Chez Phéni'
de Phenicia

Au début, j'avais prévu de raconter mon "super" réveillon de Nowel, mais je compte le réserver pour après le nouvel an pour raconter les deux d'un coup ^^

Dans cet article, comme le dit le titre, je vais vous présenter une histoire que j'ai du écrire vers le début d'octobre pour un travail de français (sisi xD). Pour planter le décors : on devait faire suite à une toile (que la prof n'avait qu'en noir et blanc version photocopieuse un peu ratée donc imaginez la chose D8) de René Magritte du nom de "La condition humaine", suite au nom et à la toile (voir ci-dessous, mais on ne voyais pas la toile peinte en avant plan dû à la qualité et la prof ne l'avait pas en couleur donc c'était pareil pour elle, imaginez donc la toile sans la peinture au centre ^^), nous avons donc du écrire ce texte avec une partie narrative, une descriptive, une explicative et une en dialogue (ou monologue) indirect.

Avant tout, voici la toile (qui n'a pas tellement grande importance %) :




Et voici donc mon texte :


Le peintre arriva dans son atelier vers midi. Il posa une toile contre son chevalet et un verre au liquide indéterminable devant la fenêtre. Après plusieurs réglages du support de la toile, il trouva une inclinaison qui lui semblait parfaite. Il prit alors suffisamment de peinture pour accomplir son travail, il but le contenu de son verre et se mit à l’ouvrage.

Il commença par teinter le haut du tableau d’un bleu azur faisant penser à des pleurs. Il peignit ensuite le reste de sa toile d’un vert sombre et inquiétant. Au centre, il fit apparaitre une fillette qui observait le ciel, un sourire aux lèvres, ses yeux brillaient et ses couleurs étaient vives, de façon à ce qu’elle soit immédiatement remarquée.

En fait, la fillette semblait éclairer le monde. Elle était le soleil du ciel attristé, le rendant plus joyeux. Elle était l’espoir au milieu du vert qui ne montrait que le désespoir. Elle représentait la vie qu’avaient tous les humains : une lueur d’espoir dans les moments les plus tristes et les plus sombres.

Le peintre sembla alors s’adresser à elle. Il lui dit que, jadis, elle était sa vie, elle le rendait heureux par sa simple présence. Il ajouta qu’elle, sa petite Lysis, lui manquait, que cette fois serait la dernière où il lui rendait hommage, que le tableau de sa vie avait perdu toutes ses lumières. Il lui demanda alors de l’attendre car il ne tarderait pas à la rejoindre, puis, il cessa de parler pour l’éternité.

Bon, c'est assez court, mais il fallait correspondre au nombre de ligne manuscrite demandées qui étaient de vingt (pas une de plus, pas une de moins :/)