Poésie inutile
Comme j'ai rien d'autre a faire, je m'improvise poète ! C'est parti !
L'Iris
Le noir vif de tes contours pleins de vie
Contrastent avec ma pâleur fade
Tu m'enseignes les couleurs endormies
les joies de la fratrie, d'un camarade.
Toi, prunelle de mes yeux ensorcelés
Tu es l'iris de mon jardin caché.
Tu m'apprends les couleurs et la vie
Tout ceci sonne comme une renaissance
Je me sens revivre dans tes somptueux plis
Du bonheur, tu es la pure quintessence
Toi, prunelle de mes yeux ensorcelés
Tu es l'iris de mon jardin caché.
Sans toi, a quoi rime d'exister ci-bas ?
Tu es la clef d'un paradis nouveau
Tes yeux promettent l'éternel plaisir
Iris de mon jardin, je t'appartiens.
Article ajouté le Mercredi 10 Octobre 2012 à 17h52 |
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