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My blog and my fictions <3
de Eirin-chama

                   


Bienvenue! :3


Outre pokémon, j'écris énormément de fictions et surtout de One Shots. Et parfois cela ne concerne pas forcément pokémon. C'est pourquoi je décide de faire un blog où je regroupe toute mes fictions. Vous pourrez également les retrouver ici : www.poke-chocolate.skyrock.com



Bonne lecture ^^

Si vous trouvez un contenu choquant cliquez ici :


Another End
Jour aux ressemblances imitatives,
Avec toi à nouveau je suppose,
Que les secondes ne peuvent être que positives,
Tu es toujours cette douce et fraîche rose.

Au parc le temps nous passions,
Ton félin obscur avec toi tu as apporté,
Des balançoires nous descendions,
Manger une glace avec moi tu avais décidé.

Le félin de tes bras se détacha,
Par peur qu'il disparaisse,
A son chemin tu t'élança,
Me laissant sans que je réagisse.


Le feu lumineux verdoyant,
Illuminant la voie autorisée,
Passa subitement au rougeoyant,
Mes yeux prirent peur en voyant le danger.


Un monstre imposant se dessinait,
Et s'élançait à ta rencontre,
Mes cris et mon élancement n'ont pas put le retarder,
De plein fouet il te frappa contre.


De tes pétales la chaussée s'en recouvre,
De ta vive vitalité le sol s'imprégnait,
De mes larmes le sol l'inondait,
Les portes du Malin s'ouvrent.


Un rire aux oreilles me sonnaient,
Une entité maléfique me souriait,
''Pleurerais-tu si tu pouvais l'éviter?''
Cette phrase dans mon esprit me tourmentait.


Je me réveille dans mon lit le matin,
Tout semblait être remit en place,
Comme au commencement je te rejoins,
Tu était là et reste, de grâce.


Le même félin quitta tes bras,
Les images de la rose fanée revinrent me hanter,
Prenant ta main pour t'empêcher de partir,
Te perdre je ne voudrais pas.


Nous éloignant de cet endroit funèbre,
Cette glace nous avons obtenue,
Les gens pointaient un endroit des ténèbres,
Du ciel l'inévitable était prévu.


Des coups éclairs se firent entendre,
De peur mes yeux j'avais fermé,
Un bruit sourd j'ai cru également entendre,
Mon coeur se remit a souffrir à te voir tomber.


Vers toi j'accourais en hurlant,
Mon coeur se remettait a souffrir,
Le Malin heureux comme un enfant,
Se remit à rire et à sourire.


Encore et encore,
J'essaye de te sauver des griffes du monstre,
Mais à chaque fois il est là avec ses idées gores.
Pourquoi me tourmente tu, monstre?


Me retournant pour te voir dans notre fuite,
Tes frêles racines glissèrent des marches,
Je criais même si j'en connaissais la suite,
Encore de moi on t'arrache.


Sera-t-il possible qu'il existe dans cette dimension,
Une autre fin aux couleurs sanglantes?
Ou serait-ce là, une éternelle imitation?
Qui ne fait que glisser sans fin dans la rampe.


Des décennies ont passé,
Sans que j'aie pu te sauver,
Le Malin prend gout à me tourmenter,
Quelque chose doit surement m'échapper.


Il y a surement une ''Another End''.


Je regarde la première scène,
Les autres m'intéressent moins,
Il y a surement un autre moyen,
Et pas que je te prenne.


Je m'élança donc à cette première scène,
Pousser la rose que tu es pour me dévoiler,
Je l'ai trouvé, mon Another End,
Je souris avant que le véhicule vienne me percuter.


Je pus voir le Malin pleurer,
Pleurer de me voir me sacrifier,
Le sang ayant remplit mes faits,
Ma rose, Mon ange grâce à moi allait rester.


