Putain, que j'aime la vie...
PUTAIN DE JOURNEE EXECRABLE.
RACONTAGE DE LIFE EN PUISSANCE.
Ce matin, je me réveille vers 5H, avant tout le monde. J'vais aux toilettes, je vais m'abreuver, je vais ouvrir la véranda pour faire sortir les chiens, je prépare mon linge pour l'école.
J'en profites pour allumer l'ordi' et jouer un peu à Blanche.
Ensuite mes parents se réveillent, je me co' sur Bip', boit mon lait, me brosse les dents, m'habille pour l'école, toussa. Ensuite je pars à l'école toussa.
Touvabien, demi-journée de cours normale. A midi je sors, et je remarque que la partie cousue de la sangle de mon sac... Se détache !? (Mon sac étant une sacoche qui se porte en bandoulière, sans poignée)
Donc j'entre dans la voiture en disant ça à ma mère et pile quand je tire dessus sans faire exprès, la sangle se détache sur la partie cousue.
On arrive à la maison et on mange de la pizza.
Ma mère vient dans ma chambre. Elle vide d'abord mon sac et en vide le contenu sur le lit, elle agrippe mon cahier de brouillon et en feuillette le contenu (tenu secret pour le moment) et elle voit que c'est juste (censored) mais elle me le rend pas et fait comme une petite brute qui veut pas rendre son chocolat à un plus petit que lui. Et c'est moi qu'elle traite de gamin.
Ensuite elle regarde mon sac. Donc y avait un côté avec un bout en plastique, l'autre cousu, celui qui a cassé. Bah elle était convaincue qu'il y avait 2 bouts en plastique et pas 1 seul + 1 cousu et j'essaye de lui expliquer, mais comme elle entend pas trop bien elle croit que je m'énerves. Ensuite elle tripote les zip et les fermetures éclairs et casse le zip, puis un autre.
Elle dit que mon sac part en morceau et je lui répond que c'est elle qui vient de casser, que sa tenait parfaitement et elle croit comprendre que je l'accuses d'avoir saboté mon propre sac, que je lui criait dessus. Et ma soeur n'arrange rien en profitant de l'incursion de ma mère dans ma chambre pour venir et toucher à tout. Et ma mère dit qu'elle fait rien.
Moi comme ma mère dit, comme je suis très sensible... Bah c'était les grandes eaux, j'ai chialé. (Non j'ai pas honte de dire que je suis qu'une tapette émotionnelle, ok ?)
Bref j'étais à 2 minutes d'arriver en retard. Mais non. J'étais là en mode "jesuismalaimémaisc'esttoujoursmieuxquepourlehérosdevipèreaupoing,touvabienremarquezpasmesyeuxrougis"
Je m'assois dans un coin où j'ai retrouvées Cassou et une autre amie IRL. Elles ont rien remarqué, on était côte-à-côté. J'étais pas déçu, mais j'avais envie qu'on remarque que j'avais pleuré. (T'as des problèmes avec ta mère, tu as besoin de plus d'affection :o) Ensuite ça a sonné, un de mes camarades de classe à dit un truc, ça a suffit à me remonter le moral... J'avais rit...
Ensuite à la fin du cours et pendant le cours d'EPS(volleyball), j'avais rit et j'étais limite hystérique en rangeant le matériel, j'étais limite "PTDR".
Donc je reviens à la maison (au fait mon sac a été provisoirement retapé avant d'en acheter un autre en rentrant des cours) c'est là que rien ne vas plus. L'ultime sacrilège, me couper de mes amis sur le net... Je rentre, je suis rentré à pied, à 16H, et là, le temps d'ôter mes chaussures que je met que pour EPS, (Je part à l'école en sandales 8D) de déposer mon sac et d'ôter ma veste à capuche que je vois... Que ma mère a coupé la connexion Wifi !
Elle me punirait de ne plus être possible, d'être méchant avec eux, tout ça...
Résultat, je go chez mes grands-parents pour y faire mon rapport à mon père.
-Ma mère a été injuste.
-Elle a rien dit quand ma soeur à devant elle (non sérieux comment elle a pus pas voir ça !?) donné un coup de pied dans mes fesses, deux fois, et est venue m'embêter.
J'avais envie de filer une claque ou un bon coup de poing à ma mère tellement c'était injuste pour moi, c'est pour dire. Et ne parlons pas de ceux que j'avais envie de donner à ma soeur que je réalisais particulièrement insolente, méchante, mal élevée, odieuse, peste et tout ça. On laisse passer pour elle parce qu'elle est trop jeune ? Elle a dix ans, moi j'avais moins de 9 ans, c'était collé sous la véranda avec ma mère pour apprendre à faire mes lacets. (Avant qu'on sache que je sois dyspraxique)
Enfin bref, je sais que ça ne vous intéresse pas ma vie, que c'est très long et tout ça, enfin bon, j'avais besoin de l'écrire. Et maintenant, vous aurez été découragés par la longueur du texte qui fut mon exutoire.
Article ajouté le Lundi 27 Août 2012 à 17h18 |
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