poussé par la vie à gagner du pouvoir. Paradoxalement, il n'a aucune technique spéciale "à lui" hormis son combo avec Kidou. Mais l'idée d'un personnage aussi arrogant et pupute me ravit absolument. Ces trolls qu'il a infligés à l'équipe adverse, c'était génial.
Sans grande surprise, les 11 d'Inazuma remportent le match et en arrivent au tournoi mondial...
Et j'ai deux super captures d'écran trop marrantes :

Tiens, je te livre mon enfant qui est fou d'admiration pour toi. Prends-en soin, il est fragile, ne le mords pas trop fort, sa peau marque. Sois doux avec lui, il est si sensible !
Gouenji : ............
Entrejambe d'Utsunomiya : *CHDOÏNG*

Mamoru qui poursuit le pneu de chantier de ses rêves. Voilà le hic avec Mamoru : Les femmes, c'est trop étroit. Les pneus, c'est le pied ! *les lecteurs de l'article balancent des pneus à Domino*Par contre la série manque tellement de subtilité que je crois avoir deviné par avance qui était le grand-père de Mamoru. Dommage, je suppose que c'était censé être une grosse surprise.