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Point Of No Return
de Nuclear Dragon
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Encore! Ben oui encore... Mais là c'est le rêve le plus bizarre de tous les temps! Et c'est vrai!
Encore! Ben oui encore... Mais là c'est le rêve le plus bizarre de tous les temps! Et c'est vrai! Personne ne pourra le dépasser! XD et il est assez drôle quand on y pense! Il bat des records! Bon, voilà comment ça s'est passé...
Le Rêve Le Plus Bizarre De Tous Les Temps
Ça démarre dans un "collège". Il y a des "" car il est vraiment étrange: il ressemble plutôt à une ancienne école qui elle même ressemble à une mini-chapelle. Je veux dire qu'il y a une cloche, et je dirais même que les livres qui étaient là pour le "CDI" étaient pour les petits, genre 3-5 ans. XD
J'étais avec ma classe et on était en dernière heure de notre journée vu qu'on finissait une heure plus tôt, donc à 15h50. On était dans le CDI, mais avec notre prof (de 5°) de français. Juste avant de commencer le cours, y'a Alexia qui me donne un livre qu'elle a trouvé sur les dinosaures et le met dans mon sac. Le cours commence. On était allongés sur le ventre parterre, car il n'y avait ni de chaises ni de tables! Etienne, qui était à côté de moi, me parle, mais tellement il y avait du vent, je n'ai pas très bien entendu:
<<Quel homme j'aime? demandais-je incertaine.
- Nan! s'exclama Etienne.
- Eh bien ça parle de relations amoureuses là?! dit notre prof.
- Non, je lui pose une question mais elle ne comprends pas la même chose! protesta Etienne.
- Est-ce sur le cours? questionna la prof.
- Oui! mentit l'interrogé.>>
En fait, il y a que quand il parle que le vent passe. C'est très bizarre. Après j'ai encore tenté de découvrir ce qu'il me disait, mais c'était toujours pas bon. Puis encore une fois:
<<Dinosaures ou serpents?
- Oui!>>
Bien sûr, il n'y avait aucun rapport avec la correction du bled et ce qu'il me disait, mais c'était bien ça. Je n'eus pas le temps de répondre à sa question que la fin du cours sonne. Oui je sais, c'est très court comme cours! Presque toute la classe est dans le "hall" où juste six personnes tenaient à l'intérieur, mais moi je me relevais à peine. Puis Alexia me pose la même question de "Dinosaures ou serpents?" et dit aussi que c'était elle qui l'avait chargé de cette question, puis je répondis sans réfléchir (donc au pif au mètre) serpents. Elle prend le livre sur les dinosaures qu'elle m'avait donné et le repose parterre dans une caisse rouge, puis prend un livre sur les serpents qui fait déjà beaucoup plus notre âge. Là je me dis que j'ai fait le bon choix ;)
Notre cahier de liaison à la main, nous attendions dans le "hall". Nous attendions quoi, j'en sais rien. Je sors avant les autres par ma droite(on sort du "CDI" et on arrive directement dans le "hall", puis je prends à droite pour sortir dehors), et avant de descendre les trois marches, je vis une lignée très espacée de jeunes pommiers. Je vais pour descendre les marches, mais je tombe tête la première. Après, je n'ai plus la vue que j'avais dans mon propre corps(je vois par les yeux, au cas-où XD), mais une vue aérienne assez basse, où il devait y avoir 2-3 mètres entre "ma vue" et le sol herbeux.
Ma vue flottante arrive dans une salle sombre et inconnue, où trois infirmières se tenaient, et se précipitaient sur leurs valises de secours(avec des seringues, et autres trucks médicaux dedans) et montèrent dans leur voiture des années 90, qui était si pleine que elles seules pouvaient tenir en plus.
<<Non! Toi tu restes là, pendant que nous allons chercher Mylène! Il n'y aura plus du tout de places si tu rentre avec nous dans la voiture! dit l'une des trois infirmières.
