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Max Borrow 2 L'école de la Céladopole de pokebat8



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Informations

» Auteur : pokebat8 - Voir le profil
» Créé le 04/03/2011 à 21:32
» Dernière mise à jour le 04/03/2011 à 21:32

» Mots-clés :   Action   Aventure   Suspense   Terreur

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La pièce interdite...
« Sandra, j'ai beaucoup réfléchi et… Je suis désolé mais je veux garder griknot ! »
« D'accord, je respecte ton choix… »

Monsieur Dorg regarda sa magnifique pokémontre et nous dit qu'il était l'heure de rentrer à Doublonville. Nous quittâmes l'aréne. Comme il était assez tard, nous rentrâmes dans cette ville sur le dos du roucarnage de notre moniteur. Nous pénétrâmes dans la gare et nous sortîmes notre ticket retour pour Safrania. Le train arriva assez rapidement. Nous grimpâmes dedans et cette fois-ci, il n'y avait pas de type louche. Nous arrivâmes à l'heure prévue. Nous prîmes le bus et ce dernier nous déposa à la Céladopole. Le week-end m'avait beaucoup plu. Monsieur Dorg nous salua et rentra dans sa chambre. Nous montâmes et retournâmes dans les nôtres. Il était tard et nous étions épuisés. Je m'endormis rapidement…

« Ahhhhhhhhh !! », le lendemain matin, je me réveillai tout en douceur.

Grégory vint me rejoindre pour aller déjeuner. Nous revîmes Clem. Nous déjeunâmes à 3. Il nous posait des questions sur notre week-end. Alors que nous étions en pleine discussion, le directeur arriva à côté de nous.

« Excusez-moi de vous déranger, Max et Grégory, vous viendrez me voir dans mon bureau après le déjeuner ! Ne vous inquiétez pas, ce n'est pas grave ! », dit-il d'air un gai.

Nous laissâmes donc Clem seul après avoir déjeuné et nous allâmes rejoindre notre directeur.

« Ah je vous attendais ! »
« Rebonjour !… »
« Ne vous inquiétez pas ! C'est surtout à Grégory que je veux parler ! »
« D'accord », répondit mon compagnon.
« Vous devez être au courant que Luc est décédé… »
« Oui mais comment connaissez-vous Luc ?! »
« Peu importe… Nous savons beaucoup de choses sur vous ! »
« Euhh… »
« Bref, ce fameux Luc avait un seul pokémon, un machoc. Il a décidé de le léguer à Grégory. Ne me demandez pas pourquoi à lui, je n'en sais rien. Nous avons juste reçu cette pokéball. »
« D'accord ! », répondis-je.
« Ca me touche vraiment, je confirme que Luc était une très bonne personne… »
« Vous devez avoir raison les garçons ! Bon Grégory, prends cette pokéball. »

Nous quittâmes le directeur et rentrâmes dans ma chambre. Je servis à boire à Grégory et il ouvrit sa pokéball. Machoc avait l'air triste. Nous le consolâmes et Grégory le rentra dans sa pokéball.

« Il faut qu'il s'habitue… »
« Oui tu as raison Grégory ! »

Mon ami allait repartir dans sa chambre lorsque nous entendions des cris. J'ouvrai la porte et vis de l'agitation partout.

« Que tous les élèves partent dans les arénes ! Vite !! »

Les responsables de l'école criaient très fort. Nous descendîmes très rapidement les escaliers mais nous tombâmes sur un professeur qui nous embarqua :

« Tout ça est de votre faute ! »
« Mais on n'y peut rien ! »
« Donne-moi le livre ! »
« Non !! »
« Si ! »
« Non mais qui êtes-vous ?! »
« Donne-le-moi !!!! »
« Non arghh ! »

Grégory tira mon pull et me fit tomber. Nous courions partout jusqu'à l'aréne. Dehors, il faisait tout noir. J'étais un peu rassuré lorsque je vis l'homme qui m'avait interpellé courir après nous. Nous nous dépêchâmes et au moment où nous arrivâmes devant l'aréne, le directeur était avec son drascore. Il lui ordonna d'utiliser dard-nuée sur le type qui nous poursuivait.

