Les rêves de dingue de Domino
J'ai pour habitude de faire des rêves très cons, mais cette nuit du 4 décembre 2012, j'ai (re)fait un rêve tellement génial, bien tourné et profond que j'avais envie de vous le raconter. Je dis "Re" car je l'avais déjà fait mais avec beaucoup moins de détails et pas avec le "twist" final absolument démentiel.
Ca commence dans une cage d'escalier. Je descends en compagnie de ma meilleure amie et son petit copain. Nous découvrons soudain... Robert Pattinson, étendu dans les marches, inerte, les yeux grand ouverts. Après nous être légèrement inquiétés pour lui, celui-ci se "réveille", et alors que Mathieu amorce un dialogue en anglais, celui-ci nous parle en français courant. C'est alors que j'engage à mon tour un dialogue avec lui.
- Je vais bien, dit-il.
- Waouh, t'es doublé en français !! dis-je
- Ouais, je sais, répond-il.
- Tu veux que je t'écrase avec le quatrième mur ?
Ce dialogue - et la suite du rêve - me fait vite comprendre que je suis le (très mauvais) élément comique du rêve. Dans une scène, mes amis ont un meeting avec une amie commune à Paris, visiblement pour parler de choses importantes. Mais mon rôle se résume à boire du thé glacé à la bouteille comme un gros dégoûtant et de lui salir ses chaussures neuves en marchant dessus.
Bref, nous retrouvons Robert Pattinson (l'acteur, toujours) dans une salle de gym où j'essaie maladroitement de le draguer, notamment en simulant une foulure de cheville après avoir poursuivi Robert lors de son jogging matinal sur la plage. Robert est un bon samaritain, il se prête à mes gags comiques avec brio. Tout au long du rêve/film, Robert se montre très généreux et donne des vêtements, des bonbons, et même de l'argent mais uniquement à des enfants, ce qui ne m'interpelle absolument pas.
A la fin du rêve, mes deux amis, Robert Pattinson et moi avons une longue discussion autour d'un feu de camp sur le sens de la vie. Des parents arrivent et interpellent rudement Robert Pattinson à propos de le voir tourner autour de leurs enfants. Robert commence à se justifier mais je n'arrive plus à le voir derrière la nuée de parents en short et en tongs qui viennent lui demander des comptes. Le copain de ma meilleure amie se lève alors, me regarde, et me dit fermement :
- Prends une décision !
Je regarde alors mon amie, hébété. Elle me lance un regard fixe mais sans équivoque. Elle me montre d'abord une paire de menottes puis un couteau très effilé. Le rêve s'arrête là-dessus, en fondu noir.
Article ajouté le Mardi 04 Décembre 2012 à 11h15 |
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