- Mais je veux aussi y aller! protesta la troisième infirmière. Bon d'accord, je reste ici, mais faites vite!>>
Ma vue de retour dans la cour, les infirmières étaient là et jetèrent un coup d'œil sur leur tablette numérique pour voir où est-ce que j'avais des os de cassés. C'était tellement devenu un carnage qu'elles détournèrent la tête. Elles voulurent me porter, mais je me levais, même avec deux coudes de broyés, la colonne vertébrale pliée en deux, le crâne cassé et un tibias de fracturé, ce qui fait cinq os n'étant plus en état de fonctionner, je marchai sur le chemin caillouteux. Je tombai, mais me relevai, suivie des deux infirmières. Soudain, je vis qu'on faisait une chaîne, dont le premier s'accrochait à un des pommiers. Emerveillée,(pourquoi je sais pas XP) je courus m'attacher au bout de la chaîne, et d'un seul coup, tout le monde tomba à terre. Les deux infirmières en profitèrent pour m'attraper, et je ne me débattis pas. Même, mon corps ferma les yeux. Moi, je me voyais toujours, infirmière n°1 tenant mon bras gauche et ma jambe gauche, infirmière n°2 tenant mon autre bras et mon autre jambe. Elles se dirigèrent vers le fond de la cour(donc vers le fond du chemin), en s'arrêtant de temps en temps tellement j'étais lourde pour elle, et en plus marcher avec mon poids c'est pas facile. C'est alors que, François Hollande arriva avec un autre homme politique(je sais pas qui, je ne distingue pas très bien son visage). Le président proposa aux infirmières de les remplacer avec l'autre-homme-dont-je-sais-pas-qui-c'est, elles acceptèrent et les accompagnèrent. On arrive à un endroit sur la gauche où deux-trois voitures noires attendaient la venue du président. Celui-ci m'envoya dans les bras de quelqu'un qui, aux premiers regards, semblait être un prêtre/curé. Il sursauta, et les autres poussèrent un gémissement de stupeur. Il portait une chemise bleue trempée, et une sorte de gilet noir. J'ai alors compris que ce n'était pas un prêtre/curé, malgré le cri de la foule. Il marcha pour me raccompagner à la voiture des infirmières, mais voilà que dans la serviette rose (-_- j'étais dans une serviette rose, super, j'aime pas le rose -_-), une lueur orange me remplaça. Ils écarquillèrent les yeux, tandis que moi j'étais un peu plus loin devant eux, debout, marchant sur des pommes tombées à terre sur un lit de feuilles mortes. Je ris, et... Je sais pas. Je suis dans un bateau aux murs orangés(qu'est-ce que j'ai avec le orange et le rouge?), dans la salle du capitaine. Et qui c'est, devinez... Le capitaine Haddock. Je crois qu'il dit qu'il a goûté un nouveau whisky, et qu'il est même plutôt bon. Moi je sors et dit que je l'ai adoré, et que j'ai aussi goûté du vin(je crois). Je me précipite sur ma mère et l'enlaçai, puis je rentre à la maison. Je sors dans la rue, et je vis pleins de pinceaux peindre tous seuls les murs des maisons. Je fais le tour de la ville, et je revis encore les pinceaux, cela m'énerva, et je criai à un chien, je ne sais plus lequel exactement, je crois que c'était Pluto, mais en tous cas, c'était un chien de dessin animé:
<<Tais-toi! Va te coucher! Flora!>>
Non, là Flora était une fleuriste, et ce n'était pas la même. Elle sortit en trombe et vit des pinceaux peindre juste sur le rebord d'une fenêtre, et s'approcha de ceux-ci:
<<Est-ce que vous voudriez bien partir si nous vous donnons des tulipes?>>
Sauf que les tulipes qu'elle brandissait ressemblait plus à ces orchidées-là. Les pinceaux n'en était plus, ils étaient devenus des crocus.
Il me sembla entendre une sorte de conversation venant du chef des crocus, mais en fait il parlait par télépathie à Flora, et la réponse devait être oui, car cela avait illuminé le visage de la fleuriste. Elle courut chercher ses "tulipes", et revint les bras chargés de ces fleurs en question. Elle en posa un sur chacun des anciens pinceaux, et je fit de même pour l'aider. J'ai pris un des crocus, lui donnai une "tulipe", et le lançai dans les airs. Sauf qu'il s'aplatit comme une crêpe sur le sol goudronneux. Pendant ce temps, les autres fleurs s'envolaient dans les airs avec leur "tulipe".
