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Arrête de nager dans la moquette.
de Sélenda

                   



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Racontage de vac'
« Tou-poutou, Tou-poutou, Tou-poutou-poutou-poutou,
Tou-poutou, Tou-poutou, Tou-poutou-poutou-poutou !
-Ouais, les filles, si vous voulez... »



Voilà, j'ai enfin le courage de tout vous raconter...
Outre le fait que j'ai rencntré des personnes extraordinaires, j'ai décidé de vous raconter ce qui ont été les moments les plus galères de la colo sous forme de journal :


Premier jour :
5h du matin, j'me réveille pour partir. Il est trop tôt pour que j'ai envie de prendre un petit déjeuner. De plus, ma soeur part avec moi. J'aurai préérée être seule...
Arrivée sur place, je ne connais que peu de gens. J'en aime bien deux, j'en déteste six. Sa s'annonce bien dites-donc ! ien à dire sur le voyage, jusqu'à l'aéroport de Palerme, la capitale de la Sicile. Là, on a raté le train pour aller dans le centre de Palerme et avons attendu une heure. Si j'avais su que sa serai pas la seule fois du séjour... Arrivés là bas, nous avons eut le choix : marcher deux kilomètres jusqu'au camping ou ttendre le bus troi quart d'heure. On en pouvait tellement plus avec les bagages qu'on a choisit le bus... Imaginez-vous à vingt-six dans un simple bus avec cos bagages. Ben ça, c'était tout le temps !
Arrivée au caming à 19h. On avait rien mangé de la journée. On a été acheter quelque chose à grignoter et sommes partis nous doucher... Et l'eau était absolument gelée ! J'espérais déjà que ça serai pas comme ça partout.
Et pour la première fois, et comme je le répéterai tout les soirs pendant deux semaines, je me couchais avec mes camrdes à la belle étoile. Non, les étoiles, on en voit pas des tonnes. Par contre, les moustiques, on les sent passer !

Deuxième jour :
Réveillée à 8h à cause de la chaleur intense qui frappe déjà. Je pense qu'on ne pourra jamais dormir plus longtemps. Au programme, visite de Palerme le matin, puis plage l'après-midi. On a commencé par rater le bus pour Palerme et attendre 1h le prochain, puis on a remarqué que la ville était moche et très pauvre, et que les chevaux qui tirent les calèches sont bien mal lotis. Ils crèvent de chaud à trotter sous cette chaleur, et ce sont de simples étalons, pas du tout fait pour trainer quoi que ce soit. On en à même vu un dérapper sur le sol glissant de l'huile des voitures sur la route non-lavée depuis la dernière pluie, il y a des semaines, à caue de ses sabots trop cirés. On a mangé a 15h et avons finalement réussis à aller sur une petite plage de galets vers 18h... Le repas du soir s'est fait à 23h30. On espérait que ça serai pas tout les jours comme ça !

Troisième jour :
Voyage. On a refait nos valises et avons pris le train pour Agrigento, à l'exacte opposé de l'île. Repas du midi ? 17h30. Le soir, on a été dans une pizzeria, et nous sommes rentrés bien tard. J'en avais déjà marre de voyager...

Quatrième jour :
Visite d'Agrigento. Comme quoi, les visites, on sait faire que ça. On a été vois l'un des anciens sites historiues avec les ruines des temples romains, puiq on est allé à la plage. C'était assez beau, et ça aurai pu être plus sympa si on avait pas encore une fois rtédeux bus dans la journée et si il ne faisait pas une telle chaleur... Autant dire tout de suite qu'à partir de ce jour, je me suis très sévèrement rationnée en eau -et donc en nourriture- pour pouvoir tenir toute la journée. Le soir, nous sommes aller dans un bar de nuit, histoire desortir et de danser un peu. Il faut bien se l'avouer : c'était très nul.

Cinquième jour :
Encore un voyage, destination Catan. Je me réconforte en me disant qu'au moins, nous resterons six jours là bas... Rien à dire de plus. Gaère habituelle, ratage de bus et compagnie.