« Max, tu n'as rien ?! »
« Non, il voulait que je lui donne le livre mais Grégory m'a retenu ! »
« Faites attention à vous les garçons… »
« Oui. »
« Maintenant rentrez tous dans vos chambres ! »
« D'accord ! »

Nous passâmes la journée à discuter et à jouer aux cartes avec les autres élèves. La nuit venue, nous étions dans nos lits. Il était 23 heures 30 mais je ne dormais toujours pas. D'un coup, quelqu'un vint toquer à ma porte. C'était Grégory. Il me demanda si j'avais sommeil. Je lui répondis que non car je repensais sans cesse aux évènements du matin. Il chercha ses mots puis me parla :

« Cette école m'intrigue. Rappelle-toi le type tout à l'heure. Normalement, on ne laisse pas entrer n'importe qui dans un bâtiment. Je sens aussi qu'il y a quelque chose de bizarre… »
« Oui mais quoi ?! »
« J'aimerais qu'on aille à l'étage qui nous ai interdit ! »
« Mais tu es fou ! »
« Non, je suis sûr qu'on y trouvera quelque chose d'intéressant ! »
« Si tu le dis… »
« Allez suis-moi ! »
« D'accord ! »

Je bondis de mon lit sans faire trop de bruit et suivis Grégory. Nous arrivâmes devant l'escalier qui menait à l'étage. Nous hésitâmes un instant et prîmes notre courage à deux mains. Nous grimpâmes discrètement lorsque :

« Cruikk ! »
« Grégory fait gaffe ! »
« Oui excuse-moi… »

Nous avançâmes et nous arrivâmes à l'étage. Il y avait des bibliothèques remplies de livres. Il y avait plein d'objets aussi. Il faisait noir, ça faisait limite peur. Nous étions en train d'observer tout ce qu'il y avait dans la pièce quand nous entendîmes l'escalier grincer. Nous allâmes nous cacher. J'avais très peur et avec un tout petit bruit, la personne qui entrait pouvait nous voir. Mais, qui était-ce ?!

Nous étions derrière une armoire qui n'avait pas l'air très en forme… La silhouette traversa la pièce et ouvrit une porte. Elle vérifia ce qu'il y avait derrière et repartit. Nous avions eu chaud.

« Oufff !!! »
« Tu l'as dit ! »
« J'ai eu trop peur ! »
« Et moi tu crois que je rigolais ?! »
« Bon maintenant allons voir ce qu'il y a derrière cette porte ! »
« Oui ! »

Nous pénétrâmes et vîmes un corps. J'étais choqué. Grégory s'en approcha et m'appela.

« Eh viens voir vite ! »
« Quoi ?! »
« Regarde ! »
« Quoi ?! »
« Regarde entre ses mains !! »
« Ahh !! »

L'homme tenait une drôle de clé.

« Regarde c'est une clé !! », me dit-il.
« Clé, clé, clé … ??!!… clé.. !!?? »
« Quoi ?! »
« Je sais ! C'est la clé de renferme ! »
« Oui ! La clé de renferme ! Selon le livre elle est à Kanto ! »
« On l'a !!!! »
« Oui ! Mets ça dans ton sac ! »
« Encore un moyen d'empêcher Buster de terrasser le monde… »
« Oui… »

Nous avions désormais l'expérimentator, le grimoire et la clé de renferme. Il nous manquait la masterball. Il fallait aller au sommet du mont couronné. Nous redescendîmes la tête pleine d'idées dans nos chambres.

« Bonne nuit quand même hein ?! », me dit Grégory à moitié affolé et à moitié souriant.
« Oui bonne nuit ! »

Avant de dormir je pensais, Grégory était calme mais aussi un peu fou, aller dans un endroit interdit d'une seconde à l'autre, il fallait oser…