Facepalm Combo x2
de Mudoon

Ces deux fofolles ont décidés de m'écrire un yaois *tousse*.

Kiki : "Tient et si tu écrivais un Yaois avec les troll et tu envoyais à Mara ? J'te paye un repas si tu le fais"

Ryuko : "Okay"

Donc elles m'ont envoyé un Yaois, j'ai crut mourir en lisant *PAN* Sérieux c'est horrible plus jamais 8D

Alors comme elles aiment pas le yaois, j'ai écris un Yuri vraiment HARD (pr0n quoi, pas de dessin, mais explicite, très explicite 8D)

Donc vous êtes prévenu(e)s ^^

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Vriska regarda Aradia dans le blanc des yeux. Elle ne portait qu’une légère robe laissant voir son corps gris. Elle regardait sa poitrine, si douce, si molle et si ronde. Elle ne portait pas de sous vêtement.

Aradia regarda Vriska. Cette dernière ne portait qu’une robe blanche, pied nue.

Vriska se colla à Aradia, la serrant contre elle, ses mains caressant son corps, l’embrassant partout. Elle glissa ses doigts de plus en plus bas.

Aradia la plaqua contre le mur, l’enlaçant, l’embrassant.

Les deux femmes se caressait et s’embrassait. Soudain, Vriska laissa échapper un soupire de plaisir. Aradia sourit, coquine.

Elles se plaquèrent contre le lit, fait de draps blanc, assez vide. Vriska retira la robe d’Aradia puis colla ses lèvres à sa poitrine et la lécha. Aradia sourit et l’embrassa sur le front. Vriska glissa ses lèvres de plus en plus bas. Aradia pouffa de plaisir, Vriska continuait ses baisés, pendant qu’elle suçait son corps. Elle déshabilla Vriska et put l’admirer dans toute sa splendeur. Elle avait des cheveux noirs aussi purs que la nuit noire, des yeux si profonds, un corps long, doux, parfait.

Elles se serrèrent l’une contre l’autre, leur corps nue s’assemblant parfaitement, formant une seule et même personne. Elle s’aimait, se cachant à la face du monde. Un amour si interdit, si passionné.

Elles s’embrassaient, se léchait, se suçait, leur corps nue bougeant au même rythme, dans une danse parfaite de l’amour.

Après quelques minutes, elles s’arrêtèrent. Vriska put observer Aradia mieux encore. Elle avait des cheveux frisés ressemblant à un ballet figé dans le temps, formant des cercles intemporels. Son corps était plus petit qu’elle et plus menue, mais si belle. Ses yeux étaient si parfait et elle y replongeant en glissant sa bouche sur ses lèvres.

Elles reprirent leur chorégraphie de l’amour, qui ne se terminera que tard dans la nuit, lorsque les deux amantes furent trop épuiser pour continuer.