''Mais c'était un ange qui voulait tout recommencer.''
Article ajouté le Dimanche 22 Avril 2012 à 22h02 |
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One-Shot / Merciless Revenge
'' C'est une banale visite médicale qui éclata ma vie en mille et un morceau. Sous mes frêles chevilles, l'existence que je menais tant bien que mal s'effondra en une seule fraction de seconde. On m'a diagnostiqué une maladie mortelle et qui plus est incurable. C'est cette saloperie, qui me ronge les poumons, le foie, le pancréas et le cœur, qui mit le point final du roman de ma vie.


Ma santé n'était déjà pas formidable. Ma mère a bu et fumé pendant sa grossesse, de manière à que je ne naisse pas. Cette action a eu de lourdes répercutions sur mon corps. Diabétique, cardiaque avec une ossature fragile. Voila le résultat de sa haine qui vit en moi depuis 17 ans. Apparemment, toutes les saloperies malines on décidé de me pourrir jusqu'à la fin. Mais...même ainsi, j'avais espoir...L'espoir d'être heureuse, même si cela ne durait qu'un jour, qu'une heure avant ma mort...J'avais espoir pour qu'il m'accompagne jusqu'à la fin, qu'il rendent mes derniers jours d'adolescente plus douces et belles qu'avant.


Mais...Une horreur ne vient jamais seule. Il m'a laissé tomber... il est partit pour une autre...pourquoi? Alors que je lui avais tout offert de moi, jusqu'à me faire fille publique à lui. Mais désormais tout n'est qu'enfer. Mes amis me lâchent, restant ainsi seule sans plus aucun soutien. Le monde mielleux que je connaissais venait de m'abandonner me transformant ainsi en une perle souillée, une perle aigre et amère, démunie de tout sentiment. Parents, largeurs et manipulateurs, le châtiment que je réserve à vos âmes impures est tout aussi horrible que vos actes puérils. Ainsi fonctionne ma rancune. Ce que vous m'avez fait boire n'était-ce que le cocktail nous rendant ivres de joies? Que de foutaises! Vous n'êtes qu'égoïstes, dupeurs, menteurs et trompeurs. Pleurez mon pardon! Suppliez-le! Que ma haine vous emporte. Je vous rendrais aussi fous qu'un hospitalisé, pathétiques consciences. Soyez prêts à entendre ma rancune, car vos vies vous raccourcirez Je pourrirais vos âmes déjà souillées, je vous ferais découvrir les joies des douleurs mentales. Vous pourrir comme vous m'avez pourri. Ainsi fonctionne ma rancune. Allez en Enfer, mon jugement ne sera miséricordieux.


Tous, vous m'avez tous dupé. Même eux, vous, surtout lui. Vous n'imaginez pas la rancœur que j'éprouve désormais à vos égards. Chantez le requiem de ma miséricorde, car c'est sûrement cela qui vous fera affliger une sentence moins pesante. Chantez-le! Pour mon sadisme profond.
Surtout lui, vous, même eux. Vous m'avez fait croire au monde de sucre mielleux où tout n'était que bonheur, poésie et romance. Foutaises! C'est votre impudence qui me rends aigre, amère et souillée. Vos manipulations furent vaines, je vous en félicite. Mais les pantins, lorsque sont coupés les fils, en quémandant vengeance viendront vous hanter.


Chantez-le requiem de ma miséricorde.


Eux. Ils ne sont rien à mon égard, car je n'ai jamais été désirée. Père battant et mère ignorante. Vous n'avez d'yeux que pour la désirée. Je ne suis qu'une erreur à vos esprits, un déchet abjecte oublié d'être jeté. Vous mère, avez tenté de me tuer, et pourtant j'ai gagné. Vous père, pour assouvir tes appétits je n'existe, et d'une désobéissance, un coup vous me donnez. Jamais à ta fille tu as levé main, ni pour assouvir ses appétits. Vous la chérissez n'est-ce pas? La petite Rachel. Ma vengeance première sera de vous l'enlever. Lorsque du travail vous reviendrez, dans son lit vous la trouverez rougeoyante. Je n'ai pas été désirée de vous, alors pourquoi la désirée resterait en vie? Je suis désirée de Dieu. Vos autres châtiments seront aussi horrible que la première. Non seulement votre fille vous perdez, mais la fertilité je vous vole et l'amour je vous interdirais. Quel doux parfum des larmes de tristesse dont j'hume l'odeur.