<<Ah bah zut! Je pensais qu'il allait s'envoler comme les autres, alors je l'ai aidé, mais le voilà parterre... dis-je en fixant le crocus tombé à terre.
- Il fallait le laisser s'envoler tout seul, répondit Flora.>>
FIN
Le Rêve Le Plus Bizarre De Tous Les Temps
Ça démarre dans un "collège". Il y a des "" car il est vraiment étrange: il ressemble plutôt à une ancienne école qui elle même ressemble à une mini-chapelle. Je veux dire qu'il y a une cloche, et je dirais même que les livres qui étaient là pour le "CDI" étaient pour les petits, genre 3-5 ans. XD
J'étais avec ma classe et on était en dernière heure de notre journée vu qu'on finissait une heure plus tôt, donc à 15h50. On était dans le CDI, mais avec notre prof (de 5°) de français. Juste avant de commencer le cours, y'a Alexia qui me donne un livre qu'elle a trouvé sur les dinosaures et le met dans mon sac. Le cours commence. On était allongés sur le ventre parterre, car il n'y avait ni de chaises ni de tables! Etienne, qui était à côté de moi, me parle, mais tellement il y avait du vent, je n'ai pas très bien entendu:
<<Quel homme j'aime? demandais-je incertaine.
- Nan! s'exclama Etienne.
- Eh bien ça parle de relations amoureuses là?! dit notre prof.
- Non, je lui pose une question mais elle ne comprends pas la même chose! protesta Etienne.
- Est-ce sur le cours? questionna la prof.
- Oui! mentit l'interrogé.>>
En fait, il y a que quand il parle que le vent passe. C'est très bizarre. Après j'ai encore tenté de découvrir ce qu'il me disait, mais c'était toujours pas bon. Puis encore une fois:
<<Dinosaures ou serpents?
- Oui!>>
Bien sûr, il n'y avait aucun rapport avec la correction du bled et ce qu'il me disait, mais c'était bien ça. Je n'eus pas le temps de répondre à sa question que la fin du cours sonne. Oui je sais, c'est très court comme cours! Presque toute la classe est dans le "hall" où juste six personnes tenaient à l'intérieur, mais moi je me relevais à peine. Puis Alexia me pose la même question de "Dinosaures ou serpents?" et dit aussi que c'était elle qui l'avait chargé de cette question, puis je répondis sans réfléchir (donc au pif au mètre) serpents. Elle prend le livre sur les dinosaures qu'elle m'avait donné et le repose parterre dans une caisse rouge, puis prend un livre sur les serpents qui fait déjà beaucoup plus notre âge. Là je me dis que j'ai fait le bon choix ;)
Notre cahier de liaison à la main, nous attendions dans le "hall". Nous attendions quoi, j'en sais rien. Je sors avant les autres par ma droite(on sort du "CDI" et on arrive directement dans le "hall", puis je prends à droite pour sortir dehors), et avant de descendre les trois marches, je vis une lignée très espacée de jeunes pommiers. Je vais pour descendre les marches, mais je tombe tête la première. Après, je n'ai plus la vue que j'avais dans mon propre corps(je vois par les yeux, au cas-où XD), mais une vue aérienne assez basse, où il devait y avoir 2-3 mètres entre "ma vue" et le sol herbeux.
Ma vue flottante arrive dans une salle sombre et inconnue, où trois infirmières se tenaient, et se précipitaient sur leurs valises de secours(avec des seringues, et autres trucks médicaux dedans) et montèrent dans leur voiture des années 90, qui était si pleine que elles seules pouvaient tenir en plus.
<<Non! Toi tu restes là, pendant que nous allons chercher Mylène! Il n'y aura plus du tout de places si tu rentre avec nous dans la voiture! dit l'une des trois infirmières.