Sixième jour :
Visite de Catan. Autant dire tout de suite qu'il n'y avait rien à voir et qu'on a vite rejoint le camping pour profiter de la baie. Le soir, on a été mangé à un restau panini, c'était sympatique.

Septième jour :
Le plus marquant de ce séjour de deux semaines, juste en plein milieu. Aujourd'hui, on s'est levés très tôt, 5h, pour aller gravir l'Etna, le volcan Sicilien. Arrivés au pied de la montagne, nous apprenons que pour monter le volcan, il faut une heure et demi. Une heure de marche, si difficile soit le terrain, ce n'est pas si long après tout. Nous décidonc donc de ne pas emprunter le téléphérique et commençonsà suivre le parcours zigzaguant de la piste de ski. A la fin de la première boucle et déjà exténués, nous décidons de nous séparer : les plus ftigués suivraient la piste tandis que les warriors couperaient tout droit et escaladeraient les centres et les rochers. Je décidais de rejoindre le groupe des warriors afin de faire travailler les muscles de mes jambes.
Deux heures quarante-cinq plus tard, nous arrivons, exténués, à la station. Nous nous arrêtons pour nous restaurer et remplissons nos bouteilles vides où à moitié pleine d'eau chaude avant d'apprendre que l'eau n'est pas potable... Nous voici sans eau pour la suite du périple ! Notre directeur vient nous voir et nous annonce qu'il nous reste une heure et demi de marche. Apparament, nous avons escaladé la montagne, mais nous ne sommes qu'au pied du volcan ! Prenant notre courage à deux mains, nous reprenons notre ascension, sans eau, tout en tentant sans grand succès d'éloigner les bêtes qui pululent sur ces terres arides et tentent par tout les moyens de vous piquer. Je me serai cru sur mars. En regardant au loin, je pense que j'aurai pu voir toute l'île si il y avait eut moins de brûme et de cendres dans l'air. On voyait la fumée qui sortait du cratère et de divers trous et failles et on entendait le volcan gronder... A un moment, complètement innatendu par une telle chaleur -50 degrés camouflés par un vent très froid- nous avons trouvé de la glace, conservée par une couche de lave solide qui gardait la fraicheur. Nous en avons cassé pour les mettre dans ns bouteilles vides et pouvoir nous raffraichir. En me retournant, je ne voyais personne derrière moi. Nous n'étions plus que cinq à se battre contre la montagne pour atteindre notre but, les autres avaient abandonnés.
Enfin le sommet, au bout d'1h20 ! Le panorama est magnifique, mais malheureusement impossible de s'approcher du cratère. Pour faire court : on a rien vu. Mais quelle joie d'y être arrivés ! On s'est arrêtés pour prendre des photos, les cinq filels, les cinq warriors de l'Etna ! Puis, nous avons dévalé la pente du volcan. Pas question de traîner, il ne fallait pas rater le car pour rentrer ! Toute fatigue était envolée. Nous avons courrut jusqu'au pied du volcan, en coupant toutes les pistes pour courir sur la cendre et les rochers. Arrivés à la station, nous avons récupéré nos quelque camarades ui n'avaient pas encore descendu la montagne et avons entreris de descendre sans trop nous blesser ni nous casser la figurE. ENfin, arrivés en bas, on nous annonça... qu'on avait raté le car. Il a fllut faire des allers-retour avec note voiture de location pour ramener. J'ai compris ma douleur et l'épuisement de ma journée le lendemain, quand j'ai vu les brûlures au troisième degré qui rougissaient et formaient descloques sur ma peau, ainsi que la fatigue qui m'a accablée et m'a rendue malade toute la journée et les horribles courbatures qui m'ont obligée à marcher précautioneusement, en canard, tout le reste du jour. Le pire à été ce discours, tenu par nos moniteurs : "On croyait que c'était une heure et demi du pied de la montagne au sommet, sinon on se serai meme pas posé la question, on urai pris de téléphérique !" Fumier...

Huitième jour :
Visite de Taormina. Rien à ajouter.

