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Théorie comparative des espèces : pourquoi Rapasdepic est nettement supérieur à Roucarnage
Rappelons tout d'abord de quels empiaffés il est question aujourd'hui :
Le majestueux Rapasdepic :
Le pathétique Grokarnage :
Ce simple rappel étant fait, posons-nous maintenant les bonnes questions, même si un simple coup d'oeil aux images précédentes suffit à un esprit rationnel pour déterminer où se situe la vérité.
Statistiques
Commençons par nous poser des questions d'ordre statistique : pour ce genre de Pokémon, il est primordial de disposer d'une puissance d'attaque importante, pour lacérer son ennemi, ainsi que d'une bonne vitesse, pour régner en maitre sur son territoire via la voie des airs. Ce sont là les deux points forts statistiques des deux espèces.
Eh bien, lorsque nous comparons, que constatons-nous ?
Rapasdepic possède une puissance d'attaque de 90 et une vitesse de 100, là où le faible Roucarnage ne dispose que d'une puissance d'attaque ridiculement basse de 80 et une vitesse de limace de 91.
C'est donc une victoire sans appel de Rapasdepic sur le plan théorique.
Adaptation du corps au milieu naturel
Mais l'aspect statistique ne fait pas tout, étudions l'aspect de ces Pokémon pour vérifier leur adaptation aux dangers qu'ils encourent... Là encore, il n'y a pas photo : Rapasdepic dispose d'un long bec acéré lui permettant de massacrer ses proies, de serres puissantes pour arracher d'un coup net et précis ses proies du sol et d'un corps svelte et aérodynamique tout à fait adapté à la conduite de longs vols aériens, qui peuvent durer des heures en planant grâce à la grande surface portante que lui offre ses longues ailes.
De l'autre côté, nous avons Fakekarnage... un corps bien trop dodu pour pouvoir supporter de voler en soulevant une masse protoplasmique pareille sur de longues distances, un petit bec pathétiquement inutile, des pattes ridiculement enfoncées dans son grand corps bedonnant, une longue queue inutile et colorée pour mieux être bêtement repéré dans la nature par ses proies -peu nombreuses- comme par ses prédateurs -variés-, et une coiffure ridicule qui prouve qu'il a passé plus de temps chez le coiffeur qu'à s'entrainer pour devenir plus performant, tel un Djibril Cissé de la grande époque. En résumé, il est évident que ce Pokémon n'est ABSOLUMENT PAS adapté à la vie sauvage !
Attaques apprises
Contrairement à Rapasdepic, l'appendice ridicule de Roucarnage ne lui permet pas l'apprentissage de l'attaque Bec Vrille, qui a toujours été depuis la première génération l'attaque vol de référence. Est-il besoin d'en dire davantage ? Faut-il parler de la capacité spéciale pathétique de Roucarnage, "Pieds Confus", qui prouve surtout qu'il devrait éviter de s'adonner à la boisson ?
N'en jetez plus : chaque nouvelle analyse est un coup de massue sur la crinière flashy du pauvre Roucarnage.
Un problème de POIDS
Une simple analyse de leurs positions de vol respectives permet de mesurer le problème : là où Rapasdepic vole majestueusement à l'horizontale, s'offrant ainsi de longs vols planés pouvant durer des heures pour maîtriser son territoire, Roucarnage vole avec l'arrière-train en retrait, au ras du sol -il en est réduit à rentrer ses pattes pour ne pas toucher terre et donner l'illusion qu'il vole-, arrière-train qui semble peser de tout son -énorme- poids sur les pauvres ailes de l'animal : la loi de la gravité est sans merci.
Tout ceci s'explique, et ne va pas en s'améliorant : étant absolument incapable de survivre par lui-même, comme cela a été brillamment démontré plus haut, Roucarnage, ou plutôt ses sous-évolutions pathétiques roucooliennes -l'espèce n'étant plus capable d'acquérir l'énergie nécessaire pour évoluer- en sont réduits à survivre dans les grandes villes, en profitant du pain que leur jettent sur les places des mémés ahuries qui ont pitié d'eux. Et c'est ainsi qu'à force de se goinfrer sans même essayer de voler, les Roucool ont atteint une corpulence moyenne qui les rend définitivement inaptes à la pratique du vol, et encore plus ridiculement pathétiques qu'ils ne l'étaient déjà - si si, c'est possible.
Voyez plutôt :
En conclusion
La démonstration semble logique et sans faille : les Rapasdepic supplantent les Roucarnage à un tel point que l'on se demande comment ces derniers pourraient encore exister s'ils n'étaient protégés par des mémés stupides, le WWF en tant qu'espèce menacée, et quelques derniers fous furieux aux pseudos commençant par Z qui font mine de croire encore à leur puissance.
C'est déjà la fin de notre émission, que nous vous remercions d'avoir suivi, et nous vous invitons à nous retrouver dès demain, pour un autre débat encore plus passionnant : Pourquoi Bulbizarre peut triompher aisément de Mewtwo, Deoxys et Arceus. En même temps.