Pleurez le requiem de ma miséricorde.


Vous. Quel rire ma gorge résonne lorsque ma pensée s'attire à vous. Vous êtes pathétiques, comme ces têtards hors de l'eau sautillants et sautillants. Vous êtes malheureux, à tel point qu'il faut que vous fassiez du mal aux autres pour vous sentir bien, heureux, vivants. Aux plus démunis de bonheur vous vous acharnez. Fous, totalement fous je vous rendrais, à tel point que la ficelle de vos vies vous couperez. Hanter vos esprits médiocres jusqu'à voir vos suicides, voila ma vengeance deuxième. Les maîtres ne tirent plus les ficelles de la manipulation, ce sont les pantins maintenant.


Suppliez le requiem de ma miséricorde.


Lui. Quel lâche tu es. Le courage tu as manqué pour me quitter en face. C'est toujours plus facile d'envoyer un texto pour rompre. Mais pour dire vrai, je savais que tu étais le genre d'homme à courir te cacher sous les jupons de ta pauvre mère. Je la plains de t'avoir comme héritier. D'amour tu seras privé, personne ne t'aimeras. Jamais. Je les anéantirais. La fertilité tu n'auras droit, ma vengeance pour m'être faite fille publique à un lâche. Ainsi fonctionne ma rancune. Si par malheur, des sentiments tu éprouveras, la personne en question mourra. Ainsi ta souffrance sera éternelle. Te priver d'amour de toutes ses formes, ainsi que du plaisir charnel.


Vénérez le requiem de ma miséricorde.


De toutes ses formes ma rancune je vous ai présentée. Regrettez vous les actes passés? Vous voulez me demandez Ô grand pardon?
Navrée de vous le dire, pleurez, suppliez, chantez et vénérez mon requiem n'allégera pas vos sentences. Je ne reposerais en paix tant que vous êtes vivants, j'attendrais patiemment votre lente et douloureuse morte. Je vous enfin pouvoir m'amuser.

Tout ceci étant dit, je n'ai plus besoin de réfléchir, de penser ou d'attendre. La lame tranchante pense à ma place, réfléchit pour moi et attends pour ma personne. Rendez-vous au Paradis, enfin, pour vous c'est l'Enfer.

Béatrice. ''



Ce texte, partout il était posté. Dans l'habitat des parents, des personnes ici mentionnée et dans l'école. Béatrice se trouvait sur le toit de l'école en hauteur, le visage tourné vers la vue sur la ville. Sous son air angélique se cachait une terrible souffrance. Le désir de vengeance, une émotion particulière incontrôlable devenait naturelle pour elle. Des poignets tailladés, des vêtements ensanglantés, des larmes séchées sur des joues de porcelaine, c'est ainsi que les officiers de police l'ont découverte. De toute façon, il était déjà trop tard pour lui venir en aide. Dans l'appartement parental, le corps de la dénommée Rachel dormait paisiblement à jamais, tuée par strangulation, les blessures furent faites plus tard avec la même arme qui fut utilisée pour son suicide: Un couteau à la lame tranchante. Son suicide n'avait touchés personne, seules les larmes de la mort de Rachel résonnait dans le cœur des parents. C'était leur seul chagrin. Quant aux adolescents, personne ne crurent mot des paroles de la demoiselle. Jusqu'au jour où dans les couloirs résonne : Priez le requiem de ma miséricorde. La même voix cristalline résonne partout. Sa vengeance n'était pas à prendre légèrement.


''Les manipulateurs finissent toujours en Enfer, seul les pantins restent au Paradis.''
Article ajouté le Dimanche 22 Avril 2012 à 12h23 |
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