Neuvième jour :
Levé tôt une fois de plus. Nous partons pour Etnaland, le parc aquatique de la région. Avec une chaleur pareil, ça fait du bien. Il faut donner une nouvelle définition au grand splash du parc Astérix, de loin battu par le Jungle Splash d'Etnaland, qui est de loin la meilleure attracion du parc, et accessoirement la seule qui vaut vraiment le coup d'être faite... Dommage que je n'ai pas pu tellement en profiter à cause de mes coups de soleil et de la fatigue de l'Etna qui n'était toujours pas dissipée.

Dixième jour :
Visite de Sirracus. Rien à ajouter, les villes sont vraiment toutes les mêmes...

Onzième jour :
Voyage, une fois encore. On a raté le bus, le car, puis le train. La totale. Au final, nous avons finalement atteint Milazzo, que nous ne visiterons jamais. Tant mieux, j'en ai marre de visiter des villes. L'eau de notre nouveau camping n'est pas potable, on va dépenser une fortune en bouteilles...

Douzième jour :
Départ pout les îles éoliennes. Levé, 5h. Heureusement, je sais que je vais pouvoir dormir sur le bateau. Le bateau à comme un effet soporifique sur moi. M'allonger sur le pont, sur une banquette, me permet de mieux dormir et plus longtemps que dans n'importe quel lit. Je suis née pour vivre en mer. On a accosté sur la plus grande des trois îles que nous avons quelque peu visité et où nous avons pique-niqué, puis nous avons pris dle bâteau pour Vulcano, une île avec un petit volcan constament en éruption. J'avais beau regarder, il n'y avait aucun signe d'éruption, il était exactement comme l'Etna. Etrange... On a fait des bains de boue naturelle puis nous sommes rincés dans la mer. L'odeur mélangée à celle du souffre du volcan est insupportable. J'ai été incaale de respirer autrement que par la bouche, sous peine de vomir, je n'ai jamais pu m'accoutumer à l'odeur. Sérieusement. Mis ma peau et mes ongles ont néanmoins profités des bienfaits de la boue, et j'avoue que c'est assez impressionnant !

Treizième jour :
Voyage. Nous rentrons à Palerme afin de prendre l'avion le lendemain matin. C'est le retour de la douche froide ! Nous étions censés nous coucher tôt, mais les garçons n'ont rien trouvé de mieux à faire que d'utiliser le reste de leur argent pous acheter des souris et les lacher dans le camp pour faire peur aux autres filles. J'ai passé des heures à les chercher et à toutes les récupérer avec deux autres filles, et on s'est finalement couchés à 3h du matin...

Quatorzième jour :
Levé 5h. J'ai pas assez dormi... On nous annonce qu'il n'y a pas de bus et qu'on va marcher deux kilomètres avec les valises jusqu'a la gare. Youpi... Une fois sur place, on a raté le train. Une heure trente d'attente... Sa commence à bien faire ! A l'aéroport, c'est l'avion qui est en retard. Finalement, nous avons réussi à rejoindre notre petite ville chérie vers 19h45. J'étais bien contente de retrouver ma maison, une douche, un lit ! Mon père m'a appris que l'Etna avait été en éruption toute la semaine et m'a montré une vidéo de l'éruption du 14 juillet, le jour où je suis montée... Je comprends maintenant pourquoi je n'ai pas vu la différence avec le volcan de Vulcano. Mais je suis drôlement déçue d'avoir rien vu ! Et puis ,depuis quand on te laisse grimper sur un volcan en éruption au fait ?!


Voilà le résumé de mes vacances... Dur... Pour l'instant, je soigne ma peau et je me repose. Puis je tenterai de choper un stage dans le coin, dans une écurie pour m'occuper les trois semaines à venir. Mes amis sont tous en vacances. Ensuite, je les verrais et je me préparerai à la rentrée.
Quelques mots pour résumer mes vacances ? Les voici :
Attendre - Se perdre - Rater le bus - Coups de soleil
Article ajouté le Jeudi 21 Juillet 2011 à 17h14 | |

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