A bientôt !
Le majestueux Rapasdepic :
Le pathétique Grokarnage :
Ce simple rappel étant fait, posons-nous maintenant les bonnes questions, même si un simple coup d'oeil aux images précédentes suffit à un esprit rationnel pour déterminer où se situe la vérité.
Statistiques
Commençons par nous poser des questions d'ordre statistique : pour ce genre de Pokémon, il est primordial de disposer d'une puissance d'attaque importante, pour lacérer son ennemi, ainsi que d'une bonne vitesse, pour régner en maitre sur son territoire via la voie des airs. Ce sont là les deux points forts statistiques des deux espèces.
Eh bien, lorsque nous comparons, que constatons-nous ?
Rapasdepic possède une puissance d'attaque de 90 et une vitesse de 100, là où le faible Roucarnage ne dispose que d'une puissance d'attaque ridiculement basse de 80 et une vitesse de limace de 91.
C'est donc une victoire sans appel de Rapasdepic sur le plan théorique.
Adaptation du corps au milieu naturel
Mais l'aspect statistique ne fait pas tout, étudions l'aspect de ces Pokémon pour vérifier leur adaptation aux dangers qu'ils encourent... Là encore, il n'y a pas photo : Rapasdepic dispose d'un long bec acéré lui permettant de massacrer ses proies, de serres puissantes pour arracher d'un coup net et précis ses proies du sol et d'un corps svelte et aérodynamique tout à fait adapté à la conduite de longs vols aériens, qui peuvent durer des heures en planant grâce à la grande surface portante que lui offre ses longues ailes.
De l'autre côté, nous avons Fakekarnage... un corps bien trop dodu pour pouvoir supporter de voler en soulevant une masse protoplasmique pareille sur de longues distances, un petit bec pathétiquement inutile, des pattes ridiculement enfoncées dans son grand corps bedonnant, une longue queue inutile et colorée pour mieux être bêtement repéré dans la nature par ses proies -peu nombreuses- comme par ses prédateurs -variés-, et une coiffure ridicule qui prouve qu'il a passé plus de temps chez le coiffeur qu'à s'entrainer pour devenir plus performant, tel un Djibril Cissé de la grande époque. En résumé, il est évident que ce Pokémon n'est ABSOLUMENT PAS adapté à la vie sauvage !
Attaques apprises
Contrairement à Rapasdepic, l'appendice ridicule de Roucarnage ne lui permet pas l'apprentissage de l'attaque Bec Vrille, qui a toujours été depuis la première génération l'attaque vol de référence. Est-il besoin d'en dire davantage ? Faut-il parler de la capacité spéciale pathétique de Roucarnage, "Pieds Confus", qui prouve surtout qu'il devrait éviter de s'adonner à la boisson ?
N'en jetez plus : chaque nouvelle analyse est un coup de massue sur la crinière flashy du pauvre Roucarnage.
Un problème de POIDS
Une simple analyse de leurs positions de vol respectives permet de mesurer le problème : là où Rapasdepic vole majestueusement à l'horizontale, s'offrant ainsi de longs vols planés pouvant durer des heures pour maîtriser son territoire, Roucarnage vole avec l'arrière-train en retrait, au ras du sol -il en est réduit à rentrer ses pattes pour ne pas toucher terre et donner l'illusion qu'il vole-, arrière-train qui semble peser de tout son -énorme- poids sur les pauvres ailes de l'animal : la loi de la gravité est sans merci.
Tout ceci s'explique, et ne va pas en s'améliorant : étant absolument incapable de survivre par lui-même, comme cela a été brillamment démontré plus haut, Roucarnage, ou plutôt ses sous-évolutions pathétiques roucooliennes -l'espèce n'étant plus capable d'acquérir l'énergie nécessaire pour évoluer- en sont réduits à survivre dans les grandes villes, en profitant du pain que leur jettent sur les places des mémés ahuries qui ont pitié d'eux. Et c'est ainsi qu'à force de se goinfrer sans même essayer de voler, les Roucool ont atteint une corpulence moyenne qui les rend définitivement inaptes à la pratique du vol, et encore plus ridiculement pathétiques qu'ils ne l'étaient déjà - si si, c'est possible.
Voyez plutôt :
En conclusion
La démonstration semble logique et sans faille : les Rapasdepic supplantent les Roucarnage à un tel point que l'on se demande comment ces derniers pourraient encore exister s'ils n'étaient protégés par des mémés stupides, le WWF en tant qu'espèce menacée, et quelques derniers fous furieux aux pseudos commençant par Z qui font mine de croire encore à leur puissance.
C'est déjà la fin de notre émission, que nous vous remercions d'avoir suivi, et nous vous invitons à nous retrouver dès demain, pour un autre débat encore plus passionnant : Pourquoi Bulbizarre peut triompher aisément de Mewtwo, Deoxys et Arceus. En même temps.
A bientôt !
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