- Mais je veux aussi y aller! protesta la troisième infirmière. Bon d'accord, je reste ici, mais faites vite!>>
Ma vue de retour dans la cour, les infirmières étaient là et jetèrent un coup d'œil sur leur tablette numérique pour voir où est-ce que j'avais des os de cassés. C'était tellement devenu un carnage qu'elles détournèrent la tête. Elles voulurent me porter, mais je me levais, même avec deux coudes de broyés, la colonne vertébrale pliée en deux, le crâne cassé et un tibias de fracturé, ce qui fait cinq os n'étant plus en état de fonctionner, je marchai sur le chemin caillouteux. Je tombai, mais me relevai, suivie des deux infirmières. Soudain, je vis qu'on faisait une chaîne, dont le premier s'accrochait à un des pommiers. Emerveillée,(pourquoi je sais pas XP) je courus m'attacher au bout de la chaîne, et d'un seul coup, tout le monde tomba à terre. Les deux infirmières en profitèrent pour m'attraper, et je ne me débattis pas. Même, mon corps ferma les yeux. Moi, je me voyais toujours, infirmière n°1 tenant mon bras gauche et ma jambe gauche, infirmière n°2 tenant mon autre bras et mon autre jambe. Elles se dirigèrent vers le fond de la cour(donc vers le fond du chemin), en s'arrêtant de temps en temps tellement j'étais lourde pour elle, et en plus marcher avec mon poids c'est pas facile. C'est alors que, François Hollande arriva avec un autre homme politique(je sais pas qui, je ne distingue pas très bien son visage). Le président proposa aux infirmières de les remplacer avec l'autre-homme-dont-je-sais-pas-qui-c'est, elles acceptèrent et les accompagnèrent. On arrive à un endroit sur la gauche où deux-trois voitures noires attendaient la venue du président. Celui-ci m'envoya dans les bras de quelqu'un qui, aux premiers regards, semblait être un prêtre/curé. Il sursauta, et les autres poussèrent un gémissement de stupeur. Il portait une chemise bleue trempée, et une sorte de gilet noir. J'ai alors compris que ce n'était pas un prêtre/curé, malgré le cri de la foule. Il marcha pour me raccompagner à la voiture des infirmières, mais voilà que dans la serviette rose (-_- j'étais dans une serviette rose, super, j'aime pas le rose -_-), une lueur orange me remplaça. Ils écarquillèrent les yeux, tandis que moi j'étais un peu plus loin devant eux, debout, marchant sur des pommes tombées à terre sur un lit de feuilles mortes. Je ris, et... Je sais pas. Je suis dans un bateau aux murs orangés(qu'est-ce que j'ai avec le orange et le rouge?), dans la salle du capitaine. Et qui c'est, devinez... Le capitaine Haddock. Je crois qu'il dit qu'il a goûté un nouveau whisky, et qu'il est même plutôt bon. Moi je sors et dit que je l'ai adoré, et que j'ai aussi goûté du vin(je crois). Je me précipite sur ma mère et l'enlaçai, puis je rentre à la maison. Je sors dans la rue, et je vis pleins de pinceaux peindre tous seuls les murs des maisons. Je fais le tour de la ville, et je revis encore les pinceaux, cela m'énerva, et je criai à un chien, je ne sais plus lequel exactement, je crois que c'était Pluto, mais en tous cas, c'était un chien de dessin animé:
<<Tais-toi! Va te coucher! Flora!>>
Non, là Flora était une fleuriste, et ce n'était pas la même. Elle sortit en trombe et vit des pinceaux peindre juste sur le rebord d'une fenêtre, et s'approcha de ceux-ci:
<<Est-ce que vous voudriez bien partir si nous vous donnons des tulipes?>>
Sauf que les tulipes qu'elle brandissait ressemblait plus à ces orchidées-là. Les pinceaux n'en était plus, ils étaient devenus des crocus.
Il me sembla entendre une sorte de conversation venant du chef des crocus, mais en fait il parlait par télépathie à Flora, et la réponse devait être oui, car cela avait illuminé le visage de la fleuriste. Elle courut chercher ses "tulipes", et revint les bras chargés de ces fleurs en question. Elle en posa un sur chacun des anciens pinceaux, et je fit de même pour l'aider. J'ai pris un des crocus, lui donnai une "tulipe", et le lançai dans les airs. Sauf qu'il s'aplatit comme une crêpe sur le sol goudronneux. Pendant ce temps, les autres fleurs s'envolaient dans les airs avec leur "tulipe".
<<Ah bah zut! Je pensais qu'il allait s'envoler comme les autres, alors je l'ai aidé, mais le voilà parterre... dis-je en fixant le crocus tombé à terre.
- Il fallait le laisser s'envoler tout seul, répondit Flora.>>
FIN
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